Sœurs de Notre-Dame de la Compassion de Marseille
Ne doit pas être confondu avec Congrégation des religieuses de Notre-Dame de la Compassion.
| Sœurs de Notre-Dame de la Compassion de Marseille | |
| Ordre de droit pontifical | |
|---|---|
| Approbation diocésaine | 16 juin 1845 par Mgr de Mazenod |
| Approbation pontificale | 28 juillet 1880 par Léon XIII |
| Institut | congrégation religieuse |
| Type | apostolique |
| Spiritualité | servite |
| But | enseignement, soins des malades, assistance des jeunes travailleurs |
| Structure et histoire | |
| Fondation | 25 juin 1843 Marseille |
| Fondateur | Jean-François Barthès |
| Abréviation | N.D.C. |
| Rattaché à | Servites de Marie |
| Liste des ordres religieux | |
Les Sœurs de Notre-Dame de la Compassion sont une congrégation religieuse féminine enseignante et hospitalière de droit pontifical.
Histoire[modifier | modifier le code]
Arrivé à Marseille en 1843, Jean-François Barthès trouve une communauté de Sœurs de la Sainte Famille de Bordeaux appelées dans la ville par Eugène de Mazenod, évêque de Marseille, pour soigner les malades à domicile et ouvrir une maison pour les jeunes femmes qui quittent la campagne pour travailler comme domestiques. Mgr de Mazenod songe alors à créer une congrégation autonome, entièrement vouée au travail des femmes de ménage, et en confie la tâche à Barthès[1].
Barthès crée la congrégation le 25 juin 1843 à Marseille ; elle est érigée en institut de droit diocésain le 16 juin 1845, le même jour, les douze premiers postulants reçoivent l'habit religieux des mains de l'évêque[1].
Les sœurs obtiennent le décret de louange le 28 juillet 1880 et l'approbation définitive de leurs constitutions le 27 janvier 1930[1]. Elles sont agrégées à l'ordre des Servites de Marie le 7 juin 1992[2].
Activités et diffusion[modifier | modifier le code]
Les sœurs se consacrent à l'enseignement, à l'assistance des jeunes travailleurs et à la prise en charge des malades.
Les sœurs sont présentes en France, au Cameroun et en Italie.
La maison-mère est à Marseille.
En 2017, la congrégation comptait 35 religieuses dans 6 maisons[3].
Galerie[modifier | modifier le code]
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Entrée de la Maiso-mère. -
Jardin de la maison-mère. -
Intérieur de la maison-mère. -
salle de la maison-mère.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- (it) Guerrino Pelliccia et Giancarlo Rocca, Dizionario degli Istituti di Perfezione, vol. VI, Milan, Edizione Paoline, 1974-2003, p. 374-375
- « congrégations religieuses », sur servidimaria.net (consulté le ).
- (it) Annuaire pontifical, Vatican, Librairie éditrice vaticane, (ISBN 978-88-209-9975-9), p. 1571
