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3 février 2013[modifier le code]

Village historique de Val-Jalbert
Village historique de Val-Jalbert

Val-Jalbert est un ancien village qui aujourd'hui fait partie de la municipalité de Chambord. Il a été transformé en attraction touristique dans les années 1960. Le village a été classé site historique en 1996.

Le village, fondé en 1901 par Damase Jalbert qui créa la même année la Compagnie de pulpe de Ouiatchouan, porta d'abord le nom de Saint-Georges-de-Ouiatchouan, du nom de la rivière qui la traverse. Il fut ensuite renommé Val-Jalbert en 1913 par la Compagnie de Pulpe de Chicoutimi en l'honneur de son fondateur.

2 janvier 2013[modifier le code]

Saint-Ambroise est une municipalité située dans la MRC du Fjord-du-Saguenay.

À quelque 20 km de Saguenay et d'Alma, elle est traversée par la route 172. Sa vocation est surtout agricole.

La paroisse a été fondée en 1883. En 1895, on construisit la première église en bois. En 1902, la municipalité de la paroisse de Saint-Ambroise est érigée.

Peu à peu, on se dote de différents services : l'établissement d'une première forge, d'un magasin général, du téléphone en 1916, l'aqueduc en 1917, de l'électricité en 1921. Le premier système d'égout est installé en 1932.

Au cours des années soixante, la culture de la pomme de terre deviendra une production importante.

Saint-Ambroise se positionnera aussi comme un centre de services en se dotant d'infrastructures modernes et en développant son secteur des loisirs : construction des HLM en 1971, de l'Hôtel de Ville en 1975 et de l'aréna Marcel-Claveau en 1979.

Le recensement de 2011 y dénombre 3 484 habitants.

11 novembre 2012[modifier le code]

Église et presbytère de Saint-André vers 1900
Église et presbytère de Saint-André vers 1900

Saint-André-du-Lac-Saint-Jean, plus communément appelé Saint-André-de-l'Épouvante est une municipalité faisant partie de la MRC du Domaine-du-Roy.

Le village de Saint-André-du-Lac-Saint-Jean est situé au creux d'un plateau des laurentides aux abords de la rivière Métabetchouane à la hauteur de la Chute de l'Épouvante.

Selon la Commission de toponymie du Québec : « Ce nom souligne le courage et la ténacité de l'un des premiers habitants, André Néron. » Elle ajoute : « Anciennement, les lieux n'étaient connus que sous la dénomination de Saint-André-de-l'Épouvante, blason qui a suscité plusieurs explications plus ou moins convaincantes. »

Constituant anciennement une paroisse colonisée pour l'exploitation forestière à la fin du XIXe siècle sur la rivière Métabetchouane, le village Saint-André-du-Lac-Saint-Jean est aujourd'hui reconnu pour l'exploitation de carrières de granite vert.

Le recensement de 2011 y dénombre 488 habitants. Y sont originaires : Fabienne Larouche, scénariste et productrice et Jean-Noël Tremblay, politicien.

3 octobre 2012[modifier le code]

Plage de Métabetchouan
Plage de Métabetchouan

Métabetchouan–Lac-à-la-Croix est une ville située dans la MRC de Lac-Saint-Jean-Est. Elle est née de la fusion des villes de Métabetchouan et de Lac-à-la-Croix en 1999.

Les villes de Métabetchouan et de Lac-à-la-Croix se sont développées à partir du XXe siècle notamment grâce à leurs terres agricoles et leur capacité laitière. L'industrie forestière a joué aussi un rôle majeur; plusieurs scieries se sont développées aux alentours.

Situé sur les rives du lac Saint-Jean, le secteur Métabetchouan offre de jolies plages entre autres grâce à la plage municipale Le Rigolet qui accueille chaque année des milliers de visiteurs.

Le secteur Lac-à-la-Croix n'est pas en reste non plus avec son magnifique lac Vouzier où l'on peut pratiquer de la plongée sous-marine.

Réputé, le Camp Musical de Métabetchouan-Lac-à-la-croix offre des concerts de qualité pour les visiteurs ainsi que des formations spécialisées pour tous les musiciens.

3 septembre 2012[modifier le code]

Vue aérienne de Saint-Fulgence
Vue aérienne de Saint-Fulgence

Saint-Fulgence est une municipalité située dans la MRC du Fjord-du-Saguenay. Premier village à l'Est de Saguenay longeant la rivière du même nom, il est aussi connu sous le nom de Saint-Fulgence de L'Anse-au-Foin.

Le territoire de Saint-Fulgence fut colonisé en 1839. Le 1er janvier 1873 a été constituée la municipalité de paroisse de Saint-Fulgence. En 1947, la municipalité de village de Saint-Fulgence se détache de la paroisse du même nom. Le 1er mai 1973 le village et la paroisse de Saint-Fulgence fusionnent pour devenir la municipalité de Saint-Fulgence.

Le refuge faunique des Battures-de-Saint-Fulgence est un lieu de protection pour la sauvagine. Par ses composantes naturelles propres, il réunit de plus des oiseaux tels le bruant à queue aiguë et le râle jaune, de même qu'une plante unique dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean, la salicorne d'Europe. La scirpe d'Amérique y est de même présente.

Le marais intertidal (niveau inférieur) se délimite du marais côtier (niveau supérieur) par une dénivellation d'argile, sur toute sa longueur, visible du sentier des Battures, à marée basse. Il se distingue ainsi du second par un environnement entièrement et régulièrement recouvert par les eaux des marées quotidiennes.

26 mai 2012[modifier le code]

Saint-Nazaire
Saint-Nazaire

Saint-Nazaire est une municipalité située dans la MRC de Lac-Saint-Jean-Est.

C'est en 1875 que des colons de Jonquière et de Chicoutimi s'intéressent au canton Taché projeté par le gouvernement du Québec. Ces bonnes terres planches et boisées s'avèrent une mine d'or pour des colons. Malgré une pétition d'une soixantaine de noms, ce n'est quand 1879 que Georges B. Tremblay arpente le territoire et dépose son rapport aux autorités gouvernementales.

L'absence de chemins et de ressources freine la colonisation jusqu'en 1890, l'année où l'évêque du diocèse organise une expédition pour trouver l'emplacement de la future église et le nom de la mission : Saint-Nazaire est alors baptisée en l'honneur de Mgr Louis-Nazaire Bégin.

Grâce à des terres argileuses et riches en alluvions, la vie économique de Saint-Nazaire dépend presque exclusivement de l'agriculture jusqu'à l'arrivée de la compagnie Duke-Price en 1925. À partir de ce moment, le canton perdra progressivement ses agriculteurs qui préfèrent les salaires offerts par les industries d'Alma.

25 avril 2012[modifier le code]

Chambord, près de la jonction avec la route 155
Chambord, près de la jonction avec la route 155

Chambord est une municipalité située dans la MRC le Domaine-du-Roy. Elle est nommée en l'honneur d'Henri d'Artois, comte de Chambord et prétendant au trône de France au moment de la fondation du village, en 1857.

Située au carrefour des routes 155 et 169, Chambord est aussi accessible par le chemin de fer. Le village historique de Val-Jalbert est sa principale attraction touristique.

Chambord est officiellement reconnue dans la région comme le « Royaume de la ouananiche ». Elle a depuis longtemps été surnommée « Chambord boucane » peut-être en raison de la forte activité ferroviaire qui y prenait lieu autrefois.

Les Chambordais reconnaissent entre eux les différentes parties de Chambord, comme le village lui-même, où se concentrent les différents points de services et d'approvisionnement, la Pointe de Chambord, une longue péninsule qui s'avance sur le Lac-Saint-Jean, les Sables (partie ouest du village nommée en référence avec le Rang des Sables), ainsi que les secteurs de la Petite Martine et de La Martine.

Le Festival du Cowboy est son festival annuel.

9 mars 2012[modifier le code]

Hôtel de ville de Dolbeau-Mistassini
Hôtel de ville de Dolbeau-Mistassini

Dolbeau-Mistassini est une située dans la MRC de Maria-Chapdelaine. Formée en 1997 par la fusion des anciennes villes de Dolbeau et de Mistassini, sa population oscille autour de 15 000 habitants. Le secteur de Dolbeau est nommé ainsi en l'honneur du père Jean Dolbeau. Le maire actuel de cette ville se nomme George Simard.

La majeure partie de l'industrie dolmissoise repose sur la forêt et son exploitation. Ville centre de la MRC Maria-Chapdelaine, Dolbeau-Mistassini présente un vaste éventail de services et dessert l'ensemble du territoire depuis Notre-Dame-de-Lorette jusqu'à Albanel.

Cette ville est aussi connue pour l'abbaye Notre-Dame de Mistassini, un monastère trappiste.

Dolbeau-Mistassini offre sur son territoire trois rivières : Mistassibi, Mistassini et Aux Rats. De plus, la ville donne accès au lac Saint-Jean bordé de plages sablonneuses sur plusieurs kilomètres.

29 janvier 2012[modifier le code]

Le boulevard Sacré-Coeur à Saint-Félicien en juin 2008
Le boulevard Sacré-Coeur à Saint-Félicien en juin 2008

Saint-Félicien est une ville du Québec située dans la MRC du Domaine-du-Roy. La nouvelle ville de Saint-Félicien est née le 12 juin 1996, à la suite du regroupement de la ville de Saint-Félicien et de la municipalité de Saint-Méthode. Le recensement de 2006 y dénombre 10 477 habitants.

Saint-Félicien est située à quelques kilomètres en amont de l'embouchure de la rivière Ashuapmushuan. La route 169, qui fait le tour du lac Saint-Jean, la traverse, et la route 167 qui mène à Chibougamau et au lac Albanel y débute. Le chemin de fer la dessert depuis 1917.

Autrefois, la rivière Ashuapmushuan, était utilisée par les Amérindiens et les coureurs des bois comme voie de transport vers la baie d'Hudson et le lac Mistassini. Les premiers colons sont venus s'installer en 1864 et la colonie de Saint-Félicien a été fondée en 1865.

23 décembre 2011[modifier le code]

L'église de Saint-Bruno sur l'avenue Saint-Alphonse
L'église de Saint-Bruno sur l'avenue Saint-Alphonse

Saint-Bruno est une municipalité située dans la MRC de Lac-Saint-Jean-Est. Elle est nommée en l'honneur de Bruno le Chartreux.

Fondée en 1885, cette municipalité de 2 353 habitants est composée à 64 % de terres agricoles. Depuis quelques années, un mouvement de développement domiciliaire a été lancé et l'expansion urbaine que subit Saint-Bruno aura de grandes répercussions pour cette municipalité qui se trouve à proximité des grands centres urbains de la région.

Depuis 2004, la municipalité de Saint-Bruno est l'hôte du Rassemblement du Patrimoine Motorisé (RPM). Ce rassemblement provincial vise à amener en ville les propriétaires de voitures antiques et de machines agricoles. Les concurrents se disputent des prix dans diverses classes, comme muscle cars et hot rods.

14 novembre 2011[modifier le code]

Vue aérienne de Saint-Honoré
Vue aérienne de Saint-Honoré

Saint-Honoré est située dans la MRC du Fjord-du-Saguenay, à une quinzaine de kilomètres au nord de la Rivière Saguenay. Son nom rappelle Honoré Petit, député de Chicoutimi de 1892 à 1897.

La municipalité de la paroisse de Saint-Honoré a été constituée en 1913. L'église de Saint-Honoré est inaugurée en 1916. En 1953, la municipalité de village se détache de la paroisse. Celles-ci seront fusionnées le sous le nom actuel. Le , Saint-Honoré annexe une partie de Canton-Tremblay dans le cadre des réorganisations municipales québécoises.

L'économie de Saint-Honoré repose sur la production agricole et minière. L'une des installations minières de Saint-Honoré, la mine Niobec, est la seule mine active de Niobium en Amérique du Nord ainsi que la seule mine souterraine exploitant cet élément chimique.

9 octobre 2011[modifier le code]

Le village de Lac-Bouchette le 4 août 2007
Le village de Lac-Bouchette le 4 août 2007

Lac-Bouchette est une municipalité faisant partie de la MRC du Domaine-du-Roy. Le village est nommé en l'honneur de Joseph Bouchette, un grand arpenteur du Bas-Canada durant la première moitié du XIXe siècle.

La municipalité de Lac-Bouchette est située aux abords des lacs Bouchette, des Commissaires et Ouiatchouan. Le village, situé en hauteur par rapport au reste du Saguenay–Lac-Saint-Jean, se trouve dans le massif des Laurentides, à l'endroit où ce dernier s'abaisse pour former la plaine du Lac Saint-Jean.

Le territoire de la municipalité de Lac-Bouchette s'étend sur une superficie de 919,99 km². Ce qui en faisait la municipalité la plus grande du Saguenay-Lac-Saint-Jean avant la fusion de la ville de Saguenay en 2001.

C'est dans cette localité que se trouve l'Ermitage Saint-Antoine de Lac-Bouchette, l'un des quatre lieux de pèlerinage nationaux du Québec.

10 juin 2011[modifier le code]

L'Anse-Saint-Jean
L'Anse-Saint-Jean

L'Anse-Saint-Jean est une municipalité de village faisant partie de la MRC du Fjord-du-Saguenay. Le recensement de 2006 y dénombre 1 088 habitants.

Le village est situé au cœur du fjord du Saguenay où l'on trouve plusieurs activités estivales et hivernales telles que le ski alpin au mont Édouard, randonnées pédestres, randonnées en raquettes, équitation, randonnées en traîneau à chien, croisières et autres. Le belvédère de l'anse de Tabatière du parc national du Saguenay donne aussi un point de vue spectaculaire sur le fjord.

Comme pour les municipalités voisines (Petit-Saguenay et Rivière-Éternité), L'Anse Saint-Jean est située dans une vallée enclavée.

11 mai 2011[modifier le code]

Panneau à l'entrée d'Albanel
Panneau à l'entrée d'Albanel

Albanel est une municipalité située dans la MRC de Maria-Chapdelaine. Le recensement de 2006 y dénombre 2 326 Albanélois. Ils doivent leur nom au père Charles Albanel (1616-1696), missionnaire et explorateur jésuite.

Sise entre Dolbeau-Mistassini et Normandin au nord-ouest du Lac Saint-Jean, cette municipalité est née de la fusion des municipalités du canton et du village d'Albanel survenue en avril 1990, laquelle réunissait deux territoires dont les liens historiques sont intimement amalgamés. À compter de 1891, une mission était desservie par les pasteurs de Saint-Méthode et de Normandin dans le canton d'Albanel. Érigée canoniquement en 1902, la paroisse de Sainte-Lucie-d'Albanel comprenait une partie du canton d'Albanel ainsi que les îles adjacentes situées dans la rivière Mistassini.

10 avril 2011[modifier le code]

La rue De Quen, artère principale du village
La rue De Quen, artère principale du village

Saint-Gédéon ou Saint-Gédéon-de-Grandmont est une municipalité locale située dans la MRC de Lac-Saint-Jean-Est.

Située entre la plaine et les plages de la rive est du Lac-Saint-Jean, Saint-Gédéon est une localité agricole et récréotouristique à 10 kilomètres au sud-ouest de la ville d'Alma. Fondé en 1864 par des agriculteurs s'installant sur la rive nord de la Belle Rivière, la petite communauté s'est principalement développée grâce aux terres cultivables du secteur. Donnant directement sur le lac Saint-Jean, on y retrouve aujourd'hui des plages, des terrains de camping, des marinas et le seul terrain de golf de la MRC Lac-Saint-Jean-Est. La municipalité est également reconnue pour sa carrière de granite noir qui est exploitée depuis la première moitié du XXe siècle.

6 mars 2011[modifier le code]

Centre-ville d'Alma
Centre-ville d'Alma

Alma fait partie de la MRC de Lac-Saint-Jean-Est, dont elle est le chef-lieu. Le recensement de 2006 y dénombre 30 000 habitants.

Alma est la principale ville du Lac-Saint-Jean. Elle constitue la deuxième ville en importance de la région administrative du Saguenay–Lac-Saint-Jean, après Saguenay et la dix-huitième agglomération en importance dans la province de Québec. Alma porte le surnom de « Cité de l'hospitalité » et sa devise latine est « Crescit Undo » qui peut se traduire par « Sa croissance accompagne son mouvement ».

Alma est située à l'est du lac Saint-Jean à sa décharge. Les eaux du lac de plus de 30 km de diamètre se divisent en 2 rivières qui traversent la ville selon un axe ouest-est, La Petite Décharge (celle-ci se subdivise en deux dans le milieu de la ville pour former l'île sainte-Anne) et La Grande Décharge. Les deux rivières se rejoignent à la sortie de la ville pour former la rivière Saguenay. Le secteur urbanisé se retrouve principalement sur les rives à l'aval de la Petite-Décharge, ainsi que sur la rive nord de la Grande Décharge.

8 février 2011[modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Hébertville
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption d'Hébertville

Hébertville est située dans la MRC de Lac-Saint-Jean-Est.

Elle est nommée en l'honneur de l'abbé Nicolas-Tolentin Hébert (1810-1890), âme dirigeante de l'Association des comtés de L'Islet et de Kamouraska pour coloniser le Saguenay. Première à être colonisée au Lac-Saint-Jean, en 1849, cette municipalité offrait l'assise du développement futur par sa chute des Aulnaies, située en plein cœur du village.

C'est à cet endroit que se sont établis les moulins à scie et à farine, nécessaires à la survie des premiers colons.

Le recensement de 2006 y dénombre 2 421 habitants.

On trouve au sud-est du village le Mont Lac-Vert, station d'une dénivellation de 242 m aménagée pour le ski alpin, la planche à neige et la glissade en tube. On peut aussi y faire de la randonnée pédestre et de la descente à vélo.

1er janvier 2011[modifier le code]

Mairie de Roberval
Mairie de Roberval

Roberval est située au bord du lac Saint-Jean dans la MRC du Domaine-du-Roy. Son nom rappelle Jean-François de La Rocque, sieur de Roberval. Le recensement de 2006 y dénombre 10 544 habitants.

Roberval a été fondée par Thomas Jamme. En 1855, il achète le domaine de Jacob Duchesne qui comprenait une maison de même qu’un moulin à farine et une scierie sur la rivière Ouiatchouanish. Le canton de Roberval, détaché en 1857 de celui de Ouiatchouan, devint une municipalité en 1859. Celle-ci comptait alors 250 habitants.

La population grandissante, en raison des nombreux chantiers de bûcherons de la région, provoqua un certain boom économique, et en 1888 la ligne de chemin de fer Québec-Lac-St-Jean atteignit la municipalité. La construction de l'hôtel Roberval et l'action de B.-A. Scott qui érigea un moulin à scie participèrent aussi beaucoup à la prospérité de la région.

Roberval continua ensuite son développement de manière assez rapide, étant la porte d'accès à de nombreuses ressources naturelles situées à proximité. Plusieurs institutions (le sanatorium, l'hôpital Sainte-Élisabeth et le couvent) firent leur apparition.

18 décembre 2010[modifier le code]

Arrondissement de Chicoutimi
Arrondissement de Chicoutimi

Saguenay (prononciation : /saɡ.ne/) est une ville de l’est du Québec.

Située dans une vallée aux abords de la rivière Saguenay, elle est en amont du fjord du Saguenay et en aval du horst de Kénogami. Du nord au sud, elle s’étend de la rive nord du Saguenay au massif des Laurentides. Sa superficie totale est de 1 136 km2. Avec ses 146 641 habitants, elle est la septième plus importante ville et la cinquième plus importante agglomération du Québec.

Métropole polycentrique de la région administrative du Saguenay–Lac-Saint-Jean, Saguenay compte trois arrondissements urbains, Chicoutimi, Jonquière et La Baie et leurs secteurs périphériques Laterrière, Canton-Tremblay, Lac-Kénogami et Shipshaw. Avant les fusions municipales de 2001, tous ces arrondissements et secteurs étaient des municipalités indépendantes.

Ce regroupement de villes originalement monoindustrielles établies sur les affluents de la rivière Saguenay possède une économie principalement tertiaire qui repose sur l’industrie de l’aluminium, l’industrie forestière, ses commerces et ses institutions. Saguenay compte une université francophone sur son territoire ; l’Université du Québec à Chicoutimi; un aéroport et une base militaire de la force aérienne du Canada; la Base des Forces canadiennes Bagotville.