Robert Petitjean
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| Député de la Chambre des représentants de Belgique | |
|---|---|
| Sénateur belge |
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nationalité | |
| Activités |
Robert Charles François Petitjean, né le à Ledeberg et décédé le à Etterbeek, est un homme politique belge membre du Parti libéral.
Biographie[modifier | modifier le code]
Il est avocat près la Cour d'appel de Bruxelles.
Dès 1910, il se lance dans la politique comme secrétaire de la Jeune-garde libérale de Saint-Josse-ten-Noode[1]. Il épouse Mariette Gysen qui décède en 1921.
Il est élu conseiller communal de Saint-Josse-ten-Noode et échevin des Finances puis de l'Instruction publique, conseiller provincial, député (1929-1932) et sénateur provincial de la province de Brabant (1933-34).
Il est ministre des Arts et des Sciences dans les gouvernements Jaspar II (de à ) et Renkin (de à ).
En 1934, Il démissionne de son siège de sénateur après avoir été pris dans les suites de l'Affaire Stavisky[2].
Il décède le à Etterbeek d'une congestion pulmonaire et est inhumé au cimetière de Saint-Josse-ten-Noode.
Distinctions[modifier | modifier le code]
Officier de l'ordre de Léopold II.
Croix de guerre 1914-1918.
Grand-croix de l'ordre d'Orange-Nassau.
Sources[modifier | modifier le code]
Références[modifier | modifier le code]
- « La Jeune-garde libérale de Saint-Josse-ten-Noode », Le Soir, , p. 1 (lire en ligne
)
- « Les chèques Stavisky en Belgique », Le Soir, , p. 1 (lire en ligne )
