Saint-Jean-Bonnefonds

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Saint-Jean-Bonnefonds
Saint-Jean-Bonnefonds
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Loire
Arrondissement Saint-Étienne
Intercommunalité Saint-Etienne Métropole
Maire
Mandat
Marc Chavanne
2020-2026
Code postal 42650
Code commune 42237
Démographie
Gentilé Saint-Jeandaire
Population
municipale
6 611 hab. (2021 en diminution de 1,03 % par rapport à 2015)
Densité 570 hab./km2
Population
agglomération
374 643 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 07″ nord, 4° 26′ 50″ est
Altitude 525 m
Min. 418 m
Max. 663 m
Superficie 11,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Saint-Étienne
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Étienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Étienne-5
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Jean-Bonnefonds

Saint-Jean-Bonnefonds est une commune française située dans le département de la Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants se nomment les Saint-Jeandaires.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune, desservie à l'ouest par l'A72 (sortie 16) et au sud par la N88 (sortie 18), est située à 5 km de Saint-Étienne[1] et 58 km de Lyon[2]. Le territoire communal se trouve au-dessus du bassin houiller de la Loire.

La superficie de Saint-Jean-Bonnefonds est de 11,59 km2 ; son altitude varie de 418 à 663 mètres[3].

Communes limitrophes de Saint-Jean-Bonnefonds
La Talaudière Sorbiers
Saint-Étienne Saint-Jean-Bonnefonds Saint-Chamond
Saint-Étienne Saint-Étienne

Voies de communications et de transports[modifier | modifier le code]

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par huit lignes du réseau STAS [4] :

  • La ligne 10 qui relie la Place Jean Jaurès (Saint-Étienne) à Sorbiers et qui dessert les quartiers de Reveux, Bas-Chaney et la zone industrielle de Molina-la-Chazotte;
  • La ligne 16 qui relie la commune à Saint-Priest-en-Jarez et Villars via Saint-Étienne et qui dessert le centre commercial Steel, le centre de la commune ainsi que le parc tertiaire Metrotech et le lieu-dit du Colombier;
  • La ligne 28 qui assure une desserte interne à la commune en partant du lieu-dit du Colombier et en desservant les lieux-dits de Nantas, du Crêt Beauplomb et en faisant un terminus au Fay. A certaines heures, il dessert aussi les quartiers de Chaney et Bas-Chaney (autrefois assuré par l'ancienne ligne 74 qui a fusionné avec la ligne 28). Aux heures de sorties scolaires, la ligne est prolongée jusqu'au collège Pierre et Marie Curie de La Talaudière.
  • La ligne 42 qui relie le centre-ville de Saint-Chamond à l'Ollagnière (Saint-Chamond) et qui en heures de pointes est prolongée jusqu'au lieu-dit du Poyet;
  • La ligne 71 qui relie en heures de pointe le quartier du Portail Rouge à Saint-Chamond en passant par les lieux-dits Maison Rouge et Le Poyet.
  • La ligne 72 qui aux heures scolaires relie le lieu-dit du Colombier, le centre de la commune et le Crêt du Fond Perdu au collège Aristide Briand dans le quartier stéphanois de Terrenoire;
  • La ligne 84 qui traverse la commune via l'itinéraire de la ligne 10 (quartiers de Reveux, Bas-Chaney et Z.I. de Molina-La Chazotte) une fois par jour et par sens lors de liaisons entre Saint-Étienne et Valfleury. En dehors de ces passages, la ligne est limitée à l'itinéraire La Talaudière <> Valfleury;
  • La ligne 101 (ex-ligne MA) est une ligne de transport à la demande reliant l'arrêt René Cassin sur le territoire communal (correspondance avec la ligne 10) au centre pénitentiaire de La Talaudière.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 776 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne à 5 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 793,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records SAINT-ETIENNE (42) - alt : 640m, lat : 45°26'07"N, lon : 4°22'05"E
Records établis sur la période du 01-06-2002 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,2 −0,1 2,5 5,8 9,1 13,1 14,7 14,2 11 8,3 4,2 1,1 7
Température moyenne (°C) 3 3,4 7,1 10,8 14,1 18,6 20,5 19,9 16,1 12,2 7,4 4,1 11,4
Température maximale moyenne (°C) 5,9 6,9 11,6 15,8 19,1 24 26,3 25,6 21,3 16,2 10,6 7,1 15,9
Record de froid (°C)
date du record
−12,9
13.01.03
−15,6
05.02.12
−16,5
01.03.05
−4,5
08.04.21
0,1
06.05.10
4,4
02.06.06
7,4
10.07.07
7,4
31.08.06
2,1
27.09.10
−5
26.10.03
−8,7
28.11.13
−11,1
26.12.10
−16,5
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
10.01.15
20,9
23.02.20
24
30.03.21
27,8
22.04.18
32
13.05.15
36,8
27.06.19
39
07.07.15
38,6
24.08.23
33,5
05.09.23
29,9
02.10.23
23,1
02.11.20
18,3
05.12.06
39
2015
Précipitations (mm) 41,8 38,7 39,7 62,7 83,7 80,6 78,7 79,4 65,1 81 87,1 55,4 793,9
Source : « Fiche 42218011 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Bonnefonds est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Étienne, une agglomération inter-départementale regroupant 32 communes[14] et 374 643 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Étienne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,9 %), zones urbanisées (21,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,9 %), forêts (8,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

Le toponyme "Bonnefonds" signifie "bonne source"[20]. Le presbytère de l'église présente un fragment de mur romain.

Les fouilles lors de la construction de l’hôpital en 1966 au Colombier ont mis au jour les vestiges d'une occupation gauloise puis gallo-romaine du site (un four circulaire gaulois ou gallo-romain, un four tuilier et un déversoir romain, un bassin et une réserve d’eau)[21],[22].

La mention dans un acte de donation de 868 de l'église Saint-Jean ("in Garensi ecclesiam in honore Sancti Johannis") correspond vraisemblablement à Saint-Jean-Bonnefonds et donne sa première mention écrite connue au Jarez[23].

"Sanctus Joannes Bonorum Fontium", est citée en 984 dans les possessions de l'église de Lyon[24],[25].

Elle est également mentionnée en 1173 dans la permutation réalisée lors de la séparation des comtés du Lyonnais et du Forez. À la suite de cet acte, Saint-Jean-Bonnefonds fit partie d'une enclave directement dépendante du chapitre de Lyon, aux confins du Jarez et du Forez et finalement rendue au Forez en 1278[26].

Les anciens travaux de mines causes d'importants décaissements de terrain, et les aménagements modernes liés au développement de l'habitat pavillonnaire, ont profondément transformé le paysage communal.

  • Au milieu du XIXe siècle, Saint-Jean, qui s'étire de Rochetaillée à Sorbiers sur plus de 2 800 hectares, pour une population approchant 9 000 habitants, est l'une des communes les plus étendues de France. Mine et passementerie sont les principales activités économiques. La construction de la ligne Lyon-St Étienne et l'ouverture d'une gare, amènent l'essor de la sidérurgiehauts fourneaux à Terrenoire. Des déplacements de population se produisent alors. Le déséquilibre démographique et la pression des maîtres de forges aboutissent, en 1866, à la création de la commune de Terrenoire. En 1872, Saint-Jean, avec Sorbiers, est une nouvelle fois amputée de son territoire, par la création de la commune de La Talaudière — où se concentre une importante activité minière.
  • Au début du XXe siècle, population et activités traditionnelles déclinent, entraînant une diversification du tissu économique.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Saint-Jean-Bonnefonds se blasonnent ainsi :

D’azur au puits en pierre d’argent, maçonné de sable sur une terrasse de gueules.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1971 1991 Jean Damien DVG Métallurgiste
1991 mars 2014 Jacques Frecenon DVG  
mars 2014 En cours Marc Chavanne[27] DVG  

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

En 2021 en diminution de 1,03 % par rapport à 2015, la commune comptait 6 611 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Une réforme du mode de recensement permet à l'Insee de publier annuellement les populations légales des communes à partir de 2006. Pour Saint-Jean-Bonnefonds, commune de moins de 10 000 habitants, les recensements ont lieu tous les cinq ans, les populations légales intermédiaires sont quant à elles estimées par calcul[28]. Les populations légales des années 2004, 2009, 2014 correspondent à des recensements exhaustifs[29].

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 2852 1892 3552 5724 0224 2634 8084 6306 357
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8 6178 8984 7054 4404 3163 9704 0294 1674 031
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 1473 8623 7844 0174 1404 1243 9783 8384 388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
4 5854 4604 9436 2856 4126 0896 0755 8866 272
2014 2019 2021 - - - - - -
6 6826 6156 611------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Bonnefonds.

L'église paroissiale Saint-Jean de Saint-Jean-Bonnefonds[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale comporte un chœur aux voûtes romanes du XIIe siècle, avec aménagement renaissance. À l'intérieur, se trouvent un grand bénitier de pierre et un retable du XVIe siècle. Le dernier agrandissement remonte à 1772.

Le château du Bourg[modifier | modifier le code]

Le château du Bourg (XIVe siècle), à proximité de l'église, est démoli en 1894. Sur le manteau d'une cheminée on pouvait lire cette devise, empruntée au poète latin Horace : " Nulla palescere culpa " (N'avoir à pâlir d'aucune faute).

Le château de Nantas[modifier | modifier le code]

À un kilomètre au nord-est du Bourg s'élevait le château de Nantas, propriété depuis 1662 des Bernou de Rochetaillée. Il est détruit lors d'un incendie en 1894. Des fouilles sur le site de l'hôpital ont permis de retrouver, au lieu-dit "les Murs", les fondations d'une bâtisse féodale antérieure au XVe siècle ainsi que des éléments de construction romains. Des descriptions du XIXe siècle y faisait mention d'un édifice public romain[32]. Aujourd'hui, seule une petite tour de la bâtisse féodale reste visible sur le flanc Ouest du "nouveau" château construit au XIXe siècle.

Le village du Fay[modifier | modifier le code]

À environ trois kilomètres du centre, sur le versant nord de la montagne de Nantas, se trouve le village du Fay. Fay dérive de fayard (= hêtre) ou de faille. Un groupe de maisons, dénommé « le château », y occupe une partie de l'emplacement où s'élevait jadis le château fort et la chapelle du Fay. Cet ouvrage fut un enjeu de la puissance des comtes du Forez sur la région. Étienne Blanc, un bourgeois lyonnais, le reçoit en fief en 1273, le fortifie malgré l'accord passé entre le comte du Forez et l'archevêque de Lyon, lors du traité de 1173 et délimitant leurs possessions respectives. Domaine royal à partir du XVIe siècle, la bâtisse permet d'entreposer une garnison apte à défendre la frontière avec le Lyonnais, et représente une marche d'accès au Forez.

Le Domaine Poyeton[modifier | modifier le code]

Le domaine Poyeton se situe près du Grand-Cimetière. Cette maison appartenait au XVIe siècle, à Jean Baraillon, seigneur de Nantas, conseiller au Présidial de Lyon. Ferme ancienne, elle comprend trois corps de bâtiments avec remises et écuries. Le premier date d'environ 1750. Les deuxième et troisième segments sont les plus anciens et constituaient une maison forte. Au fronton de porte des vestiges de la chapelle, on peut lire une date : 1100. Dans une niche au-dessus de l'autel se trouvait une vierge noire, transportée au XIXe siècle à l'église Saint-Pierre de Saint-Chamond, honorée sous le nom de Notre-Dame de Tout pouvoir.

La mine[modifier | modifier le code]

Le charbon a durablement marqué la vie locale : travail pour les hommes mais importantes conséquences environnementales, en modifiant sous-sol et paysage. Des millions de tonnes ont été extraites par plusieurs générations de mineurs. Les gisements les plus productifs au XXe siècle se trouvaient à la Chazotte (le puits Lacroix). À partir des années 1960, la production s'arrêta progressivement, la dernière tonne fut sortie du fond en 1968. Les friches sont réaménagées peu après, en zones artisanales. Seul le terril du Fay rappelle aujourd'hui, sous un manteau de verdure, le passé industriel.

Maison du Passementier[modifier | modifier le code]

Une centaine de familles travaillent dans la rubanerie, secteur en pleine expansion, début XXe siècle, comme l'attestent les hautes fenêtres de certaines habitations. Les ouvriers vont chercher le travail à Saint-Étienne chez le fabricant, reviennent tisser le ruban à domicile. Une pratique qui a permis le développement d'une culture spécifique. La Maison du Passementier expose la vie et le travail de ces artisans dans les années 1910-1930, ainsi que les évolutions de ce métier.

Métrotech[modifier | modifier le code]

En 2004, l'hôpital de Saint-Jean ferme, les patients soignés pour troubles psychiatriques sont rapatriés à l'hôpital nord de Saint-Priest-en-Jarez. Le CHS avait ouvert dans les années 1970, avant d'être absorbé par le CHU de Saint-Étienne. Les lieux accueillent dorénavant un parc technologique de 30 ha dédié prioritairement au secteur biomédical, à la mécanique avancée, optique-vision et tertiaire supérieur. Le projet a été conçu par Architecture-studio.

Saint-Jean-Bonnefonds.

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune de Saint-Jean-Bonnefonds bénéficie du label « ville fleurie » avec « 2 fleurs » attribué par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[33].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Jean-Bonnefonds et Saint-Étienne », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. © les contributeurs d’OpenStreetMap, « Distance par la route entre Saint-Jean-Bonnefonds et Lyon », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  4. « Horaires de ligne - STAS Transports Urbains de Saint-Etienne Métropole », sur STAS Transports Urbains de Saint-Etienne… (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Jean-Bonnefonds et Saint-Étienne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saint-Étienne », sur la commune de Saint-Étienne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Saint-Étienne », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. Xavier GOUVERT, Problème et méthodes en toponymie française, Thèse ss. la direction de Jean-Pierre Chambon, 2008, p. 540.
  21. Mentions de la campagne de fouille de 1966, http://www.ville-st-jean-bonnefonds.fr/Histoire
  22. Réemploi de bloc en appareil réticulé (1,20 m × 0,70 m) dans la cave de la ferme du Colombier et présence de tegulae, J. Granger, 1966, 1967, 1968 et dossier scientifique S.R.A. Rhône-Alpes, Lyon
  23. Rémi, évêque de Lyon, dote d'une communauté de clercs les basiliques des martyrs Saint-Irénée et des saints évêques et confesseur de Saint-Just de Lyon, à la suite de la restauration du lieu par le chorévêque Audoin. Lire en ligne
  24. Convention de conservation des biens de l’Église Saint-Étienne de Lyon (984), proposition de traduction de musée du diocèse de Lyon Lire en ligne
  25. Claude-François Menestrier, Hist. civile et consulaire de Lyon, preuve III. Lire en ligne (en latin)
  26. "L'Église de Lyon s'était en outre réservé, dans les terres de Guy II, une enclave qui comprenait Saint-Victor-sur-Loire, Saint-Genest-Lerpt et Villars (n.d.r.: ainsi que Saint-Jean-Bonnefonds). Mais ces paroisses furent assez vite restituées au Forez. En 1278, c'était fait accompli." J.-E. DUFOUR, Dictionnaire topographique du département de la Loire, PUSE, 1946 (rééd. 2006), p. XXII.
  27. « Marc Chavanne élu maire sans surprise », sur leprogres.fr, (consulté le ).
  28. « Le recensement de la population en bref », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  29. « Calendrier de recensement des communes de la Loire », sur Insee (consulté le ).
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Carte archéologique de la Gaule, La Loire 42, Ac. des Inscriptions des Belles-Lettres, 1997. Dossier scientifique, S.R.A. Lyon-Rhône-Alpes.
  33. « Ville fleurie », sur Ville-St-Jean-Bonnefonds.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]