Saint-Guyomard

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Saint-Guyomard
Saint-Guyomard
Mairie de Saint-Guyomard.
Blason de Saint-Guyomard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité De l'Oust à Brocéliande Communauté
Maire
Mandat
Maurice Braud
2020-2026
Code postal 56460
Code commune 56219
Démographie
Gentilé Guyomardais, Guyomardaise
Population
municipale
1 426 hab. (2021 en augmentation de 5,47 % par rapport à 2015)
Densité 72 hab./km2
Population
agglomération
16 453 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 46′ 54″ nord, 2° 30′ 45″ ouest
Altitude 96 m
Min. 20 m
Max. 108 m
Superficie 19,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vannes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Moréac
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.saint-guyomard.fr/accueil_saint_guyomard

Saint-Guyomard [sɛ̃ ɡɥijɔmaʁ] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Guyomard
Serent
Trédion Saint-Guyomard Bohal
Le Cours Molac

Saint-Guyomard est située dans le Morbihan, entre Vannes (au sud) et Ploërmel (au nord) à 7 km de Malestroit. Elle est située au cœur des « Landes de Lanvaux », largement boisées aujourd'hui autour de Trédion. Elle est séparée de Sérent dont elle fut longtemps une trève par la pittoresque vallée de la Claie, qui avec l'Arz (au sud mais ne coulant pas en Saint-Guyomard) est une des principales rivières des landes de Lanvaux, bordées à l'est par l'Oust dont elles sont tributaires, et qui les entaillent profondément.

Le point le plus bas est à 20 m d'altitude, le plus haut à 107 m. La commune présente un paysage varié et vallonné de bocages, de forêts (forêt de Molac au sud, bois de Brignac et bois de Lanvaux au nord-ouest...) et de landes résiduelles. La majeure partie de la commune est un plateau relevé entaillé du nord au sud par des ruisseaux tributaires de la Claie : ruisseaux du Grand Breuil, du Glouby, etc.).

Une particularité de la commune est la « grotte aux Loups » près de Lézonnais.

La forêt de Molac au sud de la commune présente la singularité d'être une des grandes forêts privées de Bretagne avec 1 500 ha.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 883 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pleucadeuc à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Guyomard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vannes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Le tableau ci-dessous présente l' occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,3 % 66
Terres arables hors périmètres d'irrigation 21,6 % 428
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 12,9 % 255
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 28,0 % 555
Forêts de feuillus 7,5 % 148
Forêts de conifères 17,1 % 339
Forêts mélangées 9,5% 189
Source : Corine Land Cover[13]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Dyomar en 1542 ou 1546[14],[15]. Les curés en écrivaient le nom, Saint-Dyomart, tradition qui s'est poursuivie jusqu'en 1726.

Saint-Guyomard est ainsi nommée d'après le nom de personne Guyomard, forme francisée du breton Guyomarc'h[15]. Les patronymes Guyomard, Guiomar, Guyomarc'h, Guyonvarc'h (forme mutée : mutation adoucissante m > v), etc. sont fréquents en Bretagne[16]. C'est également le prénom héréditaire des vicomtes de Léon sous la forme Guyomarch.

L'anthroponyme Guyomarc'h, forme mutée Guyonvarc'h, représente le composé breton uuiu (forme mutée guiu) ho marc'h « digne [d'avoir un] bon cheval »[17],[16].

Saint-Guyomard est un démembrement de la paroisse de Sérent qui possédait jadis trois trèves (Le Roc, Lizio et donc, Saint-Guyomard). Dès 1542, cette trève était aussi appelée Saint-Maurice.

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Sant-Gwioñvarc'h[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le des troubles graves éclatèrent à Malestroit lors des élections pour le conseil d'arrondissement : les électeurs de 4 communes (Sérent, Lizio, Saint-Abraham, Saint-Guyomard) se disputèrent pour savoir quelle commune voterait la première : « les pierres que se jetaient les combattans atteignirent beaucoup de vitres et quelques habitans de Malestroit ; aussitôt la Garde nationale fut convoquée et, par un mouvement de frayeur fort regrettable, elle tira sur les paysans de ces communes. Deux furent atteints assez grièvement ; on pense que la blessure de l'un d'eux est mortelle. Nous avons demandé que l'on fit voter chaque commune au chef-lieu de la commune, et non au chef-lieu de canton »[18]. Dans un autre article paru quelques jours plus tard le même journal précise que le commencement des troubles serait dû à des électeurs de Ruffiac qui auraient commencé dans l'après-midi à frapper des électeurs de Sérent qui commençaient à danser et qu'une trentaine de Sérentais auraient été blessés[19].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

L'Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 23 mai 2020 Robert Emeraud    
23 mai 2020 En cours Maurice Braud[20]    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 1 426 habitants[Note 3], en augmentation de 5,47 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
730736754768747726709774920
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
768759756722770831893902935
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
901933921885878872917929873
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8487707177797928109761 0231 272
2018 2021 - - - - - - -
1 3671 426-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le château de Brignac (XVe-XVIe siècle) :

Surplombant les méandres de la rivière Claie, il est le siège d'une ancienne seigneurie ayant appartenu successivement aux familles Brignac (XVe siècle), Papin (1573), Kerguézec, Quistinic (1642), Rosmadec, Talhouët (1697), Montgermont (1831) et Neuchèze (1930).
Pierre de Brignac, premier propriétaire de la seigneurie, était un fidèle du duc François II et de la duchesse Anne. De ses séjours à Amboise ou à Blois lui vint l’envie d’égayer le vieux castel de ses aïeux. En signe de prérogatives seigneuriales, il ajouta au corps de logis une tour-donjon qui hésite toujours entre les préoccupations défensives et celles de l’agrément et confort propres à la Renaissance. Elle est dotée d'un escalier à vis desservant les différents étages et porte l'inscription « Fait par P. de Brignac et Péronnelle de Robien, l'an 1509 ». Un second corps de logis de plan carré a été construit à l’arrière de la tour, ouvrant à chaque niveau l’espace d’un véritable appartement. La seigneurie de Brignac passe ensuite à François de Kerguézec en 1642 puis à Marguerite de Quistinic, et enfin aux Guillemet (vers 1668). À la fin du XVIIe siècle, Sébastien de Rosmadec, maître du lieu et déjà propriétaire de Bohurel à Sérent et de la Cour de Bovrel, vend sa seigneurie en 1697 à la famille de Talhouët. Le château, passant ainsi de mains en mains, se voit ajouter une aile perpendiculaire sur façade. Six fenêtres encadrées de moulures et couronnées d'une accolade à chou et à crosses s'étagent toujours au-dessus de sa belle porte en anse de panier (1509).

  • La Cour de Bovrel :

Ce château ou Cour de Bovrel (XVe-XVIe siècle) était le siège de la seigneurie du Bovrel ou Botvrel, ayant autrefois droit de haute, moyenne et basse justice. Le domaine a été propriété successive des familles Comenan, Rosmadec (1500) et Ollivier (1681). Lors de la Réformation de 1536, la seigneurie est passée aux familles de Quistinic puis, par alliance, Rosmadec. En 1681, Anne de Goulaine cède sa seigneurie de Bovrel à Sébastien de L'Ollivier dont l’une des descendantes, Marie Philippe de Lollivier de Saint-Maur, sera décapitée à Paris en . Après la Révolution, le domaine, passant aux mains des familles Trégouet, Gousset, Le Brusq, voit la naissance de l'écrivain Joseph Marie Loaisel de Tréogate (1752-1812). À partir des années 1970, le lieu deviendra un foyer culturel d'Art et d'Artisanat. Sa belle porte est couronnée d'une accolade à crochet et de part et d'autre, de hauts pinacles sculptés. Le portail en anse de panier est fermé par une porte en fer forgé : à son sommet trône un blason.

Saint-Guyomard : la chapelle Saint-Maurice.
  • La chapelle Saint-Maurice[25] :

Cette petite chapelle porte le nom de Saint-Maurice en hommage au saint patron du village qui lui-même répond indifféremment aux deux appellations (Saint-Guyomard, officiellement ou Saint-Maurice, affectivement).
C’est au IIIe siècle de notre ère que, Saint-Maurice se trouvant parmi les soldats venus d'Orient prêter main-forte à l'empereur romain Maximien en difficulté en Valais (Saint-Maurice (Valais)), il refusa de sacrifier aux idoles et de persécuter les chrétiens. Un tel manquement lui valut d’être mis à mort avec ses compagnons en 302 ; voir Eucher de Lyon. Ce soldat, ce martyr décapité est représenté sous les traits d'un homme blanc dans la plupart des pays d'Europe alors qu'en vérité il s'agissait d'un égyptien de couleur noire comme le montre encore aujourd'hui la cathédrale de Magdebourg, en Allemagne.
Le petit bâtiment érigé au XVe siècle a succédé à un sanctuaire primitif, lui-même bâti sur un autel païen comme en témoignent le menhir couché (pierre de chevet) et la fontaine de dévotion toute proche. L'intérieur de la chapelle date de 1777.

Mais cette attribution de la chapelle Saint-Maurice à saint Maurice d'Agaune, reprise par de nombreux auteurs et sites Internet, est probablement une confusion. En fait, la chapelle est dédiée à saint Maurice de Carnoët comme l'affirme Albert Le Grand dans sa "Vie des Saints"[26].

Hors sa porte en plein cintre, les statues polychromes de saint Guyomard et de saint Maurice (XVIIIe siècle) ou le vitrail représentant le même saint patron, cet édifice rectangulaire est sans grand caractère. Depuis le XIXe siècle, les travaux d’entretien y vont bon train : voûte et enduit des murs, réfection des faces Sud et Nord et, en 1980, remplacement du vitrail brisé.
Dûment consacrée mais sans autre utilisation qu’un pardon annuel, la chapelle Saint-Maurice est aujourd’hui l’une des onze stations estivales du parcours Arts Capella mêlant (gratuitement) découverte du patrimoine et art contemporain au cœur-même des Landes de Lanvaux.

  • La Fontaine
  • Le Menhir de Coennely
  • L'église Saint-Guyomard

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Guyomard Blason
De gueules à la croix tréflée d'argent cantonnée en chef de deux corbeaux affrontés de sable; au chef palé d'argent et d'azur, chaque pal d'argent chargé d'une moucheture d'hermine de sable.
Détails

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Joseph Marie Loaisel de Tréogate, fils de Anne-Marie de la Cour (inhumée au cimetière de Saint-Guyomard en 1762) et de Vincent Joseph Loaisel (inhumé en 1769, à Malestroit), il est né en 1752 au manoir de Bovrel, (Saint-Guyomard, Morbihan) où il a passé son enfance et pris le goût de la nature. Il a écrit nombre de romans et de pièces de théâtre : Florello (1776) considéré comme une possible préfiguration des romans américains d'un autre Breton : François René de Chateaubriand ; La Comtesse d'Alibre (1779) ; Dolbreuse (1783) où sont contés les remords d'un jeune officier ; Ainsi finissent les grands amours (1788), un titre programme : l’amour, donc, et même l'amour épistolaire : le récit se déroulant à travers les seules lettres du chevalier, adressées à un confident ou à la femme aimée ; Le Château du diable (1793) ; Lucile de Milcourt, ou le cri du sentiment (1794), etc. Ces œuvres sombres, bucoliques et préromantiques aux héros passionnés et tourmentés font montre assez fréquemment d’allusions géographiques instaurant un lien étroit entre personnages et romancier. Mention locale à la « rivière d’Aoust traversant Malestroit », au château de Dolbreuse qui rappelle clairement les tours de Largoët à Elven, sans compter les fontaines, ruisseaux, bois sombres et autres « berceaux de chèvrefeuille » qui implantent sans nulle équivoque leur auteur. Rallié à la Révolution, il devient auteur dramatique et se voit pensionné comme tel par la Convention. Il entre ensuite dans l’administration des postes et continue d’écrire pour le théâtre. À sa mort, à Paris, en 1812, il laissera 17 pièces. Extrait de Ainsi finissent les grandes passions : « Je fus élevé dans une maison de paix ; j’avois le meilleur des pères. J’eus aussi une mère tendre et une sœur chérie ; ils sont morts... je n’ai plus que des cendres à visiter et des larmes à répandre dans le lieu de ma naissance : je possédois aussi un petit manoir au milieu des champs, un petit bois, un petit verger. Ces biens touchans, ces jours si doux sont perdus pour moi; ils n’existent plus que dans ma mémoire, qui se perdra bientôt elle-même dans l’abîme du tems. Mes bons parens, et leur fille et leur malheureux fils, seront oubliés sur la terre... personne ne se souviendra de nous... ».
  • François Louis Barthélémy Dufresche, comte de la Villorion, né le à Cournon 56, après de brillantes études au séminaire des Trente-Trois de Paris, il est licencié en droit canon et civil à la Sorbonne. Après des études théologiques, il devient prêtre de la Compagnie de Jésus. Prieur de Saint-Guyomard. Il revient à Paris pour être enseignant au séminaire des Trente-Trois. Conseiller au Parlement de Paris, des missions lui sont confiées auprès de Saint-Père à Rome. Fait chevalier de l'Éperon d'Or ou de la Milice Dorée, pour services rendus au Vatican, par le pape Pie VII, qui le fait comte Palatin. Nommé directeur de l'hôpital des Incurables de Paris, qui deviendra par la suite, l'hôpital Laennec. Mort en 1827.
  • Michel Hoëllard est né en 1952 à Paris de parents émigrés originaires de Launay-Bijus, Saint-Guyomard. Il a d'abord écrit pour des revues littéraires. Rédacteur en chef de la défunte revue culturelle et littéraire en ligne Arsnumero dont l'accroche, Tout le monde ne peut pas lire Arsnumero, donnait assez le ton, il est également l'auteur de romans et de nouvelles publiés en France et en Italie (en français et en italien).
Les recteurs de la paroisse
Nom Prénom Fonction Début de mandat Fin de mandat
LE CADRE Sylvestre Sub-curé 1602 1623
VAILLANT Yves Sub-curé 1623 1626
MAROT Julien Sub-curé 1626 1639
DROUIN Jean Curé 1639 1672
BOUEIFFOUX Anselme Curé 1673 1674
BOUEIFFOUX Jean Curé 1674 1682
BOUEIFFOUX Joseph Curé 1682 1687
NAYL Guillaume Curé 1688 1689
THEBAUD Julien Curé 1690 1699
SENE Vincent Curé 1700 1709
GUYMART Joseph Curé 1709 1728
VALY Pierre François Curé 1730 1732
FAUCHEUX Yves Curé 1733 1734
PUISSANT Mathurin Curé 1734 1775
DREAN Mathurin Jean Curé 1775 1779
BRIEND Noël Curé 1779 1792
THOMOUX Melaine Recteur 1802 1816
FORDOS René Joseph Recteur 1816 1817
DUFRESCHE François Recteur 1817 1827
JOUBART François Recteur 1828 1851
Spectacle équestre à la fête du cheval de Saint-Guyomard 2016.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Guyomard et Pleucadeuc », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pleucadeuc » (commune de Pleucadeuc) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pleucadeuc » (commune de Pleucadeuc) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vannes », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  14. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 604a.
  15. a b et c « Saint-Guyomard », sur KerOfis.
  16. a et b Hervé Abalain, Noms de famille bretons, Editions Jean-Paul Gisserot, (lire en ligne), p.20.
  17. Albert Dauzat (préface de Marie-Thérèse Morlet), Noms et prénoms de France, éditions Larousse 1980, p. 316b.
  18. « On lit dans le journal La Concorde du Morbihan du 30 août », Journal des débats politiques et littéraires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « On lit dans La Concorde du Morbihan du 2 septembre », Journal des débats politiques et littéraires,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. « Municipales à Saint-Guyomard. Trois adjoints élus pour épauler le maire Maurice Braud », sur Ouest-France, (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. « Chapelle Saint-Maurice », sur topic-topos.com via Internet Archive (consulté le ).
  26. Albert Le Grand et Guy Autret (correction), Les vies des saints de la Bretagne Armorique : ensemble un ample catalogue chronologique et historique des evesques d'icelle... et le catalogue de la plupart des abbés, blazons de leurs armes et autres curieuses recherches, Quimper, J. Salaün, , 5e éd. (lire en ligne).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]