Rue de l'Abbé-Grégoire
 6e arrt Rue de l’Abbé-Grégoire
    | |||
| |||
| Situation | |||
|---|---|---|---|
| Arrondissement | 6e | ||
| Quartier | Notre-Dame-des-Champs | ||
| Début | 73, rue de Sèvres | ||
| Fin | 90, rue de Vaugirard | ||
| Morphologie | |||
| Longueur | 372 m | ||
| Largeur | Entre les rues de Sèvres et du Cherche-Midi : 10 m Ailleurs : 12 m |
||
| Historique | |||
| Dénomination | 4 novembre 1880 | ||
| Ancien nom | Passage du Manège Rue des Missions Rue Saint-Maur-Saint-Germain |
||
| Géocodification | |||
| Ville de Paris | 0008 | ||
| DGI | 0010 | ||
| Géolocalisation sur la carte : Paris
Géolocalisation sur la carte : 6e arrondissement de Paris
| |||
 Images sur Wikimedia Commons |
|||
modifier  |
|||
_-_2021-07-30_-_1.jpg)
La rue de l’Abbé-Grégoire est une rue du 6e arrondissement de Paris.
Situation et accès[modifier | modifier le code]
Longue de 372 mètres, elle commence 73, rue de Sèvres et finit 90, rue de Vaugirard.
Le quartier est desservi par la ligne 10 à la station Vaneau et par la ligne 12 à la station Rennes.
Origine du nom[modifier | modifier le code]
Elle tient son nom actuel de l'abbé Henri Grégoire (1750-1831), évêque constitutionnel de Blois parce que cet abbé est mort dans une maison voisine au no 44 de la rue du Cherche-Midi[1],[2].
Historique[modifier | modifier le code]
La partie comprise entre la rue de Sèvres et la rue du Cherche-Midi, qui était appelée « rue Saint-Maur-Saint-Germain » et plus simplement « rue Saint-Maur », en mémoire d'un des principaux disciples de saint Benoît, a été ouverte à la suite d'une vente faite par l'abbaye de Saint-Germain-des-Prés le .
Elle a porté les noms de « passage du Manège » en 1816, « rue des Missions » en 1868 à cause de sa proximité avec le séminaire des Missions Étrangères[2].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]
- No 7 : sous-station Vanneau de la RATP, construite par l'architecte Paul Friesé.
- No 8, 10 et 12 : maison-mère des sœurs de l'Enfant Jésus dite aussi Dames de Saint-Maur, fondée en 1662 par le père Nicolas Barré[3].
- No 9 : le peintre et graveur Nicolas Toussaint Charlet y décède en 1845.
- No 17 : le médecin René-Théophile-Hyacinthe Laennec y vécut de 1825 à 1826 ; une plaque lui rend hommage.
- No 28 : école Grégoire-Ferrandi, construite par l'architecte Marcel Henri Albert Dastugue, en 1960.
-
No 7 : sous-station Vanneau. -
No 12.
-
No 17 : plaque. -
No 28 : école Ferrandi.
Notes et références[modifier | modifier le code]
- Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Éditions de Minuit, p. 61.
- Gustave Pessard : Nouveau dictionnaire historique de Paris
- Collectif, Les Maîtresses Charitables du Saint Enfant Jésus, pour l'exposition Vaticane des Missions, 1924, Dornach, Braun & Cie, 1925, 158 p., nb illustrations.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Charles Lefeuve, Histoire de Paris, rue par rue, maison par maison, Paris, 1875.
