Saint-Illide

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Saint-Illide
Saint-Illide
Les monts du Cantal vus de Saint-Illide.
Blason de Saint-Illide
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Aurillac
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Salers
Maire
Mandat
Jean-Pierre Cinqualbres
2020-2026
Code postal 15310
Code commune 15191
Démographie
Population
municipale
642 hab. (2021 en diminution de 2,13 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 03′ 45″ nord, 2° 18′ 57″ est
Altitude Min. 424 m
Max. 733 m
Superficie 39,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Aurillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Naucelles
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Saint-Illide
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Saint-Illide
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Saint-Illide

Saint-Illide est une commune du sud du Massif Central (même latitude que Bordeaux) située dans le département du Cantal, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Saint-Illide est traversé par le méridien de Paris (La Méridienne verte) et très proche du 45e parallèle qui après avoir traversé le vignoble bordelais touche la commune d'Ayrens limitrophe de Saint-Illide.

Ses habitants sont appelés les Saint-Illidois ou encore les Miraliers[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Saint-Illide se situe à 31 kilomètres au nord-ouest d'Aurillac et à 28 kilomètres à l'ouest de Salers, en bordure du parc naturel régional des volcans d'Auvergne. Elle est bordée à l'ouest par l'Etze, au sud par la Soulane et au nord par la Bertrande et son affluent la Doire.

L'altitude à la mairie est de 660 m.

Altitudes minimum et maximum : 424 m et 733 m.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 257 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marmanhac à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 461,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Illide est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Aurillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 85 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 1],[I 2].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,4 %), zones agricoles hétérogènes (28,8 %), prairies (26,4 %), zones urbanisées (1,2 %), eaux continentales[Note 3] (0,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Assez étendue avec une superficie de 39,71 kilomètres carrés, alors que la moyenne pour une commune de France métropolitaine est de 14,88 kilomètres carrés[12], la commune de Saint-Illide compte un grand nombre de hameaux :

  • Albart (ancien fief noble qui appartenait à la famille de Barriac), le Bel-Air, le Bélestat (ancien fief qui appartenait à la famille famille du Crozet), le Bouissou et le Bruel,
  • Camps, Carmontes, le Cassan, le Castanier, Caussin et le Couderc,
  • Darnis,
  • Encazes et Escarvajols,
  • le Fau et le Flouroux,
  • Gibanel, Gounoulès, Goutenègre et la Grifoulière,
  • Labontat (fief sur lequel était situé le château de La Bontat qui appartenait à la famille du Prallat), Lacam, Lacroqueille, Lafon, Lalande (où est situé un très vieux tilleul), Lapauze, Lasserre, Laveissière et Leygues,
  • la Maison Rouge, Montalat,
  • Parieu Bas, Parieu Haut (lieu d'où est originaire la famille Esquirou de Parieu) et le Poux,
  • Ugeols,
  • Veillant et Vergnes.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 422, alors qu'il était de 412 en 2013 et de 426 en 2008[I 3].

Parmi ces logements, 59,2 % étaient des résidences principales, 19,5 % des résidences secondaires et 21,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,1 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Illide en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,5 %) inférieure à celle du département (20,4 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,5 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].

Le logement à Saint-Illide en 2018.
Typologie Saint-Illide[I 3] Cantal[I 6] France entière[I 7]
Résidences principales (en %) 59,2 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,5 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 21,4 11,9 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

La place de l'église sur une carte postale ancienne.

L'actuel Saint-Illide (Saint Alyre en langue d'oc), était peuplé, un peu avant notre ère, de Celtes qui occupaient alors tout le massif volcanique de l'actuel Cantal.

Essentiellement couvert de forêts en raison d'un sol peu fertile, le territoire de St-Illide présentait un habitat peu dense et dispersé.

La romanisation, amorcée dès le Ier siècle après J.-C. se développe rapidement surtout après la christianisation du territoire de l'actuel Cantal à partir du IIIe siècle.

Au Moyen-âge, le "pays des montagnes" est entre les mains des grands féodaux dont le plus puissant est l'abbaye d'Aurillac fondée en 894 par le comte Géraud.

Aux Xe et XIe siècles, l'abbaye St Géraud fonde de très nombreux prieurés dont celui de Saint-Illide, baptisé par les moines bénédictins du nom d'un des premiers évêques d'Auvergne, Illide ( 336-384);

Comme souvent, le prieuré sert de point d'appui à la vie d'une petite bourgade qui s'accroît peu à peu, dont les habitants trouvent auprès de lui assistance et protection contre le brigandage, les petits féodaux abusifs et plus tard, les assaillants anglais et huguenots.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

À la suite de la réforme du mode d'élection départemental votée en 2013, le nombre et les limites des cantons du Cantal ont été modifiées.

Comme l'ensemble des communes de l'ancien canton de Saint-Cernin, celles de l'ancien canton de Jussac et les communes de Laroquevieille, Marmanhac, Saint-Chamant et Saint-Projet-de-Salers, Saint-Illide intègre en 2015 le nouveau canton de Naucelles.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Saint-Illide[13]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1803 Antoine Lalande    
1804 1854 Basile Rengade    
1854 1855 Jean Baptiste Elisabeth Lascombes    
1855 1858 Alexandre Esquirou    
1858 1890 Ludovic Louis Antoine Esprit Lascombes    
1890 1892 Antonin Jarrige    
1892 1904 Antonin Bruel    
1904 1908 Léon Limbertie    
1908 1929 Antonin Aumont    
1929 1940 Léon Fleys    
1940 1943 Édouard Bastid    
1943 1945 Pierre Cinqualbre    
1945 1946 Léon Fleys    
1946 1953 Paul Cinqualbre    
1953 1959 Gabriel Dutrevy    
1959 1971 Paul Cinqualbre    
1971 2001 Marcel Verniole RPR conseiller général du canton de Saint-Cernin (1972-1998)
2001 2020 François Lachaze[14] ? puis UMP-LR Conseiller général du canton de Saint-Cernin (2011-2015), médecin
2020 en cours Jean-Pierre Cinqualbres[15]    

Composition de l’actuel conseil municipal[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal actuel, issu des élections municipales de 2020, est composé de 15 membres dont 9 sortants et 6 nouveaux.

Les conseillers municipaux sont issus de la liste Vivre ensemble en Pays Miralier conduite par Jean-Pierre Cinqalbres.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[17].

En 2021, la commune comptait 642 habitants[Note 4], en diminution de 2,13 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4241 3651 8121 8251 8301 8731 7371 8171 923
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8371 7771 5321 5981 6571 6461 8631 8601 605
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5591 5441 5241 2881 1751 0741 0641 0951 045
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 025959802717701668667667648
2017 2021 - - - - - - -
656642-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 20,3 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (27,0 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (46,1 %) est supérieur au taux départemental (35,5 %).

En 2018, la commune comptait 888 hommes pour 913 femmes, soit un taux de 50,70 % de femmes, supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 8]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,0 
90 ou +
5,8 
11,3 
75-89 ans
18,4 
29,9 
60-74 ans
24,4 
22,7 
45-59 ans
18,9 
14,4 
30-44 ans
11,8 
9,4 
15-29 ans
8,9 
10,4 
0-14 ans
11,8 
Pyramide des âges du département du Cantal en 2020 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
10 
75-89 ans
13,7 
22,5 
60-74 ans
22,1 
22,1 
45-59 ans
20,6 
16,2 
30-44 ans
15,3 
13,7 
15-29 ans
11,9 
14,4 
0-14 ans
13,5 

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Parmi les activités praticables sur la commune, on peut relever le football (avec l'équipe de l'AS Ayrens Saint-Illide) ou les sports mécaniques (terrain de motocross) dans le domaine sportif ainsi que les promenades et excursions en plein air dans celui des loisirs.

Économie[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Illide compte quelques commerces de proximité dans son bourg (agence postale communale, épicerie, boucherie/charcuterie, bar) ainsi qu'une ferme auberge et plusieurs gîtes ruraux.

Une grande foire, séculaire, est organisée tous les ans pour le 1er mai. Fréquentée par de nombreux visiteurs, elle comporte diverses animations (animaux, matériel agricole ancien, salon du livre..) et attire un grand nombre de commerçants[21].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La chapelle d'Albart est la chapelle de l'hospice fondé par Pierre Bos-Darnis. Construite entre 1875 et 1885, cette chapelle de style néo-gothique est inscrite au Monument Historique depuis 2013.
  • Dans l'église du bourg, des objets sont inscrits à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques , parmi lesquels deux cloches de bronze du XVIe siècle, et des stalles en bois sculpté, appelées miséricordes, datant du XVe siècle. Les miséricordes proviennent du chapitre de Saint-Chamant, et représentent des êtres fantastiques (sirènes...) et des scènes de la vie quotidienne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Mgr Joseph Darnis (1814-1858) né au Fau de Saint-Illide, Préfet apostolique de la Perse (actuel Iran)
  • Le cousin du précédent, Pierre Bos-Darnis (1809-1869), bienfaiteur de la commune, ancien dirigeant du Moniteur industriel et de plusieurs autres journaux.
  • Félix Esquirou de Parieu (1815-1893), Grand Croix de la Légion d'honneur, homme d’État du XIXe siècle, député puis sénateur du Cantal, plusieurs fois ministre sous le Second Empire, dont la famille est issue de la commune.
  • Léon-Germain Fleys (1874-1965), Grand-officier de la Légion d'honneur, directeur de cabinet d'Alexandre Millerand, Président de la République puis magistrat, nommé en fin de carrière premier président honoraire de la Cour de Cassation (premier magistrat de France)[22].
  • Professeur François Darnis (1920-2012), officier de la Légion d'honneur, membre de l'Académie nationale de Médecine, issu d'une famille originaire de Saint-Illide depuis au moins le XIVe siècle.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

De gueules aux trois têtes d’aigle d’or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  2. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Saint-Illide » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Illide - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Saint-Illide - Section LOG T7 » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Illide (15191) », (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Pourquoi les Miraliers (ou Miralliers) ? sur saint-illide.com
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Illide et Marmanhac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Marmanhac », sur la commune de Marmanhac - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  12. Commune_(France)#Superficie
  13. Liste des maires de Saint-Illide sur www.francegenweb.org
  14. Liste des maires du Cantal sur le site de la préfecture (consulté le 27 octobre 2014).
  15. « Jean-Pierre Cinqualbres élu maire. », sur La Montagne, (consulté le )
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Cantal (15) », (consulté le ).
  21. La Montagne du 5 décembre 2013
  22. « Léon-Germain FLEYS », sur La conférence des avocats