Lanta

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Saint-Anataly)

Lanta
Lanta
La mairie
Blason de Lanta
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité CC des Terres du Lauragais
Maire
Mandat
Rémi Diaz
2022-2026
Code postal 31570
Code commune 31271
Démographie
Gentilé Lantanais, Lantanaises
Population
municipale
2 220 hab. (2021 en augmentation de 14,61 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 37″ nord, 1° 39′ 20″ est
Altitude Min. 159 m
Max. 275 m
Superficie 30,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revel
Législatives 10e circonscription de la Haute-Garonne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Lanta
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Lanta
Géolocalisation sur la carte : Haute-Garonne
Voir sur la carte topographique de la Haute-Garonne
Lanta
Géolocalisation sur la carte : Occitanie
Voir sur la carte administrative d'Occitanie
Lanta
Liens
Site web https://www.lanta.fr/

Lanta est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Saune, la Sausse, la Seillonne, le Dagour et par divers autres petits cours d'eau.

Lanta est une commune rurale qui compte 2 220 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Lantanais ou Lantanaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Lanta se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 18 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 30 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Sur le plan historique et culturel, Lanta fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[3].

La superficie de la commune de Lanta est de 3 012 hectares et son altitude varie de 159 à 275 mètres[4]. sur les coteaux du Lauragais.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lanta est limitrophe de neuf autres communes. Les communes limitrophes sont Bourg-Saint-Bernard, Aurin, Caraman, Préserville, Prunet, Sainte-Foy-d'Aigrefeuille, Saint-Pierre-de-Lages, Saussens et Vallesvilles.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Lanta.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par la Saune, la Sausse, la Seillonne, le Dagour, le ruisseau de l'Avelanet, le ruisseau d'en Curse, le ruisseau de Saint-Pierre, le ruisseau des Bassouas, le ruisseau des Perrots et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 43 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Saune, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune de Vaux et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 18 communes[8].

La Sausse, d'une longueur totale de 22,1 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 11 communes[9].

La Seillonne, d'une longueur totale de 24,1 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Sausse à L'Union, après avoir traversé 11 communes[10].

Le Dagour, d'une longueur totale de 10,2 km, prend sa source dans la commune de Caraman et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Verfeil, après avoir traversé 6 communes[11].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 766 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 5,5 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ségreville à 10 km à vol d'oiseau[14], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 747,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[18],[19],[20].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lanta est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[21],[I 2],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,5 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (2,3 %), forêts (0,6 %), eaux continentales[Note 3] (0,5 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Le hameau de Saint-Anatoly.

Saint-Anatoly, Sainte-Apollonie,

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 922, alors qu'il était de 798 en 2013 et de 676 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 89,8 % étaient des résidences principales, 1,6 % des résidences secondaires et 8,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Lanta en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Garonne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,6 %) inférieure à celle du département (4,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,4 % en 2013), contre 52,3 % pour la Haute-Garonne et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Lanta en 2018.
Typologie Lanta[I 5] Haute-Garonne[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 89,8 88,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,6 4,4 9,7
Logements vacants (en %) 8,6 7,3 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel relie le centre de la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Lanta est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sausse, la Seillonne et le Dagour. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1996, 1999, 2000 et 2009[26],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lanta.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 776 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 716 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[27],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[28].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2002, 2003, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La localité est appelée en occitan : Lantar.

Lanta est un mot occitan masculin ou féminin qui signifie pastel sauvage[29]. Le Lantarès est la région où l'on produisait le pastel. La production du pastel était une des principales richesses de la région toulousaine. L'hôtel d'Assézat dont la construction a débuté en 1555 en est le plus beau témoin à Toulouse. Pierre d'Assézat qui en a ordonné la construction était un riche industriel textile (pastelier). Non loin de Lanta se trouve Labastide-Beauvoir où étaient installés les établissements de production du pastel appartenant à Monsieur Beauvoir. Un chemin nommé Lantarèse conduit de Baziège à Labastide-Beauvoir. Baziège était sur la voie romaine allant de Narbonne à Toulouse. Ce chemin Lantarèse passe par deux hameaux très proches l'un de l'autre Côte Vielle et Lantarèse. Le premier toponyme suggère que ce chemin existait du temps des Romains et n'a pris son nom occitan que plus tard vraisemblablement à l'époque où la production du pastel a pris son essor.

Histoire[modifier | modifier le code]

Lanta et le Lantarès ont une longue histoire ; un village situé près de Lanta (aujourd'hui disparu) s'appelait Bonac et était chef-lieu d'une baillie[30].

La région de Lanta est un haut lieu du catharisme (XIIe et XIIIe siècles) et du protestantisme ({{S-{XVI|XVII}}s) ; la tête du catharisme repose sur la puissante famille hérétique des Hunaud de Lanta dont le château primitif était situé un peu au nord de l’église actuelle.

Les Hunaud sont célèbres dans l’histoire médiévale du Lauragais ; ils sont cathares convaincus et fidèles soutiens des comtes de Toulouse Raymond VI et Raymond VII durant la Croisade contre les cathares déclenchée par l’Église catholique romaine (1209-1229) ; plusieurs Hunaud ont participé à la victoire des Occitans à Baziège (1219).

Une femme de la famille est en quelque sorte le symbole des femmes cathares du Lauragais qui ont joué un rôle décisif dans l’essor de la nouvelle religion des « Bonnes Femmes » ; elle s’appelait Marquésia de Fourquevaux, village proche où elle était née ; elle épouse un Hunaud de Lanta ; sa fille est Corba qui épouse en 1205 Raimond de Péreille, seigneur et chef militaire de la citadelle cathare de Montségur ; sa petite-fille est Esclarmonde de Péreille. Les trois femmes, de trois générations, meurent dans les flammes du bûcher du , après la chute du château entre les mains de l’armée royale. Les Hunaud sont également les chefs du soulèvement protestant de mars 1562, à Toulouse.

Caraman et une vingtaine de villages des environs formèrent une vicomté, puis un comté autonome en 1484 ; ce comté est, de 1321 à 1670, sous la domination des descendants de Pierre Duèze frère du pape d’Avignon Jean XXII, puis de 1670 jusqu’à la Révolution française de 1789, le comté appartient aux descendants de Pierre-Paul Riquet, le créateur du canal du Midi, appelé alors le Canal royal du Languedoc : Pierre Duèze, né à Cahors, achète la vicomté de Caraman le moyennant 35 000 "petites livres tournois" ; un descendant, Paul d’Escoullan de Monluc de Foix, vend le comté et la baronnie de Saint-Félix le à Pierre-Paul Riquet qui devient ainsi comte de Caraman ; son arrière-petit-fils Victor de Riquet épouse une Marie Anne d’Alsace Hénin-Liétard, princesse de Chimay. En 1981, une princesse de Chimay est venue à Caraman et à Revel pour les cérémonies du Tricentenaire du Canal.

Les grandes familles de l’aristocratie méridionale se sont donc intéressées à ces terres de Lanta et de Caraman, témoignage de leur richesse proverbiale[31]. En , les royalistes s’en emparent dans leur tentative de prendre Toulouse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Toulouse du département de la Haute-Garonne.

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Lanta[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Revel

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Lanta, jusqu'alors commune isolée, rejoint le dans le cadre des prescriptions de la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010, qui a prévu le renforcement et la simplification des intercommunalités et la constitution de structures intercommunales de grande taille, la communauté de communes Cœur Lauragais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes des Terres du Lauragais, dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Haute-Garonne, la liste DVG menée le maire sortant par Marc Mengaud obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 652 voix (60,87 %, 16 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant largement celle DVD menée par Frédéric Castelle, qui a recueilli 419 voix (39,12 %, 3 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 20,10 % des électeurs se sont abstenus[33]

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 en Haute-Garonne, la liste menée par le maire sortant Marc Mengaud obtient à nouveau la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 633 voix (61,81 %, 16 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[34] :
- Rémi Diaz (295 voix, 28,80 %, 3 conseillers municipaux élus) ;
- Frédéric Castelle (96 voix, 9,37 %, pas d'élus).
Lors de ce scrutin marqué par la Pandémie de Covid-19 en France, 34,01 % des électeurs se sont abstenus.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants étant compris entre 1 500 habitants et 2 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de dix-neuf, y compris le maire et ses adjoints[35].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Joseph Jean Jacques André de Laplagnolle   Propriétaire
Conseiller général de Lanta (1848 → 1871)
Les données manquantes sont à compléter.
1959 1989 François Couranjou FGDS
puis PS
Suppléant du député Georges Delpech (1967 → 1968)
mars 1989 octobre 2022[36],[37],[38] Marc Mengaud DVG Fonctionnaire
Vice-président de la CC des Terres du Lauragais (2017 → 2022)
Vice-président du Syndicat d’énergie de la Haute-Garonne ( ? → 2022)
Démissionnaire d'office
octobre 2022[39] En cours
(au 16 février 2023)
Rémi Diaz    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIPOM (syndicat mixte de Revel)[40].

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lanta fait partie de l'académie de Toulouse.

L'éducation est assurée sur la commune par un groupe scolaire école maternelle et élémentaire.

Puis le collège les Roussillous situé sur la commune voisine de Saint-Pierre-de-Lages en limite de la commune de Lanta.

Santé[modifier | modifier le code]

Centre médical[Quand ?],

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Médiathèque, foyer rural, maison des jeunes[41],

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[43].

En 2021, la commune comptait 2 220 habitants[Note 4], en augmentation de 14,61 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4001 4551 4631 4751 6401 7051 7051 7291 760
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7101 6651 6241 5251 4661 4491 4051 3311 326
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2441 1871 169952991971975989972
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
9138749081 0261 1441 1751 3371 4161 601
2014 2019 2021 - - - - - -
1 8402 1552 220------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[45] 1975[45] 1982[45] 1990[45] 1999[45] 2006[46] 2009[47] 2013[48]
Rang de la commune dans le département 83 104 119 110 122 122 117 114
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La vie culturelle et festive de Lanta est relativement riche. La fête du village, organisée traditionnellement par le comité des fêtes, se déroule le 1er weekend de juillet.

Parmi les différentes manifestations qui s'échelonnent sur l’année, il y a deux événements majeurs.

Vers mars ou avril se tient le festival de BD et jeunesse organisé par l’association LantaBulles[49]. Bien que récent, il connaît une belle notoriété grâce à la présence d’auteurs de renom dont le Lantanais Marc N'Guessan et son proche voisin et ami Serge Carrère.

Puis, en novembre, c’est la fête de la soupe, organisée par l’association La Solédra[50] qui réunit un vaste public autour des stands abritant les faiseurs de soupes. Cette manifestation met en scène le concours de la meilleure soupe mais aussi du plus beau décor de stand. La soirée, jalonnée d’animations de rue, offre une place de choix à la musique et au spectacle de feu qui clôt la fête.

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Football, tennis, pétanque, chasse, terrain multisports, skate park[51],

Projet de club/école de rugby, qui serait associé en regroupement avec un club voisin possédant une école de rugby[réf. nécessaire]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 826 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 2 152 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 840 [I 9] (23 140  dans le département[I 10]). 61 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 6] (55,3 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 11] 5,3 % 6,4 % 4,9 %
Département[I 12] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 13] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 347 personnes, parmi lesquelles on compte 82 % d'actifs (77,1 % ayant un emploi et 4,9 % de chômeurs) et 18 % d'inactifs[Note 7],[I 11]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 14]. Elle compte 319 emplois en 2018, contre 347 en 2013 et 276 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 1 057, soit un indicateur de concentration d'emploi de 30,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 69,1 %[I 15].

Sur ces 1 057 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 139 travaillent dans la commune, soit 13 % des habitants[I 16]. Pour se rendre au travail, 91,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 3,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 17].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

185 établissements[Note 8] sont implantés à Lanta au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[I 18].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 185 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
17 9,2 % (5,7 %)
Construction 36 19,5 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
31 16,8 % (25,9 %)
Information et communication 4 2,2 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 7 3,8 % (3,8 %)
Activités immobilières 10 5,4 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
32 17,3 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
35 18,9 % (16,6 %)
Autres activités de services 13 7 % (7,9 %)

Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 19,5 % du nombre total d'établissements de la commune (36 sur les 185 entreprises implantées à Lanta), contre 12 % au niveau départemental[I 19].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :

  • Eco Systeme Energie, travaux d'installation d'équipements thermiques et de climatisation (483 k€)
  • SARL Leleu, réparation d'ordinateurs et d'équipements périphériques (479 k€)
  • Leleu - Sis, travaux d'installation électrique dans tous locaux (231 k€)
  • Alytec Diffusion, commerce de gros (commerce interentreprises) non spécialisé (166 k€)
  • BJ Services, construction de maisons individuelles (155 k€)

L'agriculture basée sur la culture de céréales (maïs, blé…) a encore une place importante mais tend à diminuer en faveur de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque Lanta se trouve dans son aire urbaine.

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[53]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 54 38 27 25
SAU[Note 11] (ha) 2 305 2 147 1 871 1 609

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 54 lors du recensement agricole de 1988[Note 12] à 38 en 2000 puis à 27 en 2010[55] et enfin à 25 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 54 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[56],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 305 ha en 1988 à 1 609 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 43 à 64 ha[55].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La mairie-école, œuvre de l’architecte Jacques-Jean Esquié
  • Église Notre-Dame-de-l'Assomption
  • Église Sainte-Apollonie (hameau de Sainte-Apollonie)
  • Église Saint-Sernin (hameau Sanissac)
  • Église Saint-Anatoly, au hameau Saint-Anatoly[57] :
    Mentionnée dès le Xe siècle comme rattachée au monastère de Saint-Sernin de Toulouse. En 1596, l'édifice dédié à saint Abdon et saint Sennen est brûlé par les protestants. L'église est plusieurs fois restaurée notamment en 1849 par les soins de l'architecte toulousain Urbain Vitry.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Lanta Blason
Parti : au premier d'azur à la lettre L capitale d'argent, au second de gueules aux trois fasces d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[54].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Lanta » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Lanta » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lanta - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Lanta - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Garonne - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Lanta » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  11. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lanta » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  15. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lanta » (consulté le ).
  16. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  17. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lanta » (consulté le ).
  19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Lanta et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Lanta et Revel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
  4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Lanta », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « la Saune »
  9. Sandre, « la Sausse »
  10. Sandre, « la Seillonne »
  11. Sandre, « le Dagour »
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Lanta et Ségreville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Ségreville » (commune de Ségreville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Ségreville » (commune de Ségreville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Liste des espaces protégés sur la commune de Lanta », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Lanta », sur Géorisques (consulté le ).
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans la Haute-Garonne », sur haute-garonne.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lanta », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  29. (oc) Gui Benoèt, Mond Occitan Las Plantas Lexic, IEO.
  30. Source : Jean Odol et Philippe Carbone (professeurs de l'Université Toulouse II-Le Mirail)
  31. Données issues du site : http://www.couleur-lauragais.fr/pages/journaux/2003/cl51/Balades.htm
  32. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. « HAUTE GARONNE (31) - Lanta », Résultats des élections municipales et communautaires 2014, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  34. « Haute-Garonne (31) - Lanta », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  35. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
  36. Marion Chantreau, « Le président de la chambre d'agriculture de Haute-Garonne et le maire de Lanta condamnés : Le tribunal correctionnel de Toulouse a condamné, ce lundi 3 octobre, le président de la chambre d'agriculture de Haute-Garonne pour infractions aux règles d'urbanisme. Son oncle, maire de la commune de Lanta dans le Lauragais, est lui aussi condamné pour prise illégale d'intérêt », France Bleu Occitanie,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Paul Halbedel, « Lanta : quelles conséquences à la démission d'office du maire Marc Mengaud après sa condamnation ? : Marc Mengaud n'est plus maire de Lanta après sa condamnation, lundi 3 octobre, par le tribunal correctionnel de Toulouse. Le premier adjoint, Laurent Leleu, va assurer l'intérim », Voix du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Reconnu coupable de prise illégale d’intérêt ce lundi 3 octobre par le tribunal correctionnel de Toulouse, Marc Mengaud est contraint de quitter sa fonction à la tête du conseil municipal de Lanta. Un poste qu’il occupait depuis 1989, après avoir dirigé durant deux mandats la commune d’Albiac ».
  38. Paul Halbedel, « Lanta : Serge Bouscatel et Marc Mengaud font appel de leur condamnation : Condamnés lundi 3 octobre 2022 par le tribunal correctionnel de Toulouse, les désormais anciens président de la Chambre d'agriculture et maire de Lanta ont fait appel du jugement. », Voix du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Serge Bouscatel a écopé en première instance d’une peine de 10 mois d’emprisonnement avec sursis, d’une amende de 10 000 € et d’une privation de ses droits à l’éligibilité pour une période de trois ans et demi ».
  39. Paul Halbedel, « Coup de théâtre à Lanta où la majorité installe le chef de file de l'opposition au poste de maire : Réunis en conseil municipal vendredi 28 octobre 2022, les élus de Lanta ont élu Rémi Diaz à la tête de la municipalité. Il était, jusque-là, le chef de file du groupe d'opposition », Voix du Midi,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A la tête de l’une des deux listes battues lors des Municipales de mars 2020 et chef de file du groupe d’opposition au conseil municipal depuis cette date, Rémi Diaz est devenu maire de Lanta, vendredi 28 octobre, grâce au soutien des élus de la majorité municipale ».
  40. « Accueil », sur SIPOM de Revel (consulté le ).
  41. https://www.lanta.fr/culture/
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  46. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  47. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  48. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  49. LANTABULLES
  50. SOLEDRA
  51. https://www.lanta.fr/equipements-sportifs/
  52. « Entreprises à Lanta », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  53. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  54. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  55. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lanta - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  56. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département de la Haute-Garonne » (consulté le ).
  57. « Saint-Anatoly », sur Mairie de Lanta (consulté le ).