Saint-Gervais-sur-Roubion

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Saint-Gervais-sur-Roubion
Saint-Gervais-sur-Roubion
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Nyons
Intercommunalité Montélimar-Agglomération
Maire
Mandat
Hervé Andéol
2020-2026
Code postal 26160
Code commune 26305
Démographie
Gentilé Saint-Gervaisiens, Saint-Gervaisiennes
Population
municipale
1 084 hab. (2021 en augmentation de 12,33 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 02″ nord, 4° 53′ 29″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 233 m
Superficie 14,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montélimar
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Dieulefit
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Gervais-sur-Roubion

Saint-Gervais-sur-Roubion est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Roubion est située à 13 km à l'est de Montélimar.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

  • Mont Aigu[1].
  • Serre d'Abran[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 871 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsanne », sur la commune de Marsanne à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 967,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Gervais-sur-Roubion est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (88 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,4 %), forêts (10,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), zones urbanisées (3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Ambland
  • Bec
  • Boissy
  • Bonnevache
  • Bourrides
  • Calot
  • Châlon (nord)
  • Châlon (sud)
  • Charérieux
  • Famone
  • Fayn
  • Fenouillet
  • Fontemieu
  • Frigière
  • Froment
  • Gouverney
  • la Lauze
  • la Mure
  • le Barral
  • le Bartalaix
  • le Batra
  • le Fourège
  • l'Église
  • le Grand Champ
  • le Laga
  • le Morard
  • le Pereyret
  • les Andrans
  • les Ferrières
  • les Garennes
  • les Jacons
  • les Lauriers
  • les Ramières
  • les Vachons
  • les Violettes
  • le Vivier
  • Manin
  • Marais
  • Morin
  • Rey
  • Saint-Rome
  • Vermenon

Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

  • Andran est un quartier attesté[16] :
en 1391 : Andrans (choix de documents, 214) ;
en 1480 : in Andrancio (archives de la Drôme, E 384) ;
en 1446 : in Andrancii (inventaire de la chambre des comptes) ;
au XVIe siècle : ce quartier n'est qu'une forêt ;
en 1891 : Andran, quartier des communes de Cléon-d'Andran, de Bonlieu, de La Laupie et de Saint-Gervais.

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1100 : villa Sancti Gervasii in pago Valentinensi (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 130).
  • 1100 : mention de l'ager : ager Sancti Gervasii in pago Valentinensi (cartulaire de Saint-André-le-Bas).
  • 1277 : castrum Sancti Gervasii (Duchesne, Comtes de Valentinois, 14).
  • 1336 : castrum de Sancto Gervaysio cum fortalicio dicti castri (Duchesne, Comtes de Valentinois, 43).
  • 1340 : Saint Gervaix et castrum de Sancto Girvasio (cartulaire de Montélimar, 47).
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus Sancti Gervasii (pouillé de Valence).
  • XVe siècle : mention de la paroisse : cura Sancti Gervasii (pouillé de Valence).
  • 1482 : Sainct Gervais en Valdaine (archives de la Drôme, E 2526).
  • 1756 : Saint Gervais de Bonlieu (archives de la Drôme, C 183).
  • 1793 : Montroubion [appellation révolutionnaire].
  • 1891 : Saint-Gervais, commune du canton de Marsanne.

(non daté)[réf. nécessaire] : Saint-Gervais-sur-Roubion.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[17] :

  • Au point de vue féodal, Saint-Gervais était une terre du fief des comtes de Valentinois.
  • 1247 : possession des Cornilhan.
  • 1269 : la moitié de la terre est attribuée (par transaction) aux commandeurs de Poët-Laval. Ils la possèdent encore en 1540.
  • 1336 : la seconde moitié est en possession des Adhémar.
  • Vers 1430 : la part des Adhémar passe aux Mévouillon.
  • 1540 : la part des Mévouillon passe aux Eurre.
  • 1595 : la part des Eurre passe (par mariage) aux Moreton de Chabrillan.
  • La part des commandeurs de Poët-Laval est acquise par les Moreton qui réunifient la terre et en sont les derniers seigneurs.

Joseph Moreton, né le , fils aîné d'Antoine de Moreton, habitait dans le château du village de Chabrillan avant de déménager à Saint-Gervais-sur-Roubion en 1650, le château de Chabrillan était devenu inhabitable. À Saint Gervais-sur-Roubion se trouvait « une superbe demeure féodale qu'il avait hérité de sa mère »[réf. nécessaire]
Joseph entreprit des travaux au château de 1667 à 1669 : « portes des chambres, estrades des chambres, parquet pour la chambre jaune et la chambre rouge, lambris pour les mêmes chambres, six piliers dans une galerie allant aux chambres, croisières de fenêtres dans la galerie ». Les travaux ont été confiés à un menuisier de Romans (Tournatory) et à des maçons de Sauzet (Simon et Antoine Roume)[18],[réf. nécessaire].

Avant 1790, Saint-Gervais était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église dédiée à saint Claude, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (de la dépendance de l'abbaye de Saint-André-le-Bas de Vienne) dont les dîmes appartenaient au prieur. L'évêque diocésain nommait de plein droit à la cure.
L'ager de Saint-Gervais avait la même étendue que la commune de ce nom[17].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Marsanne[17].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 Joseph Revol   menuisier
1884 (mai) 1888 Ferdinand Lagier   agriculteur
1888 1892 Ferdinand Lagier   maire sortant
1892 1896 Ferdinand Lagier   maire sortant
1896 (mai) 1900 Baptiste Savel   menuisier
1900 1901 Baptiste Savel   maire sortant
1901 (sept.)
(élection ?)
1904 Auguste Bec   agriculteur
1904 1908 Auguste Bec   maire sortant
1908 1911 Auguste Bec   maire sortant
1911 (sept.)
(élection ?)
1912 Fortuné Chéchat   agriculteur
1912 1919 Fortuné Chéchat   maire sortant
1919 1925 Fortuné Chéchat   maire sortant
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Hervé Andéol (sans étiquette) cadre supérieur
président de la CCPM
2008 2014 Hervé Andéol   maire sortant
2014 2020 Hervé Andéol   maire sortant
2020 En cours
(au 14 mars 2021)
Hervé Andéol[19][source insuffisante]   maire sortant

(non datés)[réf. nécessaire] :

  • Jean Amblard, maire de la commune (quatre mandats).
  • Anne-Marie Reboul, maire de la commune (deux mandats).

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec le village de Schwarzenborn (Allemagne)[réf. nécessaire].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 1 084 habitants[Note 3], en augmentation de 12,33 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7146937519141 0241 0551 0931 1121 133
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0531 0441 030992920810810855795
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
777809859703656588574542613
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
609620552594646717764771883
2017 2021 - - - - - - -
1 0351 084-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête : le quatrième dimanche d'août[24].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : céréales, vignes (cave coopérative), ovins, porcins[24].

  • Marché (fruits et légumes) : les mardi et samedi[24].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ruines du château fort et de ses dépendances[24].
  • Château : vaste bâtisse au cœur du village, aujourd'hui occupée par plusieurs familles.
Les propriétaires actuels ont supprimé un niveau ; seul le vestibule est resté presque intact.
Au pied de ses murs, la place du Parterre est ce qui reste de l'ancienne cour intérieure[réf. nécessaire].
  • Beffroi : il se situait à proximité de l'enceinte du vieux village. Il s'affaissa le du fait des intempéries[réf. nécessaire].
  • Chapelle médiévale Saint-Claude (désaffectée)[24].
  • Village avec des éléments défensif Renaissance : porte[24].
  • Maison (XVIIIe siècle)[24].
  • Fermes fortes[24].
  • Église Saint-Gervais de Saint-Gervais-sur-Roubion (XIXe siècle) à l'emplacement du château[24]. Elle est accolée au château et occuperait l'emplacement des anciennes écuries[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gratien Casimir Émile Gardon (né le à Saint-Gervais, mort le à Paris 5e) : magistrat général[25].

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

La commune possède un blason[26]

Saint-Gervais-sur-Roubion possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. Fiche du Bramefaim sur le site du SANDRE
  3. Fiche du Vermenon sur le site du SANDRE
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Saint-Gervais-sur-Roubion et Marsanne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Marsanne », sur la commune de Marsanne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 7 (Andran).
  17. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 340 (Saint-Gervais).
  18. bail à prix fait trouvé aux archives départementales.
  19. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. a b c d e f g h i et j Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Gervais-sur-Roubion.
  25. https://francearchives.fr/fr/file/ad46ac22be9df6a4d1dae40326de46d8a5cbd19d/FRSHD_PUB_00000355.pdf
  26. https://static.neopse.com/medias/p/1975/site/2b/b2/d9/2bb2d9889ed71dc21f397841d581cabcf262d2f3.jpg