Patrice Leconte

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Patrice Leconte
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Patrice Leconte en 2011.
Nom de naissance Patrice Claude François Leconte
Naissance (76 ans)
Paris (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Réalisateur
Scénariste
Metteur en scène
Films notables Les Bronzés (saga)
Tandem
Monsieur Hire
Le Mari de la coiffeuse
Ridicule
La Fille sur le pont
Voir la mer

Patrice Leconte est un réalisateur, scénariste, metteur en scène, dessinateur et écrivain français né le à Paris.

Il est révélé comme scénariste/réalisateur durant les années 1970 et 1980 avec plusieurs comédies populaires portées par la troupe du Splendid : Les Bronzés (1978) et Les Bronzés font du ski (1979). Il les retrouve vingt-cinq ans plus tard pour Les Bronzés 3 (2006).

Entre-temps, il se diversifie et signe plusieurs films acclamés par la critique : la comédie dramatique Tandem (1987), le drame Monsieur Hire (1989), Le Mari de la coiffeuse (1990), La Fille sur le pont (1999), qui sont tous nommés aux Césars dans la catégorie du meilleur réalisateur.

Mais c'est sa comédie en costumes Ridicule, en 1996, qui lui vaut le César du meilleur réalisateur[1] et le BAFTA du meilleur film en langue étrangère en 1997. Durant les années 2010, il signe la comédie dramatique Voir la mer (2011), qui lui vaut le Swann d'or du meilleur réalisateur mais signe aussi son premier film d'animation, Le Magasin des suicides (2012).

Biographie[modifier | modifier le code]

Jeunesse et formation[modifier | modifier le code]

Patrice Leconte a, selon son autobiographie, un père gynécologue obstétricien et une mère qui fut une des pionnières de l'accouchement sans douleur, ainsi que trois frères et sœur[2]. Il passe son enfance à Tours, tournant dès 15 ans des petits films d'amateur[3].

Il part à Paris en 1967 pour suivre le cours Littré, puis entre à l'IDHEC, prestigieux établissement de ses rêves qui se révèle « poussiéreux et archaïque, sans contact avec le vrai cinéma »[4]. Il écrit quelques critiques aux Cahiers du cinéma, demeure extérieur au mouvement de Mai 68, puis se lance avec plus ou moins de bonheur dans le court métrage[5]. Parallèlement, il contribue au journal Pilote de 1970 à 1974, produisant des planches d'une grande originalité et réalise de nombreux films publicitaires[6],[7],[8],[9].

Révélation en réalisateur de comédies (années 1980)[modifier | modifier le code]

Ses premiers longs-métrages passent inaperçus ou sont mal reçus. En 1975, il se lance dans un projet plus ambitieux, en adaptant des personnages de Gotlib avec Jean Rochefort et Coluche : Les vécés étaient fermés de l'intérieur. Le film est mal reçu par la critique et ses résultats déçoivent au regard des têtes d'affiches. Patrice Leconte commence à croire qu'il a fait fausse route dans le cinéma et accentue sa carrière publicitaire. En 1977, il accepte un dernier projet, l'adaptation à l'écran d'une pièce de café-théâtre : Amour, Coquillages et Crustacés, renommé à l'écran Les Bronzés. Le film connaît un grand succès. S'ensuit pendant une dizaine d'années une série de comédies, généralement autour de la troupe du Splendid, mais aussi d'acteurs comme Coluche, Bernard Giraudeau et Gérard Lanvin, qui rencontrent souvent le succès (Viens chez moi, j'habite chez une copine, Les Spécialistes, qui lui permet d'aller vers un registre dramatique).

Diversification et reconnaissance critique (années 1990)[modifier | modifier le code]

À l'approche des années 1990, il décide de changer de registre : il livre en 1987 la comédie dramatique Tandem, où Gérard Jugnot rase sa moustache pour donner la réplique à Jean Rochefort. C'est la première fois qu'il cadre aussi, et livre un récit entièrement personnel ; en 1989, il livre le très sérieux Monsieur Hire, dans lequel il propose une nouvelle adaptation d'un roman de Georges Simenon en révélant un Michel Blanc totalement à contre-emploi, livide et bouleversant. Enfin, en 1990, Le Mari de la coiffeuse lui permet de dresser un portrait inclassable d'un homme qui n'arrive pas à aimer sa femme comme il le voudrait. Dans les trois cas le public accepte ce changement de style, grâce au très grand soin que Leconte apporte à l'esthétique et au rythme du film, la gestion des tensions et la direction d'acteurs.

Cependant, les échecs successifs de la comédie contemporaine Tango en 1993 et du drame Le Parfum d'Yvonne en 1994, ne le découragent pas de mélanger les deux genres : en 1996 sort ainsi Ridicule qui le réconcilie avec le public et la critique, en même temps qu'il lui permet de remporter les Césars du meilleur réalisateur et du meilleur film.

Il réunit des trios d'acteurs mythiques pour ses deux projets suivants : d'abord les monstres sacrés Jean-Pierre Marielle, Philippe Noiret et Jean Rochefort dans Les Grands Ducs, puis le trio de stars Jean-Paul Belmondo, Alain Delon et Vanessa Paradis pour la comédie dramatique Une chance sur deux, sortie en 1998. Il retrouve la jeune actrice/chanteuse en 1999 pour La Fille sur le pont, où elle donne la réplique à Daniel Auteuil. Cet ambitieux drame en noir et blanc annonce des années 2000 placées sous le sceau de la noirceur.

Castings prestigieux et drames (années 2000)[modifier | modifier le code]

Patrice Leconte en 2009 au Festival du cinéma américain de Deauville.

Il débute cette décennie avec le remarqué drame historique La Veuve de Saint-Pierre, pour lequel il retrouve Auteuil, mais dirige surtout Juliette Binoche et Emir Kusturica. Il enchaîne en 2001 avec la romance Félix et Lola, dont les rôles-titres sont confiés à Philippe Torreton et Charlotte Gainsbourg. Il poursuit en 2002 avec le drame historique Rue des plaisirs, où il permet à deux comédiens de sortir de leur registre habituel, l'humoriste Patrick Timsit et le mannequin Laetitia Casta. La même année, il révèle le drame L'Homme du train, qui confronte Jean Rochefort et Johnny Hallyday. Autre tandem haut de gamme en 2004 avec la comédie dramatique Confidences trop intimes, menée par Sandrine Bonnaire et Fabrice Luchini. Prolifique, il produit et réalise également un documentaire la même année, Dogora : Ouvrons les yeux.

Il surprend en 2006 en revenant à la comédie : l'équipe du Splendid a fait de nouveau appel à lui pour réaliser le troisième volet des Bronzés, Les Bronzés 3 qui est le plus gros succès de l'année avec plus de 10,3 millions d'entrées. Il propose la même année la comédie dramatique Mon meilleur ami qui combine le fidèle Daniel Auteuil à la star de la comédie Dany Boon.

En 2008, il connaît un flop avec La Guerre des miss qui associe la star Benoît Poelvoorde à la plus discrète Olivia Bonamy.

Les films réalisés par Patrice Leconte entre les années 1990 et 2000 ont permis à Gérard Jugnot, Jean Rochefort, Michel Blanc, Charles Berling et Daniel Auteuil d'être nommés au César du meilleur acteur (remporté par Auteuil et Blanc) et à Juliette Binoche et Vanessa Paradis au César de la meilleure actrice.

Animation et coproduction internationale (années 2010)[modifier | modifier le code]

Séance de dédicaces - Le livre sur les quais, Morges, Suisse

En juin 2010, il est membre du jury du cinquantième anniversaire du festival international du film d'animation d'Annecy, alors qu'il est lui-même engagé dans la production d'un film d'animation : Le magasin des suicides, d'après un livre de Jean Teulé[10].

Il est également président du grand jury du Festival du grain à démoudre de Gonfreville-l'Orcher en 2010.

En 2011, il propose une petite comédie de mœurs, Voir la mer, qui lui permet de s'éloigner des castings quatre étoiles pour diriger l'ex-miss météo Pauline Lefèvre. Le Magasin des suicides sort l'année suivante.

Il fait un grand écart artistique en 2014 : en livrant la comédie chorale française Une heure de tranquillité, avec Christian Clavier, Carole Bouquet, Rossy de Palma, Stéphane De Groodt et Valérie Bonneton, puis en renouant avec le drame historique en costumes avec Une promesse. Cette co-production internationale lui permet de diriger les comédiens anglais Rebecca Hall, Alan Rickman et Richard Madden.

Participant occasionnellement à l'émission de Laurent Ruquier, On va s'gêner, sur Europe 1, durant cette décennie, il finit par rejoindre la bande de chroniqueurs de Cyril Hanouna à la rentrée 2015 dans l'émission Les Pieds Dans Le Plat, toujours sur Europe 1.

En 2016, Luc Besson le choisit comme parrain de la cinquième promotion de l'École de la Cité, dans laquelle il intervient régulièrement.

Retour à l'illustration à travers les Images d’Épinal[modifier | modifier le code]

« Quand j'étais enfant », confie Patrice Leconte, « je ne rêvais que de cinéma. Et je rêvais de dessin aussi. Je suis comme on dit monté à Paris, et j’ai fait une école de cinéma. Mais je continuais à dessiner. Et je lisais Pilote. J’ai écrit à Gotlib, qui m’a répondu, qui a regardé mes dessins, qui les a montrés à René Goscinny, qui les aimés, qui m’a fait venir au journal, qui m’a trouvé sympathique, qui a publié mes dessins, qui m’a encouragé à continuer, ce que j’ai fait. Pendant cinq ans, de 1970 à 1975, j’étais heureux. Et puis j’ai tourné mon premier film, et c’est à ce moment-là que tout a commencé à dérailler, parce que je n’ai plus fait que ça des films, et que j’ai arrêté la bande dessinée[11]. »

Mais c'est en 2017 qu'il reprend pour un temps le chemin de l'illustration. Pacôme Vexlard repreneur de l'historique Imagerie d'Épinal[12] convainc lors d'une discussion amicale Patrice Leconte de réaliser quelques croquis qui se concrétiseront par l'édition deux planches lithographiques d'images d'Epinal en édition limitée et signée. « Après la visite de l’Imagerie et cette discussion avec Pacôme, j’ai eu une idée dans le train du retour. Je lui ai proposé de faire des têtes autour des expressions : tête de l’art, tête de turc, tête en l’air… Pacôme a accepté et a suggéré une présentation sous forme d’ovales, avec des encadrements fleuris et colorés qui s’inspirent des codes de l’imagerie religieuse traditionnelle qui sont très beaux. Je raffole de ces petits encadrements. Et du trait imprécis des images d'Épinal[13]. »

En 2016 il écrit la préface de l'ouvrage de l'encyclopédie illustrée de l'Imagerie d'Épinal éditée aux Éditions Le Chêne (Hachette)[14].

Prises de position[modifier | modifier le code]

En 2005, peu avant la condamnation du réalisateur Jean-Claude Brisseau pour harcèlement sexuel, il fait partie des signataires d’une pétition lancée par Noémie Kocher, victime de ce dernier, en réaction à une pétition de soutien à Brisseau lancée par Les Inrockuptibles[15].

Affaire Depardieu[modifier | modifier le code]

En avril 2023, alors que l'acteur Gérard Depardieu est accusé par treize femmes d'agressions sexuelles et de viol dans une enquête de Mediapart, il apporte son soutien à l'intéressé : « Je n'ai constaté aucun manquement ni dérapage pendant le tournage [de Maigret] de la part de Gérard Depardieu, avec qui je rêve de travailler à nouveau, bientôt j’espère, parce qu’il est un immense acteur[16]. » En , il est signataire de la tribune controversée N'effacez pas Gérard Depardieu visant notamment à défendre la présomption d'innocence de Gérard Depardieu, alors accusé de viol, agression sexuelle et harcèlement sexuel[17]. Le 2 janvier, il déclare regretter de l'avoir signée, notamment à cause du positionnement politique de Yannis Ezziadi[18]. Il précise : « Quand on me dit qu'il n'est pas exemplaire, je veux bien le croire, je le crois parce que je le sais. Je ne cherche pas à le défendre, ni à l'accabler. Mais cette mise à mort, ce lynchage m'effraie un peu. Peut-être que c'est mérité, je ne sais pas », et ajoute « Je pense que Gérard Depardieu ne fera plus de cinéma, hélas »[19].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Il est marié avec Agnès Béraud, sœur du réalisateur Luc Béraud[20] et attachée de presse des Cahiers du cinéma, avec qui il a eu deux filles, Marie et Alice[21].

Théâtre[modifier | modifier le code]

Auteur[modifier | modifier le code]

Mises en scène[modifier | modifier le code]

Filmographie[modifier | modifier le code]

Comme réalisateur[modifier | modifier le code]

Courts métrages[modifier | modifier le code]

  • 1962 : Incompressionisme
  • Antoine
  • Morte Carne
  • Sans gamelles ni bidons
  • Le Bonhomme
  • 1962 : Le Tour du monde de M. Jones
  • 1962 : Les Voisins
  • 1962 : Schweppes
  • 1963 : Corrida
  • 1963 : La Chute
  • 1965 : Monsieur Ploum
  • 1965 : Les Dieux au goutte-à-goutte
  • 1965 : Épisode de la vie de M. Bonhomme
  • 1965 : Monsieur mon général
  • 1966 : Sept péchés capitaux et militaires
  • 1966 : Les Mots
  • 1973 : Tout à la plume, rien au pinceau (And My Name Is Marcel Gotlib) - 7 production - Jacques Willemont
  • 1971 : Le Laboratoire de l'angoisse
  • 1973 : La Famille heureuse
  • 1992 : Le Batteur du Boléro - également scénariste et cadreur
  • 2015 : Une nuit au Grévin

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Apparitions comme acteur[modifier | modifier le code]

Box-office[modifier | modifier le code]

Les données ci-dessous proviennent de JPbox-office.com et de l'European Audiovisual Observatory[23].

Audiences supérieures à 1 million d'entrées lors de la sortie des films
Film Année Entrées en Europe Entrées en France
1 Les Bronzés 3 2006 11 078 264 10 355 928
2 Les Spécialistes 1985 NC 5 319 542
3 Viens chez moi, j'habite chez une copine 1980 NC 2 820 169
4 Ridicule 1996 2 698 589 2 064 010
5 Ma femme s'appelle reviens 1982 NC 1 188 840
6 Confidences trop intimes 2004 1 555 187 845 728
7 Circulez y'a rien à voir 1983 NC 1 084 439
8 Les Bronzés font du ski 1979 NC 1 535 781
9 Une heure de tranquillité 2014 1 357 315 1 039 516
10 Les Bronzés 1978 NC 2 308 644
11 Une chance sur deux 1998 1 267 433 1 056 810
12 La Veuve de Saint-Pierre 2000 1 258 134 649 325
13 Mon meilleur ami 2006 1 180 045 1 067 616
14 La Fille sur le pont 1999 1 010 618 867 952

Publications[modifier | modifier le code]

Le romancier au Salon du Livre 2011 de Paris.

Romans[modifier | modifier le code]

Bandes dessinées[modifier | modifier le code]

Périodiques[modifier | modifier le code]

  • 94 récits courts, dans Pilote, 1970-1974.
  • Trente-trois Actualités dans Pilote , 1970-1971.
  • La Longue Nuit de Korneblu dans Pilote, 1972.
  • Le Film de la semaine (dessin), avec Goussé ou Claude Poppé (texte) dans Pilote, cinq histoires, 1973.
  • Mr le censeur aux champs dans Pilote, 1974.
  • Deux histoires dans Mormoil, 1974.
  • Une histoire dans L'Écho des savanes, 1974.
  • Une histoire dans Fluide glacial, 1979.

Albums[modifier | modifier le code]

Divers[modifier | modifier le code]

  • Je suis un imposteur, Flammarion, 1998
  • Le Cinéma dans la cité (ouvrage collectif), éditions du Félin, 2001
  • J'arrête le cinéma, Calmann-Lévy, 2011
  • Weepers Circus, N'importe où, hors du monde, 2011
    Livre-disque auquel participe une quarantaine d'invités en tant qu'auteurs ou interprètes. Patrice Leconte y signe un texte inédit (non mis en musique) consacré à sa propre interprétation du titre de l'album.
  • L'Encyclopédie Delon[29], Patrice Leconte, Hugo Image, 2016
  • Le dictionnaire de ma vie, avec François Vey, Kero, 2017
  • Revoir Paris, avec Claire Garate (photographe), Neige/Ginkgo, 2017
  • Re revoir Paris, avec Claire Garate (photographe), Neige/Ginkgo, 2018
  • Tintin de A à Z, Moulinsart-Casterman, 2023

Vidéographie[modifier | modifier le code]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Au total, le film remporte quatre César, dont celui du meilleur film.
  2. Patrice Leconte, Je suis un imposteur, Flammarion, , p. 21
  3. Le tour du monde de Monsieur Jones et Les voisins en 1962, Incomprissionnisme en 1963, etc.
  4. Patrice Leconte, Je suis un imposteur, Flammarion, , p. 46
  5. L’Espace vitale en 1969, Le batteur de Boléro en 1973.
  6. Patrice Leconte, Je suis un imposteur, Flammarion, , p. 65-69
  7. « Lesieur : Anémone, avec Gérard Jugnot et Anémone », sur La Maison de la Pub (consulté le )
  8. « Cœur de Lion Camembert : Les Copines, avec Aure Atika et Annabelle Milot », sur La Maison de la Pub (consulté le )
  9. « Bauknecht Four Électrique : Clémentine Célarié », sur La Maison de la Pub (consulté le )
  10. Guillaume Martin, « Patrice Leconte se lance dans l'animation », sur Allociné,
  11. « Patrice Leconte », sur Michel Lagarde (consulté le )
  12. Denis Cosnard, « L’Imagerie d’Epinal en quête de nouvelles couleurs », sur Le Monde,
  13. Sabine Lesur, « L’image d’Épinal, c’est mon enfance », sur Vosges matin,
  14. « Imagerie d'Epinal, l'encyclopédie illustrée », sur Maison images d'Epinal,
  15. Lénaïg Bredoux, « Noémie Kocher, victime de Brisseau : « On a tellement été niées » », sur Mediapart, (consulté le ).
  16. Prisma Média, « Gérard Depardieu accusé d'agressions sexuelles : ces soutiens sur lesquels il peut compter - Voici », sur Voici.fr (consulté le )
  17. « Accusé de  violences sexuelles: Une tribune de soutien  à Gérard Depardieu qui crée le malaise », sur L'indépendant, (consulté le )
  18. « Tribune en soutien à Depardieu : Patrice Leconte regrette de l’avoir signée », sur Le Point, (consulté le )
  19. « VIDÉO - Patrice Leconte sur LCI : "Je pense que Gérard Depardieu ne fera plus de cinéma" », sur TF1 INFO, (consulté le )
  20. Patrice Leconte, Je suis un imposteur, Flammarion, , p. 75
  21. Festival international du film de la Rochelle
  22. « REPLAY. Revoir “Les boutiques obscures”, deux documentaires réalisés par Patrice Leconte », sur France 3 Auvergne-Rhône-Alpes (consulté le ).
  23. « LUMIERE : Search », sur lumiere.obs.coe.int (consulté le )
  24. Louis-Bernard Robitaille, « Patrice Leconte : un premier roman à 61 ans », La Presse,
  25. Philippe Azoury, « Mais pourquoi les gens du cinéma se mettent-ils à écrire? », Les Inrocks,
  26. Andrée LeBel, « Le garçon qui n'existait pas : un vrai roman de plage », La Presse,
  27. Fabien Deglise, « L'impossible promesse d'ubiquité de Patrice Leconte », Le Devoir,
  28. Gaël Bissuel, « Deux passantes dans la nuit tome 1 : une BD de Patrice Leconte, Jérôme Tonerre et Alexandre Coutelis », sur Publikart, .
  29. Rédaction France 2, « Culture : "L'Encyclopédie Delon" revient sur la carrière de ce mythique acteur », France TV Info,

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Documentation[modifier | modifier le code]

  • Patrice Leconte (int. par Jean-Marc Vidal), « Était formé de l'intérieur... », BoDoï, no 69,‎ , p. 48-49.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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