Saint-Léger-la-Montagne

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Saint-Léger-la-Montagne
Saint-Léger-la-Montagne
Vue générale du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté de communes Élan Limousin Avenir Nature
Maire
Mandat
Gisèle Jouannetaud
2020-2026
Code postal 87340
Code commune 87159
Démographie
Population
municipale
353 hab. (2021 en augmentation de 2,62 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 01′ 50″ nord, 1° 25′ 12″ est
Altitude Min. 418 m
Max. 701 m
Superficie 32,62 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Ambazac
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Léger-la-Montagne

Saint-Léger-la-Montagne (Sent Legèr en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Elle se trouve dans le petit massif des Monts d'Ambazac.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation de la commune de Saint-Léger-la-Montagne en Haute-Vienne.

Saint-Léger-la-Montagne abrite le point culminant des monts d'Ambazac (le puy de Sauvagnac, 701 mètres), dans un paysage contrasté de monts et vallons ; le visiteur y trouve une nature riche et diversifiée.

Saint-Léger-la-Montagne s’enorgueillit, à juste titre, de son patrimoine forestier. Celui-ci est composé de bois, futaies, taillis, châtaigneraies, etc. ; pour partie, la forêt, gérée par l’ONF, représente environ 200 hectares de résineux.

Saint-Léger-la Montagne couvre une superficie de 3 262 ha.

À découvrir également, la réserve naturelle nationale de la tourbière des Dauges.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 10,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,3 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 144 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1998 permet de connaître en continu l'évolution des indicateurs météorologiques[8]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records ST LEGER LA MONTAGNE_SAPC (87) - alt : 664 m 46° 02′ 06″ N, 1° 27′ 30″ E
Statistiques établies sur la période 1998-2010 - Records établis sur la période du 01-08-1998 au 04-01-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,4 0,5 2,8 5,3 8,9 12,1 13,3 13,6 10,9 8,2 3,1 0,6 6,7
Température moyenne (°C) 2,8 3,2 6,3 9,2 13 16,6 17,7 17,9 14,8 11,3 5,5 3 10,1
Température maximale moyenne (°C) 5,1 5,9 9,8 13,1 17,1 21,1 22,2 22,2 18,7 14,5 7,9 5,4 13,6
Record de froid (°C)
date du record
−11,5
11.01.03
−14,1
12.02.12
−11
01.03.05
−4,2
07.04.08
−0,8
05.05.19
3,1
01.06.11
6,6
12.07.00
5
28.08.98
1,2
25.09.02
−2,6
16.10.09
−9,1
22.11.98
−11,1
14.12.01
−14,1
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
16,2
24.01.16
21,7
27.02.19
22,9
14.03.12
26,9
30.04.05
28,4
26.05.05
34,6
29.06.19
35,2
23.07.19
36,9
07.08.03
31
14.09.20
26
12.10.01
20,9
08.11.15
16,6
10.12.13
36,9
2003
Précipitations (mm) 133,1 112,1 137,6 126,3 120,7 81,5 97,2 89 89,8 130,5 154,1 143,8 1 415,7
Source : « Fiche 87159002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Léger-la-Montagne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (72,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,2 %), prairies (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), zones humides intérieures (1,5 %), eaux continentales[Note 6] (1,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Léger-la-Montagne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Léger-la-Montagne.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[17]. 38 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[18].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Léger-la-Montagne est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Mairie de Saint-Léger-la-Montagne

En 1791, le curé de Saint-Léger, pour ne pas être expulsé de sa paroisse, accepte de prêter serment à la Constitution civile du clergé[20].

En 1829, la commune de Saint-Pierre-la-Montagne, comprenant le bourg de ce nom et les villages des Combes, Lécuras et Maléty, est réunie à Saint-Léger-la-Montagne où elle ne constitue plus qu'une section. Cette réunion donne lieu à de longues protestations des habitants de Saint-Pierre qui se plaignent de l'éloignement du chef-lieu et du peu de considération de la part des élus de Saint-Léger, majoritaires au conseil municipal. Ceux de Saint-Pierre renouvellent leur revendication après la révolution de 1848 en faisant valoir que la réunion a été imposée sous le règne absolutiste de Charles X et sous l'influence du baron de Saint-Léger. Ils formulent de nouveau leur revendication auprès du préfet en 1872 : ils ne souhaitent pas la division de la paroisse et conservent leur confiance au curé de Saint-Léger, bien qu'ils aient gardé une église et un cimetière distincts, mais ils souhaitent décider seuls des dépenses d'intérêt local ; ils ont réuni par souscription la somme de 2 000 francs pour la construction d'une école à Saint-Pierre. Mais leur demande n'aboutit pas[21].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 janvier 2016 Claude Péricaud[22] DVG  
janvier 2016 à ce jour Gisèle Jouannetaud[23] DVG Conseillère départementale remplaçante
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 353 habitants[Note 8], en augmentation de 2,62 % par rapport à 2015 (Haute-Vienne : −1,09 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9051 1291 0018361 0711 1051 1061 1571 226
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2221 1431 1311 1341 2001 1301 1431 1261 129
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0911 0931 064927834762781691596
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
501474423392365342318309332
2018 2021 - - - - - - -
350353-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église du bourg, du XIIe siècle et XIIIe siècle, composée d’une partie romane et d’une autre gothique, abrite une remarquable stalle de bois de l’abbé de Grammont, une statue de saint Roch, une pierre tombale.
  • La Couze est une rivière française, du Nord-Ouest du Limousin, qui coule dans le département de la Haute-Vienne. C'est un affluent de la Gartempe (rive gauche), et donc un sous-affluent de la Loire, par la Gartempe puis par la Creuse, et enfin par la Vienne.
  • Église Notre-Dame de Sauvagnac (XIIe siècle), remaniée à plusieurs reprises, a gardé la nef et les piliers massifs de ses origines. Pietà du XVe siècle, célèbre par son pèlerinage : statue de Notre-Dame, Vierge à l’Enfant, Vierge de Pitié en bois.
  • Église Saint-Pierre-la-Montagne, village situé entre Saint-Léger-la-Montagne et Mallety. Son église, datée du XIIe siècle (base Gramontaine), fut remaniée au XVe siècle. Elle recueille une Vierge de Pitié et un reste de peinture murale datant de sa construction. Sa porte est recouverte de feuilles de cuivre embouties de facture contemporaine. Il ne s'y célèbre plus d'office. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1988[28].
  • Le château, à l’entrée nord-est du bourg, est implanté sur une motte préhistorique de défense. Aujourd’hui centre de vacances SNCF.
  • Le pont dit romain, à la sortie du bourg, en contrebas de la RD 78, sur la Couze dans un environnement ombragé.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Saint-Léger-la-Montagne propose un réseau de sentiers de randonnées.
  • La Couze, affluent de la Gartempe, attire de nombreux pêcheurs.
  • Les nombreux bois et forêts permettent la pratique de la chasse.
  • Les passionnés d'archéologie industrielle peuvent en de nombreux endroits retrouver des sites de carrières et de traitement du kaolin (les Combes, Mallety, le Goulet, Combechave...).

La commune met à la disposition des visiteurs plusieurs moyens d'hébergement : un gîte d'étape (9 lits) et 3 chambres d'hôtes dans le bourg, deux gîtes ruraux au village de Saint Pierre, ainsi que des chambres d'hôtes et gites privés.

Fiction[modifier | modifier le code]

  • Le roman La lavandière de Saint-Léger, de Sylvie Anne, Presses de la Cité, 2008, a son cadre à Saint-Léger dans les monts d'Ambazac [2].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Robert Chanaud, in : Jean Tricard, Le village des Limousins: études sur l'habitat et la société rurale du Moyen Âge à nos jours., Rencontre des historiens du Limousin, Presses universitaires de Limoges, 2002 [3]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sur Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 87159002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Limoges », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Léger-la-Montagne », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  20. André Lecler, Martyrs et confesseurs de la foi du diocèse de Limoges pendant la Révolution française, Volume 4, 1904, p. 91 [1]
  21. Robert Chanaud, in : Jean Tricard, Le village des Limousins: études sur l'habitat et la société rurale du Moyen Âge à nos jours, Rencontre des historiens du Limousin, Presses universitaires de Limoges, 2002, p. 342.
  22. La rédaction, « Une soirée en l’honneur de Claude Péricaud », sur lepopulaire.fr, (consulté le ).
  23. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Eglise de Saint-Pierre-la-Montagne », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).