Saint-Amand-en-Puisaye

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Saint-Amand-en-Puisaye
Saint-Amand-en-Puisaye
L’école.
Blason de Saint-Amand-en-Puisaye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
Intercommunalité Communauté de communes de Puisaye-Forterre
Maire
Mandat
Gilles Reverdy
2020-2026
Code postal 58310
Code commune 58227
Démographie
Gentilé Saint-Amandois ou Amandinois
Population
municipale
1 218 hab. (2021 en diminution de 6,09 % par rapport à 2015)
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 31′ 47″ nord, 3° 04′ 31″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 284 m
Superficie 41,51 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Pouilly-sur-Loire
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.saint-amand-en-puisaye.fr

Saint-Amand-en-Puisaye est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté. Elle est labellisée Cité de Caractère de Bourgogne Franche-Comté depuis 2019.

Ses habitants sont appelés les Saint-Amandois[1], ou les Amandinois[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

La ville est située sur la rive gauche de la Vrille. La moitié de la superficie de la commune est constituée de forêt de chênes, notamment par la forêt de Saint-Fargeau.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Amand-en-Puisaye
Lavau
(Yonne)
Saint-Fargeau (Yonne) Moutiers-en-Puisaye
(Yonne)
Arquian Saint-Amand-en-Puisaye Treigny
(Yonne)
Saint-Vérain Bitry Dampierre-sous-Bouhy

Transports[modifier | modifier le code]

Jusqu'à la Seconde Guerre mondiale, la ville était desservie par un train en voie métrique appelé « le Tacot » (locomotives de type Corpet-Louvet) qui servait notamment à acheminer les poteries vers la gare de Cosne-sur-Loire (elles y étaient alors transbordées vers d'autres wagons pour voies normales) et serpentait à travers la campagne via Saint-Vérain (la gare se trouve toujours là, au bout de la rue de la gare). La faible rentabilité du transport voyageur et les 55 passages à niveau non protégés ont conduit au démontage intégral de cette ligne dont l'ouvrage le plus impressionnant était le viaduc en fer de Cosne-sur-Loire.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye à 12 km à vol d'oiseau[5], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 870,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,2 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Amand-en-Puisaye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47 %), prairies (37,5 %), terres arables (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

La ville fut tout d’abord nommée Paciolus depuis l’Antiquité, pour devenir Poiseia en 1147, puis Puiseio en 1161, Pulegia en 1218.

De 1314 à 1509, elle a successivement pris les noms de Posoye, Puiseya, Puisoye, pour finir en 1509 par l’appellation que nous lui connaissons aujourd’hui, Puisaye.

Puisaye, alias Saint-Amand, relevait des maîtres de la Puisaye, les sires de Toucy[16],[17],[18] ; l'héritière Jeanne de Toucy († 1317), fille de Jean de Toucy et Emma de Laval, transmit ses biens à son mari Thiébaut II de Bar († 1291), épousé en 1266. Saint-Amand échut ensuite à leur fils cadet, Erard de Bar († 1335) sire de Pierrepont et d'Ancerville, marié à Isabelle de Lorraine, puis à la benjamine de ces derniers, Henriette de Bar-Pierrepont, qui épousa vers 1359 Henri de Lützelstein (La Petite-Pierre)[19].

Les Lützelstein ne parvinrent pas à se maintenir à Puisaye (même si en avril 1373 Charles V ordonne qu'Henriette de Bar et de son mari Henri soient remis en possession de cette terre[20]), qui passa à la descendance d'une nièce d'Henriette, Yolande de Bar-Pierrepont, femme d'Eudes VII de Grancey : ainsi, Blanche d'Aumont[21],[22] († 1530), fille de Jacques Ier d'Aumont et Catherine d'Estrabonne & Nolay, et petite-fille paternelle de Jean IV Hutin d'Aumont et Yolande de Châteauvillain, est dame de St-Amand ; elle épouse vers 1477/1478 François de Rochechouart de Chandeniers (1450-1530), sire de Javarzay[23],[24], gouverneur de Gênes pour Louis XII, sénéchal de Toulouse ; leur fils cadet Antoine de Rochechouart-Faudoas (1486-† à Cérisoles), marié à Catherine de Faudoas, chambellan-échanson du roi, sénéchal de Toulouse, construit le château Renaissance.

Le fils d'Antoine, Charles de Rochechouart baron de Faudoas et de St-Amand, laisse deux filles de sa femme Françoise de Maricourt de Mouchy[25], dame de Sérifontaine, qui exercent la co-seigneurie de St-Amand : - Marie-Claude (x 1571 Léonor Chabot de Jarnac[26]) ; et - Charlotte de Rochechouart (x Gilles du Breuil de Théon).

  • À la génération suivante, on trouve comme co-barons de St-Amand : - Claude Chabot de Jarnac, mariée à son grand-cousin Aloph III Rouault, seigneur de Thiembronne et de Sérifontaine, arrière-arrière-petit-fils du maréchal Joachim, et fils de Nicolas Rouault de Gamaches et Claude de Maricourt, la propre sœur cadette de Françoise de Maricourt ; et - Marguerite du Breuil de Théon, épouse en 1602 de Claude de Bourdeilles de Matha[27] (tué en 1622 au siège de Royan ; par ailleurs cousin issu de germain de Louis de Vivonne de La Châtaigneraie, le 1er mari d'Eléonore Chabot, sœur aînée de Claude Chabot et donc autre fille de Marie-Claude de Rochechouart et Léonor Chabot).
    • Encore une génération, et la baronnie est réunifiée, car Claude Rouault, fille d'Aloph et Claude Chabot, marie son cousin issu de germains Henri Cigneroc de Bourdeilles de Matha[28]. (Pour parfaire l'enchevêtrement familial, veuf de Claude Chabot dès ou avant 1620, Aloph Rouault s'était remarié en 1627 avec Marguerite du Breuil de Théon, veuve en 1622 de Claude de Matha : d'où Louise-Henriette Rouault, femme de François de Bullion).

Mais en 1659, le cardinal Mazarin (1602-1661) achète le duché de Nevers (ou du Nivernais) et la seigneurie de St-Amand, hérités ensuite par son neveu Philippe Mancini (1641-1707) puis son petit-neveu Philippe-Jules-François Mancini (1676-1768).

Léonard Guyot de Montchougny (né en 1662-† en 1731), secrétaire du Roi, Receveur Général des Aides et Domaines, achète la terre de St-Amand en 1710 et ses descendants[29], faits marquis de Saint-Amand en 1760, conservent le château et le domaine jusqu’en 1896.

Poterie[modifier | modifier le code]

Spécialisée dans la poterie depuis le XIVe siècle, et grand centre de la poterie au XVIe siècle, Saint-Amand-en-Puisaye bénéficie d'un sol offrant une argile exceptionnelle.

Le Musée du grès expose des grès traditionnels ainsi que des œuvres du sculpteur et potier Carriès et des artistes de l’école de Carriès.

La ville a acquis le label Villes et Métiers d'Art et organise tous les ans des marchés du grès, y compris du grès contemporain[30].

Le centre international de formation aux métiers d’art et de la céramique (EMA-CNIFOP), est un centre de formation professionnelle qui prépare ou perfectionne aux métiers du grès[31].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1910 1940 Arsène-Célestin Fié PRS Député de 1924 à 1940
1970   M. Richard    
? 2001 M. Camus   Potier
mars 2001 2014 Odile Doreau DVD Retraité
mars 2014 2020 Joël Guémin DVG  
2020 En cours Gilles Reverdy DVG  
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 1 218 habitants[Note 3], en diminution de 6,09 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3281 3601 3941 6471 6901 8061 8452 0772 178
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1812 3312 3572 4482 4282 4452 4962 4462 261
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0992 0722 0531 8311 8041 7391 6901 6541 606
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 4851 4271 3371 3941 3611 3971 3321 3131 278
2018 2021 - - - - - - -
1 2331 218-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Vue d’ensemble du château.

La commune abrite deux monuments historiques : le château et l’église Saint-Amand.

Le château de Saint-Amand-en-Puisaye est un des plus importants châteaux de la Renaissance dans le Nivernais. Il fut reconstruit entre 1530 et 1540 par Antoine de Rochechouart-Chandeniers-Faudoas (1486-1549), fils d'un chambellan du roi François Ier, sur l'emplacement d'une forteresse féodale probablement détruite par le duc de Bourgogne quand celui-ci, en 1402, envahit l'Auxerrois. Le château appartint depuis à la famille Mancini, duc de Nevers. Il a été un temps propriété du comte Nils de Barck, aristocrate suédois, sculpteur et céramiste, puis de Jules Guiraud, gouverneur de la Banque de France. Le château abrite aujourd'hui un musée consacré à la céramique, activité qui fait la renommée de la ville et de ses environs.

Inscrit en 1986, il a ensuite été classé par arrêté du [36].

L’église Saint-Amand a été édifiée au XIIIe siècle et profondément remaniée au XVIe siècle. Des peintures murales, datées sans doute des années 1530, ont été mises au jour lors de travaux de restauration[37]. Elle a été classée par arrêté du [38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Arsène-Célestin Fié (1869-1968)), homme politique français, a été maire et conseiller général de Saint-Amand.
  • Onésime Delafond (1805-1861), vétérinaire, né à Saint-Amand-en-Puisaye.
  • Maurice Miel (1925-), coureur cycliste, né à Saint-Amand-en-Puisaye.
  • Jean-Joseph Carriès (1855-1894), sculpteur et potier, s'est installé et a travaillé quelque temps à Saint-Amand-en-Puisaye.
  • Robert Deblander (1924-2010), potier. Il travaille à Saint-Amand-en-Puisaye depuis 1962.
  • Jean Derval (1925-2010), potier, a appris le métier à Saint-Amand-en-Puisaye.
  • Thomas Cartier (1879-1943) est un sculpteur animalier français qui a travaillé et vécu à Saint-Amand-en-Puisaye.
  • Anne-Marie David (1952-), chanteuse, gagnante du Grand prix de l'Eurovision en 1973, y vit[39].

Galerie[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Saint-Amand-en-Puisaye sur le site www.habitants.fr.
  2. Saint-Amand-en-Puisaye sur le site du canton de Saint-Amand-en-Puisaye.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Saint-Amand-en-Puisaye et Moutiers-en-Puisaye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Moutiers_sapc », sur la commune de Moutiers-en-Puisaye - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. « Saint-Amand, p. 204-206 », sur Revue historique, nobiliaire et biographique, 3e série, t. Ier, dir. Louis Sandret, chez Jean-Baptiste Dumoulin, à Paris, 1876
  17. « Saint-Amand-en-Puisaye, 2015, suivi d'une notice détaillée de 2016 », sur Terres et Seigneurs en Donziais
  18. « Château de St-Amand-en-Puisaye », sur Site de la Ville de St-Amand-en-Puisaye : Historique du château
  19. « Comtes de Bar, p. 6-7 et 11 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2005, 2007 et 2017
  20. « Henri de La Petite-Pierre, fils de Volmar et mari d'Henriette de Bar, p. 496-497, par Ernest Lehr », sur Revue d'Alsace, t. II, à Colmar, 1873
  21. « Maison d'Aumont, p. 4 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2019 et 2021
  22. Yolande de Bar-Pierrepont et Eudes VII de Grancey eurent pour fille Jeanne de Grancey, dame de Louvois (1350-1423), qui épousa en 1405 Jean IV de Châteauvillain : d'où Yolande de Châteauvillain, la femme de Jean IV Hutin d'Aumont, sire d'Aumont, Méru et Chappes, † en 1415 à Azincourt, et la grand-mère paternelle de Blanche d'Aumont, qui suit.
  23. « Rochechouart de Chandenier : branche de St-Amand et Faudoas, p. 536 et 538 », sur Le Grand Dictionnaire historique de Louis Moréri, t. V, chez Jean-Baptiste Coignard, à Paris, 1732
  24. « Maison de Rochechouart, p. 9 et 23 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2006 et 2020
  25. « Jean de Maricourt, père notamment de Françoise de Maricourt », sur Geneanet Pierfit
  26. « Maison Chabot, p. 15 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2015 et 2021
  27. « Seigneurs de Bourdeilles, p. 8 », sur Racines & Histoire, par Etienne Pattou, 2010 et 2020
  28. « Henri Cigneroc de Bourdeilles-Matha et Claude Rouault de Thiembrunne », sur Geneanet Pierfit
  29. Selon le site indexé "Terres et Seigneurs en Donziais", Léonard Guyot de Montchougny est père de Nicolas-Léonard < Antoine-Léonard, gouverneur d'Auxerre < Félicité-Antoinette-Madeleine, épouse Dufraisse, et son frère Vincent Guyot, émigré à Stuttgart sous la Révolution < Antoine-Félix-François (1794-1877) < Antoine-Vincent-Clément-Félix Guyot (1824-1905), qui vend en 1896. Mais pour d'autres sites, l'émigré au Wurtemberg s'appelle Antoine-Léonard Guyot, et desgénérations manquent. Quant à la sœur de l'émigré, Félicité, elle n'émigra pas et par là maintint le domaine dans la famille en évitant qu'il soit déclaré bien national.
  30. La poterie de Saint-Amand, sur le site Nièvre Tourisme.
  31. École sans équivalent en France formant chaque année quelque 400 stagiaires. Source : Xavier Lauprêtre, La Puisaye-Forterre, terre d'accueil des artistes, revue « Pays de Bourgogne » n° 224 de février 2010, pp. 34-36.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Notice no PA00112998, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Site de la Communauté de communes du Puisaye »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  38. Notice no PA00112999, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. la rédaction, « Anne-Marie David, gagnante de l'Eurovision 1973, développe plusieurs projets en Puisaye », sur lejdc.fr, Le Journal du Centre, (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]