Cazères

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Cazères
Cazères
Cazères vue de la rive droite de la Garonne en 2005.
Blason de Cazères
Blason
Cazères
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Muret
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Garonne
(siège)
Maire
Mandat
Raymond Defis
2023-2026
Code postal 31220
Code commune 31135
Démographie
Gentilé Cazériens
Population
municipale
4 781 hab. (2021 en diminution de 1,73 % par rapport à 2015)
Densité 245 hab./km2
Population
agglomération
5 984 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 26″ nord, 1° 05′ 12″ est
Altitude Min. 215 m
Max. 362 m
Superficie 19,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Cazères
(ville-centre)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cazères
(bureau centralisateur)
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Cazères
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Cazères
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Cazères
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Cazères
Liens
Site web site officiel

Cazères, parfois nommée localement Cazères-sur-Garonne et en occitan Casèras, est une commune française située dans le centre du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Garonne, l'Aygossau, le Bernès, le Garagnon, le ruisseau du Petit Bon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne » et « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Cazères est une commune urbaine qui compte 4 781 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle appartient à l'unité urbaine de Cazères et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Cazériens ou Cazériennes.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'église de l'Assomption, inscrite en 1926, et une maison, inscrite en 1973.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Cazères se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 53 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 34 km de Muret[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Couladère (0,7 km), Palaminy (1,4 km), Gensac-sur-Garonne (3,9 km), Saint-Christaud (4,0 km), Saint-Michel (4,3 km), Mauran (4,8 km), Le Plan (5,2 km), Mondavezan (5,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Cazères fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[4].

Cazères est limitrophe de neuf autres communes. Les communes limitrophes sont Lavelanet-de-Comminges, Couladère, Le Fousseret, Gensac-sur-Garonne, Mondavezan, Palaminy, Saint-Christaud, Saint-Julien-sur-Garonne et Saint-Michel.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1 955 hectares ; son altitude varie de 215 à 362 mètres[6].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Cazères.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Garonne, l'Aygossau, le Bernès, le Garagnon, le ruisseau du Petit Bon, le ruisseau du Lamesan, le ruisseau de Tounis, le ruisseau de la Nauze de Labrioulette, le ruisseau de Séguelong et divers autres petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 44 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].

Le Bernès, d'une longueur totale de 18,3 km, prend sa source dans la commune d'Aurignac et s'écoule d'ouest en est, et se jette dans la Garonne sur la commune[10].

L'Aygossau, d'une longueur totale de 12,8 km, prend sa source dans la commune de Mondavezan et s'écoule d'ouest en est. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Gensac-sur-Garonne, après avoir traversé 5 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 807 mm, avec 9,4 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Palaminy à 1 km à vol d'oiseau[14], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 715,2 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[18],[19].

Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[20].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[22]. :

  • « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste », d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[23]

et un au titre de la directive oiseaux[22] :

  • la « vallée de la Garonne de Boussens à Carbonne », d'une superficie de 1 893 ha, hébergeant une avifaune bien représentée en diversité, mais en effectifs limités (en particulier, baisse des populations de plusieurs espèces de hérons). Trois espèces de hérons y nichent : Garde-bœufs, Bihoreau gris et Aigrette garzette[24].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[25] : « la Garonne de Montréjeau jusqu'à Lamagistère » (5 075 ha), couvrant 92 communes dont 63 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[26] et deux ZNIEFF de type 2[Note 4],[25] :

  • « la Garonne et milieux riverains, en aval de Montréjeau » (6 874 ha), couvrant 93 communes dont 64 dans la Haute-Garonne, trois dans le Lot-et-Garonne et 26 dans le Tarn-et-Garonne[27] ;
  • les « Petites Pyrénées en rive droite de la Garonne » (12 847 ha), couvrant 20 communes dont huit dans l'Ariège et 12 dans la Haute-Garonne[28].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cazères est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[29],[I 2],[30]. Elle appartient à l'unité urbaine de Cazères, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 3] et 5 984 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[I 4],[I 5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 6],[I 7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,8 %), terres arables (31,3 %), zones urbanisées (14,4 %), prairies (5,4 %), eaux continentales[Note 7] (2,6 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), forêts (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,4 %)[31]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès par A64 sortie : Sortie 23, par l'ancienne route nationale 125.

La ligne 379 du réseau Arc-en-Ciel permet de rejoindre le centre-ville de Saint-Gaudens depuis la commune, et la ligne 380 permet de rejoindre la gare routière de Toulouse.

La gare de Cazères, située sur la commune, est desservie par des TER Occitanie effectuant des relations entre Toulouse-Matabiau, Tarbes et Pau.

L'aéroport Toulouse-Blagnac est situé à 60 km et l'aérodrome de Cazères - Palaminy permet des activités de loisirs et de tourisme.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Cazères est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Volp, le Bernès, l'Aygossau et La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1992, 1999, 2000, 2009, 2011, 2018 et 2022[34],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cazères.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[35]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 821 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 821 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[37].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2000 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1999[32].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Cap de Long sur la Neste de Couplan (département des Hautes-Pyrénées). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[38].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Stèle du Quai des Fusillés

Cazères fut à la limite de plusieurs territoires : Comminges, Volvestre, Gascogne, Couserans, Petites Pyrénées, Languedoc,

À partir du Moyen Âge jusqu'à sa disparition en 1790 pendant la Révolution française, Cazères faisait partie du diocèse de Rieux.

Jean de Coret est seigneur de Cazères vers 1490.

  • Le 8 mai on commémore 47 noms de résistants gravés sur la stèle du Quai des Fusillés tombés au combat

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 et 4 999, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt sept[39],[40].

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes Cœur de Garonne du canton de Cazères (bureau centralisateur) et du Pays du Sud Toulousain.

Avant le , Cazères faisait partie de la communauté de communes du canton de Cazères.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Mairie de Cazères.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1925   Paul Gouzy[41] SFIO Marchand ambulant de tissu
Conseiller général de Cazères (1928 → 1940 et 1945 → 1955)
1955 mars 1989 Jean Esterle SFIO puis PSU
puis DVG
Professeur
Conseiller général de Cazères (1955 → 1979)
mars 1989 mars 2008 Gaston Escudé PS Physicien au CNRS
Conseiller général de Cazères (1979 → 2008)
Vice-président du conseil général
Président du SIVOM du canton de Cazères
mars 2008 juin 2021
(démission)
Michel Oliva PS Cadre supérieur
juin 2021 septembre 2021 Raymond Defis PS Maire par intérim à la suite de la démission de Michel Oliva
septembre 2021 décembre 2023 Jean-Luc Rivière UDI-PRV Cadre de la fonction publique territoriale
Ancien conseiller régional de Midi-Pyrénées (2010 → 2015)
décembre 2023[42] En cours Raymond Defis PS Cadre retraité du conseil départemental

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[44]. En 2021, la commune comptait 4 781 habitants[Note 8], en diminution de 1,73 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7731 9372 0862 2312 5972 6202 5562 6782 640
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6632 6332 6332 6332 7842 6772 6902 7402 710
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 6772 6432 6882 5192 5702 5852 5922 7482 910
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 0503 4053 4193 2943 1553 2603 7863 8984 667
2015 2020 2021 - - - - - -
4 8654 7534 781------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[47] 1975[47] 1982[47] 1990[47] 1999[47] 2006[48] 2009[49] 2013[50]
Rang de la commune dans le département 17 22 29 44 49 46 46 47
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lycée de Cazères en construction (2019).

La commune de Cazères dispose d'une école maternelle, d'une école élémentaire, d'un collège (collège du Plantaurel) et d'un lycée de 1 200 places, le lycée Martin Malvy. Ce dernier a ouvert pour la rentrée 2020[51], à côté du collège du Plantaurel.

Santé[modifier | modifier le code]

La commune possède un centre communal d'action sociale, une maison de retraite, un laboratoire d'analyse médicale, un service d'ambulances, des masseurs-kinésithérapeutes, des infirmiers, des sages-femmes, des médecins généralistes, des dentistes et trois pharmacies, ainsi qu'une clinique vétérinaire.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 2 235 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 4 822 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 860 [I 8] (23 140  dans le département[I 9]). 37 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 12,8 % 16,7 % 12,3 %
Département[I 11] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 2 753 personnes, parmi lesquelles on compte 73,5 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 12,3 % de chômeurs) et 26,5 % d'inactifs[Note 11],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 13]. Elle compte 1 825 emplois en 2018, contre 1 756 en 2013 et 1 612 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 703, soit un indicateur de concentration d'emploi de 107,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 52,1 %[I 14].

Sur ces 1 703 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 565 travaillent dans la commune, soit 33 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 82,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,5 % les transports en commun, 8,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

508 établissements[Note 12] sont implantés à Cazères au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 17].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 508 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
46 9,1 % (5,7 %)
Construction 74 14,6 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
152 29,9 % (25,9 %)
Information et communication 8 1,6 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 22 4,3 % (3,8 %)
Activités immobilières 17 3,3 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
51 10 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
77 15,2 % (16,6 %)
Autres activités de services 61 12 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,9 % du nombre total d'établissements de la commune (152 sur les 508 entreprises implantées à Cazères), contre 25,9 % au niveau départemental[I 18].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :

  • Societe Roux Et Fils, hypermarchés (20 968 k€)
  • Cazeral, supermarchés (18 247 k€)
  • Vaccari Negoce, commerce de gros (commerce interentreprises) d'animaux vivants (10 488 k€)
  • PM Distribution, commerce de gros (commerce interentreprises) de fruits et légumes (8 848 k€)
  • Sid Pieces Auto, commerce de gros d'équipements automobiles (4 073 k€)

L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé...) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine. L'artisanat ainsi que le commerce y sont bien représentés.

Industrie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans « les Vallées », une petite région agricole consacrée à la polyculture sur les plaines et terrasses alluviales qui s’étendent de part et d’autre des sillons marqués par la Garonne et l’Ariège[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 40 24 21 15
SAU[Note 15] (ha) 1 296 1 170 1 444 1 470

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 40 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 24 en 2000 puis à 21 en 2010[56] et enfin à 15 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[57],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 296 ha en 1988 à 1 470 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 32 à 98 ha[56].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La patronne de Cazères-sur-Garonne est sainte Quitterie.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Pont sur la Garonne.
  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption, datant du XIIIe et XIVe siècle est classée au titre des monuments historiques en 1926[58].
  • Ancienne chapelle des capucins.
  • Le cloître de l'ancien couvent des Capucins, du XVIIe siècle.
  • La maison de la Case. Cette maison à pans de bois était un relais de l'abbaye de Montserrat. Elle accueille désormais l'office de tourisme.
  • Lavoir et fontaine du passage de l'Hourride.
  • La halle, œuvre de Hector d'Espouy de 1884[59], en remplacement d'une ancienne halle en bois du début du XVIIe siècle, édifiée sur l'emplacement du fossé qui séparait à l'origine la bilo barrado et la bilo enclosado. À chaque extrémité de la halle se trouvent deux statues du sculpteur Frédéric Tourte. L'une représente un semeur et porte l'inscription suivante: se bailli de boun blad, baillame de boun pan (si je vous donne du bon blé, donnez-moi du bon pain).
  • Quai sur les bords de Garonne (vue sur lac de retenue du barrage de Cazères) avec la stèle des Résistants morts pour la France durant la Seconde Guerre mondiale. Depuis la Place du petit Nice, il est possible d'embrasser d'un seul regard et l'église et les berges de la Garonne. Cette place est ainsi désignée car les habitants aiment à voir dans ce panorama une évocation de la ville de Nice et de sa vieille ville vue depuis le bord de plage.
  • Maisons à colombages.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Cazères

Son blasonnement est : parti d'azur à trois fleurs de lys d'or, et de gueules à deux levrons passant d'argent[60].

Vie pratique[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

On peut citer de nombreuses infrastructures pour les loisirs culturels, une médiathèque municipale, une école de musique une salle des fêtes, un cinéma, et diverses associations, maison Garonne[61],[62],[63],[64].

Service public[modifier | modifier le code]

Cazères possède un service départemental d'incendie et de secours, une gendarmerie, une poste, un office de tourisme.

Activités sportives[modifier | modifier le code]

Club de rugby à XV, club de football l'Union sportive de Cazères, piscine municipale d'été, dojo, base nautique[65] (canoë-kayak, motomarine (jet ski), ski nautique, voile), aéromodélisme, pétanque,

En 2020 elle fut une ville étape du tour de France lors de la 8e étape du Tour de France 2020 (Cazères – Loudenvielle).

Écologie et recyclage[modifier | modifier le code]

Usine de retraitement des eaux usées

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du canton de Cazères[66].

Une déchèterie intercommunale gérée par la communauté de communes est présente sur la commune de Mondavezan[67].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[55].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Cazères » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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  2. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Cazères » (consulté le ).
  4. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  5. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Cazères » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
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  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Cazères » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Cazères » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Cazères et Muret », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Cazères », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  10. Sandre, « le Bernès »
  11. Sandre, « l'Aygossau »
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  20. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  59. Hector d'Espouy
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  65. http://www.mairie-cazeres.fr/culture-loisirs/equipements-culturels-et-sportifs/base-nautique/
  66. http://www.cc-canton-cazeres.fr/fr/services/ordures-menageres.html
  67. http://www.cc-canton-cazeres.fr/fr/services/dechetterie.html