Saint-Céneri-le-Gérei

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Saint-Céneri-le-Gérei
Saint-Céneri-le-Gérei
Le pont sur la Sarthe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Orne
Arrondissement Alençon
Intercommunalité Communauté urbaine d'Alençon
Maire
Mandat
Richard Marquet
2020-2026
Code postal 61250
Code commune 61372
Démographie
Gentilé Girois
Population
municipale
111 hab. (2021 en diminution de 8,26 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 22′ 48″ nord, 0° 03′ 10″ ouest
Altitude Min. 115 m
Max. 193 m
Superficie 3,86 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Alençon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Damigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.saintceneri.org

Saint-Céneri-le-Gérei est une commune française, située dans le département de l'Orne en région Normandie, peuplée de 111 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Saint-Céneri représente un bastion avancé de la Normandie aux confins des départements de l’Orne, de la Sarthe et de la Mayenne.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Dans un méandre de la Sarthe qui arrive d’Alençon et s’écoule vers Le Mans, Saint-Céneri est hissée sur un piton rocheux granitique et irrégulier. Les maisons à l’est surplombent la Sarthe alors qu’elles se superposent en terrasse sur le flanc ouest.

À une dizaine de kilomètres au sud-ouest d’Alençon, Saint-Céneri se trouve au nord-est des Alpes mancelles[1], dans le parc naturel régional Normandie-Maine.

Sismicité[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone 2 « risque faible »[2].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Vue de Saint-Céneri-le-Gérei.

Le pont en pierre surplombe une boucle de la Sarthe[3].

Un schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) du bassin versant de la Sarthe-Amont a été mis au point[4].

La fontaine miraculeuse[5],[6] est une source alimentée par l’eau qui circule dans le réseau de fractures de la granodiorite du versant escarpé en rive gauche de la boucle de la Sarthe[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[9]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées mais aussi, par effet de continentalité, des températures plus contrastées qu'au nord dans la plaine de Caen, avec communément 10 à 15 jours par an de plus de froid en hiver et de chaleur en été[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 774 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Alençon à 12 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 743,7 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

Saint-Céneri-le-Gérei est reliée à la ville voisine d’Alençon, chef-lieu du département, par la route départementale 101.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par le réseau de bus Alto[15]. Ce réseau fait partie des Transports urbains de la communauté urbaine d'Alençon. Saint-Céneri-le-Géreï fait partie des lignes Iténéo 4 et Iténéo Access[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

La commune est partie prenante du plan local d'urbanisme intercommunal de la communauté urbaine d'Alençon. En effet, par délibération du , la communauté urbaine d’Alençon (CUA) a prescrit l'élaboration du plan local d’urbanisme intercommunal (PLUI) sur la totalité de son territoire qui comprend 36 communes, incluant Saint-Céneri-le-Gérei[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Céneri-le-Gérei est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Alençon, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 89 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21],[22].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (49,2 %), terres arables (39,8 %), forêts (11 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme S. Serenicus en 1050[24].

Le lieu prit le nom de saint Céneri, né entre 620 et 625 à Spolète, en Italie et mort vers 669, un religieux du VIIe siècle, évangélisateur de la Normandie, un ermite qui fonda un monastère et une chapelle dans le village.

Le déterminant complémentaire -le-Gérei fait référence à la famille Gérei[25], autrement dit la famille Giroie. Gérei ou Girei est la forme de l'Ouest, transcrite par Giroie en français.

Le nom de la commune était autrefois écrit Saint Cénery le Gérey, mais le conseil général de l'Orne a fait simplifier la graphie usuelle des toponymes, dont le graphe -y noté par le simple -i en finale des noms propres, contrairement à l'usage général du français pour les noms propres (sauf Henri).

Le gentilé est Girois[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Un ermite italien Céneri, de son nom latin Serenicus (ou Senericus), a vécu à Saint-Céneri-le-Gérei au VIIe siècle. Il finit par accepter des disciples et, à sa mort, un monastère restera en construction avec une église dédiée à saint Martin de Tours. Ce monastère fut détruit par les Vikings en 903. L'église restera une dépendance de l’abbaye de Saint-Évroult.

Historique du château.

Le village de Saint-Céneri-le-Gérei a été établi une première fois en 1044. Son fondateur, Guillaume Giroie, a construit un château dont seuls demeurent, à l’époque actuelle, des pans de murs. Le château de Saint-Céneri-le-Gérei fut assiégé par Guillaume le Conquérant en 1060 avant d'être pris par Robert Courteheuse en 1088. Pendant la guerre de Cent Ans, Ambroise de Loré parvint à défendre la forteresse jusqu’à sa mort en 1436. Celle-ci fut assiégée par John Fastolf[27].

Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté le nom de L'Isle-sur-Sarthe[28].

Depuis le XIXe siècle, la beauté de l’endroit a stimulé l’inspiration de beaucoup d’artistes qu’elle a attirés[29]. Deux auberges témoignent encore de l’importance des artistes pour la renaissance du village : l’auberge des Peintres et l’auberge des Sœurs Moisy. À l’étage de cette dernière se trouve la salle dite des « décapités », dans laquelle les peintres, éclairés à la bougie, traçaient sur les murs les contours des visages de leurs confrères. Elle se visite encore aujourd’hui[30]. Le village a même son propre festival qui célèbre tous les ans les peintres qui sont venus ou ont vécu à Saint-Céneri-le-Gérei. Classé dans « les Plus Beaux Villages de France », il attire actuellement beaucoup de touristes.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1946 1953 Auguste-Jean Claire   Artiste peintre
années 1970 juin 1995 Jacques Hébert SE Éleveur
juin 1995 mars 2014 Kenneth Tatham NC Chef d'entreprise
mars 2014[31] octobre 2017[32] Florence Mauny Uhl SE Architecte
décembre 2017[33] En cours Richard  Marquet  SE Technicien de méthodes en maintenance
Les données manquantes sont à compléter.

Budget et fiscalité 2016[modifier | modifier le code]

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[34] :

  • total des produits de fonctionnement : 87 000 , soit 682  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 78 000 , soit 606  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 30 000 , soit 236  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 12 000 , soit 94  par habitant.
  • endettement : 6 000 , soit 50  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 8,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,95 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 11 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 402 [35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 111 habitants[Note 4], en diminution de 8,26 % par rapport à 2015 (Orne : −3,37 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
310261388283343308298318348
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
333332304321274260262242229
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
203195171152157160148144140
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
121122136152122140143126121
2020 2021 - - - - - - -
112111-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune relève de l'Académie de Caen.

Les établissements d'enseignement les plus proches sont[40] :

  • Écoles maternelles et primaires à Moulins-le-Carbonnel,
  • Collèges à Moulins-le-Carbonnel,
  • Lycées à Alençon.

Santé[modifier | modifier le code]

Les professionnels et établissements de santé :

Cultes[modifier | modifier le code]

  • La paroisse Saint Pierre au pays d'Alençon comporte 3 relais et 17 clochers. Le relais de Saint Denis d'Écouves comporte la commune de Saint-Céneri-le-Gérei[44],[45].

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

  • Cultivateurs et éleveurs[46].
  • La Confrérie des Fins Goustiers du Haut-Maine et Pail[47] tient depuis 2012 un stand au marché champêtre de Saint-Céneri-le-Gérei[48].

Tourisme[modifier | modifier le code]

L’économie de Saint-Céneri-le-Gérei, en raison de son environnement pittoresque et calme, repose essentiellement sur le tourisme.

  • Base de pleine nature sur les bords de la Sarthe : aire de camping[49].
  • Maisons d'hôtes et chambres meublées[50].
  • L'auberge des peintres[51].
  • Circuits de randonnées[52].
  • Aire de stationnement provisoire[53].

Commerces-artisanat[modifier | modifier le code]

  • Restauration de meubles anciens[54] et objets d’art, restauration de tableaux et objets en bois dorés[55].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux :

  • Église Saint-Céneri, romane, du XIe siècle, classée monument historique[56],[57] avec ses peintures monumentales du XIVe siècle[58] et son chemin de croix, œuvre du sculpteur girois Malezieux[59].
  • Chapelle du XVe siècle[60] et la fontaine miraculeuse sur la rive opposée, face à la chapelle dite du Petit-Saint-Céneri, qui fut peinte par René Veillon en 1887, Gauthier en 1923, Bernard Buffet en 1976 et André Paly.
  • Le presbytère.
  • Les sarcophages mérovingiens.

Patrimoine civil :

  • Ruines d'un château fort construit en 1049 par Geoffroy de Mayenne[61].
  • Le pont de Saint-Céneri sur la D 101.
  • Ancien hôtel Legangeux, devenu auberge des Peintres[62].
  • L’auberge Moisy[63].
  • L'ancienne épicerie Péronne.
  • L'auberge de la Vallée.
  • La maison en pierre de l'ancien maire Jean Jacquenot (1905-1977).
  • Le chemin des Gaulois, le moulin de Trotté, la pierre Bécue[64].

Patrimoine naturel :

Activité, labels et manifestations[modifier | modifier le code]

Saint-Céneri-le-Gérei est un des plus beaux villages de France[66]. Un reportage de l'émission de France 2[67] y a été réalisé par Stéphane Bern[68].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

À Paul Saïn, aux peintres de Saint-Céneri.

Saint Céneri-le-Gérei, Barbizon des Alpes Mancelles[69],[70] :

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Céneri-le-Gérei Blason
D'argent à la fasce d'azur[71].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Le territoire "Alpes Mancelles"
  2. Informations sur les risques naturels et technologiques
  3. Découverte et points d'intérêt
  4. Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du bassin versant de la Sarthe-Amont, pp. 20 (B–Les activités humaines et le contexte socio-économique : Le tourisme)-32 (L’hydromorphologie des cours d’eau) et 37 (Barrage du pont)-98-103 (Annexe n°5 : Liste des communes du SAGE Sarthe Amont comprises dans les périmètres des Parcs Naturels Régionaux (PNR)
  5. Il était une fois... la fontaine miraculeuse
  6. La fontaine miraculeuse
  7. Alpes mancelles (Orne et Sarthe) Aquifères et Ressources en eau
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  11. « Orthodromie entre Saint-Céneri-le-Gérei et Alençon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Alençon - Valframbert » (commune d'Alençon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Station Météo-France « Alençon - Valframbert » (commune d'Alençon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  15. Plans et Horaires des lignes de bus
  16. 24 lignes d’autocars régulières à disposition avec le réseau Cap’Orne
  17. Plan Local d’Urbanisme Intercommunal de la Communauté Urbaine d’Alençon
  18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Alençon », sur insee.fr (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 738 p. (ISBN 978-2-85023-076-9), p. 590b.
  25. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 218a
  26. « Les Girois ont créé un superbe costume de lumière », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  27. « siège du château de saint-Céneri », sur archives-lamayenne.fr (consulté le ).
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Céneri-le-Gérei », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  29. Grâce à Auguste Poulet-Malassis (éditeur alenconnais de Charles Baudelaire) et ses amis écrivains, poètes, musiciens et peintres
  30. « Visiter Saint-Céneri-le-Gérei », (consulté le )
  31. « Florence Mauny-Uhl élue maire dans une ambiance conviviale », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  32. « Saint-Céneri-le-Gérei. Le maire Florence Mauny-Uhl démissionne », sur actu.fr, L'Orne Hebdo (consulté le ).
  33. « Richard  Marquet  maire  d’un  des  Plus  beaux  villages », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  34. Les comptes de la commune
  35. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Les établissements d'enseignement les plus proches
  41. Médecins proches du village
  42. Centre Hospitalier intercommunal Alençon-Mamers
  43. Professionnels et établissements de santé
  44. La paroisse St Pierre au pays d'Alençon
  45. Diocèse de Séez
  46. Cultivateurs et éleveurs
  47. La Confrérie des Fins Goustiers du Haut-Maine et Pail
  48. Lesactions de la Confrérie particulièrement centrées sur le cidre, le poiré et leurs produits dérivés
  49. Aire naturelle base de plein nature
  50. Hébergement
  51. L'auberge des peintres
  52. Les méandres de la Sarthe : Randonnée pédestre les Alpes Mancelles
  53. Aire de stationnement temporaire
  54. L’atelier d’Amélie
  55. Tableaux, bois dorés et polychromes
  56. « Eglise », notice no PA00110910, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture : classement par arrêté du 12 juillet 1886.
  57. Intérieur de l’église de Saint Ceneri
  58. Notice no PM61000794, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture peintures monumentales
  59. Journal de Denis Chautard, Prêtre de la Mission de France, Membre de l'Association d'Entraide aux Migrants de Vernon et Aumônier de la Communauté Chrétienne des Policiers d'Île-de-France]. Diocèse d'Evreux Mission de France
  60. « Chapelle de Saint-Ceneri », notice no PA00110909, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  61. Le château
  62. « Ancien hôtel Legangeux, devenu Auberge des Peintres », notice no PA61000029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  63. « Ancienne auberge de Moisy », notice no PA61000030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  64. le Chemin des gaulois (un morceau du GR36)
  65. Le Mont des Avaloirs
  66. Saint-Céneri-le-Gérei
  67. France 2 lance l'édition 2015 du "Village préféré des Français". Les internautes sont invités à choisir parmi 22 communes françaises. C'est le village ornais Saint Céneri-le-Gérei qui a été retenu pour défendre les couleurs de la Basse-Normandie.
  68. Émission de Stéphane Bern
  69. Saint Céneri-le-Gérei, Barbizon des Alpes Mancelles
  70. Les rencontres des peintres, une belle histoire...
  71. « Blason… », sur armorialdefrance.fr.