Saint-Georges-de-Montclard

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Saint-Georges-de-Montclard
Saint-Georges-de-Montclard
Le bourg de Montclard.
Blason de Saint-Georges-de-Montclard
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Code postal 24140
Code commune 24414
Démographie
Gentilé Montclardais
Population
municipale
276 hab. (2021 en diminution de 5,48 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 55″ nord, 0° 37′ 14″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 189 m
Superficie 13,68 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Georges-de-Montclard
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Saint-Georges-de-Montclard

Saint-Georges-de-Montclard (orthographe officielle), ou Saint-Georges-de-Montclar (orthographe locale), est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Georges-de-Montclard, dans le Périgord, située à mi-chemin entre Vergt et Bergerac, est traversée du nord au sud sur quatre kilomètres et demi par la route départementale (RD) 21. Elle est arrosée par le Caudeau, un affluent de la Dordogne.

Le bourg de Montclard, en bordure de la RD 21, est situé, en distances orthodromiques, treize kilomètres au sud-ouest de Vergt et quatorze kilomètres au nord-est du centre-ville de Bergerac.

Le petit village de Saint-Georges est plus en retrait, à un kilomètre et demi au nord-ouest de Montclard.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Bergerac[I 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Martin-des-Combes, Lamonzie-Montastruc, Campsegret, Clermont-de-Beauregard, Saint-Félix-de-Villadeix et Liorac-sur-Louyre.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Carte géologique de Saint-Georges-de-Montclard.

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Saint-Georges-de-Montclard est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes à glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunâtres. La formation la plus récente, notée CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatées de vallons secs : sable limoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[2] et sa notice associée[3].

Relief[modifier | modifier le code]

La vallée du ruisseau de Saint-Georges au bourg de Saint-Georges.

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude minimale, 62 mètres[4] se trouve localisée à l'extrême sud, là où le Caudeau quitte la commune pour entrer sur celle de Lamonzie-Montastruc. L'altitude maximale avec 189 mètres[4] se situe dans le nord-ouest du territoire communal, au nord du lieu-dit le Gobelet, à proximité du territoire de Campsegret[5].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d'ouvrage de l'État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[7]. La commune fait partie du Périgord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[8].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Institut national de la statistique et des études économiques, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 13,68 km2[4],[9],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD TOPO, composante du référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 13,58 km2[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Georges-de-Montclard.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[12]. Elle est drainée par le Caudeau, la Ruchelle, le Saint-Martin, le ruisseau de Saint-Georges et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[13],[Carte 2].

Le Caudeau, d'une longueur totale de 38,47 km, prend sa source dans la commune de Veyrines-de-Vergt et se jette dans la Dordogne en rive droite à Bergerac, juste en aval du barrage de Bergerac[14]. Il arrose la commune à l'est sur cinq kilomètres, dont quatre et demi lui servent de limite naturelle, en deux tronçons, face à Clermont-de-Beauregard, Liorac-sur-Louyre et Lamonzie-Montastruc.

Deux de ses affluents marquent la limite territoriale : le ruisseau de Saint-Martin en rive droite au nord-est sur plus d'un kilomètre face à Saint-Martin-des-Combes et la Ruchelle en rive gauche à l'est sur près de deux kilomètres, face à Clermont-de-Beauregard.

Le ruisseau de Saint-Georges prend sa source un kilomètre à l'ouest du petit bourg de Saint-Georges, qu'il traverse, et se jette dans le Caudeau en rive droite, après avoir arrosé le territoire communal sur plus de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[15]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux (SDAGE) du bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [16].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 3].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[17]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[18].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 14 km à vol d'oiseau[20], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition »[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Georges-de-Montclard est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (69,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,5 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), terres arables (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,8 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (0,6 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune est structurée par deux villages, distants de quelques kilomètres : l’un, Montclard (graphie actuelle[33]), ou Monclar (ancienne graphie), bâti autour de son son château, l’autre, Saint-Georges, autour de son église paroissiale[34].

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre les deux bourgs de Montclard et de Saint-Georges (situé à un kilomètre et demi au nord-ouest de Montclard) proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[Carte 5] :

  • la Beaureille
  • Bessaronie
  • les Bois en Rang
  • Bos de Pénit
  • la Bourgonie
  • Boussac
  • la Brunie
  • la Cabane
  • le Cat Rouge
  • Chez Gobelet
  • Cours
  • la Coustette
  • Crabefit
  • le Cros du Loup
  • la Font de Soule
  • Fontagnal
  • Fontaine des Lébérous
  • Fontaine Roussillou
  • la Forêt
  • Forêt de Monclard
  • le Garry
  • Gavachoux
  • Grande Borie
  • Grande Coste
  • la Lande
  • Lascoups
  • Lauquerie
  • Lauquerie Basse
  • le Léotard
  • la Léotardie
  • les Mails
  • Moncimier
  • les Mondoux
  • Monfrouilloux
  • Monplaisir
  • le Nadal
  • l’Olival
  • Patat
  • Petite Coste
  • le Sucat
  • Toutyfaut
  • le Vignal.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 183, alors qu'il était de 175 en 2015 et de 168 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 72,4 % étaient des résidences principales, 20 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Georges-de-Montclard en 2020 en comparaison avec celle de la Dordogne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (20 %) supérieure à celle du département (14,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 71 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (68,5 % en 2015), contre 68,6 % pour la Dordogne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saint-Georges-de-Montclard en 2020.
Typologie Saint-Georges-de-Montclard[I 2] Dordogne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 72,4 75,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 20 14,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,6 10,2 8,2

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Georges-de-Montclard.

Le territoire de la commune de Saint-Georges-de-Montclard est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[35]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[36].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Caudeau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988 et 1999[37],[35]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée du Caudeau », couvrant 14 communes et approuvé le , pour les crues du Caudeau[38],[39], cours d'eau qui borde la commune à l'est.

Saint-Georges-de-Montclard est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[40]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[41],[42].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[43]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[44]. 88,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[45].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[35].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée dans le bourg de Montclard.

L'orthographe officielle de la commune est « Saint-Georges-de-Montclard[I 1] », mais localement, sa graphie est « Saint-Georges-de-Montclar ».

La première partie du nom de la commune se réfère à saint Georges, martyr chrétien au IVe siècle[46]. L'église Saint-Georges est évoquée dans un pouillé au XIIIe siècle sous la forme latine Ecclesia Sancti Georgi[47],[48].

La seconde partie correspond au château de Monclar, établi sur une motte[48]. Ce repaire noble est mentionné en 1288 sous la forme latine Castrum de Monte Clara[47]. Ce toponyme est formé de deux noms occitans, mont (correspondant à une hauteur, un lieu surélevé) et clar qui peut avoir deux sens : d'une part « clair », de l'autre « qui se distingue bien »[48].

La commune porte le nom révolutionnaire de Georges Monetard en 1793 et est dénommée en 1801 Saint-Georges-de-Monclard. Elle prend ultérieurement son orthographe actuelle de Saint-Georges-de-Montclard[4].

En occitan, la commune se nomme Sent Jòrgi de Montclar[49].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le territoire communal a été occupé au Paléolithique[48].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Une petite grotte ornée médiévale est découverte par le Spéléo-Club de Périgueux en 1994 et a été analysée par des préhistoriens en 2014[50].

L'actuel château de Montclar, attesté en 1288[48], date de la fin du XVe début du XVIe siècle[51]. La châtellenie de Monclar comprenait neuf paroisses : Campagnac, Campsegret, la Mongie, Pont-Saint-Mamet, Saint-Félix, Saint-Georges, Saint-Laurent, Saint-Martin-des-Combes et Saint-Maurice[47].

Le prieuré Saint-Jean de Crabefy dépendait de l'abbaye de Chancelade[46].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Georges-de-Montclard a été instituée dans les premières années de la Révolution française, succédant à la paroisse[4].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2022.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Saint-Georges-de-Montclard est rattachée au canton de Liorac qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagnac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[4]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[4]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale disparaît, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

En 2017, Saint-Georges-de-Montclard est transférée de l'arrondissement de Bergerac à l'arrondissement de Périgueux[52],[53],[I 1]

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Périgord central[54],[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Dordogne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Au , Saint-Georges-de-Montclard intègre la communauté de communes du Pays de Villamblard, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre qui prend effet à cette même date et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du Mussidanais en Périgord, pour former, le , la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord, dont est désormais membre la commune[I 1].

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, son conseil municipal est constitué de 11 membres, y compris le maire et ses adjoints[55],[56].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[57]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1888 1895 François Javerzac    
1895 1900 Pierre Geraud    
1900 1902 René de Lascoups    
1902 1912 Clair Bourbon    
1912 1919 Jean Bleyzac    
1919 1925 Bernard de Lascoups    
1925 1937 Georges Bourbon    
1937 1944 Louis Pommier    
1944 1945 François Matasse    
1945 1947 Léon Lasserre    
1947 1959 Jean Lasserre    
         
1965 1971 Roger Deltheil    
1971 1995 René Lambert    
1995 2001 Guy Bonnet    
mars 2001 juillet 2023 Bernard Guérinel[58]
(démissionne en tant que maire mais reste conseiller municipal.)
SE[59]  
août 2023[60] février 2024[61] Denis Dory
(démissionnaire[62])
  Chef de culture

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Clermont-de-Beauregard, Liorac-sur-Louyre, Saint-Félix-de-Villadeix, Saint-Marcel-du-Périgord et Saint-Martin-des-Combes dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal créé en 1977 dénommé « l'École des 6 », qui dispose d'écoles à Liorac-sur-Louyre, Saint-Félix-de-Villadeix et Saint-Georges-de-Montclard[63],[64].

Ces écoles sont administrées par l'intercommunalité[65].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

En 2023, dans le domaine judiciaire, Saint-Georges-de-Montclard relève[66] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Saint-Georges-de-Montclard se nomment les Montclardais[67].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[69].

En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 6], en diminution de 5,48 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
680659642666738758756778801
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
814791716649606635627640531
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
533503504378366316327343274
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
314273263262258268260261273
2014 2019 2021 - - - - - -
287287276------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[70].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie associative[modifier | modifier le code]

Le Foyer laïque rural a fêté en 2017 ses soixante-dix ans[71].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2019[I 7], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 132 personnes, soit 46,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (19) a diminué par rapport à 2013 (25) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,4 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte trente-sept établissements[72], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, six dans la construction, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et un dans l'industrie[I 8].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • La halle médiévale[75], reconstruite en 1655, est située en bordure de la place publique, au centre du bourg de Montclard. Elle fait partie, d'un ensemble architectural imprégné d'un passé prestigieux. Elle est de plan rectangulaire proche du carré, bâtie sur un espace plan horizontal. La charpente repose sur quinze colonnes en calcaire de section octogonale. L'ensemble est légèrement relevé par rapport au terrain naturel. Les longs pans de la couverture, sont couverts en tuiles canal sur liteaux, et les croupes en tuiles plates aussi sur liteaux. Elle était utilisée à l'occasion des foires annuelles très importantes, dont celle aux bœufs gras le premier mardi de chaque mois, et témoigne ainsi de l'importance économique du village au cours des ans.
  • Près de celle-ci se situe une des plus anciennes demeures du bourg avec sa galerie à colonnes de pierres[76].
  • D'autres maisons anciennnes restaurées aux toitures typiques de la région, dont certaines ont également conservé galeries et balcons de bois et colonnes de pierre, qui abritaient autrefois artisans et commerçants, les « embats » au rez-de-chaussée tenaient lieu d'atelier, de magasin ou de remise, peuvent être vues[75],[77].
  • Boucle des lébérous et boucle de Rabelais, circuit du cœur du village, randonnées pédestres qui permettent de découvrir le village[75],[34],[78].
  • Fontaine à Saint-Georges[77].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • Au hameau de Saint-Georges traversé par le ruisseau du même nom, se trouve l’église Saint-Georges, romane du XIIe siècle, également connue sous le nom de chapelle Sainte-Rita, restaurée de 2022/2024[79],[80]. Comme de nombreux édifices religieux, elle est édifiée sur un très ancien lieu de culte. À l’intérieur est dédié un espace à sainte Rita, patronne des causes désespérées. Le lieu connu y reçoit de nombreux fervents de sainte Rita[76],[34].
  • Dans le bourg de Montclard, chapelle Sainte-Thérèse.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Georges-de-Montclard Blason
De gueules au rocher d'argent surmonté d'un soleil d'or[81].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l'Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[10],[11]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. « Carte géologique de Saint-Georges-de-Montclard » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  2. « Réseau hydrographique de Saint-Georges-de-Montclard » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  3. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Saint-Georges-de-Montclard » sur Géoportail (consulté le 11 octobre 2022).
  6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Saint-Georges-de-Montclard », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
  3. « Notice associée à la feuille no 806 - Bergerac de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
  4. a b c d e f g et h Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
  6. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  7. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Portrait du Périgord central », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Saint-Georges-de-Montclard », sur insee.fr (consulté le )
  10. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
  12. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
  13. « Fiche communale de Saint-Georges-de-Montclard », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le )
  14. Sandre, « le Caudeau »
  15. « SAGE Dordogne Atlantique », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  16. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
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  18. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  19. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  22. « Station Météo-France « Bergerac-Roumanière » (commune de Bergerac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  24. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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  26. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
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  28. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  29. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
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  36. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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  43. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur www.dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  44. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
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