Rue Asseline

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14e arrt
Rue Asseline
Voir la photo.
La rue en août 2021.
Voir la plaque.
Situation
Arrondissement 14e
Quartier Plaisance
Début 12, rue Maison-Dieu
Fin 143, rue du Château, et 25, rue Édouard-Jacques
Morphologie
Longueur 130 m
Largeur m
Historique
Création Avant 1845
Dénomination 1904
Ancien nom Avenue du Château
Villa Sainte-Alice
Rue Sainte-Alice
Géocodification
Ville de Paris 0468
DGI 0501
Géolocalisation sur la carte : Paris
(Voir situation sur carte : Paris)
Rue Asseline
Géolocalisation sur la carte : 14e arrondissement de Paris
(Voir situation sur carte : 14e arrondissement de Paris)
Rue Asseline

La rue Asseline est une voie du 14e arrondissement de Paris, en France.

Situation et accès[modifier | modifier le code]

La rue Asseline est une voie publique située dans le 14e arrondissement de Paris. Elle débute au 12, rue Maison-Dieu, et se termine aux 143, rue du Château, et 25, rue Édouard-Jacques.

Origine du nom[modifier | modifier le code]

Plaque de la rue.

Elle porte le nom de Louis Asseline, maire de l'arrondissement de 1870 à 1871, puis conseiller de Paris de 1874 à 1878.

Historique[modifier | modifier le code]

Cette ancienne voie du Petit-Montrouge, territoire de la commune de Montrouge est dénommée « avenue du Château » sur le plan cadastral de 1845. C'était l'allée donnant accès au château du Maine démoli en 1898. Rattachée sous le nom de « villa Sainte-Alice » à la voirie de Paris (quartier de Plaisance) en 1863, elle prend le nom de « rue Sainte-Alice » en 1877 avant de prendre sa dénomination actuelle par arrêté municipal du .

Bâtiments remarquables et lieux de mémoire[modifier | modifier le code]

Vers 1840, à l’emplacement des pelouses du château du Maine, sur une superficie de 3 300 m2, est créé le géorama de Montrouge. Un incendie le détruit en 1842[1].

  • No 3 : siège de la mission diplomatique de la République populaire démocratique de Corée.
  • No 4 : façade de maison typique du style architectural Art nouveau.
  • No 6 : Le peintre Fernand Labat y vécut. C'est également à ce numéro que Lucien Fontanarosa, artiste peintre et prix de Rome, ouvrit en 1933 son second atelier, qu'il gardera jusqu'en 1939, et que vécut Maria Casarès de 1978 à sa mort.
  • No 7 : école élémentaire, ancienne « école de garçons », avec façade en pierre de taille sur soubassement de meulière, entrée monumentale antiquisante et bas-relief représentant les armoiries de la ville de Paris.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Serge Marchesi, Colette Guerrier et Évelyne Le Diguerher, Village Montparnasse, parc de Montsouris, Petit-Montrouge, Plaisance, Village communication, coll. « Village », (ISBN 978-2-910001-16-2).

Annexes[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]