Riventosa

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Riventosa
Riventosa
Vue de Riventosa.
Blason de Riventosa
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Haute-Corse
Arrondissement Corte
Intercommunalité Communauté de communes du Centre Corse
Maire
Mandat
Marcel Cesari
2020-2026
Code postal 20250
Code commune 2B260
Démographie
Gentilé Riventusani
Population
municipale
151 hab. (2021 en diminution de 1,31 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 15′ 07″ nord, 9° 10′ 57″ est
Altitude 710 m
Min. 216 m
Max. 762 m
Superficie 6,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Corte
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Corte
Localisation
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Riventosa

Riventosa est une commune française située dans la circonscription départementale de la Haute-Corse et le territoire de la collectivité de Corse.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Riventosa est une commune du Venachese, l'une des sept communes composant le canton de Venaco. Elle fait partie du « territoire de vie » Centru di Corsica (Centre Corse) dans le parc naturel régional de Corse. Autrefois elle se situait dans la pieve de Venaco

Communes limitrophes

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Riventosa est une petite commune de montagne du Centre Corse (Centru di Corsica), qu'il faut associer aux communes voisines de Casanova, Poggio di Venaco, Santo-Pietro-di-Venaco et Venaco car elles se jouxtent dans le canton.

Son territoire se présente en une bande de terre disposée latéralement, scindée par le Tavignano en deux secteurs :

  • le secteur occidental, près de deux fois plus large que le secteur oriental, se divise en deux parties, séparées par l'arête de montagne accrochée au piton rocheux (753 m d'altitude) du petit chaînon sur lequel sont bâtis les villages de Riventosa et de Poggio-di-Venaco. Il est composé au nord du versant à l'ubac du vallon de Castelluccia, et au sud, du bassin versant du ruisseau de Javinelle[1], affluent du Tavignano. S'y trouvent les deux parties majeures du finage villageois : l'habitat et les bois et forêts. Ce secteur en forme de cuvette, s'étale brusquement, depuis la ligne de crête du petit chaînon articulé sur l'un des chaînons principaux du massif du Cardo sur lequel se trouve Santo-Pietro-di-Venaco à l'ouest, jusqu'au lit du fleuve à l'est, le point le plus bas communal se situant à 216 m d'altitude.
  • le secteur oriental, plus étroit, est représenté par le vallon du ruisseau de Mezzanelli, affluent (rg) du Tavignano, non référencé. Ce territoire s'élève depuis la frange cultivée et les prairies le long du fleuve, jusqu'à la Punta di Scoppa (489 m), son culmen oriental.
Limites territoriales

Elles sont ainsi définies :

  • au nord, depuis la jonction des routes D.40 et .D140 dite « Place Fouada » à Poggio-di-Venaco , la démarcation prend la direction du sud sur près de 300 m avant de s'orienter vers le ruisseau de Castelluccia dont elle suit le cours jusqu'au Tavignano ;
  • à l'est, la démarcation suit le lit du Tavignano jusqu'au lieu-dit Capezzale avant de partir sur la Punta di Scoppa via Bocca di Millaria ; elle s'oriente au sud jusqu'au Tavignano, vers l'ancien champ de course de Torbia (« à cheval » sur Santo-Pietro-di-Venaco et Venaco) qu'elle n'atteint pas ;
  • au sud, la démarcation remonte le cours du fleuve jusqu'au ruisseau de Laccia, remonte celui-ci, longe les flancs de Torricella 630 m, sommet du chaînon sur lequel est bâti le village de Santo-Pietro-di-Venaco, descend jusqu'au lit du ruisseau de Bruttella puis remonte sur la ligne de crête d'une petite arête qu'elle suit jusqu'à la fontaine d'Aja alla Pieta ;
  • à l'ouest, la démarcation remonte jusqu'au col de San Catero di Cervone (San Cateru - 736 m), descend ensuite jusqu'au ruisseau de Misongno qu'elle quitte à hauteur du cimetière de Riventosa pour gagner la place Fouada à Poggio-di-Venaco.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le fleuve Tavignano traverse la commune depuis le point de confluence avec le ruisseau de Castelluccia[2], au nord de Costini, jusqu'à celui avec le ruisseau de Laccia non référencé au sud d'Amaddiu. Au cours de sa traversée, il est alimenté par les eaux de plusieurs petits ruisseaux. Le plus important est le ruisseau de Javinelle[1] qui lui-même est alimenté par deux petits cours d'eau : le ruisseau de Morta[3] long de 0,9 km et le ruisseau de Piubette[4] long de 1,5 km.

Climat et végétation[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Accès routiers[modifier | modifier le code]

On s'y rend depuis la route nationale 193, dans le sens Corte-Ajaccio en empruntant la route passant par Casanova et Poggio di Venaco, et dans le sens Ajaccio-Corte, au col de San Catero di Cervone (736 m) entre Santo-Pietro-di-Venaco et Riventosa, par la D40 dans le virage à l'embranchement sous le château de Pozzo di Borgo (Santo-Pietro-di-Venaco).

On y accède également depuis la route territoriale 50 en passant par Poggio-di-Venaco.

Transports[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare désaffectée.

La commune dispose sur son territoire d'une halte des Chemins de fer de Corse située à l'est et en contrebas du village devant l'ancienne gare abandonnée. Cet arrêt, situé à 547 m d'altitude, est appelé « Poggio - Riventosa ». Il est desservi par la route D 141 qui prend naissance au carrefour "place Fouada" à Poggio et qui y finit en cul-de-sac.

Le village est distant, par route, de :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Riventosa est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Corte, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[8],[9].

La majorité des habitants (172 habitants en 2011) vit au village même. Il existe deux autres lieux habités, Costini et Amadiu, situés en bordure de la route nationale 200 qui longe le Tavignano à l'est de la commune.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (40,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,8 %)[10]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Riventosa village[modifier | modifier le code]

La rue principale.

Situé à 500 m de la RN 193, à 9 km de Corte et à 3,8 km de Venaco, le village de Riventosa est bâti presque jusqu'au plus haut point communal, sur l'arête montagneuse sur laquelle s'aligne également, en contrebas, le village de Poggio-di-Venaco. Le bâti est concentré sur un piton rocheux (753 m d'altitude), autour de son église Saint-Antoine-l'Ermite. Les maisons y sont anciennes, la plupart crépies. Rares sont celles aux murs de pierres apparentes. La couverture des toits est dans l'ensemble en tuiles mécaniques rouges. La rue principale, qui en fait est une boucle sur la D 40, ainsi que les ruelles avec un passage voûté, sont pavées de lauzes.

Le cimetière se trouve à l'entrée sud du village.

Toponymie[modifier | modifier le code]

En langue corse la "riva ventosa" signifie la rive exposée aux vents, la contraction donne Riventosa.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Selon l'historien Xavier Poli, originaire du village voisin de Poggio-di-Venaco, les Romains occupaient déjà le site. Le Tavignano était l'ancien Rhotanos des Romains[Note 3].

« Venicium. Var. Venitium. Aujourd'hui Venaco, nom d'un canton de l'île. D'après trois chartes citées par Muratori, le pagus de Venaco était compris entre le Tavignanoet le Vecchio. »

— Xavier Poli La Corse dans l'Antiquité et le Haut Moyen Âge - La Corse d'après Ptolémée, chap. VII §3

Selon lui, les couvents de Sainte-Marie-de-Sisco et de San-Stefano-de-Venaco sont les plus anciens de la Corse et tout porte à croire qu'ils remontent au pontificat de saint Grégoire[11].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, Venaco était une pieve religieuse ; l'église principale était San Giuvanni Battista de Venaco, construite probablement autour de l'an mil ou de la première moitié du XIe siècle. Existait le monastère San Stefano de Venaco dont le pape, en 1118, confirma la possession à l'abbaye de San Mamiliano de Montecristo, laquelle était riche de deux abbayes (domaines de San Stefano de Venaco et Santa Maria de Canovaria) et de deux églises (San Pellegrino et San Paolo) en Casinca[12]. Les vestiges spectaculaires du complexe de la piève San Giovanni de Venaco, bien conservés, sont visibles sur le flanc est d'une petite colline près de Corte, proche du Palazzo (Palais) de Poggio.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Au XVIe siècle, vers 1520, la pieve de Venaco comptait environ 1 200 habitants. Elle avait pour lieux habités : Serraggio, lo Lugo, Campovegio, la Maistrachia, la Riventosa, lo Poggio[13].

Au XVIIIe siècle, la pieve de Venaco comptait 1 353 habitants qui étaient répartis ainsi : Serragio Anime 472. Riventosa 102. Maestraccie, e S.Pietro 179. Casanova 116. Lugo 179. Campovecchio 33. Poggio 272[14].

  • 1768 - Le , par le traité de Versailles, la France accapare la Corse et l'administre militairement.
  • 1769 - la pieve de Venaco prend le nom de Vecchio.
  • 1790 - Avec la Révolution française est créé le département de Corse avec Bastia comme préfecture, la pieve du Vecchio devient en 1790 le canton de Serraggio[15].
  • 1793 - An II. la Convention divise l'île en deux départements : Golo (l'actuelle Haute-Corse) dont fait partie Riventosa, et Liamone (l'actuelle Corse-du-Sud) sont créés. La commune porte le nom de Riventosa. Le canton de Serraggio prend le nom de canton du Vecchio, dans le district de Corte et dans le département d'El Golo.
  • 1801 - Sous le Consulat[Note 4], la commune garde le nom de Riventosa, dans le canton du Vecchio, l'arrondissement de Corte et le département d'El Golo.
  • 1811 - Les départements d'El Golo et du Liamone sont fusionnés pour former le département de Corse.
  • 1828 - Le canton du Vecchio prend le nom de canton de Venaco[16].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Monument aux morts.

En 1954, le canton de Venaco était composé des communes de Casanova, Muracciole, Poggio di Venaco, Riventosa, Santo Pietro di Venaco, Venaco et Vivario[13].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 mars 2008 Robert Alberti PS  
mars 2008 En cours Marcel Cesari REG Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[18].

En 2021, la commune comptait 151 habitants[Note 5], en diminution de 1,31 % par rapport à 2015 (Haute-Corse : +5,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
214263254276297323337327317
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
324322330358355381434519506
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
346405279294291271166193113
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2007 2008
10897121135188177172173175
2009 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2017 2018
176169159157154152153157157
2019 2020 2021 - - - - - -
156152151------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Sant' Antone Abbate, le saint patron de la commune, se fête annuellement le . Ce jour, une messe est célébrée le matin avec distribution de pains bénis. Le soir a lieu une longue procession.
  • La fête annuelle du village a lieu le , jour de la Santa Maria Assunta.

Sports[modifier | modifier le code]

Randonnées[modifier | modifier le code]

  • Le chemin de grande randonnée Mare a Mare Nord Variante traverse le territoire de la commune.
  • Existence aux deux villages voisins Casanova et Poggio-di-Venaco d'un gîte d'étape pour randonneurs.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La Casa Pastureccia, située en bordure de la route territoriale 20, est le siège de la communauté de communes du Centre Corse (Arrêté n° 2004 -1548 du préfecture Haute-Corse). Elle est aussi le siège d'entreprises dont la société HPI pour l'association Casa Pastureccia créée en 1987 et dont l'objet est la protection et la mise en valeur du patrimoine rural (bergeries et sentiers d'accès).

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Architecture civile[modifier | modifier le code]

Le village en hiver.
  • Le village, par l’intérêt général qu'il présente, est inscrit et protégé. Il est sous la surveillance de l'Architecte des bâtiments de France.
  • Le monument aux morts Piazza Curnachjola U Corsu.

Architecture religieuse[modifier | modifier le code]

Église paroissiale Saint-Antoine-l'Ermite[modifier | modifier le code]
Église Saint-Antoine-l'Ermite.

L'église paroissiale Saint-Antoine-l'Ermite (Sant' Antone Abbate di l'Alloghju) est située au cœur du village, face à la petite mairie. Selon le panneau d'information du parc naturel régional de Corse, ce patrimoine semble avoir été construit durant l'occupation génoise, entre 1720 et 1723. Le clocher date de 1889 comme gravé sur l'édifice.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Parc naturel régional[modifier | modifier le code]

Riventosa est une commune adhérente au parc naturel régional de Corse, dans son « territoire de vie » appelé Centre Corse[20].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Austinu Casanova, auteur et poète originaire de Riventosa.
  • Santu Casanova, auteur et poète originaire de Riventosa.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. M. d'Arbois de Jubainville dans sa savante étude, a consacré quelques lignes au Tavignano. Il pense que le nom du Rhotanos est hellène. « Il y a en Corse un fleuve Rhotanos, aujourd'hui le Tavignano. La dentale sourde dans Rhotanos est sonore dans Rhodanos. Cette différence s'explique par une étymologie populaire grecque. » Xavier Poli La Corse dans l'Antiquité et le Haut Moyen Âge Chapitre II. § 6. p. 34.
  4. La loi du 28 pluviôse an VIII (19 février 1800) porte sur l'administration locale. Elle conserve les départements hérités de la Révolution mais elle redécoupe les divisions intérieures. Les districts deviennent des arrondissements, la commune est définie et le canton créé. À chaque niveau on trouve un fonctionnaire public (nommé) ainsi qu'une assemblée consultative (élue)
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Javinelle (Y9012110) » (consulté le ).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Castelluccia (Y9012110) » (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Morta (Y9012080) » (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Piubette (Y9012100) » (consulté le ).
  5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  11. Xavier Poli - La Corse dans l'Antiquité et le Haut Moyen Âge, Lib. A.Fontemoing Paris 1907
  12. Daniel Istria - Pouvoirs et fortifications dans le nord de la Corse : du XIe siècle au XIVe siècle
  13. a et b [1] Antoine-Dominique Monti - Les pievi et les communautés au XVIe siècle.
  14. Francesco Maria Accinelli in L’histoire de la Corse vue par un Génois du XVIIIe siècle - Transcription d’un manuscrit de Gênes - ADECEC Cervioni et l’Association FRANCISCORSA Bastia 1974
  15. Base Infcor
  16. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Le Parc naturel régional de Corse sur le site de l'INPN

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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