Saint-André (La Réunion)

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Saint-André
Saint-André (La Réunion)
Hôtel de ville
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région La Réunion
Département La Réunion
Arrondissement Saint-Benoît
Intercommunalité CIREST
Maire
Mandat
Joé Bédier (SE)
2020-2026
Code postal 97440
Code commune 97409
Démographie
Gentilé Saint-Andréens
Population
municipale
57 150 hab. (2021 en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015)
Densité 1 077 hab./km2
Géographie
Coordonnées 20° 57′ 38″ sud, 55° 39′ 02″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 1 084 m
Superficie 53,07 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Saint-André
(ville isolée)
Aire d'attraction Saint-Denis
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Bureau centralisateur de Saint-André-1
Saint-André-2
Saint-André-3
Législatives Cinquième circonscription
Sixième circonscription
Localisation
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Saint-André
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Saint-André
Liens
Site web ville-saint-andre.re

Saint-André est une commune française d'outre-mer, située dans le département et la région de La Réunion.

Ses habitants sont appelés les Saint-Andréens.

Sa devise est : « Multis Gentibus Cor Unum  ». La commune doit son nom à Pierre-André d'Héguerty, gouverneur de l'île Bourbon de 1739 à 1743.

Cinquième commune la plus peuplée de la Réunion, Saint-André est la principale ville de l'est de l'ile.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-André est située au nord-est de l'île de La Réunion, à environ 20 km à l'est du chef-lieu Saint-Denis.

Le territoire communal est délimité par :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Saint-André occupe en majeure partie une plaine alluvionnaire construite par les rivières du Mât et Saint-Jean, au pied du versant Est du massif du Piton des Neiges. De ce fait, la commune possède un relief peu marqué comparée à d'autres communes de l'île. Toutefois, on peut diviser le territoire en trois grandes entités :

  • Le littoral, constitué de plages de galets et de micro-falaises, il abrite l'un des trois étangs littoraux de l'île à Bois-Rouge ;
  • La plaine alluviale, où les pentes sont douces (inférieures à 10 %) et qui concentre la plupart des activités humaines ;
  • Les hauts, qui culminent jusqu'à 1 084 m au-dessus des gorges de la rivière du Mât, principalement agricole et forestier.

Climat[modifier | modifier le code]

De manière générale, l'île de La Réunion connaît un climat de type tropical humide. Celui-ci se caractérise par deux saisons bien distinctes :

  • une saison chaude et humide correspondant à l'été austral de novembre à avril. C'est aussi pendant cette période que se manifestent les cyclones tropicaux.
  • une saison plus fraîche et sèche s'étalant de mai à octobre.

Le caractère très montagneux influence grandement le climat de l'île. Ainsi on observe une double dissymétrie :

  • entre la côte ouest très sèche et la côte orientale très arrosée,
  • mais aussi entre le littoral aux températures plus chaudes et les hauts plus tempérés.

Saint-André se situe dans la région de la côte dite "au vent", lui conférant notamment des particularités climatiques, comme un régime de pluies soutenu lié à son exposition directe aux Alizés de secteur Est.

Relevé météorologique de Saint-André (Le Colosse) en 2008
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 22,8 22,9 22,3 21 19,2 17,5 16,5 17 18,7 19,5 21,1 21,8 20
Température maximale moyenne (°C) 30 29,6 29,1 29,7 27,2 25,4 24,5 25,1 26,1 27 29,5 30,2 27,8
Source : Bulletin climatique 2008, Météo France
Cumul mensuel moyen des précipitations (1971-2000) sur la station du Colosse
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Précipitations (mm) 362 421 356 273 178 132 134 124 81 77 104 251 2 493
Source : Météo-France

La moyenne des précipitations annuelle sur le littoral saint-andréen varie de 2200 à 2 900 mm (les hauts peuvent en recevoir près de 6 000 mm). De ce point de vue, le secteur est une zone dite pluvieuse, intermédiaire entre les zones très pluvieuses de la côte Est de l’île, avec plus de 3 mètres de précipitations annuelles en moyenne, et les zones peu pluvieuses de la côte Ouest, accusant un déficit hydrique chronique, avec une pluviométrie moyenne annuelle inférieure à 1 mètre (seulement 447 mm à la Pointe des Trois Bassins). À titre de comparaison, la moyenne annuelle des précipitations à Paris est d'environ 600 mm.

Néanmoins, la durée d'insolation demeure élevée, plus particulièrement sur la frange littorale, avec une moyenne annuelle comprise entre 2200 et 2500 h/an[1].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-André est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-André, une agglomération intra-départementale regroupant 1 commune[5] et 57 150 habitants en 2021, dont elle est une ville isolée[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Denis, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 6 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 habitants à moins de 700 000 habitants[8],[9].

La commune, bordée par l'océan Indien au nord-est, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[10]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[11],[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Cet espace compris entre la rivière Saint-Jean et la rivière du Mât est peuplé dès le milieu du XVIIe siècle. En effet, les premiers exilés sont reclus à Bourbon en 1646 par monsieur PROMIS, gouverneur du Comptoir français de Fort-Dauphin, pour mettre un frein à leurs ardeurs mutines. Débarqués du Saint Laurent, ils sont installés dans le quartier des Français, sur les bords de la rivière Saint-Jean. La région de Saint-André a donc historiquement vu débarquer les premiers Français[13].

En 1704, quatre familles sont signalées mais le nombre d’habitants stagne autour d’une trentaine de Blancs et d’esclaves[14]. À partir de 1718, la croissance démographique est amorcée. De nombreuses cultures se développent : thé, café, manioc, tabac, maïs, girofle, riz, vanille et blé. Ces terres fertiles valent à la région l’appellation de « Beau Pays ». Saint-André est avec Sainte-Suzanne un des quartiers du canton Nord-Est (dans le district du Vent, qui rassemble tous les cantons entre Saint-Denis et Sainte-Rose).

Le quartier est érigé en paroisse en 1766. Celle-ci célèbre dans l’enthousiasme révolutionnaire l’élection de sa première municipalité le [15]. Paradoxalement, la commune de Saint-André est à cette époque l’un des bastions contre-révolutionnaires et le lieu de la contestation des arrêtés de l’Assemblée coloniale de Saint-Denis. Les historiens parlent de « chaos » pour désigner cette « crise saint-andréenne ». Elle atteint son paroxysme avec la disparition de la commune, dont le territoire est partagé entre Sainte-Suzanne et Saint-Benoît.

L’église Saint-André, construite en 1751, est rasée en 1795 sur ordre de l'Assemblée coloniale. Un an plus tard, cette assemblée autorise la reconstitution de la paroisse par arrêtés des 21 et . La reconstitution est effective dès 1797 ; la paroisse demeure cependant sans église et sans curé jusqu’en 1817, date de l’arrivée du Père Minot, qui lance la construction d’une nouvelle église (bénie en , consacrée par Mgr Desprez en 1852).

Dans la première moitié du XIXe siècle, la région se couvre de champs de canne à sucre, d’usine sucrières et de grandes habitations comptant parmi les plus riches de la colonie. La culture de la vanille se développe également rapidement dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Après l’abolition de l’esclavage en 1848, cette région de production attire de nombreux travailleurs engagés en provenance du sud de l’Inde, les Malbars. Au début du XXe siècle, la ville compte 10 111 habitants et s’étend sur 5 600 hectares.

De ce fait, la commune bénéficie d’une empreinte et une identité agricoles fortes avec les usines de Bois‐Rouge, Ravine creuse, Menciol, Désert, Colosse, marquant le paysage saint‐andréen et notamment par la culture et l’industrie de la canne ainsi que celle de la vanille. Saint‐André connaîtra la dernière période de détachement de son territoire par la création de la commune de Salazie en 1899 et aura ses contours administratifs inchangés jusqu’alors.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1948 Hervé Grondein CRADS Notaire
1948
(décès)
Raymond Vergès PCF Médecin et ingénieur
Député de La Réunion
Marie Gamel   Maire par intérim et conseillère générale de 1949 à 1961
Henri Morange   Industriel
Charles Armand Barau CNIP Ingénieur. Fils d'Armand maire de St Denis et frère d'Yves maire de Ste Marie
Conseiller général du canton de Saint-André-2
Henri Morange    
Jean Ramassamy DVD Conseiller général du canton de Saint-André-1 (1955 → 1967)
[16] Sully Dubard [17] DVD Médecin
Edelbert Nativel DVD  
Jean-Paul Virapoullé UDF-CDS
puis UMP
Conseiller en gestion
Député de La Réunion (1986 → 1988)
Député de la 5e circonscription de La Réunion (1988 → 1997)
Sénateur de La Réunion (2001 → 2011)
Conseiller général du canton de Saint-André-2 (1967 → 1986)
Conseiller général du canton de Saint-André-3 (1998 → 2002)
Éric Fruteau PCR Professeur de lycée en détachement
Conseiller général du canton de Saint-André-2 (2004 → 2015)
Président de la CIREST (2011 → 2014)
Jean-Paul Virapoullé UDI Conseiller en gestion
Président de la CIREST (2014 → 2020)
en cours Joé Bédier   Contrôleur à la CAF
Président de la CIREST (2023 → 2026)

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1961, premier recensement postérieur à la départementalisation de 1946. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[18],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 57 150 habitants[Note 4], en augmentation de 2,55 % par rapport à 2015 (La Réunion : +2,4 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1961 1967 1974 1982 1990 1999 2006 2011 2016
19 25522 09425 23130 07535 04943 17451 81755 09055 628
2021 - - - - - - - -
57 150--------
De 1961 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Insee de 1968 à 2006[19] puis à partir de 2006[20])
Histogramme de l'évolution démographique

La croissance démographique de Saint-André est constante depuis la deuxième moitié du XXe siècle, mais elle connaît une accélération plus franche à partir du début des années 1990. En effet la commune a vu son taux d'accroissement annuel moyen augmenter de 1,9 % (1982‐1990) à 2,6%(1999‐2006). Le dynamisme démographique de Saint‐André repose majoritairement sur un fort taux de croissance naturel, lié à la jeunesse de sa population (la tranche d'âge des moins de 15 ans représentent 28 % de la population). Cependant, on observe globalement depuis les années 1990, un solde migratoire largement positif, qui coïncide avec l'ouverture de la 2x2 voies entre Saint-Denis et Saint-André, la mettant à 15 minutes du chef-lieu.

Saint-André est aujourd'hui la 5e ville la plus peuplée du département, derrière Saint-Denis, Saint-Paul, Saint-Pierre et Le Tampon. Elle est également la plus importante de la Cirest, représentant environ 45 % de l'intercommunalité. Elle devrait continuer sa croissance démographique pour atteindre 70 000 habitants à l'horizon 2025[21].

Infrastructures[modifier | modifier le code]

L'entrée du collège Joseph-Bédier.

On trouve sur le territoire communal six collèges :

  • Le collège public Joseph-Bédier.
  • Le collège public de Cambuston.
  • Le collège public de Mille-Roches, qui comptait 1 400 élèves à la rentrée 2005 et qui est considéré comme le plus gros collège de France.
  • Le collège privé Sainte-Geneviève.
  • Le collège public Terrain-Fayard, qui comptait 951 élèves à la rentrée 2005.
  • Le collège public Chemin-Morin.

On y trouve par ailleurs trois lycées publics :

  • Le lycée professionnel Jean-Perrin, qui comptait 1 085 élèves à la rentrée 2005.
  • Le lycée d'enseignement général et technologique Sarda-Garriga, qui comptait 1 561 élèves à la rentrée 2005.
  • Le lycée d'enseignement général et technologique Saint-André III devenu lycée Mahatma-Gandhi en 2007.

Et une école d'informatique :

EDF teste à Bras des Chevrettes une batterie géante d'une capacité de 1 mégawatt. La batterie, construite par le japonais NGK mesure 15 m de long, pour 2,5 de large et 5 de haut[22]. Le but est de pouvoir stocker l'électricité produite par l'énergie éolienne et solaire sur l'île et la redistribuer lors de pics de consommation.

Monuments et tourisme[modifier | modifier le code]

La commune compte depuis quelques années un parc de loisirs en plein air, le parc du Colosse. Aménagé sur d'anciens terrains consacrés à la culture de la canne à sucre, il attire des familles de tout l'Est de La Réunion.

Lieux de culte[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

Sites naturels[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

Sportifs célèbres[modifier | modifier le code]

  • Jessi Ferrère, championne du monde de force athlétique en 1994, 1995 et 1996.
  • Jean-Bernard Périta, champion du monde des mouches de savate boxe française en 1995 et 1999 et d’Europe en 1994, 1996 et 1998. Cinq fois champion de France.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Méteo France, Atlas climatique de la Réunion,
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Saint-André », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Denis », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  11. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Site officiel de la ville de Saint-André (Ile de la Réunion) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saint-andre.re (consulté le ).
  14. Le Patrimoine des Communes de La Réunion, Saint-André par Corine Masson, éditions FLOHIC, 2000, 509 pages, (ISBN 2-84234-085-X)
  15. Histoire d'une révolution, La Réunion (1789-1803), par Claude Wanquet, 3 tomes, Éditions Jeanne Laffitte, 1984.
  16. Le scrutin de décembre 1967 est annulé par le Conseil d’État, de nouvelles élections sont organisées.
  17. Fiche biographique de DUBARD Sully, sur reunionnaisdumonde.com
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  20. pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  21. « Site officiel de la ville de Saint-André (Ile de la Réunion) »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur saint-andre.re (consulté le ).
  22. "La Réunion : EDF teste une batterie géante" de Bernard Grollier, Les Échos, page 14, 12 juillet 2010.
  23. « Eglise paroissiale Saint-André », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Eglise paroissiale Saint-Nicolas », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Immeuble dit " salle Jeanne d'Arc " », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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