Puyréaux

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Puyréaux
Puyréaux
Mairie de Puyréaux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Didier Bertrand
2020-2026
Code postal 16230
Code commune 16272
Démographie
Gentilé Podio-Régaliens
Population
municipale
556 hab. (2021 en augmentation de 5,9 % par rapport à 2015)
Densité 69 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 51′ 44″ nord, 0° 12′ 46″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 116 m
Superficie 8,11 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Angoulême
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Puyréaux
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Puyréaux

Puyréaux est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Podio-Régaliens et les Podio-Régaliennes[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Puyréaux est situé à 3 km au sud-est de Mansle et 24 km au nord d'Angoulême.

Le bourg de Puyréaux est aussi à 6 km au nord-ouest de Saint-Angeau, 9 km au nord-est de Saint-Amant-de-Boixe, 19 km au nord-ouest de La Rochefoucauld[2].

Le bourg est situé sur la D 6 qui relie Mansle à La Rochefoucauld et Montbron et qui longe la vallée de la Tardoire. La commune est aussi traversée à l'ouest par la N 10 entre Angoulême et Poitiers (déviation de Mansle). La N 10 est accessible au sud de Mansle par un échangeur. La D 739, route de Limoges à Rochefort entre Saint-Claud et Mansle traverse le nord de la commune et la D 6 la rejoint. Elle traverse la N 10 par un passage supérieur[3].

Le bourg de Puyréaux est situé en bord de la falaise sud dominant la vallée de la Bonnieure, d'où il tire une partie de son nom (puy = colline).

La gare la plus proche est celle de Luxé, à 8 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'extrémité occidentale de la commune arrive aux faubourgs de Mansle (les Sablons). Puyréaux comprend aussi quelques hameaux, comme Puygelier (en partie) et le Pré Ferrand près du confluent de la Bonnieure, l'Age, au sud-ouest, et le Châtelard à l'est[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La ville de Mansle et les bourgs de Saint-Ciers, Mouton et Maine-de-Boixe sont à 3 km de Puyréaux.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique supérieur (Oxfordien). La vallée de la Bonnieure est occupée par des alluvions du quaternaire, qui forme parfois des terrasses de 10 m de haut (D 6 à l'est et à l'ouest)[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'un plateau descendant vers les vallées de la Bonnieure et de la Charente au nord. Le point culminant de Puyréaux est à une altitude de 116 m, situé sur la limite sud. Le point le plus bas est à 57 m, situé le long de la Charente au nord-ouest, au pied du bourg de Mansle. Le bourg de Puyréaux, surplombant la vallée de la Bonnieure, est à 100 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Bonnieure, la Charente, la Tardoire et, qui constituent un réseau hydrographique de 4 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Sur toute sa limite nord, la commune de Puyréaux est arrosée par la Bonnieure[Note 1], dont les eaux sont gonflées par celles de la Tardoire en hiver, dont le confluent se trouve juste en amont sur la commune de Saint-Ciers-sur-Bonnieure[3],[Note 2].

La Bonnieure se jette dans la Charente en aval du bourg, à Puygelier. La Charente limite la commune au nord-ouest.

La Tardoire passe aussi en limite de commune à l'est, juste avant son confluent, mais elle est à sec une grande partie de l'année. Des gouffres jalonnent les lits de ces cours d'eau.

On trouve aussi de petits étangs artificiels noyant d'anciennes carrières, près du Châtelard, ainsi que quelques sources et fontaines (Font Martin, Font Touray, etc.)[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Puyréaux est une commune rurale[Note 3],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angoulême, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 95 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (76 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (32,9 %), terres arables (32,8 %), forêts (19,2 %), prairies (9,4 %), zones urbanisées (4,9 %), mines, décharges et chantiers (0,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Puyréaux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente, la Bonnieure et la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[19],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Puyréaux.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 50,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 288 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 71 sont en aléa moyen ou fort, soit 25 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 5]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Podie Regalis en 1101-1136, Podio Reau en 1147 (forme occitane latinisée), Montis Regalis[25].

L'origine du nom de Puyréaux remonte au latin podium regalis qui signifie « colline du roi », en passant par le roman peu reau (ou real)[26],[Note 6]. Les "regalia" étaient les biens qui avaient été concédés par le roi à des églises ou des abbayes, d'où cette autre explication possible[Note 7]. Les composés avec "Puy" sont très nombreux en Charente[27].

Au XVIIIe siècle, la carte de Cassini indique Peuriot[3], francisation de peu reau, qui sera orthographié Puireau à la création de la commune en 1793, puis Puireaux en 1801, avant d'avoir l'orthographe actuelle Puyréaux[28].

Limite dialectale[modifier | modifier le code]

Selon Tourtoulon et Terracher, le Châtelard se trouvait encore au XIXe siècle dans la partie occitane de la Charente qui en occupe aujourd'hui le tiers oriental[29],[Note 8].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare.

L'ancienneté de l'occupation humaine est attestée par la présence d'un dolmen (la Pierre Levée, détruit au XIXe siècle pour servir de matériau à des routes[30]) et d'une nécropole de l'âge du fer.

Cette vaste nécropole avait été repérée lors des prospections aériennes pendant l'été 2004, au Châtelard, et après des études préliminaires, les premières fouilles ont eu lieu en 2008. Le document édité par le conseil général de la Charente nous précise « Ce site pourrait en effet éclairer d'un jour nouveau les pratiques sépulcrales des populations locales de l'âge du fer dans une région où elles restent encore mal connues ».

Toujours vers le Châtelard, des vestiges de villa romaine ont été trouvés : colonnes, marbre, fragments de mosaïques, mais aussi à Pérignac (entre Mansle et Puyréaux)[31].

Sous l'Ancien Régime, Puyréaux dépendait de la châtellenie de Mansle, en Angoumois.

Puygelier et le Châtelard étaient deux fiefs de la paroisse.

Au XVIIe siècle, la famille de Chamborant étaient seigneurs de Puygelier[32].

Au XVIIIe siècle, Marie Valleteau épousa Roch Benoist, seigneur de Saint-Ciers, la Grenouillère et la Boissière. Elle habitait avec lui en 1718 au Châtelard[33].

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, une exploitation agricole modèle avait été fondée par Eugène de Thiac, maire et conseiller général, au château de Puyréaux.

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Saint-Angeau à Segonzac, et qui passait par Mansle et Rouillac[30].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1865 1870 Eugène de Thiac   Conseiller général
1874 1878 Eugène de Thiac   Conseiller général
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2014 Robert Barbot SE Retraité de l'agriculture
2014 En cours Didier Bertrand SE Artisan

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

En 2021, la commune comptait 556 habitants[Note 9], en augmentation de 5,9 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
441461450510488537514534510
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
525521516549515503519522508
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
507500414360354370338326343
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
334321361403396448463512537
2021 - - - - - - - -
556--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 251 hommes pour 286 femmes, soit un taux de 53,26 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,1 
5,2 
75-89 ans
7,7 
22,7 
60-74 ans
20,3 
19,9 
45-59 ans
19,9 
17,1 
30-44 ans
18,2 
15,5 
15-29 ans
14,0 
18,7 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école publique est un RPI entre Saint-Ciers et Puyréaux. Saint-Ciers accueille l'école élémentaire et Puyréaux l'école primaire. L'école, située au bourg, comporte une classe maternelle et une classe élémentaire. Le secteur du collège est Mansle[39].

Autres services et vie locale[modifier | modifier le code]

Salle polyvalente, hôtel, bar, restaurant, cabinet d'infirmiers.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église.

L'église paroissiale Saint-Laurent possède une cloche qui date de 1487 et qui est un objet classé monument historique au titre objet[40], tout comme les quatre tableaux de la même époque qui forment un polyptyque. Ils représentent sainte Élisabeth, saint Laurent et Jésus qui tombe sous le poids de la Croix. Ces quatre panneaux peints forment un retable[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Pierre Léchelle (1756-1836), homme politique, député de la Charente de 1791 à 1792, est né à Puyréaux.
  • Jean Léchelle (1760-1793), général de la Révolution, est né à Puyréaux.
  • Eugène de Thiac (1806-1892). Né à Bordeaux, arrivé en 1846 à Puyréaux, il fonde une ferme modèle[42] et devient conseiller général et maire de la commune.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. C'était autrefois la Bonnieure qui se jetait dans la Tardoire, et la Tardoire dans la Charente, donc Puyréaux dominait la Tardoire; cette partie commune a changé de nom vers le milieu du XXe siècle - voir Saint-Ciers-sur-Bonnieure.
  2. La carte IGN est visualisable en cliquant sur les coordonnées dans l'infobox de cette page en haut à droite.
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  6. Même étymologie occitane que Montréal.
  7. Ce qui a donné regal en occitan et catalan, regalo en espagnol, ... pour signifier « cadeau ».
  8. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Puyréaux » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d e et f Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Puyréaux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Puyréaux », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Puyréaux », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 110,152,161
  26. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 522.
  27. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Charles de Tourtoulon et Olivier Bringuier, Limite géographique de la langue d'oc et de la langue d'oil, Paris, Imprimerie nationale (réimprimé en 2007 par Massert-Meuzac, IEO), , 63 p. (Carte de la limite oc-oil en France, partie ouest, visualisation en ligne)
  30. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 277
  31. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 147
  32. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, De Chamborand », (consulté le ).
  33. Jean-Marie Ouvrard, « Blasons de la Charente, Valleteau », (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Puyréaux (16272) », (consulté le ).
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  39. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  40. « Cloche de l'église paroissiale », notice no PM16000214, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  41. « Tableaux de l'église paroissiale », notice no PM16000215, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  42. Annuaire des sociétés savantes de France et des congrès scientifiques, (lire en ligne), p. 335-339

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Puyréaux », (consulté le )