Rochefort-en-Yvelines

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Rochefort (Seine-et-Oise))

Rochefort-en-Yvelines
Rochefort-en-Yvelines
Blason de Rochefort-en-Yvelines
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité CA Rambouillet Territoires
Maire
Mandat
Sylvain Lambert
2020-2026
Code postal 78730
Code commune 78522
Démographie
Gentilé Rochefortais
Population
municipale
883 hab. (2021 en diminution de 0,23 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 12″ nord, 1° 59′ 19″ est
Altitude Min. 85 m
Max. 163 m
Superficie 12,59 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Rambouillet
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rochefort-en-Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rochefort-en-Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Rochefort-en-Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Rochefort-en-Yvelines
Liens
Site web rey78.fr

Rochefort-en-Yvelines est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Rochefort-en-Yvelines dans les Yvelines.

Description[modifier | modifier le code]

Rochefort-en-Yvelines est une commune résidentielle située à 30 minutes de Paris par l'autoroute, dans le sud-est des Yvelines, près de la limite de l'Essonne dans le massif forestier de Rambouillet. Elle est à 15 kilomètres environ à l'est de Rambouillet et à 8 kilomètres environ au nord de Dourdan.

La commune fait partie du parc naturel régional de la Haute-Vallée de Chevreuse.


Communes voisines[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bonnelles au nord-est, Longvilliers à l'est et au sud, Saint-Arnoult-en-Yvelines à l'ouest et Bullion au nord.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le village de Rochefort est situé sur la butte de la Moque-Bouteille[1], et est entouré par quatre rivières : la Rémarde au sud, la Rabette à l'ouest, l'Aulne au nord et la Gloriette à l'est.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Les communications sont assurées par des routes départementales : l'ancienne route nationale 188 (actuelle RD 988) qui relie Orsay et Palaiseau à Ablis dans le sud des Yvelines, la RD 27 qui la relie à Rambouillet et la RD 149 orientée vers le nord qui contourne le village par une déviation. Un échangeur dans la commune voisine de Longvilliers donne accès à l'autoroute A 10 toute proche.

La commune est desservie par les lignes 39.07, 39.07A, 39.07B, 39.30C, Express 10, 23 et 29 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines.

Le sentier de grande randonnée GR 11 (tour de l'Île-de-France) longe la limite ouest de la commune dans la forêt. Le GR 1 traverse aussi le territoire de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 653 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Dourdan à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 654,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rochefort-en-Yvelines est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[11],[12].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 89,3 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 7,3 % d'espaces ouverts artificialisés et 3,4 % d'espaces construits artificialisés[13].

Occupation des sols détaillée[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 3,8% 49 |
Équipements sportifs et de loisirs 6,2% 79
Terres arables hors périmètres d'irrigation 4,7% 60
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 4,1% 53
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 2,2% 28
Forêts de feuillus 79,0% 1009
Source : Corine Land Cover[14]

Hameaux de la commune[modifier | modifier le code]

  • Bourgneuf.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de Rochefort-en-Yvelines apparaît pour la première fois dans les Historiæ ecclesiasticæ d'Orderic Vital (1123/1141) où est mentionnée [Lucienne], fille de Gui le Rouge : filiam Guidonis Rubei, comitis de Rupeforti, « la fille de Gui le Rouge, comte de Rochefort »[15]. Cette citation concerne un événement précis : l'annulation du mariage entre Lucienne et le roi Louis le Gros en 1107, et représente donc une attestation indirecte du nom de Rochefort pour cette époque. Noté Rupiford en 1196[16], il est encore attesté dans le pouillé du diocèse de Chartres sous la forme Ruppis fortis vers 1272[17]. On relève la graphie moderne Rochefort en 1261 dans le journal des visites d'Eudes Rigaud, archevêque de Rouen[18], au XVe siècle dans les Grandes Chroniques de France[19], en 1617 sur une carte du gouvernement de l'Île-de-France[20], en 1660 sur une autre du diocèse de Chartres[21], etc. La forme déterminée Rochefort-en-Yvelines, adoptée en 1878[22], ne devient courante qu'au XXe siècle.

Ce nom représente une formation médiévale très fréquente constituée de l'ancien français roche employé au sens de « château fort sur une hauteur (rocheuse) », déterminé par l'adjectif fort[23],[Note 3]. Il fait allusion au château de Rochefort-en-Yvelines, château fort de Gui Ier de Rochefort, apparemment construit à l'emplacement d'un ancien oppidum gaulois[24].

Le déterminant locatif du département -en-Yvelines marque par ailleurs son attachement à la région naturelle de l'Yveline[Note 4],[Note 5].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ruines de la tour du château médiéval.

Préhistoire et antiquité[modifier | modifier le code]

Le site de Rochefort-en-Yvelines est habité depuis la Préhistoire, comme en témoignent les outils de silex retrouvés dans la commune et la grotte ornée du Normont découverte en 1992 en bordure du massif forestier de Rambouillet, dans le domaine du golf[25].

Ce fut à l'époque romaine un oppidum gaulois dominant les vallées environnantes[24].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Dans la deuxième moitié du XIe siècle, Guy Ier (II) de Montlhéry de Rochefort, dit Guy le Rouge, qui héritait de la vicomté de l’Étampois chartrain de sa mère Hodierne et de son oncle Guillaume de Gometz, fit construire au sommet de l'oppidum un château fort imposant. Rochefort dépendit donc de la famille des sires de Montlhéry, et Auneau — aussi un domaine des Montlhéry — était un fief relevant directement de Rochefort.

La seigneurie, dotée du titre de principauté, passa au cours des siècles entre les mains de diverses familles toutes liées entre elles, dont :

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1596, Rochefort échut à Hercule de Rohan, petit-fils maternel de Catherine de Silly (arrière-petite-fille de Bertin et Marie), qui fit reconstruire le château. La principauté de Rochefort resta la propriété des Rohan jusqu'à la Révolution française. La branche de Rochefort, seule subsistante, porte encore le titre de « prince de Rochefort ». Le château est encore reconstruit au XVIIIe siècle fut alors démoli.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Vers 1853, la mairie s'installe dans le bâtiment du bailliage (où elle se trouve encore actuellement) qui servit autrefois de tribunal et de prison. Il fut légué à la commune en 1831 par la famille Rohan.

Entre 1899 et 1904 est construit le château Porgès de Rochefort-en-Yvelines.

La commune a été desservie par la ligne Paris - Chartres par Gallardon n’ayant fonctionné que huit ans, de 1931 à 1939, et ce bien que le tronçon Chartres - Rochefort-en-Yvelines ait été achevé en 1921. La ligne, jamais achevée vers Paris et a été finalement déclassée en 1953.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du [26], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la dixième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Dourdan-Nord du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place des Yvelines, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Arnoult-en-Yvelines[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais membre du canton de Rambouillet.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune a intégré en 2012 la communauté de communes Plaines et Forêts d'Yveline, qui se transforme en 2015 en communauté d'agglomération sous le nom de Rambouillet Territoires Communauté d’Agglomération (RTCA).

Celle-ci fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Rambouillet Territoires dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 ? M. Sageret[28]    
? ? Jean Pouguet    
mars 1983 ? Gérald Hitier[29]    
         
juin 1995 2014 Georges Bénizé[30] LR Directeur d’un organisme de placement spécialisé
Conseiller départemental de rambouillet (2015 → 2018)
2014 En cours
(au 13 avril 2021)
Sylvain Lambert   Vice-président de la CA Rambouillet Territoires (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[31]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 883 habitants[Note 6], en diminution de 0,23 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
744659668610614580610599522
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
561505543509547569542560536
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
632621569420410372358395329
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
363441458610783774913953890
2018 2021 - - - - - - -
916883-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,3 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 444 hommes pour 472 femmes, soit un taux de 51,53 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
0,8 
5,6 
75-89 ans
6,8 
18,2 
60-74 ans
16,7 
26,8 
45-59 ans
25,2 
14,9 
30-44 ans
16,1 
15,1 
15-29 ans
14,6 
19,1 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

À la salle des fêtes, tous les ans il y a un forum pour s'inscrire à de multiples activités telle que le piano, le théâtre ou encore le Tai-chi-chuan.[réf. nécessaire].

Golf.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

La fête patronale de Rochefort-en-Yvelines avait traditionnellement lieu à la Saint-Gilles, le 1er septembre. Elle se terminait la nuit par une retraite aux flambeaux[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

L'activité économique de la commune est marquée par la sylviculture, l'élevage (haras) et le tourisme[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Signature de Georges Beuville et adresse manuscrite de sa maison à Rochefort-en-Yvelines en 1977.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Rochefort-en-Yvelines Blason
Coupé : au premier : d'or à la croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur ; au second : de gueules à neuf macles d'or (qui est de Rohan) ; et à un château d'argent maçonné de sable brochant en abîme sur le tout.
Détails

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Rochefort-en-Yvelines », p. 789–793
  • Remo Forlani, La Déglingue, Denoël, 1995 - l'auteur évoque ses vacances dans la commune, où résidaient sa grand-mère maternelle et la famille de sa tante, et ses souvenirs autour du château Porgès de Rochefort-en-Yvelines.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. En ancien français, l'adjectif fort avait la même forme au masculin et au féminin, comme son étymon latin fortis relevant de la 2e classe et donc de la troisième déclinaison latine.
  4. Sous l'Ancien Régime, le nom de Pays d'Yveline est donné à une subdivision du Gouvernement général d'Île-de-France; cf. Le Gouvernement de l'Isle de France, carte par Damien de Templeux, 1663.
  5. Le nom de pays d'Yveline apparaît également dans plusieurs ouvrages de l'époque comme le Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne, publié en 1726.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Ce coteau était vraisemblablement couvert de vignes au rendement ou à la qualité médiocre. De même, les moulins ou remises appelées "Moque-Souris" désignaient des lieux où les réserves en blé ou farine étaient particulièrement basses — à tel point que les souris s'en moquaient ou qu'on se moquait d'elles ! Cf. G. Masson, Le Récital et la ronde des toponymes, p. 23.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Rochefort-en-Yvelines et Dourdan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Dourdan » (commune de Dourdan) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Dourdan » (commune de Dourdan) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  14. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  15. Orderic Vital, Historiæ ecclesiasticæ, 1123/1141, édition Auguste Le Prévost et Léopold Delisle, Jules Renouard, Paris, t. IV, 1852, p. 285.
  16. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  17. Pouillé du diocèse de Chartres, ~1272, in Auguste Longnon, Pouillés de la province ecclésiastique de Sens, Recueil des Historiens de France, Paris, 1904, p. 110H.
  18. Théodose Bonnin, Regestrum visitationum archiepiscopi Rothomagensis (1248-1269), Auguste Le Brument, Rouen, 1852, p. 404.
  19. Guiom de Rochefort, cité dans L'Art de vérifier les dates des faits historiques, des chartes, des chroniques, et autres anciens monuments, depuis la naissance de Notre-Seigneur... (anonyme), imprimerie Moreau, Paris, 1818, t. III, p. 221a.
  20. Damien de Templeux, Carte du gouvernement de l'Ile-de-France, éd. Jean le Clerc, Paris, 1617.
  21. Nicolas Sanson, Carnutes. Partie septentrionale de l’évesché de Chartres. Balliages de Chartres, Dourdan Monfort l’Amaury, Mante, Dreux, Chasteauneuf en Thimerais etc : Eslections de Chartres et Dourdan de la généralité d’Orléans..., Chez Pierre Mariette, Paris 1660.
  22. Bulletin des lois de la République française, Imprimerie nationale, Paris.
  23. Ernest Nègre, Toponymie Générale de la France, Droz, Genève, t. I, 1990, p. 86, § 1598; Marianne Mulon, Noms de lieu d'Île-de-France, Bonneton, 1997, p. 91.
  24. a et b Mémoires, Société archéologique de Rambouillet, , p. 98.
  25. Service Archéologique Départemental des Yvelines.
  26. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. MairesGenWeb.
  29. Mort en 2004, sur le site officiel de Rochefort-en-Yvelines.
  30. L. Mt., « Rochefort-en-Yvelines : le conseiller départemental Georges Bénizé est décédé : Il avait été élu en 2014 aux côtés de Christine Boutin », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Georges Bénizé avait intégré le conseil municipal de Rochefort-en-Yvelines en 1989 avant de devenir maire de la commune de 1995 à 2014. Il en était, depuis, le maire honoraire ».
  31. « Compte-rendu de la Réunion du Conseil municipal du 28 mai 2020 » [PDF], Comptes-rendus des conseils municipaux, sur mairie-rochefortenyvelines.fr.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rochefort-en-Yvelines (78522) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  37. Biographie, sur le site cinéartistes.com .
  38. « Un trépas en travers de la gorge », critique de l'ouvrage La Déglingue, magazine L'Express, du 1er mai 1995 (consulté le 17 mai 2015).