Saint-André-lez-Lille

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Saint-André-lez-Lille
Saint-André-lez-Lille
L'église Saint-André
Blason de Saint-André-lez-Lille
Blason
Saint-André-lez-Lille
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Lille
Intercommunalité Métropole européenne de Lille
Maire
Mandat
Elisabeth Masse UDI/DVD
2020-2026
Code postal 59350
Code commune 59527
Démographie
Gentilé Andrésiens
Population
municipale
12 942 hab. (2021 en augmentation de 4,91 % par rapport à 2015)
Densité 4 096 hab./km2
Population
agglomération
1 058 439 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 39′ 39″ nord, 3° 02′ 42″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 22 m
Superficie 3,16 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lille (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Lille (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Lille-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.villesaintandre.fr/

Saint-André-lez-Lille est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes voisines : Lille, La Madeleine, Wambrechies, Lambersart, Marquette-lez-Lille, Verlinghem.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Saint-André-lez-Lille dans son canton et son arrondissement
Communes limitrophes de Saint-André-lez-Lille
Verlinghem Wambrechies Marquette-lez-Lille
Lambersart Saint-André-lez-Lille La Madeleine
Lille

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 689 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-André-lez-Lille est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lille (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 60 communes[10] et 1 058 439 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Lille (partie française) est la quatrième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon et Marseille-Aix-en-Provence[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (95 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (56,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (31,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Saint-André est desservie par des trains TER Hauts-de-France effectuant des missions entre les gares de Lille-Flandres et d'Hazebrouck.

La commune est desservie, en 2023, par les Lianes 1 et 90, les lignes 50, CO3, 907, 923, 924 et par la ligne de transport à la demande 77R du réseau Ilévia[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

St-Andries en flamand[17].

Lille est une ville dont l'émergence au milieu d'un territoire marécageux parcouru par les multiples bras de la Deûle date des environs de l'an 1000. Un quartier également nommé « faubourg Saint-Pierre » se développe au XIIIe siècle l'extérieur des remparts originels de la ville qui entouraient le castrum autour d'une première église Saint-André (démolie en 1784). Cette agglomération autour de la route de Lille à Ypres à l'emplacement de l'actuelle rue Saint-André est constituée en paroisse en 1273.

De nouveaux remparts sont construits de 1667 à 1670 pour défendre la ville conquise par Louis XIV, et la moitié de la paroisse « Saint-André » se retrouve en dehors de cette enceinte.

Ce quartier hors les murs, le « faubourg Saint-André » devient progressivement un village, puis une commune distincte de Lille en 1789 qui garde le nom de « Saint-André ».

Comme il y a beaucoup de Saint-André en France, on rajouta « lez Lille » pour la distinguer des autres.

On écrit bien « lez » et non « les », car ce petit mot signifie « à côté de ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Lors de la construction de la ligne de chemin de fer Lille - Dunkerque au XIXe siècle, une hache de pierre et des fragments de poteries furent découverts sur le territoire de Saint-André. Ces vestiges du passé attestent de l’installation de peuplades gauloises sur ces terres.

La Basse Deûle et les rivières de la région attirent en effet les populations de l'époque car la présence de l’eau leur permet de pratiquer la pêche et la chasse.

Plus tard, alors que le royaume des Francs s’étend sur la région, les premiers habitants s’organisent en petites communautés pour effectuer le déboisement et la culture des terres : ce sont les villages francs et les manses carolingiennes[18].

La paroisse Saint-André de Lille fondée en 1273 à l'extérieur de l'enceinte de la ville, celle qui entourait le castrum, est à l’origine de la ville de Saint-André[19]. Son église était située à un emplacement compris entre les actuelles rues Saint-André et du Rempart. Son territoire partage son sort contrasté avec celui de la ville de Lille.

Faubourg Saint-André en 1784

En 1667-1668, Louis XIV, au cours de la guerre de Dévolution, conquiert la région lilloise, dont le traité d'Aix-la-Chapelle lui confirme la possession. Cette conquête est suivie par la construction par Vauban de la citadelle de Lille et d'une nouvelle enceinte fortifiée autour de la ville.

Cette enceinte intègre à l'intérieur de la ville agrandie une partie de la paroisse Saint-André où est aménagé un nouveau quartier s'étendant sur le territoire de la partie également annexée de la paroisse voisine de La Madeleine. L’ancienne église paroissiale à l’intérieur de ce rempart est endommagée par les boulets lors du siège de 1708 puis démolie en 1784 et remplacée par celle de l’ancienne chapelle des Carmes rue Royale.

Le territoire à l'extérieur de la zone fortifiée, le « faubourg Saint-André » compris dans la banlieue de Lille (territoire soumis à la juridiction du magistrat de Lille), se développe le long des routes de Lille à Ypres et de Lille à Marquette. La communication entre ce faubourg et l'intérieur de la ville de Lille passe par la porte Saint-André.

Le faubourg se constitue en commune en 1790 conformément aux nouvelles institutions avec un premier maire élu. Sa limite avec la commune de Lille est celle de la zone fortifiée qui entourait la porte de Saint-André démolie en 1935 (actuellement parcours de la route D 749), celle avec la commune de La Madeleine le cours de la Basse Deûle à cette date (cours rectifié en 1882 au sud du pont Sainte-Hélène).

Saint-André est relié à Lille à partir de 1894 par la ligne de tramway hippomobile O, prolongée jusqu'à Wambrechies et convertie en traction électrique en 1904. Cette ligne devient la ligne L puis à partir de 1955, la ligne C Wattignies-Wambrechies remplacée en 1963 par une ligne de bus.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de Saint-André-lez-Lille se blasonnent ainsi : "Coupé, en chef : de gueules à la porte de l’abbaye de Marquette d’or, et en pointe : d’azur aux trois manteaux d’hermine soutenus chacun par une épée en pal rangées en fasce."

Ancien blason

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Élisabeth Masse, maire de Saint-André depuis 2017.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Ph. Jos. Butin[20],[21]    
Les données manquantes sont à compléter.
Albert Legrand Républicain Fabricant de céruse
Conseiller général de Lille-Ouest (1880 → 1892)
Receveur particulier des finances
de l'arrondissement de Doullens (1886 → 1899)
Les données manquantes sont à compléter.
Marcel Ducrocq MRP
puis CD
Conseiller général de Lille-Ouest (1951 → 1969)
Décédé en fonction
André Wauquier    
Paul Lauérière[22] PS Professeur, chargé de mission
Vice-président de la CUDL
Maire honoraire (2010)
Olivier Henno UDF puis
MoDem
puis UDI
Cadre commercial
Sénateur du Nord (2017 → )
Conseiller général de Lille-Ouest (2001 → 2015)
Conseiller départemental de Lille-1 (2015 → 2021)
Démissionnaire après son élection comme sénateur
En cours
(au 23 février 2022)
Élisabeth Masse UDI Cadre sage-femme au CHU de Lille
Conseillère départementale de Lille-1 (2021 → )
Réélue pour le mandat 2020-2026

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[23],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 12 942 habitants[Note 4], en augmentation de 4,91 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
290241398437538588680845940
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2101 4671 5671 7611 8162 0532 3152 5302 769
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 5094 0405 0505 3095 6866 1266 4766 4107 614
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
10 07011 75712 44310 82110 09810 11310 79211 52412 293
2021 - - - - - - - -
12 942--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 6 169 hommes pour 6 797 femmes, soit un taux de 52,42 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,2 
5,1 
75-89 ans
9,3 
11,0 
60-74 ans
11,9 
18,7 
45-59 ans
19,0 
23,4 
30-44 ans
21,0 
21,1 
15-29 ans
19,9 
19,6 
0-14 ans
17,6 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Santé[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

La maison-mère des Bernardines se trouve à Saint-André-lez-Lille. Plus d'une quarantaine de religieuses de l'ordre vivent à l'abbaye Notre-Dame de la Plaine qui abrite aussi des écoles maternelle et primaire.

Enseignement[modifier | modifier le code]

Culture[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le pavillon Louis XVI[28], du XVIIIe siècle, rue Vauban, classé monument historique en 1921.
  • Chapelle Saint-Paul[29], due à l'architecte Ludwik Peretz en 1965
  • Gare de Saint-André.
  • Abbaye Notre-Dame de la Plaine.
  • Église Sainte-Camille : elle est érigée au XIXe siècle lors du développement du quartier de Sainte-Hélène en plein essor industriel. Deux patrons chrétiens Philibert Vrau et Camille Féron-Vrau agissent pour la création d'une nouvelle paroisse. Un ancien atelier de travail du lin, datant de 1870, est donné par l'entreprise Féron-Vrau au diocèse en 1901 et devient l'église Sainte-Camille. Inaugurée en 1908, celle-ci devient une des 70 églises détenues par le diocèse, (la très grande majorité des églises sont la propriété des communes depuis 1905 et la loi de séparation des Églises et de l'État). Le bâtiment est agrandi et réaménagé en 1929. En 2005, son état s'est tellement détérioré qu'elle ne peut plus accueillir du public en vertu d'un arrêté de péril. La mairie envisage de la racheter pour réaménager le site mais ne trouve pas d'accord avec le diocèse sur le montant. En décembre 2021, l'édifice est vendu à un promoteur privé moyennant plusieurs conditions ( respect de l'histoire du bâtiment, pose d'une plaque commémorative, sauvegarde du calvaire et de la statue du Sacré-Cœur, de quelques vitraux et du mobilier liturgique) tout en respectant les règles d'urbanisme posées par la ville pour ce secteur[30]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

L'entreprise Jean Caby porte le nom du charcutier qui a ouvert sa boutique à Lille en 1919. L’usine de Saint-André ouvre ses portes dix ans plus tard. En 1951, la PME commercialise ses premiers produits sous vide. Son histoire s’achève à l’aube de son centenaire avec sa liquidation judiciaire prononcée le 27 juin 2018 par le tribunal de commerce de Lille Métropole à Tourcoing (Nord).

L'entreprise Dalkia, spécialisée dans les services énergétiques et la production d'énergie décentralisée, est implantée à Saint-André depuis 1940, d'abord sous le nom de Compagnie Générale de Chauffe (CGC), puis sous le nom de Dalkia en 1998 à la suite de la fusion de la CGC avec Esys-Montenay au sein du groupe Vivendi. La commune de Saint-André abrite le siège social de l'entreprise ainsi que la Direction Régionale Nord Ouest. Pendant près d'un demi siècle, la CGC fut historiquement liée au LOSC Lille Association (Lille Olympique Sporting Club), institution emblématique du football français (plusieurs de ses dirigeants ayant été de hauts responsables de la CGC), compte tenu notamment de la situation géographique de l'entreprise (secteur Lille / Lambersart / Saint-André), de sa proximité avec les infrastructures du LOSC de l'époque, mais aussi des relations étroites et du partenariat qu'entretenait la Ville de Lille (alors propriétaire du club) avec la CGC.

Le complexe chimique Kuhlmann - Rhodia s'étendait sur les communes de Saint-André-lez-Lille, La Madeleine et Marquette. Fondé en 1847, il est démantelé en 2005.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-André-lez-Lille et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Lille (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
  17. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  18. mairie de Saint-André http://www.villesaintandre.fr
  19. Didier Joseph-François, Lille la maison et la ville, ateliergaleriéditions, (ISBN 9782 916601 33 5), p. 43
  20. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 273, lire en ligne.
  21. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an 1807, p. 118-119, lire en ligne.
  22. « Saint-André : le décès de l'ancien maire, Paul Lauerière : Maire de Saint-André de 1989 à 2001, Paul Lauerière est décédé cette nuit à l'âge de 82 ans. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-André-lez-Lille (59527) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  28. Notice no PA00107798, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Notice no IA59002573, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Jean-Charles Gatineau, « L'église Sainte-Camille vendue par le diocèse à un promoteur privé », dans La Voix du Nord du 15 décembre 2021, édition de Lille, pages Marcq-Lambersart et la métropole, p. 18.