Saint-M'Hervé

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Saint-M'Hervé
Saint-M'Hervé
Mairie de Saint-M'Hervé.
Blason de Saint-M'Hervé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Élisabeth Brun
2020-2026
Code postal 35500
Code commune 35300
Démographie
Gentilé Saint-M'Hervéens
Population
municipale
1 359 hab. (2021 en diminution de 1,16 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 10′ 43″ nord, 1° 06′ 58″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 171 m
Superficie 29,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vitré
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintmherve.fr

Saint-M'Hervé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 359 habitants[Note 1] (les Saint-M'Hervéens).

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-M'Hervé est située à l'est de la Bretagne, entre Vitré et Laval. La commune est traversée par la Vilaine avec notamment l'étang de Haute-Vilaine, qui est régulièrement touché par des proliférations de cyanobactéries[1].

Le barrage de Haute Vilaine.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Launay-Villiers à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 862,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-M'Hervé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vitré, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,9 %), prairies (35 %), zones agricoles hétérogènes (11 %), eaux continentales[Note 4] (2,4 %), mines, décharges et chantiers (2,1 %), zones urbanisées (1,3 %), forêts (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancto Herveo au XIe siècle[15], ecclesia de Sancto Merveio au XIIIe siècle, ecclesia Sanctii Mervei en 1516[16].

Saint-M'Hervé porte le nom de son église paroissiale. Ce nom ne fait pas référence à Hervé, saint breton du VIe siècle, mais à un Mérovée de l'époque des Francs. L'ancienne commune de Saint-M'Hervon, également située en Ille-et-Vilaine, possède un nom similaire mais le sien réfère à un saint local appelé Maëlmon[17]. Saint-M'Hervé est mentionné pour la première fois au XIIIe siècle sous la forme latine ecclesia de Sancto Merveio (« église de Saint-Mérovée »)[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

La Gélinière est une maison de marchand de toile datant de la fin du XVIe siècle, qui présente notamment une tour d'escalier saillante, coiffée d'un épi de faîtage, sur sa façade.

Selon Henri Sée, en 1774, le nombre des journaliers et domestiques à Saint-M'Hervé était de 345 sur une population totale qui s'élevait alors à 2 131 habitants[18].

Révolution française[modifier | modifier le code]

Dans un rapport daté du , les autorités d'Ernée écrivent que des paysans d'Argentré, Le Pertre, Mondevert, Erbrée, La Chapelle-Erbrée, Bréal, Saint-M'Hervé, Montautour et Balazé avaient « porté leurs grain aux insurgés pendant leur séjour à Laval »[19].

Saint-M'Hervé fait partie des communes déclarées totalement insurgées en 1793-1794[20]. La colonne ou canton d'Argentré, des chouans membres de la division de Vitré de l'Armée catholique et royale de Rennes et de Fougères, eut pour chef Toussaint du Breil de Pontbriand, secondé par Louis Hubert. Elle était divisée en plusieurs compagnies : compagnie d'Étrelles, compagnie d'Argentré-du-Plessis, compagnie de Saint-M'Hervé (capitaine : Pierre Carré, dit Piquet, lieutenants : Noël Coeffé, Pierre Hodeyer et Mathurin Combois), compagnie de La Chapelle-Erbrée, compagnie du Pertre, compagnie de Vitré.

Deux combats menés par la Chouannerie contre les Républicains se déroulèrent à Saint-M'hervé, l'un en 1795, l'autre en 1796.

Louis Hubert, né le à Saint-M'Hervé, fut un chef chouan qui participa notamment au combat de Saint-M'Hervé (1796), au combat du Pont de Cantache et fut tué le lors du combat de Touchenault.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

Selon le journal La Croix, en 1891, 12 élèves sont inscrits à l'école laïcisée contre 92 à l'école « libre », congréganiste[21].

Le Journal officiel du indique que Louis Félix Ollivier, député des Côtes-du-Nord, a déposé sur le bureau de l'Assemblée nationale une pétition hostile à la politique menée par le gouvernement d'Émile Combes signée entre autres par 328 habitants de Saint-M'Hervé[22].

L'inventaire des biens d'église provoqua des difficultés : Le Journal du écrit : « À La Chapelle-Janson, Balazé, Saint-M'Hervé, les bourgs étaient barrés par des tas de fagots enflammés; les églises étaient entourées de charrettes enchevêtrées les unes dans les autres ; et les gendarmes étaient accueillis avec des gourdins et à coups de cailloux. Plusieurs officiers et plusieurs gendarmes ont été renversés et assez sérieusement blessés »[23].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-M'Hervé Blason
Échiqueté de gueules et d'hermine.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 juin 1995 Jacques Bougault   Comptable
mars 2001 mars 2008 Bernard Beaudouin   Agent d'assurance
mars 2008 23 mai 2020 Dominique Kerjouan[24] SE Enseignant
23 mai 2020 En cours Élisabeth Brun[25] DVD Assistante maternelle
Conseillère départementale de Vitré (2021 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 1 359 habitants[Note 5], en diminution de 1,16 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2001 9051 9842 2082 0161 9901 8091 8341 926
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8841 9091 8731 7741 7741 7441 7121 6881 661
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6751 6901 5561 3251 3101 3071 3361 3461 292
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 2151 2171 1891 1931 1441 2131 3271 3601 375
2018 2021 - - - - - - -
1 3471 359-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie de Saint-M'Hervé tourne autour :

  • de l'activité agricole
  • d'une carrière d'extraction [30]
  • d'une base nautique [31], qui a accueilli le championnat de France de kayak en 2017[32]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne de bus n°4 et la ligne N°10 (base nautique et plages de La Chapelle-Erbrée en été) de Vitré Communauté.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale de Saint-M'Hervé.

La maison de la Gélinière fait partie d'une petite série de maisons concentrées sur la commune de Saint-M'Hervé. Ces maisons ont en commun leur plan symétrique à deux portes jumelles, la tour d'escalier couverte d'un toit conique située à l'arrière de la construction. La charpente de la tour — assez sophistiquée — comporte trois niveaux d'enrayure. Ce haut toit donne un aspect élancé et élégant à la tour. Au bas de la tour, une pierre d'évier en schiste est engagée dans le mur.

La construction en moellons de quartzite et baies en granite est de belle qualité. Il reste devant la maison des traces d'une cour fermée et d'un portail

Le style général de la maison et quelques détails de décor indiquent une datation de la fin du XVIe siècle ou du début du XVIIe siècle, des modifications ayant été effectuées au XVIIIe siècle. Cette maison aurait été construite pour des marchands de toile qui font partie des notables ruraux à cette époque prospère dans une région où était cultivé le chanvre. Les toiles étaient vendues à Saint-Malo pour la marine. La maison aurait été habitée par un chirurgien vitréen avant la Révolution. Ces dernières données constituent autant d'hypothèses non vérifiées.

Culture[modifier | modifier le code]

Une copie du menhir du Champ Dolent a été fabriquée pour les besoins d'une série de télévision Le Champ Dolent, le roman de la Terre de Hervé Baslé. Cette copie se situe aujourd'hui à l'entrée de la commune, sur le carrefour RD 777 et RD 24. Saint-M'Hervé est la commune où se déroule l'intrigue de la série.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Les cyanobactéries inquiètent des riverains ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-M'Hervé et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Launay-Villiers » (commune de Launay-Villiers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Jean-Paul Gisserot, , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5 et 2-87747-482-8, lire en ligne), p. 109.
  16. a et b « Étymologie et histoire de Saint-M'Hervé ».
  17. Jean-Yves Le Moing, Noms de lieux de Bretagne, Bonneton, , 231 p. (ISBN 978-2-86253-283-7), p. 90.
  18. Henri Sée, "Les classes rurales en Bretagne du XVIe siècle à la Révolution", 1906, page 307.
  19. Archives départementales d'Ille-et-Vilaine, cité par Roger Dupuis, "De la Révolution à la Chouannerie", Nouvelle bibliothèque scientifique, Flammarion, 1988,[ (ISBN 2-08-211173-3)]
  20. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
  21. Journal La Croix du 26 avril 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k212678g/f1.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
  22. Journal officiel de la République française, n° du 13 mars 1903, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k64666920/f15.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
  23. Le Journal, no 4913 du 14 mars 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k76257093/f4.image.r=Balaz%C3%A9?rk=386268;0
  24. « Municipales à Saint-M'Hervé. Second mandat pour Dominique Kerjouan, Ouest-France, 3 avril 2014.
  25. « Saint-M'Hervé. Élisabeth Brun a été élue maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. « carrière de Saint-M'Hervé ».
  31. « base de loisirs de Haute Vilaine ».
  32. « Championnat de France de kayak 2017 ».

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]