Photographie

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La photographie[1] est une technique qui permet de créer des images par l'action de la lumière. La photographie désigne aussi l'image obtenue.

Le terme photographie désigne également la branche des arts graphiques qui utilise cette technique : c'est l'« écriture de la lumière ».

Étymologie

Le mot « photographie » a été imaginé par John Herschel et provient de deux racines d'origine grecque :

  • le préfixe « photo- » (φωτoς, photos : lumière, clarté) — qui procède de la lumière, qui utilise la lumière ;
  • le suffixe « -graphie » (γραφειν, graphein : peindre, dessiner, écrire) — qui écrit, qui aboutit à une image.

Littéralement : « peindre avec la lumière ». Le terme plus court de « photo » est très fréquemment utilisé. Dans le cas où l'on parle d'une image photographique, on emploie aussi souvent les termes « image » ou « vue », et, mais de moins en moins depuis l'avènement de la photographie numérique, « tirage » ou « agrandissement ».

La personne utilisant la technique photographique lors de la phase de prise de vue se nomme le photographe. Il existe de nombreux métiers connexes à la prise de vue. Par exemple, une personne travaillant dans un laboratoire pour procéder à l'agrandissement de négatifs se nomme le tireur.

La technique photographique : histoire

La photographie a su tirer parti de nombreuses innovations technologiques et techniques dans les domaines de l'optique, de la chimie, de la mécanique, de l'électricité, de l'électronique et de l'informatique.

Inventions

Point de vue du Gras, le premier résultat d'une expérience de Joseph Nicéphore Niépce. Cette photographie représente une partie de la propriété de Niépce. Elle fut prise en 1826.

Les deux phénomènes nécessaires à l'obtention d'images photographiques étaient pour certains connus depuis longtemps et explicité dans le Traité d'optique. Les réflexions d'Aristote et les travaux du père de l'optique moderne Ibn al-Haytham, ont permis de mettre la réalité en boîte ; il suffit de percer un « petit trou » (sténopé) dans une chambre noire (camera obscura) pour voir apparaître une image inversée dans le fond blanc de la boîte. D'autre part, les alchimistes savaient que la lumière noircissait le chlorure d'argent. Vers 1780 Jacques Charles, plus connu pour son invention de l'aérostat gonflé à l'hydrogène, parvint à figer, mais de façon fugitive, une silhouette obtenue par le procédé de la chambre noire sur du papier imbibé de chlorure d'argent. Thomas Wedgwood (1771-1805) fit des expériences analogues avec le nitrate d'argent ; il en publia un mémoire en 1802. De son côté John Herschel en 1819 décrit les propriétés de l'hyposulfite de sodium qui deviendra le fixateur.

Joseph Nicéphore Niépce, un inventeur de Chalon-sur-Saône, associe ces trois procédés pour fixer des images (de qualité moyenne) sur des plaques d'étain recouvertes de bitume de Judée, sorte de goudron naturel qui possède la propriété de durcir à la lumière (1826 ou 1827) ; la première photographie représente une aile de sa propriété à Saint-Loup-de-Varennes en Saône-et-Loire. Ce cliché de 16,2 × 20,3 cm est visible à l'Université d'Austin au Texas depuis que Helmut Gernsheim en a fait don à cette institution, en 1963[2]. Si on regarde bien cette image, on remarque son éclairage particulier. En effet, la pose a duré de nombreuses heures (on estime la pose entre 8 et 10 heures) ; le soleil a donc éclairé le mur de droite puis celui de gauche plus tard dans la journée.

Nicéphore meurt en 1833 et Louis Daguerre poursuit l'amélioration du procédé. En découvrant le principe du développement de l'image latente, Daguerre trouve le moyen de raccourcir le temps de pose à quelques dizaines de minutes. En 1839, il promeut son invention auprès du savant et député François Arago, qui lui accorde son soutien.

Ainsi, la date conventionnelle de l'invention de la photographie est 1839, c'est la date de la présentation par Arago à l'Académie des sciences de l'« invention » de Daguerre, le daguerréotype. C'est en fait une amélioration de l'invention de Niépce. L'État français l'acquiert contre une rente viagère annuelle de 6 000 francs à Daguerre et de 4 000 francs à Isidore Niépce, le fils de Nicéphore, puis en fait don « au monde ».

Grâce au daguerréotype, on obtient des images après « seulement » une demi-heure de pose (lorsque le ciel est parfaitement dégagé). Cette lenteur est quelque peu problématique : les rues de Paris, même à une heure d'affluence apparaissent totalement vides. Mais qu'importe, la photographie était inventée. La première photographie représentant des êtres humains sera réalisée un peu plus tard : un passant se fait cirer les chaussures par un cireur des rues, les deux personnages sont restés immobiles pendant plusieurs minutes.

Évolution

La Grande Mosquée de Kairouan (Tunisie), photographie prise vers 1880.

Par la suite, la photographie évolue très vite. En effet, le résultat des recherches est acquis par l'État français et chacun peut très vite l'améliorer.

Les progrès suivent trois directions :

  1. La réduction du temps de pose par augmentation :
    • de la sensibilité des surfaces sensibles ;
    • de la luminosité des objectifs.
  2. L'amélioration de la stabilité du tirage
  3. La simplification de l'utilisation des appareils, grâce à l'invention :
    • d'appareils de plus en plus légers et de moins en moins chers ;
    • de préparations stables évitant les manipulations chimiques ;
    • de l'introduction de l'informatique avec la numérisation de l'image, dite « photo numérique ».

Invention du négatif

Nadar élevant la photographie à la hauteur de l'art, par Honoré Daumier.
Un tirage photo après son dernier bain chimique.

William Henry Fox Talbot (1800-1877) mène des recherches parallèles à celles de Niépce et Daguerre à partir de 1833. En 1840, il invente le « calotype », procédé négatif-positif qui permet la diffusion multiple des images.

Suivent d’autres recherches, qui petit à petit permettent d’améliorer la qualité des images, la sensibilité des surfaces sensibles, et de simplifier la procédure de prise de vue ; 1847 « procédé à l’albumine » (Claude Félix Abel Niépce de Saint-Victor, neveu de Nicéphore), 1850 « procédé au collodion humide » et 1851 « ambrotypie » (Frederick Scott Archer), 1852 « ferrotypie » (Adolphe-Alexandre Martin).

Félix Tournachon plus connu sous le nom de Nadar en fait une utilisation commerciale. Il réalise des portraits des personnalités de l'époque, et en 1858 il réalise à Bièvres la première photographie aérienne, prenant une vue de Paris depuis un aérostat.

Invention du film souple

Les premiers clichés (noir et blanc ou autochromes) étaient réalisés sur des plaques de verre, relativement encombrantes, lourdes et fragiles. En 1884, George Eastman met au point les surfaces sensibles souples. Le film en celluloïd, permettant de stocker plusieurs images dans le magasin de l’appareil photographique, supplante alors la plaque de verre. La diminution de la taille des appareils facilite la pratique de la prise de vue en (presque) tous lieux et toutes circonstances. Le Kodak sera le premier appareil photographique fabriqué par la compagnie Eastman permettant d'enregistrer une centaine d'images sur support souple. Une fois le film exposé, l'appareil était renvoyé à Rochester (État de New York aux États-Unis) où le film était développé, les épreuves tirées, l'appareil rechargé, et le tout renvoyé à son propriétaire.[réf. nécessaire]

Invention de la photographie en couleurs

Charles Cros et Louis Ducos du Hauron présentent le même jour à l'académie des sciences, le principe de la photographie en couleurs indirecte en trichromie soustractive en 1869, nécessitant l'exposition de 3 images correspondant aux trois couleurs primaires. Le procédé sera utilisé à grande échelle par Prokudin-Gorskii entre 1900 et 1918.

Une étape importante fut ensuite le premier procédé véritablement pratique de photographie en couleur, l’« autochrome », inventé par les frères Louis et Auguste Lumière en 1903 et commercialisé à partir de 1907. L'utilisation est simple (une seule image) mais la sensibilité très faible oblige à des poses de quelques secondes et le format des plaques 9 × 12 impose des appareils lourds.

Il faudra attendre 1935 avec l'entrée en production de l'Agfacolor puis du Kodachrome pour que la photographie en couleur se répande avec des appareils compacts faciles à transporter (pellicule souple) mais toujours limitée à des diapositives. Les amateurs devront attendre l'Ektachrome vers 1946 pour disposer d'un traitement abordable bien que délicat.

Le succès à grande échelle dépendait de la possibilité de tirage sur papier que permet le Kodacolor introduit en quantité limitée pendant la Seconde Guerre mondiale (1942) puis plus largement dans les années 1950 sous le format 135.

Le film 35 mm et les appareils de petit format

En 1909, le Français Étienne Mollier eut l'idée d'utiliser le film cinématographique 35 mm dans son appareil photographique appelé le Cent-Vues, un appareil « de poche » qui prenait tout de suite cent vues 18/24 mm. Le Cent-Vues fut fabriqué en 1910, obtint la Médaille d'or du Concours Lépine et fut commercialisé aussitôt, à petite échelle et sans grand succès[3]. En 1913, Oskar Barnack construisit le premier prototype du Leica, qui fut commercialisé à partir de 1925[4] et fut le premier des appareils utilisant le format 24 x 36 mm, qui est resté le plus courant jusqu’à la fin du XXe siècle.

Invention du positif direct

Vers 1948, le docteur Edwin H. Land met au point le premier appareil à développement instantané, le Polaroïd, et en 1962, il adapte ce procédé à la couleur. Les premières versions du polaroïd comportaient un internégatif. Dans les années 1980 la technique est améliorée pour se passer de l'internégatif et obtenir un véritable positif direct.

C'est pourtant une des premières recherches de la photographie sur laquelle le français Bayard avait travaillé autour de 1838-1839, simultanément aux recherches de Niépce et Daguerre sur le daguerréotype. On connaît de Bayard avec ce procédé le premier autoportrait (dit « l'Autoportrait en noyé ») de l'histoire de la photographie.

Une variante, la photographie en relief

La stéréoscopie a été inventée avant la photographie (Wheatstone, 1838). Des photographes se sont mis dès 1841 à prendre des photos en relief, en deux poses successives avec un décalage entre les deux prises de vues. Cette prise de vues en deux temps n'étant pas possible pour les portraits, des appareils à deux objectifs ont été construits à cet effet dès les années 1850.

La photographie numérique

Les techniques informatiques permettent de transformer une image en une série de points, les pixels, dont les caractéristiques sont exprimées par des nombres. Grâce à cette numérisation, il est possible de reconstruire l'image à volonté sur des périphériques informatiques adaptés : on peut ainsi la traiter avec des logiciels de développement et retouche puis l'imprimer ou la diffuser au format numérique.

La difficulté rencontrée avec cette technologie, qui marque une rupture complète avec les procédés physico-chimiques initiaux, se situe dans la conception des capteurs électroniques de l'image qui remplacent le film. La résolution de ces derniers, le nombre de pixels d'une image qu'ils sont capables de générer et la sensibilité évoluent très rapidement. Le nombre de photosites par millimètre carré joue un rôle non négligeable, même si, comme pour les anciennes techniques, la qualité de l'image finale dépend de nombreux autres paramètres, comme la taille du capteur, en rapport avec le pouvoir séparateur des optiques employées. En utilisant une même optique, un capteur 12 millions de pixels plein format aura une bien meilleure qualité d'image qu'un capteur d'appareil compact numérique ayant le même nombre de pixels.

La photographie numérique permet de disposer instantanément et en grand nombre du résultat pour l'évaluer, le transmettre ou le diffuser ; elle permet aussi de retraiter et retoucher les images avec un ordinateur et un logiciel de traitement d'image. Ces logiciels permettent une grande liberté de création, allant de la simple correction de lumière, de contraste ou de couleur à la retouche et la composition d'images.

La plupart des appareils bon marché souffrent d'une latence entre le moment où on appuie sur le déclencheur et celui où la photo est prise ce peut nuire au naturel de la photo.

Les réseaux de communication, internet et les services communautaires de photo en ligne apparus depuis 2003, ont déployé les possibilités d'usage de la photo numérique. Avec les blogs et les services de partage de photographies comme Pikeo, Flickr, deviantART ou encore Piixeo, les photographes internautes disposent d'outils et de services permettant de communiquer, d'échanger et d'exposer leurs photos numériques, autant dans la sphère privée ou communautaire qu'à l'échelle planétaire. Les services offrent des possibilités d'exploitation en ligne considérables : gestion des contacts, diaporamas, localisation géographique, etc. Les artistes et professionnels y trouvent leur compte avec des audiences importantes pouvant dépasser n'importe quel lieu d'exposition physique.

Les grandes marques d'appareils photo numériques sont : Nikon, Canon, Olympus, Sony, Leica, Fujifilm, Kodak, Panasonic, Pentax, Samsung, Casio

La photographie de synthèse

Mimétisme de la photographie matérielle, elle s'inscrit dans l'espace numérique 3D. L'infographie 3D, en créant des univers numériques sur copie de l'univers matériel, nécessite un procédé de représentation visuel de ces univers. La photographie de synthèse est donc l'application à l'espace numérique de la photographie matérielle (analogique et numérique). Bien que reprenant les caractéristiques de la photographie matérielle, elle permet de s'en éloigner n'étant pas contrainte par les limites physiques du monde matériel[5].

La photographie astronomique

Technique qui est utilisée en astronomie, qui consiste à photographier des astres.

La photographie rapide

Appelée aussi photographie à haute vitesse, la photographie rapide est une technique qui permet de capter des phénomènes trop rapides pour être perçus à l'œil nu.

Les usages de la photographie

Dès son invention, l'usage de la photographie est intimement lié à l'évolution de sa technique. Elle est devenue le premier art réellement populaire.

Une technique objective ?

La photographie inaugure une nouvelle ère dans la représentation ; on est à présent capable d'avoir une représentation du réel « objective ». L'homme ne représente plus le réel tel qu'il le voit et tel qu'il le peut mais c'est le « réel » qui impressionne le support (par l'action directe de la lumière (photon) qui est réfléchie, ou émise, de l'objet à la surface sensible). Ainsi la photographie trouve rapidement son usage dans le reportage, dans l'anthropométrie, inventée par Alphonse Bertillon. On a l'ambition de réaliser un « inventaire du monde ».

Toutefois, cette objectivité a ses limites. La photographie argentique permettait déjà de travestir la réalité, d'ajouter ou de retrancher des éléments d'une image par un patient travail de laboratoire (cf : Photomontage). Mais avec l'avènement de la photographie numérique, ces trucages qui n'étaient auparavant accessibles qu'à des connaisseurs, deviennent presque à la portée de tous.

De plus, les choix du photographe importent : choix du sujet, du cadrage (Régis Durand, in Le Regard Pensif : « Et il y a bien un hors-champ photographique qui est la réserve de toutes les impostures. » ; Stanley Cavell : « La présence virtuelle du reste du monde et son éviction explicite sont aussi essentielles à l’expérience d’une photographie que ce qu’elle présente explicitement » ; ou encore Pascal Bonitzer : « […] le mensonge (ou la possibilité du mensonge) est liée à l’existence d’un hors-champ. »), mais aussi du développement, du tirage (recadrages), des retouches, etc. Le photographe interprète à sa façon le réel qui s'offre à lui. Ainsi, en noir et blanc, une ambiance peut être rendue dramatique par certaines techniques alors que la réalité ne l'était pas autant (en augmentant la densité des nuages par exemple). Le simple fait d'attirer l'œil sur un élément, en le photographiant, modifie la perception des spectateurs (récepteurs de l'image) face à la globalité de la scène qui se voit de plus réduite à une ou plusieurs images.

S'ajoutent à cela les limites technologiques pour représenter les couleurs, les perspectives, les sujets en mouvement, etc. Un appareil photo ne retransmet pas exactement ce que l'observateur voit. Il peut déformer les objets et visages, créer des aberrations chromatiques, faire pencher une église en exagérant la perspective, etc..

Influence sur la peinture

Avant la photographie, c'est la peinture qui avait pour rôle la représentation de la réalité. Mais l'arrivée de la photographie bouleverse le monde de la peinture. La peinture perd son rôle de représentation de la réalité et doit alors se réinventer, se diversifier ou bien disparaître. Trois courants distincts naissent de cette révolution :

  • la couleur dont l’instigateur n’est autre que Delacroix et qui mènera notamment à l’impressionnisme ;
  • la ligne dont le père fondateur est Ingres et deviendra par la suite entre autres le symbolisme ;
  • le retour au classicisme, tel l’école de Barbizon.

La photographie se tourne vers la capture du réel alors que la peinture recherche la beauté, l’impression, la matière et le sentiment.

Un art populaire

Fichier:ACJCameraWoman.jpg
Woman with camera. Photo d'Alfred Cheney Johnston, vers 1920.

La photographie a aussi inauguré une époque où presque tout le monde pouvait disposer de son portrait ou de représentations d'objets ou de lieux qui restaient jusque-là réservés à une élite économique, quand il fallait demander à un peintre de réaliser une image. Cela s'est traduit dans un premier temps par certaines photographies qui s'approchaient beaucoup du portrait peint le plus classique.

L'accès à la capacité de « prendre une photo » est maintenant généralisé. La représentation du monde en a été transformée. Les sociologues étudient les pratiques les résultats de cette photographie populaire.

Le grand public accède à cet « art populaire »[6] et en produit les artefacts.

Le huitième art

Dans la classification des arts dérivée de celle d'Hegel, la photographie reçoit la huitième place (en concurrence avec la radiodiffusion et la télévision). Ces trois activités sont parfois regroupées en « arts médiatiques ».

La photographie est un moyen technique et mécanique de conserver une représentation graphique des moments, des objets ou des gens. Mais c'est aussi un moyen d'expression plus ou moins abstrait, portant la signature de son auteur, le photographe, et dont l'objectivité est équivalente à n'importe quelle œuvre artistique. Longtemps enfermée dans l'imitation de la peinture (pictorialisme, marines, portraits, etc.), la photographie a trouvé sa propre voie artistique avec l'apparition du surréalisme.

Courants artistiques

La photographie elle aussi connait différents courants artistiques tout comme en peinture, les principaux sont :

Les photographes

Parmi les photographes ayant eu une influence notable, on peut citer :

Festivals

Salon de la photo 2010 à Paris.

Canada

France

  • Le festival du film des frères Lumière, à Lyon
  • Visa pour l'image, festival international du photojournalisme de Perpignan
  • Rencontres internationales de la photographie d'Arles
  • Mois de la photo, à Paris, tous les deux ans
  • Photomed, festival international de la photographie Méditerranéenne
  • ImageSingulières, festival de la photographie documentaire Sète
  • Salon de la photo, à Paris
  • Paris Photo, à Paris
  • Festimago à Villefranche-sur-Mer
  • Salon ADPS, à Paris
  • Rencontres de l'Imagerie Nature, à Fournels
  • PHOT'AIX, rencontres photographiques d'Aix-en-Provence organisées par la Fontaine Obscure
  • Galerie Fontaine Obscure à Aix-en-Provence
  • Festival Européen de la Photo de Nu, à Arles
  • Foire internationale de la Photo à Bièvres
  • Festival de l'Oiseau et de la Nature (concours photo international annuel, ayant pour thème l'oiseau), à Abbeville
  • Été des portraits, festival européen du portrait photographique, en biennales (années paires) depuis 2004 : plus de 150 photographes membres de la Fédération Européenne de Photographie (FEP) exposent 1 500 portraits dans la rue à Bourbon-Lancy en Bourgogne, Saône et Loire.
  • Festival de photo animalière de Montier-en-Der

Mali

  • Rencontres photographiques de Bamako

Suisse

Notes et références

  1. Informations lexicographiques et étymologiques de « photographie » dans le Trésor de la langue française informatisé, sur le site du Centre national de ressources textuelles et lexicales
  2. (en) The First Photograph - By Barbara Brown
  3. Étienne Mollier, Mémoires d'un inventeur : De la photographie 35 mm au rétroprojecteur. 1876-1962, L'Harmmattan (Acteurs de la Science), (ISBN 978-2-296-08369-1), p. 77-80
  4. Évelyne Rogniat, André Kertész : le photographe à l’œuvre, Presses Universitaires de Lyon (PUL), 1997 (ISBN 978-2-7297-0590-9) [lire en ligne] p. 15
  5. Marc-Olivier Paux, Photographie de synthèse et architecture (conférence), Monaco, imagina, (lire en ligne) (voir archive)
  6. Pierre Bourdieu (dir.), Un art moyen, Éditions de Minuit, Coll. Le Sens Commun, 1965 (ISBN 978-2-7073-0029-4)

Voir aussi

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Bibliographie

  • Pierre-Jean Amar, La Photographie, histoire d'un art, Éditions Edisud
  • Pierre-Jean Amar, Histoire de la Photographie, Éditions PUF, collection Que sais-je?
  • Pierre-Jean Amar, L'ABCdaire de la Photographie, Éditions Flammarion
  • Olivia Colo, Wilfrid Estève et Mat Jacob, Photojournalisme, à la croisée des chemins, mention spéciale du jury du prix Nadar en 2005, coédition EMI-CFD/Marval.
  • Hubert Damisch, La Dénivelée - À l'épreuve de la photographie, Éditions du Seuil.
  • Jean-Clet Martin, Le Corps de l'empreinte, Éditions Kimé.
  • Pierre Bourdieu, Un art moyen, essai sur les usages sociaux de la photographie, Éditions de Minuit.
  • Roland Barthes, La Chambre claire, Gallimard.
  • Gisèle Freund, Photographie et société, Seuil, 1974.
  • Michel Lessard et Francine Rémillard, Photo-histoire au Québec: 150 ans de procédés photographiques monochromes, [y compris] photographie, peinture, gravure, de la vue stéréoscopique à la carte postale illustrée, le kodakisme, Photo-sélection, 1987.
  • Susan Sontag, Sur la photographie, Éditions Christian Bourgois.
  • Étienne Mollier, Mémoires d'un inventeur : De la photographie 35 mm au rétroprojecteur, 164 p., Éd. L'Harmattan (Acteurs de la Science), 2009 (ISBN 978-2-296-08369-1)
  • Serge Tisseron, Le mystère de la Chambre claire, Les Belles Lettres, 1996, (réédition Champs-Flammarion 1999)

Articles connexes

Lien externe