Grand port maritime de La Rochelle

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Port Atlantique de La Rochelle
Les grues du môle d'escale du Port autonome de La Rochelle-Pallice
Présentation
Type
Construction
1880 / 1890
Statut
Tirant d'eau
13,50 m au môle d'escale
Tonnage
9,6 millions de tonnes (2018)[1]
Trafic
30 000 passagers (2018)
1 000 navires (2018)
6 577 conteneurs (2018)[1]
Activités
1er port français importateur de produits forestiers
2e port français exportateur de céréales
Escales de paquebots (30 000 passagers croisiéristes en 2018)
Superficie
554 ha
Géographie
Coordonnées
Pays
Région
Département
Commune (France)
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Le port atlantique de La Rochelle, appelé aussi port de La Pallice, est le port de commerce de la ville de La Rochelle (Charente-Maritime, Nouvelle-Aquitaine, France). Son activité et ses installations sont aujourd'hui gérés par l'établissement public du Grand port maritime de La Rochelle, autrefois port autonome. Il se classe au 6e rang des grands ports maritimes de France[2] en tonnage de marchandises[3], 1er port européen pour l'importation de grumes et 1er port français pour l'importation de produits forestiers et pâtes à papier[4]. Il représentait en 2001 plus de 85 % des échanges de marchandises du transport maritime de l'ancienne région Poitou-Charentes[5].

Localisation[modifier | modifier le code]

Du fait de sa situation dans le quartier de La Pallice, dans la partie ouest de la ville de La Rochelle, raison pour laquelle il est appelé port de La Pallice.

Map
Port de La Pallice.

Établissement public[modifier | modifier le code]

Port autonome depuis le à la suite du décret no 2004-1378 du , il a reçu le statut de grand port maritime à la suite du décret no 2008-1036 du . Le grand port maritime de La Rochelle est un établissement public qui exerce conjointement des missions de service public administratif et des missions de service public à caractère industriel et commercial et qui est géré comme un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) dont la tutelle de l'État est exercée par la Direction générale des infrastructures, des transports et de la mer[6] du ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie.

Il est administré par un directoire de trois membres[7]; Président du directoire, Michel Puyrazat[8]. Son conseil de surveillance comprend notamment des représentants de l'État, du personnel, des collectivités territoriales (Nouvelle-Aquitaine, Charente-Maritime, Communauté d'agglomération de La Rochelle, commune de La Rochelle) et de la Chambre de commerce et d'industrie de La Rochelle. Un conseil de développement de trente membres assiste les organes statutaires.

Caractéristiques techniques[modifier | modifier le code]

  • Tirant d'eau maximum autorisé 14 mètres, port en eau profonde ;
  • Certifié ISO 9001 - ISO 14001 - OHSAS 18001 le 30 octobre 2018 ;
  • Évalué niveau confirmé AFAQ 26000, label engagé RSE, novembre 2018
  • 1 715 emplois salariés générés[9]
  • Réception de navires jusqu'à 100 000 tonnes ;
  • Second port d'exportation ;
  • Environ 5,7 millions de tonnes d'importation ;
  • 2 800 mètres linéaires de quai ;
  • Au , 3 remorqueurs VB Boluda : le Pornichet, le Belle-Ile, et l' Oléron.
  • Terminal passagers pour paquebots de croisières ;
  • Terminal pétrolier sur le môle d'escale ;
  • Postes roulier (Ro-Ro) / 1 - dans l'anse de Chef de Baie, / 2 - dans le bassin à flot
  • 53 hectares de stockage sur plate-forme extérieure ;
  • 278 hectares de surface maritime ;
  • 276 hectares de surface terrestre ;
  • 137 500 m2 de hangars ;
  • 21 grues ;
  • Forme de radoub : 2 - donnant sur le bassin à flot, pour des activités de carénage et de réparations navales (dont une de 176,21 m) ;
  • Bassin à flot avec SaS d'écluse.
Panorama du port de La Pallice, depuis l'île de Ré

Trafic[modifier | modifier le code]

Le môle d'escale de la Pallice, (en arrière-plan le Pont de l'île de Ré).

En 2010, le trafic exprimé en « tonnage brut total » du port de La Rochelle Pallice représente environ 2 % du trafic des ports de commerce français[10].

Trafic du port autonome de La Rochelle
Marchandises Année 2005 Année 2006 Année 2007[11] Année 2008 Année 2009 Année 2010 Année 2011[12] Année 2012[13] Année 2013[14]
Hydrocarbures 2 521 552 t 2 532 744 t 2 561 750 t 2 420 998 t 2 464 888 t 2 509 425 t 2 449 314 t 2 618 532 t 2 838 203 t
Céréales 2 240 154 t 2 443 183 t 2 326 481 t 3 011 493 t 2 997 132 t 3 604 383 t 3 548 691 t 3 303 235 t 4 370 232 t
Sables 676 544 t 808 478 t 890 891 t 785 486 t 674 495 t 676 798 t 673 553 t 662 958 t 658 596 t
Bois divers 205 858 t 171 077 t 204 356 t 188 898 t 123 545 t 126 383 t 114 824 t 108 089 t 860 391 t
Pâtes à papier 492 590 t 506 456 t 507 827 t 574 595 t 521 617 t 670 538 t 683 580 t 610 083 t
Grumes tropicales 138 192 t 123 290 t 182 349 t 143 058 t 83 896 t 75 345 t 64 867 t 63 908 t
Vracs agricoles 373 010 t 412 548 t 505 280 t 536 914 t 523 901 t 630 432 t 673 752 t 782 609 t 702 189 t
Vracs industriels 115 065 t 171 911 t 253 320 t 113 693 t 41 985 t 61 937 t 99 560 t 59 806 t 272 910 t
Marchandises diverses 130 964 t 167 372 t 148 495 t 129 141 t 80 330 t 76 407 t 135 474 t 137 290 t
Total 6 893 929 t 7 337 059 t 7 580 749 t 7 904 276 t 7 511 789 t 8 431 648 t 8 443 615 t 8 346 510 t

9 702 521 t

Croisières & passagers[modifier | modifier le code]

Le port de La Rochelle Pallice dispose d'un terminal passagers qui accueille régulièrement à la belle saison des paquebots (39 en 2017, 49 000 passagers)[15]. Après deux années blanches pour cause de crise sanitaire, les navires de croisières étaient de retour en 2022 au « Port Atlantique La Rochelle », avec près de 35 escales[16].

L'ancienne maison Vélux a servi de pavillon d'accueil à la Course autour du monde, avant de devenir aujourd'hui Sorata, hall d'accueil des croisières.

En 2011, Le port a accueilli 23 escales, dont 19 de grands paquebots. Il a été le premier port d'escale de la façade atlantique en 2017 avec 36 466 passagers[20], mais le Port de Bordeaux l'a désormais dépassé[21].

Sorata, le nouveau bâtiment d'accueil pour les croisiéristes, est inauguré le . Situé au môle d’escale, il comporte un hall d'accueil, les guichets d'enregistrement, la salle d'embarquement, un portique-scanner et un tapis roulant pour les bagages et accueillera tous les voyageurs qui ont choisi La Rochelle comme ville de départ, d'arrivée ou d'escale pour leur croisière. Ancien pavillon de la course autour du monde Velux 5 Oceans[22], il est offert par la ville[23].

Activité fret ferroviaire[modifier | modifier le code]

Fin 2010 est officiellement créé un Opérateur ferroviaire de proximité (OFP) pour gérer le service fret ferroviaire sur la zone portuaire de La Rochelle Pallice empruntant en particulier la ligne de La Rochelle-Ville à La Rochelle-Pallice, en voie unique, qui traverse la ville. La société OFP La Rochelle (en), dont le capital est réparti entre le Grand port maritime de La Rochelle et Euro Cargo Rail, a été inaugurée le .

Fin 2011, le trafic ferroviaire[20] a dépassé pour la première fois la barre du million de tonnes (1,06 Mt) de marchandises pré ou post-acheminées par train, soit une augmentation de 57 % depuis 4 ans. La part modale du ferroviaire sur le port s'établit désormais à 12,63 % du trafic portuaire, contre 8,96 % en 2007.

À la fin de l'année 2016, Euro Cargo Rail avait annoncé son retrait d’OFP Atlantique, opérateur ferroviaire portuaire qui assurait les services de traction des ports de La Rochelle et de Nantes Saint-Nazaire. Après un appel à candidatures, c'est la société OuestRail créée par le groupement Millet-Régiorail qui a été retenue, et qui réalise depuis le les prestations de traction d’OFP Atlantique[24].

Histoire du port de La Pallice[modifier | modifier le code]

Construit après dix ans d'efforts sur les conseils de l'ingénieur hydrographe Bouquet de La Grye, le port de la Pallice, bassin à flot et avant-port[25], a été inauguré le par Sadi Carnot, alors président de la République française, et Wladimir Mörch, président de la Chambre de commerce et d'industrie[26],[27]. Il a longtemps été caractérisé par la tête de pont de ses lignes régulières avec l’Afrique, à l'origine de la part importante d'importation de bois dans son trafic.

Il a connu de nombreux événements et agrandissements au cours de son histoire :

  • 1951, ouverture de la gare maritime, qui restera en activité jusqu'au milieu des années 1960.
  • 1966, agrandissement de la plate-forme du môle d'escale.
  • À partir de 1990, creusement et construction de nouveaux bassins : Chef de Baie I, II puis III, spécialisés dans le trafic du bois, avec plus de 500 mètres linéaire de quais.
  • 2002, construction d'un poste roulier.
  • 2008, le port concède un batiment à la ville qui deviendra La Sirène (salle de concert)
  • 2009, sur le Môle d'escale, démolition du bâtiment de la Gare maritime des voyageurs et des hangars adjacents.
  • Avril 2011, mise en service du quai de l'anse Saint-Marc[31]. Ce terminal[32] vraquier qui peut permettre d'atteindre le cap des 10 millions de tonnes de trafic. Les travaux de l'anse de la Repentie (nord) ont commencé.
  • Avril 2016, mise en service du quai de l'anse Saint-Marc 2[33]. Ce second poste à quai de l’Anse Saint-Marc accroît de 200 m le linéaire de quai, portant sa longueur totale à 360 m, permettant d'accueillir des navires de type panamax.
  • Le à Chef de Baie, a été inauguré le nouveau terminal du groupe céréalier Soufflet[34] dont la « première pierre » avait été posée le . Les installations comprennent un silo d'une capacité de stockage de 63 000 tonnes divisée en trente-deux cellules, construit face à la mer en « bord à quai ». Ce silo est connecté par bande transporteuse à un portique de chargement sur rails d’une cadence de 1 200 t/heure ; l'ensemble pouvant fonctionner 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Avec ce nouveau terminal, la capacité de chargement en céréales du port passe de 15 000 à 24 000 tonnes par jour ; de même que la possibilité de stockage à La Pallice passe à 185 000 tonnes.

Toutes ces installations ont été gagnées sur la mer. Les travaux d'agrandissements sont toujours en cours avec la construction d'un nouveau terre-plein de 35 hectares[35], d'ici 2020 dans la partie Nord du port, au pied du pont de l'Île de Ré.

Activité militaire[modifier | modifier le code]

La Rochelle et La Pallice ont été miraculeusement sauvés entre 1944 et 1945 par deux hommes mer[36], le capitaine de vaisseau Hubert Meyer[37] et l'amiral allemand Ernst Schirlitz[38]. Les cargos du Plan Marshall ont pu ravitailler l'Europe de l'Ouest grâce au môle d'escale de La Pallice, le seul port épargné en France. Sur la pierre tombale d'Hubert Meyer (1899-1978), à Saint-Ciers-du-Taillon, près de Royan, est gravé le psaume 103 : « Mon âme bénit l'Éternel et n'oublie aucun de ses bienfaits ». La création du port de La Pallice fut un bienfait.

Le port de La Pallice est un point stratégique de la guerre froide.

Présence exceptionnelle de navires militaires à quai le .

À partir de 1950, il connaît un nouveau développement militaire, car il est choisi comme le point principal d'entrée des renforts américains en France en cas d'attaque soviétique dans le cadre de l'OTAN. Il a été préféré au port de Cherbourg pour jouer ce rôle car il dispose de vastes terre-pleins dans l'arrière pays, se situe hors de portée d'une aviation tactique ennemie opérant à partir du Rhin et des Pays-Bas (ligne de défense alors envisagée) et possède avec le Pertuis d'Antioche un vaste avant-port dans lequel il est relativement aisé de traquer une activité sous-marine adverse, ainsi que de draguer les mines. C'est d'ailleurs à La Pallice qu'est alors installée l'école de défense des ports de la marine nationale.

La zone portuaire bénéficie d'investissements américains dans le cadre du MDAP (Mutual Defence Advisory Plan, que l'on pourrait résumer à « Plan Marshall militaire ») dans la décennie 1950-1960. Dès 1953, le risque d'une réédition d'une attaque classique frontale comme celle de 1940 diminue cependant, quand les Américains s'engagent à des « représailles massives » en cas d’agression soviétique, limitant l'intérêt d'un tel port de soutien. Les études et travaux entamés sont néanmoins poursuivis. Après 1957, la crainte d'un échange nucléaire initial conduit non plus à concentrer les infrastructures portuaires en un point donné, mais au contraire à les disperser au sein de « complexes portuaires » utilisant tant les grands ports (ce qu'il en restera...) que les petits ports secondaires, voire les plages, les criques, etc. À partir des années 1960,si les investissements militaires cessent, ceux concernant l'activité portuaire civile se développent.

Durant les années 1960-1980, un contre-amiral (COMAR La Pallice) commandait l'arrondissement maritime de La Pallice-Rochefort. Il avait autorité sur la Marine nationale implantée dans le port de la Pallice. À terre, se trouvait une base, l'« Unité marine ». Amarrée à « l'épi sud » de la base sous-marine, une division de 3 patrouilleurs avait pour mission de sécuriser la zone maritime du Centre d'essais des Landes (CEL) de Biscarosse, pendant ses campagnes d'essais de tirs de missiles.

En 2010, avec le départ du 519e régiment du train qui occupait une partie de l'ancienne base sous-marine allemande où étaient amarrées les chalands de débarquement de la 311e compagnie de transbordement, l'activité portuaire militaire se trouve réduite à sa plus simple expression

Culture populaire[modifier | modifier le code]

Pollution[modifier | modifier le code]

  • Les résidus chimiques intégrés au remblai du port contiennent du thorium et de l'uranium[40]. La société Rhodia Opérations (usine de Chef de Baie) a produit des résidus provenant du traitement de matériaux naturels très légèrement radioactifs, qui ont participé avec d'autres matériaux au comblement de la zone de remblaiement du terminal de Chef de Baie du Grand port maritime de La Rochelle. Ces apports ont cessé en 1993[41]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b « SYNTHESE DES TRAFICS - 2015 à 2018 » [archive du ], sur larochelle.port.fr.
  2. Avec 8.38 millions de tonnes de marchandises traitées en 2011, Bordeaux perd sa 6e place au classement des Ports de commerce, « Bordeaux : Le trafic global se tasse mais le conteneur bondit », Mer et Marine.
  3. « Le port de La Rochelle s'achemine vers les 10 millions de tonnes », sur Les Echos, (consulté le ).
  4. [PDF] http://www.larochelle.cci.fr/institutionnel/zoomport.pdf Port de commerce de La Rochelle] (CCI de La Rochelle).
  5. Trafic de marchandises des principaux ports régionaux en 2001 (Observatoire régional de l'environnement Poitou-Charentes).
  6. « FICHE QUESTION », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  7. Décret 2008-1036 du 9 octobre 2008, art. 5.
  8. https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028637897&categorieLien=id
  9. « Le Grand Port Maritime de La Rochelle : des activités orientées vers la logistique - Insee Analyses Nouvelle-Aquitaine - 51 », sur insee.fr (consulté le ).
  10. Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, « Trafics 2010 par NST/R des principaux ports de France métropolitaine et d’outre-mer », mis à jour le 20-12-2011
  11. [PDF]autonome de La Rochelle - Trafic 2007.
  12. [PDF][1] PORT ATLANTIQUE LA ROCHELLE TRAFIC 2011.
  13. [PDF][2] PORT ATLANTIQUE LA ROCHELLE TRAFIC 2012.
  14. [PDF][3] PORT ATLANTIQUE LA ROCHELLE TRAFIC 2013.
  15. « L'Escale Atlantique n° 116 novembre 2017. Croisières : une saison remarquable »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur larochelle.port.fr (consulté le ).
  16. « ESCALES DE PAQUEBOTS Planning des prévisions d'escales croisières 2022 », sur larochelle-tourisme.com (consulté le ).
  17. « La Rochelle : l’escale du paquebot « Sky Princess » lance une saison record des croisières », sur sudouest.fr (consulté le ).
  18. « ANTHEM of the SEAS », sur umlr.fr (consulté le ).
  19. « L'un des plus gros paquebot d'Europe en escale à La Rochelle », sur francetvinfo.fr (consulté le ).
  20. a et b « Nouveau record de trafic pour le port de La Rochelle », Mer et Marine.
  21. « Ports français: les croisiéristes affluent, les défis avec », sur Mer et Marine, (consulté le ).
  22. Philippe Baroux, « Le pavillon Velux quitte le centre », Sud Ouest.
  23. thomas brosset, « Une vraie gare pour les croisiéristes », Sud Ouest.
  24. « OuestRail, nouveau partenaire d'OFP Atlantique », sur actu-transport-logistique.fr (consulté le ).
  25. [PDF]Le port de commerce l'histoire d'une ambition maritime (CCI de La Rochelle).
  26. Henry Mamy, « Travaux sous-marins de l'avant-port de La Pallice (La Rochelle) », dans Le Génie civil, 2 novembre 1889, tome XVI, no 1 p. 1-3
  27. Daniel Bellet, « Inauguration du nouveau port de La Rochelle. Port de La Pallice », dans Le Génie civil, 16 août 1890, tome XVII, no 16 p. 241-243
  28. 1er mai 1916 : explosion de l'usine Vandier sur le site de la mairie de La Rochelle, consulté le 28 avril 2016.
  29. (es) Bárbara Ortuño Martínez, « «En busca de un submarino». Crónica a bordo del buque insignia del exilio republicano en Argentina: el Massilia », Cahiers de civilisation espagnole contemporaine. De 1808 au temps présent, no 9,‎ (ISSN 1957-7761, DOI 10.4000/ccec.4242, lire en ligne, consulté le )
  30. L'Armée polonaise dans la Bataille de France
  31. Philippe Baroux, « Premier cargo à l’anse Saint-Marc », sur sudouest.fr.
  32. « Aménagement de l’Anse Saint-Marc », sur cargos-paquebots.net.
  33. « Inauguration de l'anse Saint-Marc 2 », sur larochelle.port.fr (consulté le ).
  34. « A La Rochelle, pour Soufflet, il y a le ciel, les silos et la mer », sur lepoint.fr (consulté le ).
  35. « Le port se développe en gagnant 35 hectares sur la mer », sur sudouest.fr (consulté le ).
  36. Libération de la "poche" de La Rochelle, Chemins de mémoire
  37. Le capitaine de vaisseau Meyer
  38. Ernst Schirlitz (de)
  39. Tintin à La Rochelle (CCI de La Rochelle).
  40. Alerte à la pollution nucléaire, Magazine Capital - Octobre 2008
  41. ANDRA, « Inventaire national des matières et déchets radioactifs »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur inventaire.andra.fr, (consulté le ).

Galerie[modifier | modifier le code]

Le port de La Pallice il y a plus de quarante ans.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Jacques Busche, Notice sur un batardeau employé pour les réparations de l'écluse du bassin à flot du port de La Rochelle, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 2e semestre 1837, p. 351-357 (lire en ligne) et planche CXL (voir)
  • Albert Thurninger, Étienne Coustolle, Notice sur les fondations à l'air comprimé des jetées du nouveau port de La Pallice, dans Annales des ponts et chaussées. Mémoires et documents relatifs à l'art des constructions et au service de l'ingénieur, 2e semestre 1889, p. 455-508 (lire en ligne) et planches 50 à 54 (voir)

Liens externes[modifier | modifier le code]