Quinçay

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Quinçay
Quinçay
L'église Saint-Éleusippe de Quinçay.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Communauté de communes du Haut-Poitou
Maire
Mandat
Philippe Brault
2020-2026
Code postal 86190
Code commune 86204
Démographie
Population
municipale
2 113 hab. (2021 en diminution de 4,69 % par rapport à 2015)
Densité 71 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 26″ nord, 0° 14′ 14″ est
Altitude Min. 82 m
Max. 146 m
Superficie 29,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Quinçay
(ville isolée)
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vouneuil-sous-Biard
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Quinçay
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Quinçay
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Quinçay

Quinçay est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Située au nord-ouest de Poitiers, cette commune fait partie de la communauté de communes du Haut-Poitou. La commune est traversée par l’Auxances, surplombée par endroits de coteaux escarpés, et jouxte la forêt domaniale de Vouillé Saint-Hilaire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Traversée par l'Auxances, la commune est dotée d'un riche patrimoine naturel. Le circuit de la vallée de l'Auxances à Quinçay[1] permet de découvrir la vallée encaissée, longue de 12 km. Les méandres isolent des presqu'îles étroites (Chambon, Sencret) parfois bordées de falaises abruptes. Cette vallée fait la frontière entre plaine céréalière sur la rive gauche et polyculture sur la rive droite[2].

Cet itinéraire permet de longer l'Auxances et de profiter de la fraîcheur de la forêt. Il fait découvrir le patrimoine architectural local, tels que le château de Masseuil ou le lavoir de Ringère. Également à voir autour de cet itinéraire : Site antique de Sénere't, Château de Masseuil, Château-Gaillard, Logis du Pré-Bernard, les lavoirs, moulins à eau, église Saint-Eleusippe et l'ensemble des rives de l'Auxances.

La commune s'étend sur près de 30 km2.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Quinçay
Cissé Migné-Auxances
Vouillé Quinçay Vouneuil-sous-Biard
Béruges

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les différents types de sols de la commune[3] de Quinçay sont :

  • Plaines calcaires
    • Groies moyennement profondes (15 %)
    • Groies profondes (moins de 1 %) (Les groies sont des terres du sud-ouest de la France, argilo-calcaires, peu profondes - en général de moins de 50 cm d’épaisseur – et plus ou moins riches en cailloux. Elles sont fertiles et saines et donc, propices à la polyculture céréalière mais elles s’assèchent vite)
  • Plateaux du seuil du Poitou
    • Argile à silex peu profonde (49 %)
    • Bornais (23 %) ce sont des sols brun clair sur limons, profonds et humides, à tendance siliceuse
  • Vallées et terrasses alluviales
    • Vallées calcaires (12 %)

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Traversée par l'Auxances sur une longueur de 8 km.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biard à 6,2 km à vol d'oiseau[7], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,3 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Transports[modifier | modifier le code]

Le bourg ainsi que certains hameaux de la commune sont desservis par la Ligne 109 du réseau interurbain de la Vienne d'autocars Lignes en Vienne PoitiersLatilléChalandray. Cette ligne dessert la gare SNCF de Poitiers[11].

Les gares les plus proches de Quinçay se trouvent à Poitiers (7,71 km), à Ligugé (12,1 km), à Iteuil (14,86 km), à Chasseneuil-du-Poitou (11,41 km) et à Jaunay-Clan (13,8 km).

L'aéroport de Poitiers est situé sur la commune de Biard, à 01 km de Quinçay.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Quinçay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Quinçay, une unité urbaine monocommunale[15] de 2 215 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,4 %), terres arables (32,8 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), zones urbanisées (3,2 %), prairies (2 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune de Quinçay est composée d'un bourg principal et de 11 villages et hameaux (les Roches, Pré Bernard, Rochecourbe, le Moulin de Vaux, la Gère, Bois Frémin, Guissabeau, Masseuil, le Vivier, Ringère, le Grillas).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Quinçay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Auxance. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995, 1999, 2010 et 2013[23],[21].

Quinçay est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[24]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[25], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [26],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Quinçay.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[28]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[29]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[30]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[31].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Quintus avec le suffixe latin de propriété -acum devenu -ec puis -ay et signifiant domaine de[32].

Le gentilé des habitants de Quinçay est Quincéen/Quincéenne.

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

La Grande Roche de la Plématrie[modifier | modifier le code]

La grotte de la Grande Roche, aussi connue sous le nom de Grande Roche de la Plématrie, se trouve à environ 2,2 km au nord-ouest de Quinçay. Découverte en 1952, elle a livré une stratigraphie exceptionnelle de Châtelperronien[33].

La couche supérieure du Châtelperronien a livré entre autres une série de dents de faune percées et soigneusement travaillées. Cette série a renforcé l'hypothèse de la fabrication de parures par les néandertaliens[34].

Moyen-Âge[modifier | modifier le code]

Au VIe siècle, ce lieu a probablement été emprunté par les armées de Clovis (vers 465- 511), roi des Francs, lors de la bataille de Vouillé en 507[35].

Certaines recherches mentionnent saint Achard (en latin Acardus, Aicardus, ou Aicadrus d’où aussi Aycadre), comme ayant été abbé à Quinçay au VIe siècle[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? mars 2001 Jean-Marie Blanchard    
mars 2001 mars 2014 Joseph Puaut (1948- ) DVG Retraité
Réélu en 2008[37]
mars 2014 En cours
(au 28 juin 2020)
Philippe Brault (1962- ) DVG Agent d'exploitation
6e vice-président de la CC du Pays Vouglaisien (2014 → 2016)
12e vice-président de la CC du Haut-Poitou (2017 → 2020)
Réélu pour le mandat 2020-2026
Les données manquantes sont à compléter.

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Services publics[modifier | modifier le code]

Les réformes successives de La Poste ont conduit à la fermeture de nombreux bureaux de poste ou à leur transformation en simple relais. Toutefois, la commune a pu maintenir le sien.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 2 113 habitants[Note 5], en diminution de 4,69 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7777557107798128969571 0141 079
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0631 0691 0991 1141 1791 1401 1491 055994
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
860809792755715674703722805
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
7367098621 2161 5641 6632 0512 1052 138
2015 2020 2021 - - - - - -
2 2172 1322 113------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

La densité de population de la commune est de 72 hab./km2. Celle du département est de 61 hab./km2. Elle est de 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et de 115 hab./km2 pour la France[43].

En 2009, la part des couples mariés représente 60,2 % de la population. Les célibataires, 27,8 % et les veufs/veuves, 6,7 %.

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Selon la direction Régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Foret de Poitou-Charentes[44], il n'y a plus que 12 exploitations agricoles en 2010 contre 19 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 873 hectares en 2000 à 591 hectares en 2010. 59 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement mais aussi de l'orge), 33 % pour les oléagineux (colza et navette) et 2 % restent en herbes. En 2000, deux hectares (zéro en 2010) étaient consacrés à la vigne[44].

Les élevages d'ovins et de volailles ont disparu au cours de cette décennie[44]. La disparition de l'élevage d'ovins est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[45]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2009, le taux de chômage de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 3,7 % Le taux d'activité était à 77,4 %

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Plusieurs entreprises sont implantées à Quinçay.

Parmi les commerces, il existe une boulangerie, une épicerie, un salon de coiffure ainsi qu'un bureau de poste.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Château de Masseuil. Ce château date du XVe siècle. Il a été construit en 1443 pour permettre au chapitre de Saint-Hilaire le Grand de Poitiers d'offrir un refuge à ses gens et à ses biens les plus vulnérables. Lors de sa construction, le château était une véritable forteresse qui comprenait une vaste enceinte entourée de douves profondes, une porte fortifiée avec un pont-levis et des bâtiments à l'intérieur pouvant accueillir les villageois en cas de danger. Le château fut démoli vers 1580 puis reconstruit peu de temps après. De l'époque médiévale, il reste les deux tours d'enceinte qui ont été inscrites comme monument historique en 1963.
  • Le logis de Pré-Bernard[46] dont les façades et les toitures sont classées comme monument historique depuis 1990 et ainsi que les pièces.
  • La fontaine de Ringère

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

  • L'église de Quinçay (église Saint-Éleusippe): la porte de cette église a été inscrite comme monument historique en 1926[47]. Les parties romanes datent des XIe et XIIe siècles.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La forêt de Vouillé[modifier | modifier le code]

La forêt de Vouillé est située tout près de la commune de Quinçay. C'est un important massif domanial de 1 500 hectares. Elle couvre un plateau à topographie très plane et d'altitude modeste : entre 130 m et 140 m en moyenne.

Le peuplement forestier est homogène. Il s'agit essentiellement de chênes et de hêtres. Quelques zones ouvertes sont occupées par des landes à bruyères.

La forêt présente un intérêt biologique considérable illustré par la présence de 18 espèces de végétaux rares et/ou menacés. On peut découvrir :

Selon l'Inventaire des arbres remarquables de Poitou-Charentes, il existe un arbre remarquable en forêt de Vouillé. Il s'agit du Pin laricio de Corse. Il est situé près du parking de la zone de silence, de la route forestière des trois chênes et de l'allée du Pianisseau[48].

La forêt semi-ouverte et la lande offrent un abri aux rapaces et aux passereaux dont huit font l'objet d'une protection sur tout le territoire national. Il est ainsi possible de voir :

Les coteaux de Bois Frémin[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Sentier GR 48 : La Roche-Posay », sur tourisme-vienne.com via Wikiwix (consulté le ).
  2. (en) « Vouglaisien.com », sur vouglaisien.com (consulté le ).
  3. Chambre régionale d'agriculture de Poitou-Charentes 2007
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Quinçay et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. EOLAS, « Lignes en Vienne - Conseil général de la Vienne », sur cg86.fr via Wikiwix (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Quinçay », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  24. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
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  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  28. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Quinçay », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  32. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
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  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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