Plédéliac

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Plédéliac
Plédéliac
L'église Saint-Malo.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Michel Vimont
2020-2026
Code postal 22270
Code commune 22175
Démographie
Gentilé Plédéliacais, Plédéliacaise
Population
municipale
1 541 hab. (2021 en augmentation de 9,45 % par rapport à 2015)
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 00″ nord, 2° 23′ 12″ ouest
Altitude 102 m
Min. 17 m
Max. 111 m
Superficie 51,75 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Plénée-Jugon
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Plédéliac
Liens
Site web pledeliac.fr

Plédéliac [pledeljak] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Plédéliac est située entre Dinan et Lamballe, à 11 km à l'est de Lamballe.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune de Plédéliac comprend, outre le bourg, de nombreux lieux-dits, parmi lesquels : le Chêne-au-Loup, Saint-Jean, la Chênaie, la Tortillais, la Bertière, la Denais, le Fougeray, le Frêne, Saint-Maleu, le Plessis-Camet, la Villéon, Loiserie, le Pré, le Saint-Esprit-des-Bois, le Chef-du-Bois, la Ville-Morvan, la Brousse, la Goudais, le Clos, le Lié, la Plançonnais, Saint-André, la Pefferie, etc.

Trois forêts couvrent une partie de la commune :

  • la forêt de Saint-Aubin (2 600 ha, forêt privée) ,
  • la forêt de Coat-Jégu (forêt privée),
  • la forêt de la Hunaudaye (1 040 ha, forêt domaniale)[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

  • Le lac de barrage sur l'Arguenon de la Ville Hatte borde la partie est de la commune (où se trouve notamment implantée une base nautique réputée).
  • Le Guébriand y prend sa source dans la forêt de la Hunaudaye.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Quintenic à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 769,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Plédéliac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), zones agricoles hétérogènes (21,7 %), terres arables (20,2 %), prairies (2,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,5 %), eaux continentales[Note 2] (1,1 %), zones urbanisées (1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Pledelia en 1187 et en 1200, Pledeliau en 1219, Parrochia de Pludeliau et Pledelia en 1234, Pludelia en 1248, 1264, 1298 et vers 1330, Pledeliat en 1364, Pledelia en 1420, 1514, 1536 et en 1583, Pledeliac en 1569[15].

Son nom vient du breton ploe qui désigne une paroisse et de Théliau ou Théleau[15].

Le nom en gallo est Plédélia[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'allée couverte qui se situait à proximité du village de Saint-André attestait d'une présence humaine des environs de Plédéliac dès la Préhistoire. Cependant, la paroisse n'est évoquée dans les documents historiques qu'à partir du Moyen Âge.

En 1214, le duc de Bretagne, Pierre Mauclerc, autorise les Tournemine à construire une forteresse. Il leur offre pour cela les terres de Pléhérel, de Landébia et de la forêt alors dite « de Lamballe ». Puis, les seigneurs de la Hunaudaye et de Penthièvre accueillent sur leurs terres les religieux du prieuré du Saint-Esprit et de l'abbaye de Saint-Aubin-des-Bois, qui contribuent au défrichement, à la mise en valeur du territoire et au développement de techniques agricoles nouvelles.

La forteresse de la Hunaudaye, construite à partir de 1220, était la clé du Penthièvre ; érigée en baronnie au XVe, elle résista aux tentatives de démolition de la Révolution.

Dès l'époque médiévale, l'importance de la forêt sur le territoire est cruciale. L'antique forêt de Lanmeur est rebaptisée forêt de la Hunaudaye lors de la montée en puissance des Tournemine, les seigneurs du château de la Hunaudaye.

Peu à peu, c'est autour de l'église paroissiale Saint-Malo que se développe le bourg de Plédéliac. La seigneurie de La Hunaudaye, quant à elle, est érigée en baronnie des États de Bretagne le .

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution, le château et l'abbaye de Saint-Aubin sont pillés, comme tant d'autres en France, mais ne sont pas détruits.

Jusqu'au début du XXe siècle, la forêt de la Hunaudaye est exploitée pour le charbon et le bois d'œuvre, ce qui apporte un complément important à la vocation agricole de la commune.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux Morts porte les noms de 138 soldats morts pour la Patrie[17] :

  • 124 sont morts durant la Première Guerre mondiale.
  • 14 sont morts durant la Seconde Guerre mondiale.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale, en 1943 précisément, un maquis vient se fixer à la Hunaudaye et plusieurs parachutages d'armes sont effectués en 1944 dans les Landes de Plédéliac.

Après la Libération, le maquis de Plédéliac érige un camp d’internement pour anciens collaborateurs. Cette situation illégale ne durera que quelques jours[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? février 1937
(démission)
Comte René Brunet du Guillier
(1875-1946)
  Propriétaire du château du Guillier
mars 1937 mars 1940
(décès)
Léon Chambrin   Médecin
vers 1942   Fraboul    
1944   Comité local de libération    
mai 1945 janvier 1946
(démission)
Louis Le Mazier[19] SFIO Agriculteur
Conseiller général de Jugon-les-Lacs (1945 → 1949)
janvier 1946 mai 1953 Roger Lapôtre   Bûcheron
mai 1953 mars 1977 Mathurin Jan    
mars 1977 mars 1987
(décès)
Marcel Meslay[20] PS Instituteur
1987 mars 1989 André Hamon PS  
mars 1989 mars 2001 Hélène Hamon DVD Retraitée, maire honoraire
mars 2001 mars 2008 Madeleine Houzé DVG Maire honoraire
mars 2008 23 mai 2020 Alain Briens DVD Agriculteur retraité, maire honoraire
23 mai 2020 En cours Michel Vimont[21] DVD Agriculteur retraité, ancien adjoint

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

En 2021, la commune comptait 1 541 habitants[Note 3], en augmentation de 9,45 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 6881 7131 7631 9032 0072 0172 0242 0442 128
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0542 0512 0772 1622 2552 2112 2552 3022 186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0842 0411 9591 7371 7071 6441 5621 4361 388
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3991 3901 3361 3001 2321 2381 2561 2581 318
2017 2021 - - - - - - -
1 4391 541-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Évènements[modifier | modifier le code]

Le 1er week end du mois d'août depuis 1974, la fête du bois au village d'antan est organisée par l'association de la[26].

Sports[modifier | modifier le code]

Associations sportives : (club de football), les Avirons d'Armor (club d'aviron) ou Hunaudaye Tonic ("Gym Tonic"), des associations touchant à l'art comme la chorale de la Hunaudaye, l'art floral, la troupe de théâtre "Pécroute & Co", mais aussi des associations diverses telles que le club de chasse ou l'association "Awar Bonyolo", œuvrant pour le Burkina.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Château de la Hunaudaye.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte quatre monuments historiques et 22 monuments inventoriés :

  • l'église Saint-Malo, Logo monument historique Inscrite MH (1926, Façade et nef)[27] ;
  • le château du Guillier, XVIIe siècle, Logo monument historique Inscrit MH (1990, Façades et toitures du logis (parties XVIIe et XVIIIe siècles) , de la chapelle et des dépendances (XVIIIe siècle) ; cour ; jardin à la française ; grande allée du parc)[28] ;
  • le château de la Hunaudaye, XIIIe siècle, Logo monument historique Classé MH (1922, 1930, Le château : classement par décret du 18 février 1922 - La parcelle dite Les Glacis, entourant le château : classement par arrêté du 27 novembre 1930)[29] ;
  • le château de Saint-Aubin, construit en 1900[30] pour la famille Palluel, à proximité de l'emplacement de l'ancienne abbaye de Saint Aubin, détruite, dont restent quelques vestiges (anciens logements). Le domaine passe en 1904 aux de Guényveau par mariage[réf. nécessaire]. Ce château, de plan complexe, à plusieurs corps de bâtiments, est implanté dans un vaste domaine forestier parcouru d'avenues et entouré d'un parc. Une orangerie est adossée à la façade sud du logis. Le puits possède une superstructure en ferronnerie. Les communs sont construits en pierre et brique. Propriété privée, ne se visite pas, inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel[31] ;
Allée couverte de Saint-André.
  • allée couverte et alignement de Saint-André, Logo monument historique Classé MH (1970, Allée couverte et alignement de menhirs)[32] ;
  • l'allée couverte des Jeannetières ;
  • les vestiges de l'abbaye de Saint-Aubin ou Saint-Aubin-des-Bois (XIIe siècle), inventorié au titre des monuments historiques[33] ;
  • La chapelle du Saint-Esprit, (XXe siècle), située au lieu-dit le Saint-Esprit-des-Bois et reconstruite vers 1925. Elle abrite une statue de saint Jean Baptiste datée du XIVe siècle, un retable en bois porte les armes de la famille de Rieux, propriétaire de La Hunaudaye aux XVIIe et XVIIIe siècles. La chapelle conserve les tableaux de Philippe intitulés La Sainte Famille et La Mort (1781)[34],[35] ;
  • le manoir de Belouze, XVIe siècle, est aujourd'hui une ferme-auberge pédagogique, accueillant surtout les enfants et les classes de découverte, principalement autour du thème de la nature.
  • l'écomusée de la Ferme d'Antan : musée ouvert au public depuis 1978, il restitue la vie d'une ferme dans les années 1920[26].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Amiot, « L'Abbaye de Saint-Aubin des Bois », dans Le Pays de Dinan, 1981, pp. 71-80.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Museum national d'Histoire naturelle, « Inpn, znieff 530030213 - forets de la hunaudaye et de saint aubin (ancien nom : … », sur mnhn.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Plédéliac et Quintenic », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Quintenic » (commune de Quintenic) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Pledeliac ».
  16. « Plédélia » sur chubri-galo.bzh/
  17. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  18. Jacqueline Sainclivier, « Le retour à la paix dans l'Ouest, de 1944 à ? », Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest. Tome 104, numéro 1, 1997. p. 105.
  19. Christian Bougeard, François Prigent, « LE MAZIER Louis : Né le 6 janvier 1904 et mort le 17 mars 1985 à Plédéliac (Côtes-du-Nord) ; agriculteur ; conseiller municipal (1937-1945) puis maire SFIO de Plédéliac (1945-1946) ; conseiller général SFIO de Jugon-lès-Lacs (1945-1949) ; militant SFIO puis militant PSU ; secrétaire de section PSU (1964). », Le Maitron en ligne, (mis à jour le ).
  20. François Prigent, « MESLAY Marcel, Marie, Ange : Né le 9 décembre 1922 à Plédéliac (Côtes-du-Nord), mort le 7 mars 1987 à Dinan (Côtes d’Armor) ; instituteur ; adhérent du SNI ; militant coopératif agricole, président du CETA 22 ; militant du PSU (1962-1975) puis du PS, secrétaire de la section PSU de Plédéliac en 1964 ; conseiller municipal (1971-1977) puis maire PS de Plédéliac (1977-1987). », Le Maitron en ligne, (mis à jour le ).
  21. « Municipales à Plédéliac. Michel Vimont est devenu maire samedi », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. a et b L' écomusée de la Ferme d'Antan.
  27. « Église Saint-Malo », notice no PA00089397, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Château du Guillier », notice no PA00089759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. « Château de la Hunaudaye », notice no PA00089396, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Porte la date.
  31. Notice no IA22000208, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. « Allée couverte et alignement de menhirs indicateurs de Saint-André », notice no PA00089395, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « abbaye de Saint-Aubin-des-Bois », notice no IA22000209, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « chapelle du Saint-Esprit », notice no IA22000128, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Les objets inventoriés de la chapelle », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.