Ponctuation
La ponctuation a pour but l'organisation de l'écrit grâce à un ensemble de signes graphiques. Elle a trois fonctions principales. Elle indique des faits de la langue orale, comme l'intonation ou les pauses de diverses longueurs (indications prosodiques). Elle marque les degrés de subordination entre les différents éléments du discours (rapports syntaxiques). Enfin elle précise le sens et définit les liens logiques entre ces éléments (informations sémantiques). Destinée à faciliter la compréhension du texte, elle est un élément essentiel de la communication écrite[1].
Un seul signe de ponctuation peut modifier la nature d'une phrase, la rendant énonciative, exclamative, injonctive, interrogative, changeant donc son sens et la manière de la prononcer. Exemple : Vous sortez maintenant. — Vous sortez maintenant ? — Vous sortez maintenant ! — Vous sortez maintenant…, etc.
On recense traditionnellement dix ou douze signes de ponctuation qui s'insèrent dans le texte : le point {.}, le point d'interrogation {?}, le point d'exclamation {!}, la virgule {,}, le point-virgule {;}, le deux-points {:}, les points de suspension {…}, les parenthèses {()}, les crochets {[]}, les guillemets {« »}, le tiret {–}[2]. Grevisse y rajoute la barre oblique {/}[3]. Les accolades { {} } sont également largement utilisées.
Histoire
L'Antiquité
L’histoire de la ponctuation en Occident se retrace sur une durée de vingt-quatre siècles si l’on remonte aux Grecs. Les plus anciens manuscrits grecs présentent une scriptio continua, c'est-à-dire sans blancs entre les mots. Mais dès l'écriture mycénienne archaïque, on voit apparaître la séparation des mots[4], quoique rarement.
Aux IIIe et IIe siècles av. J.-C., Zénodote, Aristophane de Byzance et Aristarque de Samothrace, les responsables successifs de la Bibliothèque d'Alexandrie, sont donnés pour avoir défini pour l’alphabet grec un système comportant trois types de points pour marquer la ponctuation : le « point d’en haut » (stigmḕ teleía) pour la fin d’une phrase, le « point médian » (stigmḕ mésē) marquant une pause moyenne et le « point d’en bas » (hypostigmḗ), une courte pause[5],[6]. En établissant cet ensemble de signes permettant à la fois de lire et d'entendre un texte, les Grecs avaient fondé la ponctuation[7].
Ces trois signes de ponctuation sont devenus respectivement le point, le point-virgule et la virgule actuels[8]. Ces grammairiens bibliothécaires sont aussi les auteurs des diacritiques de l’alphabet grec, lesquels sont à l’origine de certains des diacritiques de l’alphabet latin[9].
Le Moyen Âge
Paradoxalement, c'est pendant les périodes de recul ou de disparition de la production littéraire que la ponctuation progresse. La tâche principale est alors de préserver les grands textes du passé et d'en établir des versions fidèles, compréhensibles et sans ambiguïté[10]. Le recopiage impose une certaine standardisation ; les mots sont systématiquement séparés par un blanc et des signes graphiques sont introduits pour faciliter la lecture. Ce travail ingrat est réalisé par des moines irlandais du VIIe et VIIIe siècles et par des ecclésiastiques carolingiens du VIIIe et IXe siècles, qui introduisent le point d'interrogation[11].
Du XIVe au XVIIe siècle
Gasparin de Bergame (1370-1431) est l’auteur d'un des premiers traités de ponctuation, La Doctrina punctandi. Avant lui, un traité attribué à Pétrarque est sans doute rédigé par un chancelier de Florence, Coluccio Salutati (1330-1406)[12], qui ajoute deux signes nouveaux : le point d'exclamation et les parenthèses[13].
Geoffroy Tory, imprimeur humaniste, invente un « point crochu » qu’Étienne Dolet, dans son De la punctuation de la langue Françoyse, nomme virgule ou incisum. Citant la tradition grecque des trois points, Tory énumère onze valeurs de points nouveaux (contre sept pour Dolet) : le point suspensif, le point double, le demypoint, le point crochu, l'incisant, le respirant, le concluant, l'interrogant, le respondant, l'admiratif et enfin l'interposant ou parenthèses[14].
Au XVIIe siècle, on continue à considérer que la ponctuation n'a qu'une fonction orale, destinée exclusivement à faciliter la lecture à voix haute. Aussi les grammairiens, tel Vaugelas, l'ignorent, sauf Antoine Furetière qui, dans son Essay d'un dictionnaire universel (1684), donne une définition assez complète des signes de ponctuation anciens et modernes[15]. Les imprimeurs et leurs typographes s'emparent de cette « petite science » que les grammairiens délaissent, et ils en conserveront la maîtrise jusqu'à l'époque moderne, tantôt avec l'assentiment des auteurs, tantôt malgré leur opposition.
Du XVIIIe au XXe siècle
La ponctuation moderne se met en place à partir du XVIIIe siècle[16]. Nicolas Beauzée, rédacteur de cent trente-cinq articles de grammaire dans l'Encyclopédie de Diderot, dont le chapitre « Ponctuation », a une très haute idée de cette matière, la qualifiant dans sa Grammaire générale de « métaphysique très subtile »[17]. Il maintient que le rôle premier de la ponctuation est de faciliter la lecture à voix haute (rôle prosodique), mais il lui reconnaît comme rôle second de distinguer les sens partiels qui constituent le discours (rôle sémantique), et enfin de marquer les divers degrés de subordination dans l'ensemble du discours (rôle syntaxique)[18]. Mais, pour Beauzée, lorsque les exigences de la respiration entrent en conflit avec la syntaxe, il donne la priorité à la respiration, qui demeure primordiale. En effet, avant l'avènement du roman, l'essentiel de la littérature de l'époque peut être qualifiée de « déclamatoire », les textes étant surtout faits pour être lus à haute voix : fables, poèmes, théâtre, sermons, prêches et homélies[19], la lecture « visuelle », c'est-à-dire silencieuse, étant un phénomène récent[20].
Par exemple, les trois virgules figurant dans l'édition originale de cette période oratoire de Bossuet « Mais la sage et religieuse princesse qui fait le sujet de ce discours, n'a pas été seulement un spectacle proposé aux hommes, pour y étudier les conseils de la Divine Providence, et les fatales révolutions des Monarchies ; […][21] » ne sont pas requises par la syntaxe, et ne sont placées là que pour permettre au prédicateur de reprendre son souffle, la phrase étant trop longue pour être déclamée en chaire d'une seule traite.
Malgré le renouveau d'intérêt des grammairiens pour la ponctuation, les imprimeurs, bien souvent, n'en font qu'à leur tête, surtout pour les romans qui commencent à devenir populaires[22]. Ainsi l'imprimeur Chapoulaud (1865) n'y va pas par quatre chemins : « Seul l'imprimeur instruit et expérimenté est conséquent dans sa manière de ponctuer, et sur ce point, l'auteur doit s'en rapporter à lui […], les typographes ponctuent généralement mieux que les auteurs. »[23].
Signes de ponctuation occidentaux
Les principaux signes de ponctuation utilisés en français comprennent les signes pausaux et les signes mélodiques.
- Les signes pausaux (en ordre décroissant de la durée) sont :
- le point ( . ) — qui a donné son nom à la ponctuation — termine une phrase ;
- le point-virgule ( ; ), marque une pause moyenne, normalement précédé d’une espace fine insécable, et ;
- la virgule ( , ), marque la pause la plus faible.
- Les signes mélodiques sont :
- le point d’interrogation ( ? ), normalement précédé d’une espace fine insécable ;
- le point d’exclamation ( ! ), toujours précédé d’une espace fine insécable ;
- les points de suspension (…), qui ne sont en réalité qu'un seul signe typographique (Alt+0133 sous Windows), ne sont pas précédés d'une espace ;
- le deux-points — appellation typographique considérée plus puriste que « les deux-points » ( : ), précédé logiquement d’une espace insécable, parfois d’une espace fine insécable ;
- les tirets, marquent une pause moyenne, demi-cadratin ( – ) et cadratin ( — ), toujours précédés et suivis d’une espace fine ;
- les guillemets (dits français) ouvrant ( « ) et fermant ( » ), séparés de l’expression qu’ils enserrent par une espace fine insécable, peuvent contenir des guillemets anglais doubles “ ” (ouvrants et fermants) ;
- les parenthèses ouvrante ( et fermante ), marquent une pause moyenne, intercale une précision dans la phrase ;
- les crochets ouvrant [ et fermant ], s’utilisent souvent à l’intérieur des parenthèses, ou avec des points de suspension.
Les signes de ponctuation et leurs usages ne sont pas universels. Les anglophones utilisent des guillemets différents des francophones (“ ”) et, comme dans la plupart des langues, n’emploient pas d’espace devant les ponctuations suivantes : : ; ? ! (ni aux abords des « » ).
Ce qui correspond également à la ponctuation française de l'époque classique (du XIVe au XIXe siècle). Les hispanophones commencent leurs phrases interrogatives et exclamatives par des ponctuations inversées ¿ et ¡. Chez les germanophones, les guillemets sont disposés à l’inverse des francophones : guillemets ouvrant en » et fermant en « (communément appelés guillemets inversés).
Ces règles de ponctuation, tout comme les autres règles typographiques, n’ont pas le caractère d’obligation absolue que peut avoir l’orthographe : certains journaux francophones (Libération en France notamment) ne mettent aucune espace avant les signes de ponctuation. Néanmoins, ces règles sont le plus souvent utilisées, surtout dans le cadre de l’édition de livres.[citation nécessaire]
Les espaces autour des signes de ponctuation (règles actuelles)
En général, une espace après un signe simple (, .) et 2 espaces autour des signes doubles (: ; ! ?).
AVANT le signe | APRÈS le signe | ||
---|---|---|---|
point | pas d’espace | . | espace (sauf en fin de paragraphe) |
point-virgule | espace fine ou espace (insécables)[Note 1],[Note 2] | ; | espace |
deux-points | espace insécable | : | espace |
point d’exclamation | espace fine ou espace (insécables)[Note 3] | ! | espace |
point d’interrogation | espace fine ou espace (insécables)[Note 4] | ? | espace |
virgule | pas d’espace | , | espace |
trait d’union (quart-cadratin, différent du tiret) ce n’est pas une ponctuation mais un signe grammatical. |
pas d’espace | - | pas d’espace |
tiret (demi-cadratin) | espace fine ou espace (insécables) | – | espace fine ou espace (sécables) |
tiret (demi-cadratin) lorsqu’utilisé en début d’incise |
espace fine ou espace (sécables) | – | espace fine ou espace (insécables) |
tiret long (ou cadratin) | espace fine ou espace (insécables) | — | espace fine ou espace (sécables) |
tiret long (ou cadratin) lorsqu’utilisé en début d’incise |
espace fine ou espace (sécables) | — | espace fine ou espace (insécables) |
guillemet ouvrant | espace (mais pas en début d’alinéa) | « | espace fine ou espace (insécables) |
guillemet fermant | espace fine ou espace (insécables) | » | espace |
barre de fraction (slash) | espace fine insécable ou pas d’espace | / | espace fine insécable ou pas d’espace |
apostrophe ce n’est pas une ponctuation mais un signe grammatical. |
pas d’espace | ’ | pas d’espace |
points de suspension | pas d’espace | … | espace |
parenthèse ouvrante | espace | ( | pas d’espace |
parenthèse fermante | pas d’espace | ) | espace |
crochet ouvrant | espace | [ | pas d’espace |
crochet fermant | pas d’espace | ] | espace |
Remarque : en anglais, en revanche, — comme dans beaucoup d’autres langues (allemand, italien, etc.) — les signes de ponctuation doubles (: ; ! ?) ne sont pas précédés d’une espace[24].
Traitement des espaces pour les symboles bipoints
Les signes composés de deux éléments l’un au-dessus de l’autre doivent avoir une espace insécable avant et une espace sécable après, suivant la typographie française. De nombreuses autres (américaine, en particulier) ne mettent aucune espace avant ces signes[Note 5]. En particulier, en typographie canadienne on n’admet l’espace que devant le deux-points (on l’omet devant le point-virgule et les points d’exclamation et d’interrogation)[25].
Par exemple, le deux-points est précédé d’une espace insécable (ou, parfois, d’une espace fine insécable ou quart de cadratin), et suivi d’une espace sécable[26],[27].
Dans le cas du point-virgule, l’espace insécable précédant le signe doit être une espace fine[28],[29].
Exemple : une espace avant et après le deux-points.
Pour le cas où on emploie plusieurs signes successifs (points d’exclamation et d’interrogation multiples, éventuellement combinés), l’usage est de traiter l’ensemble des signes comme ne formant qu’un seul signe. Espaces avant et après, pas d’espaces entre les signes. Cet usage n’est cautionné par aucune règle officielle, parce que l’emploi de signes multiples est contraire aux règles de toute manière, même s’il est largement répandu, par exemple dans les bandes dessinées.
En informatique
En pratique, en particulier sur Internet, cette règle est loin d’être respectée, car l’espace insécable n’est pas accessible en une seule touche sur un clavier d’ordinateur (combinaison de deux ou trois touches selon le système d’exploitation), si elle existe dans le système d’écriture utilisé. De nombreux rédacteurs choisissent donc de ne pas placer d’espace avant ces signes, pour ne pas placer d’espace sécable qui risquerait de placer le signe en tête d’une ligne[30].
Toutefois certains logiciels d’écriture avancés corrigent cette faute pour le lecteur. Microsoft Word (versions récentes) par exemple remplace automatiquement un deux-points non précédé d’une espace ou un deux-points précédé d’une espace sécable par un deux-points précédé d’une espace insécable s’il pense que le texte est en français. De même, certains moteurs de wiki (comme MediaWiki) ou de forums interprètent une espace avant un signe de ponctuation double comme insécable. Cependant, les espaces insécables dans Word ne peuvent être que fines[réf. nécessaire]. À l’opposé, quelques moteurs d’affichage des sites internet n’affichent aucune espace fine, car elles sont mal gérées par certains navigateurs. En revanche, les espaces correctes sont automatiquement insérées par LaTeX.
Autres signes de ponctuation
Signes récents et peu usités
Certains signes de ponctuation ont été inventés récemment, mais leur utilisation est restée rare, voire confidentielle :
- la virgule d’exclamation a été inventée en 1856 par un certain P. Villette (Traité raisonné de ponctuation [BnF : x-33082]) ;
- le point d’ironie (؟) inventé à la fin du XIXe siècle par Alcanter de Brahm ;
- le point exclarrogatif (‽), ou « interrobang », qui combine les fonctions de point d’interrogation et de point d’exclamation ;
- plusieurs dizaines d’autres signes de ponctuation ont également été créés au fil du temps sans s’imposer dans l’usage.
Symboles typographiques
Il existe nombre de symboles (parmi lesquels des logogrammes) que l’on ne peut considérer comme des signes de ponctuation, mais qui, par ailleurs, ne sont ni des lettres ni des signes diacritiques. C’est le cas pour les caractères & et @, mais aussi le tiret bas, entre autres. Leurs fonctions sont de natures diverses : & est un logogramme et se lit comme un mot normal (« et ») tandis que le tiret bas sert surtout à la présentation (soulignement pour les machines à écrire, remplacement d’une espace typographique en informatique…), par exemple.
Ils partagent avec les signes de ponctuation le fait qu’ils appartiennent à la seule langue écrite (au même titre que la mise en italique, la distinction entre majuscules et minuscules, du reste).
Notes
- Exception au Canada où la norme veut qu’il ne soit pas précédé d’une espace ou alors d’une espace fine.
Selon l’Office québécois de la langue française - Exception en Belgique où la norme veut qu’il ne soit jamais précédé d’une espace ni d’une espace fine.
Document vendu sur le site de l’Institut belge de normalisation ou le même document à consulter sur un site privé - Ibid.
- Ibid.
- Les catalogues de bibliothèques, universitaires ou autres, en anglais, en français, en allemand, en espagnol, etc., utilisent une espace avant le deux-points marquant la séparation entre un titre d’ouvrage et son éventuel sous-titre.
Références
- Grevisse, Le Bon Usage, p. 124, §116
- Riegel, Grammaire méthodique, p. 141
- Grevisse, Le Bon Usage, p. 125, §117
- Catach, La Ponctuation, p. 12
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 13 et 14
- Drillon, Traité de la ponctuation, p. 21
- Drillon, Traité de la ponctuation, p. 22
- Catach, La Ponctuation, p. 14 et 15
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 14
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 12 et 13
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 15
- Catach, La Ponctuation, p. 28
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 17
- Catach, La Ponctuation, p. 30
- Catach, La Ponctuation, p. 32 et 33
- Catach, La Ponctuation, p. 35
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 20
- Catach, La Ponctuation, p. 37
- Houdart et Prioul, L'art de la ponctuation, p. 21
- Catach, La Ponctuation, p. 16
- Bossuet, Oraison funèbre, p. 7
- Drillon, Traité de la ponctuation, p. 38
- Catach, La Ponctuation, p. 44
- Bibliothèque Angellier
- Le Guide du rédacteur : La Ponctuation : Tableau des espacements, TERMIUM, Bureau de la traduction du gouvernement du Canada
- Guide du Typographe romand, 5e édition, point 605, p. 73.
- Lexique, op. cit., p. 148-9. Nota : Le Lexique précise : « […] sont précédés et suivis de l’espace existant entre les mots de la ligne […] »
- Lexique, op. cit., p. 148-9.
- Drillon, Traité de la ponctuation, p. 386
- Guillemette Faure, « Rue89, Un appel du mouvement contre la disparition du point-virgule », sur Rue89,
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- La ponctuation, site sur la ponctuation française
- La ponctuation et les espaces sur le site Conseils de typographie
- Le point sur… la ponctuation, série d'articles historiques
- Code de rédaction interinstitutionnel
- Claude Tournier Histoire des idées sur la ponctuation, des débuts de l'imprimerie à nos jours, Langue française, 1980, vol. 45 no 45 sur le site Persee.fr
- Aurel Ramat et Anne-Marie Benoit, Le Ramat de la typographie, 10e édition, Anne-Marie Benoit éditrice, 2012, 256 pages (ISBN 978-2-9813513-0-2)
Bibliographie
- Abbé Bossuet, Oraison funèbre de Henriette Marie de France, reine de Grande Bretagne : prononcée le 16 novembre 1669, Paris, Sébastien Mabre-Cramoisy, , 35 p.
- Nina Catach, La Ponctuation, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Que sais-je ? », , 128 p. (ISBN 2-13-046050-X)
- Jacques Drillon, Traité de la ponctuation française, Paris, Éditions Gallimard, coll. « Tel Gallimard Inédit », , 482 p. (ISBN 2-07-072198-1)
- Maurice Grevisse et André Goosse, Le Bon Usage : grammaire française, Bruxelles, Éditions De Boeck Duculot, , 1666 p. (ISBN 978-2-8011-6425-9)
- Olivier Houdart et Sylvie Prioul, L'Art de la ponctuation : Le Point, la virgule, et autres signes fort utiles, Paris, Éditions du Seuil, coll. « Le Goût des mots », , 224 p. (ISBN 978-2-7578-0372-1)
- Martin Riegel, Jean-Christophe Pellat et René Rioul, Grammaire méthodique du français, Paris, Presses Universitaires de France, coll. « Quadrige », , 1108 p. (ISBN 978-2-13-055984-9)
- Jean-Pierre Colignon, Un point c’est tout ! La ponctuation efficace ;
- Lexique des règles typographiques en usage à l’Imprimerie nationale ;
- Xavier Dandoy de Casabianca, Le Treizième Signe, la nouvelle ponctuation ancienne et moderne ;
- Xavier Dandoy de Casabianca, Le Seizième Signe, éditions éoliennes, 2007, 128p. (ISBN 978-2-911991-33-8[à vérifier : ISBN invalide]).
- Erik Orsenna, Et si on dansait ?, Stock, 2009, 130p. (ISBN 978-2-234-06058-6).
- Peter Szendy, À coups de points : La Ponctuation comme expérience, Les Éditions de Minuit, , 160 p. (ISBN 9782707323033)
- La ponctuation, dossier dans Gulliver héros de voyages extraordinaires le numéro 5 du magazine Virgule.
- M. B. Parkes, Pause and Effect. An Introduction to the History of Punctuation in the West, Scolar Press, 1992, 334 p. (ISBN 0859677427)