Saint-Dizier-la-Tour

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Saint-Dizier-la-Tour
Saint-Dizier-la-Tour
Les deux petites mottes féodales jumelées de la Tour.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Creuse
Arrondissement Aubusson
Intercommunalité Communauté de communes Marche et Combraille en Aquitaine
Maire
Mandat
Jacques Cordier
2020-2026
Code postal 23130
Code commune 23187
Démographie
Population
municipale
183 hab. (2021 en diminution de 15,67 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 08′ 46″ nord, 2° 09′ 17″ est
Altitude Min. 444 m
Max. 554 m
Superficie 16,99 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Guéret
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gouzon
Législatives Circonscription unique
Localisation
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Saint-Dizier-la-Tour est une commune française située dans le département de la Creuse, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Étang alimenté par la Goze à Saint-Dizier-la-Tour, le long de la route départementale 990.

Dans le quart nord-est du département de la Creuse, la commune de Saint-Dizier-la-Tour s'étend sur 16,99 km2. Elle est arrosée par la Goze, affluent de la Voueize et par le Verraux, affluent de la Petite Creuse.

L'altitude minimale avec 444 mètres se trouve localisée au nord en deux endroits différents, au nord du lieu-dit Ponty, là où le Verraux quitte la commune, et au nord du lieu-dit les Lusseix, là où la Goze quitte la commune, les deux cours d'eau entrant sur le territoire communal de Gouzon. L'altitude maximale avec 554 mètres est située au sud-ouest, en limite de la commune de Saint-Pardoux-les-Cards, au sud-est du château de la Faye.

À l'écart des routes principales, le bourg de la Tour, où est implantée la mairie, est situé, en distances orthodromiques, 21 kilomètres au nord d'Aubusson, la sous-préfecture, et 22 kilomètres à l'est de Guéret, la préfecture. Le bourg de Saint-Dizier se trouve un kilomètre et demi au sud-sud-est de celui de la Tour.

Le territoire communal est desservi par les routes départementales 7, 50, 65 et 990. L'ouest de la commune est traversé par la ligne ferroviaire de Montluçon à Saint-Sulpice-Laurière dont les gares les plus proches par la route sont celles de Parsac – Gouzon, à sept kilomètres au nord de la mairie, et de Busseau-sur-Creuse, à douze kilomètres à l'ouest-sud-ouest.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-Dizier-la-Tour est limitrophe de six autres communes.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 966 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aubusson à 21 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Dizier-la-Tour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,3 %), prairies (45 %), forêts (9 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %), terres arables (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Dizier-la-Tour est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Dizier-la-Tour.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 33,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 156 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 44 sont en aléa moyen ou fort, soit 28 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Dizier-la-Tour est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Saint-Dizier-la-Tour est une commune essentiellement rurale, constituée de deux anciennes communes, la Tour-Saint-Austrille et Saint-Dizier, réunies en 1848[19].

Son territoire est traversé par deux gros ruisseaux, la Goze et le Verraux, et deux voies gallo-romaines reliant Ahun à Gouzon. Sur les rives de la Goze, on trouve les restes de nombreuses implantations romaines, villas munies d’étangs.

La-Tour-Saint-Austrille est citée en 957 et 958 dans deux actes du cartulaire de Saint-Étienne de Limoges, concernant la fondation du prieuré de la Tour-Saint-Austrille, dont les biens englobaient le bourg de la Tour, et les villages de Châtelus et Champagnole. De 957 à 1095, ce prieuré appartenait à l’évêque de Limoges, qui le céda à l’abbaye du Bourgdieu à Déols en 1095. Avant 1212, les moines avaient créé des églises au bourg de la Tour et à celui de Saint-Dizier, en plus de la chapelle Saint-Austrille du prieuré. En effet une bulle du pape Innocent III, datée de 1212, confirme à l’abbaye de Déols la possession du prieuré et de ces églises. Celle de la Tour-Saint-Austrille était dédiée à Saint-Michel. Le prieuré n’avait probablement plus de moines dès le XVe siècle, mais un prieur qui percevait les droits, et la dîme jusqu’à la Révolution.

Par ailleurs la seigneurie de la Tour-Saint-Austrille, qui appartenait à la famille de Brosse en 957, s’est transmise, de 1200 à 1609 à divers membres de la famille de Déols, branche de Preuilly. En 1609, Claude du Puy, veuve de Loys Chasteignier, Seigneur d'Abain, Chantemille, la Tour-Saint-Austrille, l'a vendue à François Mérigot, seigneur de Sainte-Feyre pour 18 000 livres. Le prieuré et la seigneurie exerçaient leurs pouvoirs sur de nombreux villages des paroisses voisines. La plus proche était celle de Saint-Dizier, qui encerclait celle de la Tour. Saint-Dizier était un fief, lieu de rapport, aussi bien pour le prieuré que pour la seigneurie de la Tour. Mais jusqu’à la Révolution, les seigneurs de Villemonteix, Orgnat, Vidignat, Malleret, Haute-Faye, les religieux des Ternes, ceux de Bonlieu, la vicairie de Sainte-Catherine d’Etansannes, pour les principaux, percevaient des droits sur les deux paroisses.

La paroisse de Saint-Dizier était constituée du bourg de Saint-Dizier et des villages de Montbrenon, Busserolles, les Chaises, Vige, Ponty et Orgnat, et quelques villages aujourd’hui disparus : les Olliers, Gravayoux.

La seigneurie de la Tour-Saint-Austrille appartenait à la puissante et lointaine famille de Déols, mais sur place existaient de petites seigneuries dotées d’un château : le Mas de la Tour, ainsi qu’Orgnat, et la Faye à Saint-Dizier.

Ces domaines seigneuriaux s’étaient établis à l’emplacement des villas romaines, alors que les paysans se partageaient des terrains éparpillés, ainsi que l’usage des communaux, dont certains étaient immenses.

À la Révolution, les domaines appartenant à des abbayes ont été vendus comme biens nationaux. Il faudra tout le XIXe siècle pour changer la physionomie de la commune. Dans certains villages, les ventes de communaux ont chassé les plus pauvres. Dans d’autres, leur partage par amodiation a transformé d’immenses chaumes en une mosaïque de minuscules terrains.

Beaucoup d’hommes partaient comme maçons, et l’arrivée du train, en 1869, rendra cet exil définitif, en permettant aux familles de les rejoindre. Le train permettra aux paysans d'exporter leurs productions vers les grandes agglomérations, et de sortir de la pauvreté. C'est alors que les maisons à deux ouvertures seront remplacées par ces belles « maisons de maçons » qui forment l'essentiel des villages.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2022.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1879 1908 Jean Meaume    
         
1959 1983 Pierre Lavédrine UDR puis RPR Conseiller général du canton de Chénérailles (1970-1994)
         
mars 2001 mai 2020 Odylle Turpinat DVD Retraitée
mai 2020 En cours Jacques Cordier    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[21].

En 2021, la commune comptait 183 habitants[Note 4], en diminution de 15,67 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
464470499477583609608631786
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
721705721711668670654678644
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
616616581526501484453438412
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
408370321276234228232235219
2015 2020 2021 - - - - - -
217186183------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Dizier-la-Tour et Aubusson », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Aubusson_sapc » (commune d'Aubusson) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Dizier-la-Tour », sur Géorisques (consulté le )
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Dizier-la-Tour », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
  18. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « Mottes de la Tour-Saint-Austrille », notice no PA23000028, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
  24. « Château de la Faye », notice no PA00135405, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
  25. « Église Saint-Didier-et-Saint-Blaise », notice no PA23000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 3 août 2022.
  26. « autel, gradin d'autel, tabernacle à ailes, retable architecturé, tableau d'autel : le Calvaire, 3 statues : deux saints évêques et saint Jean-Baptiste (maître-autel) », notice no PM23000789, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
  27. « groupe sculpté : Vierge de Pitié », notice no PM23000788, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
  28. « bras-reliquaire », notice no PM23001009, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 20 août 2022.
  29. « groupe sculpté (statuette) : Vierge de Pitié », notice no PM23001006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.
  30. « statue : saint Jean-Baptiste », notice no PM23001007, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.
  31. « statue : saint Michel terrassant le démon », notice no PM23001008, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 16 août 2022.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]