Partis politiques en Tunisie

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Modèle:PolitiqueTunisie

Une centaine de partis politiques tunisiens peuvent exercer leurs activités au sein du système politique tunisien.

Leur représentativité très limitée au sein de la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique constituée par les dirigeants de l'époque — Fouad Mebazaa et Béji Caïd Essebsi — est davantage reflétée au sein de l'assemblée constituante élue le 23 octobre 2011.

Sur les 115 partis légalisés avant les élections, 97 ont présenté des listes spécifiques ou dans le cadre de coalitions, mais seuls 19 partis ont obtenu des sièges, dont sept ont eu la chance de figurer à droite de la liste d'Ennahdha sur le bulletin de vote, bénéficiant du vote erroné de plusieurs de ses partisans[1]. La quasi-totalité d'entre eux ont été créés après la révolution mais plusieurs d'entre eux ont fusionné ou intégré d'autres partis sans déclarer leur dissolution comme le stipule la loi. D'autres sont morts-nés et n'ont accompli aucune activité depuis leur autorisation. On dénombre donc à peine une cinquantaine de partis actifs.

Histoire

La Tunisie possède, avant la révolution de 2011, un système politique caractérisé par un parti politique dominant, le Rassemblement constitutionnel démocratique, héritier du mouvement indépendantiste mené par Habib Bourguiba. Certains partis d'opposition étaient autorisés mais n'étaient pas en mesure de prendre le pouvoir.

Cette situation évolue suite à la révolution : un premier gouvernement d'union nationale est formé à partir d'indépendants et de certains partis d'opposition légalisés. Le , la légalisation de tous les partis politiques et associations autrefois interdits est proclamée[2]. En date du 20 juillet, 92 nouveaux partis politiques ont été créés[3].

En outre, des élections libres, « surveillées par un comité indépendant et des observateurs internationaux », sont planifiées à l'origine dans les soixante jours selon la Constitution de 1959[4] ; ces élections ont finalement lieu le 23 octobre 2011[5] afin d'élire une assemblée constituante.

L'« atomisation » de l'échiquier politique aurait pu être favorable aux islamistes d'Ennahdha, c'est pourquoi la Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique a adopté le mode de scrutin proportionnel selon la méthode du plus fort reste, laquelle empêche un parti d'être prédominant dans l'assemblée et favorise la représentativité de la plupart des partis en compétition[6].

En outre, pour empêcher que le Rassemblement constitutionnel démocratique, parti du président déchu désormais dissous, puisse réapparaître sous une autre étiquette politique[7], la même instance propose de proclamer inéligibles ses anciens membres ayant assumé des postes de responsabilité durant les 23 années précédentes. Cette décision est fortement controversée mais l'article 15 de la loi sur l'élection de la constituante n'exclut finalement que les anciens membres du RCD ayant eu une responsabilité lors des dix dernières années ; cette loi prévoit l'établissement d'une liste nominative des personnes concernées.

Partis actuels

Partis pré-révolutionnaires

Le Rassemblement constitutionnel démocratique (RCD), fondé le en remplacement du Parti socialiste destourien[8], est au pouvoir de 1988 à 2011. Dirigé par le président Zine el-Abidine Ben Ali, il est dissous le , suite à la révolution tunisienne[9]. Le Parti démocrate progressiste, fondé le et reconnu le 12 septembre 1988, fusionne au sein d'Al Joumhouri le 9 avril 2012[10].

Voici une liste des autres partis politiques présents sur la scène politique tunisienne avant la révolution :

Partis politiques légalisés avant la révolution
Nom Acronyme Nom original Date de légalisation Orientation politique Dirigeant Notes
Mouvement des démocrates socialistes MDS حركة الديمقراطيين الاشتراكيين 19 novembre 1983 Social-démocratie Mohamed Ali Khalfallah Scission du PSD
Non reconnu à sa fondation le
Parti de l'unité populaire PUP حزب الوحدة الشعبية 19 novembre 1983 Socialisme
Panarabisme
Hassine Hammami Scission du MUP
Non reconnu à sa fondation en
Parti social-libéral PSL الحزب الاجتماعي التحرري 12 septembre 1988 Social-libéralisme Mondher Thabet
Union démocratique unioniste UDU الاتحاد الديمقراطي الوحدوي 30 novembre 1988 Socialisme
Panarabisme
Ahmed Inoubli
Ettakatol FDTL التكتل الديمقراطي من أجل العمل والحريات 25 octobre 2002 Social-démocratie Mustapha Ben Jaafar Scission du MDS
Non reconnu à sa fondation le
Parti des verts pour le progrès PVP حزب الخضر للتقدم Écologisme Mongi Khamassi Scission du PSL[11]

Partis post-révolutionnaires

Partis légalisés

Si 144 partis politiques non reconnus sous le régime du président Ben Ali ou nouvellement constitués sont légalisés à la suite de la révolution[3], diverses fusions ont lieu par la suite :

  • Le Mouvement de la citoyenneté et de la justice, d'idéologie gauchiste, se dissout au sein du Parti tunisien du travail qu'il quitte ensuite pour rejoindre un parti de centre droit, l'Union patriotique libre (UPL) ; son secrétaire général Nabil Tlili en devient le coordinateur. Le Parti libéral tunisien, d'idéologie libérale et anti-islamiste, s'est également dissous dans l'UPL ; son président Mounir Baâtour est désigné comme président du conseil des hommes d'affaires de l'UPL[12].
  • Onze partis fusionnent le [13] pour donner naissance au Parti El Watani Ettounsi[14], avant que sept d'entre eux rejoignent L'Initiative[15]. Certains d'entre eux, à l'instar de Amor Bejaoui, chef de la Voix du Tunisien annoncent par la suite qu'ils rejoignent Nidaa Tounes de Béji Caïd Essebsi, ce dernier précisant qu'il sont les bienvenus en adhérant individuellement et non comme représentants de partis.
  • L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité, le Parti Tounes El Karama et Al Amana fusionnent au sein d'Al Amen ; ils ont désormais un représentant à l'assemblée constituante après le ralliement de Moez Kammoun, élu de la Pétition populaire pour la liberté, la justice et le développement.
  • Le Parti pour le progrès[16] est absorbé par Afek Tounes[17]. Ensuite, sept partis — dont le PDP, le Parti républicain, Afek Tounes, Al Irada, le Mouvement Bledi et le Parti pour la justice social-démocrate — fusionnent sous le nom d'Al Joumhouri[10]. Toutefois, des membres de la constituante et plusieurs fédérations régionales du PDP refusent cette fusion et lancent le Courant réformateur, devenu par la suite l'Alliance démocratique. En 2014, plusieurs figures d'Al Joumhouri quittent le parti pour rejoindre Nidaa Tounes ; Afek Tounes s'en détache pour reformer le parti mené par Yassine Brahim.
  • Le Mouvement des patriotes démocrates (MOUPAD) entre en discussion avec le Parti du travail patriotique et démocratique pour sceller l'union de la famille « patriote démocrate » mais le second parti enregistre une divergence entre son secrétaire général, Abderrazak Hammami, qui s'est retiré des discussions, et son second, Mohamed Jemour, qui tient à la fusion. Dans le même temps, au sein du MOUPAD, le groupe de Jamel Lazhar se rapproche du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (PCOT). Finalement, une large alliance des partis de gauche et panarabes se constitue, avec notamment le PCOT devenu le Parti des travailleurs, le MOUPAD, le Parti d'avant-garde arabe démocratique, le Mouvement Baath, le Parti populaire pour la liberté et le progrès, le Mouvement populaire unioniste, ainsi que le Mouvement des démocrates socialistes (groupuscule d'Ahmed Khaskhoussi) et le Mouvement du peuple, qui avait absorbé auparavant le Mouvement du peuple unioniste progressiste[18].
  • Le mouvement Ettajdid fusionne avec le Parti tunisien du travail (PTT) et certains membres indépendants du Pôle démocratique moderniste (PDM) pour constituer la Voie démocratique et sociale. Toutefois, plusieurs membres du PTT dont Ali Romdhane et Mohamed Rabah Chaibi refusent cette fusion et conservent l'identité de leur parti, alors que du côté d'Ettajdid, plusieurs cadres annoncent leur adhésion à Nidaa Tounes, dont Boujemâa Remili pourtant désigné secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale, et d'anciens membres proches de la ligne de Mohamed Harmel : Hatem Chaabaouni, Tarek Chaabouni et Adel Chaouch. On annonce par la suite la fusion entre la Voie démocratique et sociale et le Parti républicain, deux partis qui sont affectés par les départs de plusieurs de leurs cadres respectivement vers Nidaa Tounes et vers le Courant réformateur. Le nouveau parti portera le nom de « Voie républicaine »[19]. Mais cette fusion annoncée ne s'est pas encore réalisée entre deux partis qui s'affaiblissent de plus en plus. La Voie démocratique et sociale a été quittée par un autre secrétaire général adjoint, Riadh Ben Fadhel, et le Parti républicain a perdu Abdelkader Ben Khemis qui a rejoint l'Alliance démocratique et Chokri Yaïche qui a intégré Nidaa Tounes.
  • L'Alliance démocratique, non encore légalisée, est constituée des membres de l'ancien Parti démocrate progressiste ayant refusé l'adhésion au Parti républicain, du Parti de la réforme et du développement et de personnalités indépendantes à l'instar des anciens ministres Mokhtar Jallali et Farhat Rajhi.
  • Les réfractaires à la fusion du Parti tunisien du travail avec le Pôle démocratique moderniste tiennent leur congrès et élisent Ali Romdhane à la tête du parti, ce que conteste l'ancien président Abdeljelil Bedoui qui a pourtant sabordé son parti.
  • Al Wifak et le Parti républicain ont fusionné pendant quelques mois avant de se séparer en septembre 2011 après le retrait d'Al Wifak du PDM[20].
  • Un nouveau front opposé à Ennahdha est annoncé en décembre 2012[21] : celui-ci comprend, outre Nidaa Tounes, le Parti républicain et la Voie démocratique et sociale, deux anciens partis d'extrême gauche qui avaient dans le passé accepté le dialogue avec le régime de Ben Ali : le Parti socialiste de gauche de Mohamed Kilani, créé après une scission de l'ancien Parti communiste des ouvriers de Tunisie et renommé Parti socialiste, et le Parti du travail patriotique et démocratique d'Abderrazak Hammami ou ce qu'il en reste car plusieurs de ses dirigeants, dont le secrétaire général adjoint Mohamed Jemour, ont rejoint le MOUPAD.

Après les élections de l'assemblée constituante, le ministère de l'Intérieur cesse de publier les autorisations accordées aux partis dans le Journal officiel de la République tunisienne. Les partis autorisés sont appelés à le faire eux-mêmes. Mais plusieurs parmi eux ne le font pas, ce qui empêche de connaître avec exactitude le nombre et la liste des partis existants.

Partis politiques légalisés après la révolution
Nom Acronyme Nom original Date de légalisation Orientation politique Dirigeant Notes
Parti Tunisie verte PTV حزب تونس الخضراء [22] Écologisme
Socialisme
Abdelkader Zitouni Non reconnu à sa fondation le
Zitouni a fait partie de l'ancien PCT
Parti socialiste PSG puis PS الحزب الاشتراكي اليساري [22] Socialisme scientifique[23] Mohamed Kilani Scission du PCOT
Non reconnu à sa fondation le
Parti du travail patriotique et démocratique PTPD حزب العمل الوطني الديمقراطي [22] Socialisme scientifique Abderrazek Hammami Non reconnu à sa fondation le
Mouvement Baath MB حركة البعث [24] Socialisme
Panarabisme
Othmen Bel Haj Amor Actif dans l'illégalité depuis les années 1950, rattaché à l'obédience irakienne du Parti Baas
Ennahdha ME حركة النهضة [25] Islamisme Rached Ghannouchi Non reconnu à sa fondation le , dénommé Mouvement de la tendance islamique jusqu'en 1989
Parti du centre social PCS حزب الوسط الاجتماعي [26] Centrisme Ammar Slama
Parti de la dignité et de l'égalité PDE حزب الكرامة والمساواة [26] Centrisme
Islamisme
Riadh Amri
Mouvement des unionistes libres MUL حركة الوحدويين الاحرار [26] Socialisme
Panarabisme
Abdelkrim El Ghabri[27] Scission de l'UDU
Parti des jeunes démocrates PJD حزب الشباب الديمقراطي [26] Centrisme
Libéralisme[28]
Chaker Said Scission du PVP
Parti de l'équité et de l'égalité PEE حزب العدالة و المساواة [26] Centre droit[29] Chokri Ghadhab Basé à Sousse
Mouvement de la réforme et de la justice sociale MRJS حركة الاصلاح و العدالة الاجتماعية [26] Centrisme
Réformisme
Mustapha Bedri
Mouvement national de la justice et du développement MNJD الحركة الوطنية للعدالة و التنمية [26] Centrisme Mourad Rouissi
Parti de la concorde (Al Wifak) PC حزب الوفاق [30] Centrisme Mustapha Saheb Ettabaâ Partie de l'Alliance républicaine entre avril et septembre 2011[31]
Mouvement du peuple (Echaâb) MP حركة الشعب [32] Socialisme
Panarabisme
Zouhair Maghzaoui (secrétaire général)[33] Scission du Mouvement du peuple qui a rejoint le MPUP
Parti libéral tunisien PLT الحزب الليبرالي التونسي [32] Libéralisme[34]
Laïcité
Mounir Baatour Parti des libéraux tunisiens rebaptisé en 2014[35]
Mouvement de la jeunesse libre de Tunisie MJLT حركة شباب تونس الاحرار [32] Centre gauche Sahbi Mokhtari
Mouvement de l'unité populaire MUP حركة الوحدة الشعبية [32] Socialisme Ahmed Ben Salah (secrétaire général)
Mehdi Tabbakh (porte-parole)
Congrès pour la République CPR المؤتمر من أجل الجمهورية [32] Centre gauche Imed Daïmi Non reconnu à sa fondation le
Parti de la justice et de la liberté PJL حزب العدالة والحرية [36] Libéralisme Souheil Salhi[37] Scission du RCD
Parti de l'avenir pour le développement et la démocratie PADD حزب المستقبل من أجل التنمية والديمقراطية [36] Socialisme scientifique[38] Samih S'himi
Parti unifié des patriotes démocrates[39] (Watad) MOUPAD[40] حزب الوطنيين الديمقراطيين الموحد [36] Marxisme
Panarabisme
Zied Lakhdar
Parti de la dignité pour la justice et le développement PDJD حزب الكرامة من أجل العدالة والتنمية [41] Centre droit Fakhr Ghodhban-Ben Salem
Parti des travailleurs PCOT puis PTT حزب العمال التونسي [42] Communisme
Marxisme-léninisme
Hamma Hammami Non reconnu à sa fondation le
Parti républicain pour la liberté et l'équité PRLE الحزب الجمهوري للحرية والعدالة [42] Centre droit Béchir Fathallah
Parti de la rencontre de la jeunesse libre PRJL حزب اللقاء الشبابي الحر [42] Social-démocratie ?[43] Mohamed Ayari Scission du RCD
Parti de la justice et du développement PJD حزب العدل والتنمية [42] Islamisme Mohamed Salah Hedri
Parti d'avant-garde arabe démocratique PAAD حزب الطليعة العربي الديمقراطي [42] Socialisme
Panarabisme
Kheireddine Souabni Obédience irakienne du Parti Baas
Parti de la dignité et du développement PDD حزب الكرامة والتنمية [42] Centrisme
Islamisme
Abdelwahed Yahiaoui
Parti de la lutte progressiste PLP حزب النضال التقدمي [42] Marxisme-léninisme Mohamed Lassoued[44]
Parti de la gauche moderne PGM حزب اليسار الحديث [45] Centre gauche Fayçal Zemni Scission de l'UDU puis du MUL
Parti républicain maghrébin PLM الحزب الجمهوري المغاربي [45] Libéralisme Mohamed Bouebdelli
Parti populaire pour la liberté et le progrès PPLP الحزب الشعبي للحرية والتقدم [45] Socialisme Jelloul Azzouna Scission du PUP
Parti des forces du 14 janvier 2011 PR14 حزب قوى الرابع عشر من جانفي 2011 [45] Centre gauche[46] Wahid Dhiab Basé à Sfax
Al Majd AM حزب المجد [47] Centrisme Abdelwahab El Hani[48]
Afek Tounes AT آفاق تونس 28 mars 2011[49] Progressisme
Libéralisme
Yassine Brahim
Mouvement de la dignité et de la démocratie MDD حركة الكرامة و اليمقراطية [50] Centrisme
Libéralisme
Mohamed Ghammadh
Front populaire unioniste FPU الجبهة الشعبية الوحدوية [51] Marxisme
Panarabisme
Amor Mejri Scission du PDP
Parti de la réforme et du développement PRD حزب الإصلاح و التنمية [51] Centre gauche
Réformisme
Mohamed Koumani Scission du PDP
Justice and Development Party[52] JDP حزب العدالة والتنمية [51] Islamisme Abderrazak Belarbi
Parti de la dignité et de l'action PDA حزب الكرامة و العمل [51] Centrisme Mohamed Adel Hentati
Parti du travail tunisien[53] PTT حزب العمل التونسي [54] Centre gauche Ali Romdhane
Mouvement démocratique pour la réforme et la construction MDRC الحركة الديمقراطية للإصلاح والبناء [54] Centrisme Emna Mansour Karoui
Mouvement de la vertu MV حركة الفضيلة [55] Centre droit Ramzi Khelifi Scission du PVP
Parti du peuple pour la patrie et la démocratie PPPD حزب الشعب من أجل الوطن والديمقراطية(حشود)[56] [55] Socialisme scientifique Zine El Abidine El Ouertatani[56]
Mouvement citoyenneté MC حركة مواطنة [55] Centre droit
Écologisme
Ameur Jeridi
Union patriotique libre[57] UPL الاتحاد الوطني الحر [55] Centrisme
Libéralisme
Slim Riahi
Parti de la responsabilité nationale PRN حزب المسؤولية الوطنية [55] Zouhair Harbaoui
Parti démocratique pour la justice et la prospérité PDJP الحزب الديمقراطي للعدالة والرخاء [55] Mourad Khemiri[58]
Mouvement de la démocratie et du développement MDD حركة الديمقراطية والتنمية [59] Centre droit
Libéralisme
Abderrahman Bahloul Donne lieu au Mouvement Nour pour la démocratie et le développement
Parti de la modernité PM حزب الحداثة [60] Centrisme Abderraouf Baâzaoui Basé à Kairouan, formé par des cadres de l'ancien RCD
Congrès démocratique social CDS المؤتمر الديمقراطي الاجتماعي [61] Centre droit Houcine Mhamdi Scission de l'ancien RCD
Courant Al Ghad CAG تيار الغد [61] Centrisme Khélifa Ben Salem et Samir Maghraoui Formé par des cadres de l'ancienne mouvance présidentielle
Parti de la jeunesse libre PJL حزب الشباب الحر [61] Centrisme[38] Faouzi Ben Jannet Formé par des cadres proches de l'ancien RCD
Parti démocrate-social de la nation PDSN حزب الأمة الديمقراطي الإجتماعي [62] Marxisme
Panarabisme
Moncef Chebbi Scission de l'UDU
Jeunesse de la Tunisie de demain JTD شباب تونس الغد [62] Hosni Tayeb
Mouvement pour la culture et de la pluralité MCP حركة الثقافة و التنوع [62] Centre gauche Ali Abidi Scission du PCT
Cadres de l'ancien RCD
Parti des conservateurs progressistes PCP حزب المحافظين التقدميين [62] Islamisme
Réformisme
Hechmi Hamdi Scission d'Ennahdha, remplace la Pétition populaire pour la liberté, la justice et le développement et donne lieu au Courant de l'amour
Parti de la culture et du travail PCT حزب الثقافة و العمل [62] Gauche
Panarabisme
Belgacem Hassen Scission du PDP
Appel républicain AR النداء الجمهوري [62] Centrisme Refâat Dali Ancien Front tunisien de salut national fondé en 1990
Parti du Néo-Destour PND الحزب الدستوري الجديد [62] Centre gauche Ahmed Mansour Anciens magistrats et hauts cadres de l'administration
La Voie tunisienne PVT حزب المسار التونسي [63] Social-libéralisme Lotfi Bousnina
Parti tunisien PT الحزب التونسي [64] Libéralisme Myriam Mnaouer
Parti de la nation pour la liberté et la justice PNLJ حزب الأمة للحرية و العدالة [65] Laïd Habbachi
Parti de l'ouverture et de la fidélité POF حزب الانفتاح و الوفاء [65] Conservatisme Bahri Jelassi
Parti libre populaire et démocrate PLPD الحزب الحر الشعبي الديمقراطي [65] Abdesselem Ghidoussi
Parti de la souveraineté au peuple PSP حزب السيادة للشعب [66] Khaled Chabbah Basé à Sousse
Parti pionnier PP حزب الريادة [66] Centrisme
Libéralisme
Mourad Ben Tourkia
Parti tunisien de la nation PTN حزب الأمة التونسي [66] Centrisme
Islamisme
Abdesselem Ferjani Basé à Menzel Bourguiba
Parti des valeurs et de prospérité PVP حزب القيم و الرقي Centre droit Mourad Mrikeche
Parti de la rencontre destourienne PRD حزب اللقاء الدستوري [67] Centrisme Sami Chabrak Scission du Parti réformiste destourien
Union des forces citoyennes tunisiennes UFCT اتحاد قوى المواطنة التونسية [68] Centrisme (défense des émigrés) Moez Ben Amor Ben Ali Basé à Sousse
Parti de l'unité PU حزب الوحدة [68] Centrisme Béchir Rouissi
Mouvement de la lutte patriotique MLP حركة النضال الوطني [69] Panarabisme Youssef Aloui
Parti démocrate libéral PDL الحزب الديمقراطي الليبيرالي [70] Centrisme
Libéralisme
Taoufik Adouni
Mouvement afro-méditerranéen MAM الحركة الإفريقية المتوسطية [70] Centre gauche Ridha Ben Aissa
Parti pirate tunisien PPT حزب القراصنة التونسي [71] Droit à l'information
Vie privée
Politique sociale
Sleheddine Kchouk Basé à Bizerte
Parti de l'intégrité et de la justice PIJ حزب الأمانة و العدالة [72] Centrisme Kamel Ezzine
Al Assalah (L'Authenticité) AA الأصالة [72] Salafisme Mouldi Ali El Moujahid Basé à Médenine
Al Amen AA الأمان [73] Centrisme Lazhar Bali Issu de la fusion de l'ANPP, du PTEK et d'AA[74]
Front de la réforme FR جبهة الاصلاح [75] Salafisme Mohamed Khouja
Parti Ethawabet PE حزب الثوابت [76] Centre droit Chokri Hermassi
Voie démocratique et sociale (Al Massar) VDS المسار الديمقراطي الإجتماعي [77] Centre gauche Samir Taïeb (secrétaire général)[78] Issu de la fusion du ME[79], du PTT[80] et d'indépendants du PDM
Front national tunisien FNT الجبهة الوطنية التونسية [81] Centrisme Chaker Aouadhi
Parti pirate PP حزب القراصنة [82] Libéralisme
Anarchisme
Direction collégiale[83]
Al Joumhouri (Parti républicain) PR الحزب الجمهوري [10] Maya Jribi Issu de la fusion du PDP, du PR, d'AT, d'AI, du MB et du PJSD[84]
Parti de la réforme et de la transparence PRT حزب الإصلاح و الشفافية [85] Centrisme Mustapha Bouaouaja (ancien PUP) Basé à Sfax
Verts socialistes maghrébins VSM الخضر الإشتراكيون المغاربيون [86] Écologisme
Socialisme
Ali Khechine Basé à Sousse
Parti des conservateurs tunisiens PCT حزب المحافظين التونسيين [87] Conservatisme
Nationalisme
Ahmed Touati
Parti pactes et stratégies de développement PPSD حزب عهود و استراتيجيات التنمية [88] Écologisme
Socialisme
Ridha Zhani Basé à Kairouan
Nidaa Tounes NT نداء تونس [89] Centrisme Béji Caïd Essebsi Destouriens et cadres de l'ancien RCD, anciens communistes et marxistes léninistes, hommes d'affaires
Courant libéral réformateur CLR التيار التحرري الإصلاحي [90] Libéralisme
Réformisme
Adel Zitouni
Voix des agriculteurs VA صوت الفلاحين [90] Corporatisme Fayçal Tbini Basé à Bou Salem
Al Badil Athaouri ABA البديل الثوري [90] Centre gauche Béchir Tenjal Basé à Sousse
Hizb ut-Tahrir HuT حزب التحرير [91] Fondamentalisme
Islamisme
Ridha Belhaj Non reconnu lors d'une première demande le [36]
Hizb Al Rahma HAR حزب الرحمة [92] Salafisme Saïd El Jaziri
Parti tunisien de la prospérité PTP حزب الرفاه التونسي [93] Salafisme Mohamed Feki Basé à Sfax
Favorable à la réinstauration de la bigamie
Mouvement de la construction maghrébine MCM حركة البناء المغاربي [94] Centrisme Noureddine Khatrouchi
Parti de la nation arabe et islamique PNAI حزب الأمة العربية الإسلامية [95] Panarabisme
Islamisme
Lamine Brahmi
Mouvement Wafa MW حركة الوفاء [96] Centre droit Abderraouf Ayadi Scission du Congrès pour la République
Ettakatol al-Chaâbi men ajl Tounes ECT التكتل الشعبي من أجل تونس [96] Centrisme Moncef Louhichi Basé à Sousse
La Tunisie de demain LTD تونس الغد [96] Centrisme Ali Ben Mabrouk Aïfa Basé à Sousse
Parti de l'emploi et du développement PED حزب التشغيل و التنمية [97] Centrisme Mourad Ben Fatima
Choura démocrate tunisien CDT حزب الشورى الديمقراطي التونسي [98] Centre droit Hatem Zayeni Basé à Sfax
Mouvement du 14-Janvier pour le renouvellement MJJR حركة شباب 14 جانفي للتجديد [99] Centrisme Zouhayer Kortli
Parti des libertés et des droits de l'homme PLDH حزب الحريات و حقوق الإنسان [100] Centrisme Khalil Mâaoui Fondé en 1998, basé à Soliman
Al Qotb (Le Pôle) AQ القطب [93] Gauche Riadh Ben Fadhel (coordinateur général)[101]
Ligue de la gauche ouvrière LGO رابطة اليسار العمالي [102] Extrême gauche Nizar Amami Attaché au marxisme-léninisme originel
Parti originalité et progrès POP حزب الأصالة و التقدم [103] Centrisme Mohsen Tlili Fondateurs originaires du gouvernorat de Kasserine
Mouvement des Almoravides - Tunisie MAT حركة المرابطين بتونس [104] Panarabisme Béchir Essid Fondateur issu du Mouvement du peuple
Parti Elkadehine en Tunisie PET حزب الكادحين بتونس [105] Extrême gauche Ferid Alibi Adepte du trotskisme, il décide en compagnie du Parti de la lutte progressiste de boycotter les élections
Parti Elghad PE حزب الغد [106] Panarabisme Amor Chahed[107]
Parti Assahoua PA حزب الصحوة [108] Centrisme Rachid Azouz et Chadli Ben Mustapha
Mouvement Jeunesse MJ حركة الشباب [109] Islamisme Basé à Sfax
Pétition populaire (Courant de la réforme nationale) PP )العريضة الشعبية (تيار الاصلاح الوطني [110] Populisme Mohamed Dhibi Parti formé de dissidents de l'ancienne formation politique de Hechmi Hamdi qui ont refusé d'adhérer au Courant de l'amour
Alliance démocratique AD التحالف الديمقراطي [111] Centre gauche Mohamed Ben Mabrouk Hamdi Scission de représentants du PDP qui ont refusé la fusion dans le cadre d'Al Joumhouri
Le Sauvetage LS الانقاذ [112] Centre gauche Saber Ben Ammar
Parti d'action et de réforme PAR حزب العمل و الاصلاح [113] Centrisme Naoufel Sassi
Courant démocratique CD التيار الديمقراطي [114] Centre droit Mohamed Abbou Dissidence du CPR
Mouvement Tunisie de l'avenir MTA حركة تونس المستقبل [115] Socialisme Marouen Sbai
Hizb Al Oumma HAO حزب الأمة [115] Islamisme Seifeddine Lajili
Mouvement du Tunisien pour la liberté et la dignité MTLD حركة التونسي للحرية و الكرامة [116] Centrisme Mohamed Ayachi Ajroudi Parti constitué autour de membres de la constituante mais un seul continue d'en faire partie
Parti de l'union pour la justice et le travail PUJT حزب الوحدة للعدل و العمل [117] Saddam Faleh
Parti Tunisie libre PUJT حزب تونس الحرة [118] Centrisme Mohamed Fayçal Kamel
Courant populaire CP حزب تونس الحرة [119] Panarabisme Zouhair Hamdi Parti fondé par Mohamed Brahmi
Mouvement destourien MD الحركة الدستورية [120] Centrisme Hamed Karoui Parti se présentant comme la continuité du RCD
Mouvement d'unification islamique de Tunisie MUIT حركة التوحيد الاسلامي التونسي [121] Salafisme Basé à Gafsa
La Voix du peuple VP حركة التوحيد الاسلامي التونسي [122] Centrisme Lotfi Ben Mahmoud
Initiative nationale destourienne IND المبادرة الوطنية الدستورية [123] Centrisme Kamel Morjane Issu notamment de la fusion de LI[124], d'AWAH[125], du PUR[126], du ZAY[127], du PLJD[128]
Parti du Mouvement de la république PMR حزب حركة الجمهورية [129] Centrisme Sami Laâbidi Obtient l'adhésion de quatre constituants
Tendance nationale pour la justice TNJ الاتجاه الوطني للعدل [130] Centrisme Taïeb El Abdi
Conseil national pour la démocratie et le développement CNDD المجلس الوطني للديمقراطية و التنمية [131]
Tunisie pour tous TPT تونس للجميع [132] Centre gauche Abdelhamid Hammami
Parti du changement PC حزب التغيير [133] Larbi Bennis Basé à Nabeul
Tounes baytouna TB تونس بيتنا [134] Centrisme Fethi Ouerfelli
Mouvement Tunisie démocratie pour tous MTDPT حركة تونس الديمقراطية للجميع [135] Centrisme Jamel Ben Jemia
Force ouvrière FO القوة العمالية [136] Gauche Takieddine Toujani
Front du 17 décembre pour le développement F17 جبهة 17 ديسمبر للتنمية [137] Gauche Faouzi Saïdi Basé à Sidi Bouzid
Parti de la construction nationale PCN حزب البناء الوطني [138] Islamisme Riadh Chaïbi Dissidence d'Ennahdha
Parti de la voix du peuple tunisien PVPT صوت الشعب التونسي Centrisme Larbi Nasra Obtient l'adhésion de six membres de la constituante
Parti des démocrates sociaux PDS حزب الديمقراطيين الاجتماعيين [139] Social-démocratie Ahmed Khaskhoussi Nouvelle appellation du clan Khaskhoussi du Mouvement des démocrates socialistes
Mouvement du printemps arabe pour réaliser la souveraineté économique MPARSE حركة الربيع العربي لتحقيق السيادة الاقتصادية Centrisme Salem Ajroud Formé de technocrates
Mouvement du 17 décembre pour la dignité et la la liberté M17 حركة 17 ديسمبر للكرامة و الحرية Centre droit Farhat Bouazizi
Parti du congrès populaire PCP حزب المؤتمر الشعبي Centre droit Salem Chaïbi[140]
Parti de la jeunesse pour la révolution et la liberté PJRL حزب الشباب للثورة و الحرية Centre gauche Ridha Ben Tili Ne s'est manifesté que lors de la candidature de son président à l'élection présidentielle de 2014
Parti de la Tunisie unie PTU حزب تونس الموحدة Centre gauche Nizar Hammami Se présente aux élections législatives de 2014 sous le nom d'Appel de Carthage
Parti islamiste tunisien PIT الحزب الاسلامي التونسي Islamisme (orthodoxe) Taïeb Smati
Parti de l'appartenance démocratique PAD حزب الانتماء الديمقراطي Libéralisme Boujemâa Yahyaoui Basé à Gafsa, son fondateur a été élu en 2009 à la Chambre des députés sur les listes du Parti social-libéral
Parti Tounes Ezzaytouna PTZ حزب تونس الزيتونة Islamisme
(Wahhabisme)
Adel Almi Fondateur de l'Association de promotion de la vertu et de prévention du vice d'inspiration wahhabite, Almi la transforme en un parti qui ne réussit à constituer qu'une seule liste pour les élections législatives de 2014 à Kébili, renforcée par Almi lui-même ; il s'est également porté candidat à la présidentielle mais sans parrainage
Mouvement national tunisien MNT الحركة الوطنية التونسية Gauche
Populisme
Touhami Abdouli[141] Dissidence d'Ettakatol
Mouvement des destouriens libres MDL حركة الدستوريين الأحرار Centrisme Taoufik Ben Khoud Issu de la fusion du PLDT, d'Al Watan, du MRT, de l'UNB, du PLD et l'APT[142], ne réussit pas à se frayer une place parmi les partis destouriens et ne constitue qu'une seule liste pour les élections de 2014
Parti de la réconciliation PR حزب المصالحة [143] Islamisme
Centrisme
Mohamed Manar Skandarani Son fondateur fut membre d'Ennahdha et conseiller de l'ancien ministre des Affaires étrangères, Rafik Abdessalem
Mouvement des jeunes Tunisiens MJT حركة الشباب الوطني التونسي [144] Centre gauche Malek Sayhi
Parti de l'illumination et du développement PID حزب التنوير و التنمية [144] Centre droit Hassen Ben Hfaïedh Basé à Monastir
Parti de l'indépendance nationale PID حزب الاستقلال الوطني [144] Populisme
Islamisme
Seifallah Bouzaied Parti constitué à partir des comités de protection de la révolution

Partis en attente de légalisation

En juin 2011, une trentaine de partis avait déposé une demande[145] mais n'avaient pas encore été légalisés. Parmi eux se trouvent le Parti de la liberté et de la solidarité (Mohamed Salah Kasmi)[146].

Partis non légalisés

En septembre 2011, 162 partis avaient déposé une demande qui s'est vue rejetée par le ministère de l'Intérieur[147] dont :

  • le Parti Assalam, le [36] ;
  • le Parti sunnite tunisien, le [36] ;
  • le Parti libre populaire démocratique, le [36] ;
  • le Parti démocratique libéral tunisien, le [36] ;
  • le Parti de la liberté et de la dignité, le [41] ;
  • le Parti de l'unité arabe et islamique, le [41] ;
  • le Parti de l'unicité et de la réforme, le [41].

Un parti, les Démocrates libres (حزب الديمقراطيين الأحرار), refuse de demander un visa car la loi a été rédigée sous le régime de Ben Ali[148].

Partis disparus

Partis politiques légalisés après la révolution
Nom Acronyme Nom original Date de légalisation Orientation politique Dirigeant Notes
Al Watan AW حزب الوطن [149] Centrisme Mohamed Béchir Mhalla Scission du RCD, scindé en deux : Al Watan de Mohamed Béchir Mhalla qui rejoint le Mouvement des destouriens libres et Al Watan Al Horr de Mohamed Jegham qui rejoint l'Initiative nationale destourienne
Parti de la liberté et du développement PLD حزب الحرية و التنمية [32] Centrisme Badreddine Rabaii Rejoint le Mouvement des destouriens libres
Parti de la jeunesse pour la révolution et la liberté PJRL حزب الشباب للثورة و الحرية [41] Centre droit Hamadi Gaâoud Aucune activité depuis sa création, semble avoir rejoint le Mouvement des unionistes libres
Rencontre réformatrice démocratique (Al Liqaa) RRD اللقاء الإصلاحي الديمقراطي [45] Islamisme
Réformisme
Khaled Traouli[150] Rejoint le Congrès pour la République
Parti de l'indépendance pour la liberté PIL حزب الإستقلال من أجل الحرية [51] Centrisme Mohamed Lamine Kaouache[151] Scission du RCD, rejoint l'Initiative nationale destourienne
Parti des républicains libres PRL حزب الجمهوريين الأحرار [51] Centre droit Nazih Souaï Parti mort-né car sans activité depuis sa création
Parti de la fidélité pour la Tunisie PFT حزب الوفاء لتونس [54] Social-démocratie Anouar Tahri Basé à Meknassy, aucune activité après les élections de 2011
Mouvement réformateur tunisien[55] MRT الحركة الإصلاحية التونسية [152] Centrisme
Réformisme
Omar S'habou Rejoint le Mouvement des destouriens libres, présidé par S'habou puis démis de ses fonctions après avoir intégré Nidaa Tounes
Parti de la nation culturel et unioniste PNCU حزب الأمة الثقافي الوحدوي [55] Islamisme
Panarabisme
Mohamed Hamdi Basé à Sousse, cesse toute activité avec le départ de son représentant Ibrahim Hamdi ; son président présente une liste indépendante aux élections législatives de 2014
Parti libre destourien tunisien PLDT الحزب الحر الدستوري التونسي[153] [154] Centrisme Fayçal Triki Rejoint le Mouvement des destouriens libres
Tunisie moderne LTM تونس الحديثة [155] Centrisme Mohamed Amine Limam Basé à Ksour Essef, ne s'est jamais manifesté
Mouvement pour la Deuxième République M2R حركة الجمهورية الثانية [155] Centre droit Tarak Mekki Disparaît avec le décès de son fondateur
Mouvement tunisien de l'action maghrébine MTAM الحركة التونسية للعمل المغاربي [155] Centrisme
Islamisme
Mohamed Ennouri Disparu, son fondateur se présente aux élections de 2014 sur les listes du Mouvement Wafa
Parti de la voix de la république PVR حزب صوت الجمهورية [60] Centre droit Abderrazak Cheraït Regroupe des personnalités indépendantes et cadres de l'ancien RCD puis disparaît, son fondateur préside une liste indépendante à Tozeur pour les élections de 2014
Parti progressiste républicain tunisien PPRT الحزب التقدمي الجمهوري التونسي [60] Gauche Mohamed Boukhari Présente une seule liste à Zaghouan en 2011 et ne s'est plus manifesté depuis
Union néo-bourguibienne UNB اتحاد البورقيبية الجديدة [65] Centre droit Mohsen Feki Composé de destouriens et cadres de l'ancien RCD, rejoint le Mouvement des destouriens libres
Parti des avant-gardes PAG حزب الطلائع [66] Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création
Parti de l'émancipation et de la modernisation pour la prospérité de la Tunisie PEMPT حزب التحرر و التحديث لإزدهار تونس [66] Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création
Parti de l'Alliance PA حزب العهد [156] Centrisme Son existence s'est limitée à l'annonce de sa création
Voix de la volonté VV صوت الإرادة [157] Centrisme Attia Athmouni Scission du PDP mais ne s'est jamais manifesté, son fondateur présentant une liste indépendante à Sidi Bouzid pour les élections de 2014

Notes et références

  1. (ar) Mohamed Akrimi, « La Baraka d'Ennahdha rayonne sur ses voisins », Alhiwar.net, 15 novembre 2011
  2. (fr) « Le gouvernement de transition redouble d'efforts pour faire oublier le passé », France 24, 20 janvier 2011
  3. a et b (fr) « La Tunisie compte, désormais, 100 partis politiques », Business News, 20 juillet 2011
  4. (fr) « La Tunisie en proie à des affrontements armés », Le Monde, 16 janvier 2011
  5. (fr) « Tunisie : les élections reportées au 23 octobre », Les Échos, 8 juin 2011
  6. (fr) Mounir Ben Mahmoud, « Le "peuple" a choisi "sa" démocratie : 50 % de femmes, 0 % de RCDistes », Business News, 12 avril 2011
  7. (fr) Arielle Thedrel, « La course électorale est ouverte en Tunisie », Le Figaro, 7 mars 2011
  8. Akram Ellyas et Benjamin Stora, Les 100 portes du Maghreb : l'Algérie, le Maroc, la Tunisie, trois voies singulières pour allier islam et modernité, éd. Atelier, Paris, 1999, p. 35
  9. (fr) Rassemblement constitutionnel démocratique officiellement dissous (Portail du Premier ministère)
  10. a b et c (fr) « Tunisie : naissance du « Parti républicain » à l'issue du congrès unificateur des partis démocrates centristes », Tunisie numérique, 9 avril 2012
  11. Le PVP obtient ainsi un des deux sièges du PSL à sa fondation.
  12. (ar) « Nominations à l'Union patriotique libre », Babnet, 21 septembre 2012
  13. (fr) « Fusion de neuf partis pour former le « Parti El Watani Ettounsi » », La Presse de Tunisie, 30 janvier 2012
  14. Issu notamment de la fusion d'Al Watan Al Horr, du Parti de l'avenir (حزب المستقبل) de Sahbi Basly, légalisé le 9 mars 2011, du Parti réformiste destourien (الحزبالإصلاحي الدستوري) de Mohamed Ben Saad, de l'Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui et de l'Union populaire républicaine (الحزب الشّعبي الجمهوري) de Lotfi Mraihi, légalisés le 22 avril 2011, du Parti libre destourien tunisien démocratique (الحزب الحر الدستوري التونسي الديمقراطي) d'Abdelmajid Chaker, légalisé le 24 mai 2011, de la Voix du Tunisien (صوت التونسي) d'Amor Bejaoui, légalisé le 9 août 2011, du Mouvement progressiste tunisien (الحركة التقدمية التونسية) de Mustapha Touati, légalisé le 15 juillet 2011, du Mouvement de la Tunisie nouvelle (حركة تونس الجديدة) de Mustapha Masmoudi, légalisé le 16 juin 2011, et du Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia, légalisé le 19 mai 2011 et qui rejoint l'Initiative nationale destourienne le 1er décembre 2013.
  15. (fr) « Tunisie. Les Destouriens s'agrègent autour de Kamel Morjane et El Moubaradara », Kapitalis, 31 mars 2012
  16. Le Parti pour le progrès (حزب التقدم) de Fethi Touzri est absorbé en décembre 2011 ; le parti avait été légalisé le .
  17. (fr) « Tunisie - Le Parti pour le progrès fusionne avec Afek Tounes », Business News, 28 décembre 2011
  18. Le Mouvement du peuple unioniste progressiste (حركة الشعب الوحدوية التقدمية) de Zouhair Maghzaoui est issu de la fusion le 20 mars 2011 du Mouvement unioniste progressiste (الحركة الوحدوية التقدمية) de Béchir Essid et du Mouvement du peuple-Echaâb (حركة الشعب) de Khaled Krichi, légalisés le 8 mars 2011.
  19. (fr) « Des dirigeants du Parti républicain et d'El Massar confirment l'accord de fusion avant les élections », Tunis Afrique Presse, 3 octobre 2012
  20. (fr) « Tunisie - Le Parti républicain se désolidarise d'Al Wifak », Business News, 13 septembre 2011
  21. (fr) « L'Union pour la Tunisie, nouveau bloc de partis autour de Essebsi », Topnet, 8 décembre 2012
  22. a b et c « Tunisie : trois partis d'opposition légalisés en trois jours », Agence France-Presse, 19 janvier 2011
  23. (fr) Walid Khefifi, « PSG : Le combat continue pour une Tunisie démocratique et laïque », Le Quotidien, date inconnue
  24. (ar) « Visa pour le parti Baas - Tunisie », Blog Al-Baâth, 22 janvier 2011
  25. (fr) « Tunisie : une Assemblée constituante pourrait être créée », Le Monde, 1er mars 2011
  26. a b c d e f et g (fr) « Avec l'octroi de 8 autorisations, le nombre de partis monte à 21 en Tunisie », Business News, 3 mars 2011
  27. Abdelkrim El Ghabri a remplacé le secrétaire général Béchir Béjaoui, mort le 28 février 2012 à Mateur selon « Béchir Béjaoui, secrétaire général, n'est plus », La Presse de Tunisie, 29 février 2012.
  28. (ar) « Le mouvement des jeunes démocrates : renforcer la place des jeunes et assurer la dignité et la justice pour tous les citoyens », Al Chourouk, 23 mars 2011
  29. (ar) « Le Parti de l'équité et de l'égalité : concrétiser les droits fondamentaux de l'homme dans la citoyenneté, l'emploi, la santé publique, le logement, l'éducation et la libre expression », Al Chourouk, 4 avril 2011
  30. (fr) « Le parti "Al Wifak" obtient l'autorisation légale », Tunis Afrique Presse, 7 mars 2011
  31. L'Alliance républicaine (حزب الوفاق الجمهوري) existe entre avril et septembre 2011 sous la direction de Mustapha Saheb-Ettabaa (président exécutif) et Abdelaziz Belkhodja (président d'honneur).
  32. a b c d e et f (fr) « Tunisie - 31 partis politiques autorisés », Business News, 8 mars 2011
  33. (ar) « Le courant nationaliste progressiste choisit sa direction politique », Binaanews, 27 février 2012
  34. (fr) « Conférence de presse du Parti des libéraux tunisiens », Tunis Afrique Presse, 16 février 2011
  35. (fr) « Le Parti des libéraux tunisiens change de nom et de logo », Directinfo, 8 février 2014
  36. a b c d e f g et h (fr) « Autorisation pour 3 nouveaux partis, autorisation refusée pour 5 autres (ministère de l'Intérieur) », Tunis Afrique Presse, 12 mars 2011
  37. Ancien président de la Fédération tunisienne de taekwondo, il a fait partie des structures du Parti socialiste destourien mais n'a pas occupé de poste important au sein du RCD.
  38. a et b (ar) « Samih Essehimi : les luttes pour le leadership ont vidé les idéologies de leur contenu », Essahafa, 22 mars 2011 Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : le nom « Essahafa » est défini plusieurs fois avec des contenus différents.
  39. La fusion du Mouvement des patriotes démocrates avec le Parti du travail patriotique et démocratique est annoncée en avril 2011 selon « Chokri Belaïd sur Express FM : Nous fusionnons avec le Parti du travail patriotique démocratique », Express FM, 17 avril 2011.
  40. Le parti a officiellement adopté cet acronyme selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°71, 14 juin 2011, pp. 3424-3425 ; la publication de l'annonce de son officialisation confirme la poursuite de ses activités propres au moins jusqu'au 23 octobre 2011.
  41. a b c d et e (fr) « Trois nouveaux partis autorisés et quatre autres rejetés », Tunis Afrique Presse, 14 mars 2011
  42. a b c d e f et g (fr) « Sept nouveaux partis politiques autorisés », Leaders, 18 mars 2011
  43. L'orientation du parti est difficile à déterminer car c'est un ensemble d'objectifs sans ligne directrice claire selon « Le Parti de la rencontre de la jeunesse libre : exprimer la véritable volonté des jeunes dans la conception de leur avenir et pour assumer un rôle central dans le leadership de la Tunisie » Al Chourouk, 6 avril 2011
  44. Mohamed Lassoued est élu lors du congrès du parti, qui a eu lieu le 22 mai 2011, en remplacement de Mongi Hammami.
  45. a b c d et e (fr) « Cinq nouveaux partis politiques autorisés », Leaders, 22 mars 2011
  46. (ar) « Le Parti des forces du 14 janvier 2011 : la contribution à l'établissement d'une justice sociale et culturelle dans tout le pays et la sauvegarde de la liberté du citoyen tunisien », Al Chourouk, 2 avril 2011
  47. (fr) « "El Majd", 50e parti tunisien », Business News, 24 mars 2011
  48. (fr) « Tunisie. Abdelwaheb El Hani présente le parti Al Majd », Kapitalis, 11 mars 2011
  49. (fr) « 52 et pas 51 partis », Ajidoo News, 13 avril 2011
  50. (fr) « Autorisation légale accordée au nouveau parti "Mouvement de la dignité et de la démocratie" », Babnet, 21 avril 2011
  51. a b c d e et f Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 avril 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°28, 22 avril 2011, pp. 523-524
  52. Le parti a adopté l'appellation anglophone selon Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°62, 24 mai 2011, p. 2899
  53. Le parti a fusionné avec le mouvement Ettajdid et des indépendants du Pôle démocratique moderniste pour constituer la Voie démocratique et sociale, mais certains de ses fondateurs refusent cette fusion et continuent d'utiliser le nom du parti.
  54. a b et c (ar) « Autorisation pour 4 nouveaux partis », Attounissia, 5 mai 2011
  55. a b c d e f g et h Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°37, 24 mai 2011, p. 746
  56. a et b Avis de constitution d'un parti politique, Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°68, 7 juin 2011, pp. 3243-3244
  57. Le parti modifie son nom en remplaçant le terme « libéral » par « libre » selon l'arrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955.
  58. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°67, 4 juin 2011, p. 3180
  59. Arrêté du ministre de l'Intérieur du 24 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°38, 27 mai 2011, p. 776
  60. a b et c Arrêté du ministre de l'Intérieur du 4 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°42, 10 juin 2011, pp. 885-886
  61. a b et c Arrêté du ministre de l'Intérieur du 16 juin 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°45, 21 juin 2011, p. 955
  62. a b c d e f et g Arrêté du ministre de l'Intérieur du 15 juillet 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°53, 19 juillet 2011, pp. 1259-1260
  63. Arrêté du ministre de l'Intérieur du 4 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°59, 9 août 2011, p. 1448
  64. Arrêté du ministre de l'Intérieur du 12 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°61, 16 août 2011, p. 1548
  65. a b c et d Arrêté du ministre de l'Intérieur du 19 août 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°63, 23 août 2011, p. 1602
  66. a b c d et e Arrêté du ministre de l'Intérieur du 21 septembre 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°73, 27 septembre 2011, p. 1971
  67. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°156, 29 décembre 2011
  68. a et b Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°14, 2 février 2012
  69. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°19, 14 février 2012
  70. a et b Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°23, 23 février 2012
  71. (fr) « Le Parti Pirate Tunisien obtient son visa après des mois d'attente », Business News, 13 mars 2012
  72. a et b Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°33, 17 mars 2012
  73. (fr) « Parti « El Amen », le choix du juste milieu », La Presse de Tunisie, 21 mars 2012
  74. L'Alliance nationale pour la paix et la prospérité (التحالف الوطني للسلام و النماء) de Skander Rekik a été légalisé le 22 avril 2011, le Parti Tounes El Karama (حزب تونس الكرامة) de Lazhar Bali le 28 avril 2011 et Al Amana (الأمانة) de Fethi Laâyouni le 30 mai 2011.
  75. (fr) « Le parti salafiste le Front de la Réforme obtient son visa », Tuniscope, 10 mai 2012
  76. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°38, 29 mars 2012
  77. « La Voie démocratique et sociale, une nouvelle coalition conduite par Ahmed Brahim », Tunis Tribune, 2 avril 2012
  78. (fr) « Tunisie : Samir Taïeb élu secrétaire général d'Al Massar », Al Huffington Post, 23 juin 2014
  79. Le mouvement Ettajdid (حركة التجديد) d'Ahmed Brahim, héritier du Parti communiste tunisien, a été fondé le 14 septembre 1993.
  80. Le Parti tunisien du travail (حزب العمل التونسي) a été légalisé le selon « Autorisation pour 4 nouveaux partis », Attounissia, 5 mai 2011 ; il avait auparavant absorbé deux autres partis, le Mouvement de la citoyenneté et de la justice (حركة المواطنة والعدالة) de Jamel Tlili (légalisé le 19 mai 2011) et le Parti du centre démocratique de Jawhar Ben Frej, selon Imededdine Boulaâba, « Tunisie - Partis politiques : Le Parti du Travail Tunisien intègre deux partis ! », Webmanagercenter, 26 août 2011.
  81. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012
  82. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°42, 7 avril 2012, p. 2210
  83. La direction collégiale inclut Oussama Chelbi, cité en premier, Slim Amamou et Khaled Amami.
  84. Le Parti démocrate progressiste (الحزب الديمقراطي التقدمي) de Maya Jribi a été légalisé le 12 septembre 1988, le Parti républicain (الحزب الجمهوري) d'Abdelaziz Belkhodja le 14 mars 2011, Afek Tounes (آفاق تونس) de Mohamed Louzir le 28 mars 2011, Al Irada (الإرادة) de Mohamed Lotfi Lejri le 19 mai 2011, le Mouvement Bledi (حركة بلادي) de Kamel Louhichi le 19 mai 2011 et le Parti pour la justice social-démocrate (حزب العدالة الاجتماعي الديمقراطي) d'Amine Manai le 19 mai 2011.
  85. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°49, 24 avril 2012
  86. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°71, 14 juin 2012
  87. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°73, 19 juin 2012
  88. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°78, 30 juin 2012
  89. (fr) « Nidaa Tounes de Béji Caïd Essebsi autorisé », Business News, 6 juillet 2012
  90. a b et c Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°81, 7 juillet 2012
  91. (ar) « Hezb Attahrir obtient la légalisation », Arrakmia, 17 juillet 2012
  92. (ar) « Hizb Al-Rahma lors de sa première rencontre avec la presse : la Tunisie a besoin d'un gouvernement qui tienne ses promesses », Attounissia, 31 juillet 2012
  93. a et b Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°111, 3 novembre 2012
  94. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°94, 7 août 2012, p. 5200
  95. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°87, 21 juillet 2012, p. 4875
  96. a b et c Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°111, 15 septembre 2012
  97. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°117, 29 septembre 2012, p. 6210
  98. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°117, 29 septembre 2012, p. 6211
  99. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°118, 2 octobre 2012, p. 6270
  100. (fr) « Le Parti des libertés et des droits de l'homme obtient son visa », Tunis Afrique Presse, 22 novembre 2012
  101. Riadh Ben Fadhel a été le principal animateur du Pôle démocratique moderniste puis le secrétaire général adjoint de la Voie démocratique et sociale.
  102. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°142, 27 novembre 2012
  103. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°154, 25 décembre 2012
  104. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°155, 27 décembre 2012
  105. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°4, 27 janvier 2013
  106. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°6, 12 janvier 2013
  107. Un des fondateurs du Mouvement du peuple sous la présidence de Khaled Krichi puis lors de sa restauration sous la présidence de Mohamed Brahmi, Amor Chahed le quitte pour fonder son propre parti.
  108. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°9, 19 janvier 2013
  109. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°13, 29 janvier 2013
  110. (ar) « Le secrétaire général du parti de la Pétition populaire : nous allons créer la surprise lors des prochaines élections », Assabahnews, 10 avril 2014
  111. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°38, 28 mars 2013
  112. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°49, 23 avril 2013
  113. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°49, 14 mai 2013
  114. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°65, 30 mai 2013
  115. a et b Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°76, 25 juin 2013, p. 4169
  116. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°78, 29 juin 2013, p. 4259
  117. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°98, 15 août 2013, p. 5456
  118. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°100, 20 août 2013, p. 5518
  119. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°112, 17 septembre 2013
  120. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°117, 28 septembre 2013
  121. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°119, 3 octobre 2013
  122. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°131, 31 octobre 2013
  123. (fr) « Tunis : Fusion entre quatre partis politiques », L'Économiste maghrébin, 31 juillet 2014
  124. L'Initiative (حزب المبادرة) de Kamel Morjane, issue d'une scission du RCD, avait été légalisé le 1er avril 2011.
  125. Al Watan Al Horr de Mohamed Jegham est issu d'une scission d'Al Watan.
  126. Le Parti de l'unité et de la réforme (حزب الوحدة والإصلاح) de Ezzedine Bouafia avait été légalisé le 19 mai 2011.
  127. Zarkaa Al Yamama (Colombe bleue) de Taoufik Hamza
  128. Le Parti de la liberté pour la justice et le développement (حزب الحرية من أجل العدالة والتنمية) de Hatem Yahyaoui avait été légalisé le 8 mars 2011.
  129. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°145, 3 décembre 2013
  130. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°149, 12 décembre 2013
  131. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°153, 21 décembre 2013
  132. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°2, 4 janvier 2014
  133. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°4, 9 janvier 2014
  134. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°34, 20 mars 2014, p. 1748
  135. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 19 avril 2014, p. 2332
  136. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°47, 8 avril 2014, p. 2333
  137. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°58, 15 mai 2014, p. 2972
  138. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°60, 20 mai 2014, p. 3087
  139. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°72, 17 juin 2014, p. 3750
  140. Salem Chaïbi est toujours en course pour l'élection présidentielle de 2014. Il est toutefois au centre d'une vaste polémique, des associations l'accusant d'avoir obtenu des parrainages fictifs à partir des listes des adhérents de la Caisse nationale de sécurité sociale où il travaille.
  141. Ancien membre du gouvernement Hamadi Jebali, Touhami Abdouli n'admet pas sa non-reconduction dans le gouvernement Ali Larayedh. Il démissionne d'Ettakatol et devient un farouche opposant à la troïka, appelant d'abord à un coup d'État militaire puis rejoignant le Front du salut national. Il émet alors le vœu de rejoindre l'Union pour la Tunisie mais, face au refus momentané de Nidaa Tounes, il constitue des listes de coalition sous le nom de Front du salut national pour les élections de 2014.
  142. Alliance pour la Tunisie (التحالف من أجل تونس) de Karim Missaoui
  143. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°89, 26 juillet 2014
  144. a b et c Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°102, 26 août 2014
  145. (fr) « Tunisie. Autorisation de 158 associations, 86 partis et 122 publications », Kapitalis, 25 juin 2011
  146. (ar) « Le Parti de la liberté et de la solidarité présente sa demande de visa », Al Chourouk, 28 avril 2011
  147. (fr) « Tunisie – 111 partis autorisés et 162 autres refusés ! », Business News, 20 septembre 2011
  148. Tunis Hebdo, 16 mai 2011[réf. incomplète]
  149. (fr) « Mohamed Jegham : le parti Al Watan mise sur les jeunes, les femmes et les régions », Leaders, 8 mars 2011
  150. (ar) Le mouvement de la Rencontre réformatrice démocratique obtient le visa légal (Liqaa)
  151. Kaouache est élu lors du congrès du parti, qui a lieu le 26 mai 2011, en remplacement de Nabil Gorgi.
  152. (ar) [PDF] « Le visa du mouvement des réformistes », Essahafa, 3 mai 2011
  153. Le parti qui a tenu son congrès en juin 2012 a entériné le départ de son président Abdelmajid Chaker qui a rejoint Nidaa Tounes et a supprimé le terme « démocratique » de son nom.
  154. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°105, 1er septembre 2012
  155. a b et c Arrêté du ministre de l'Intérieur du 30 mai 2011, Journal officiel de la République tunisienne, n°40, 3 juin 2011, pp. 816-817
  156. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°5, 12 janvier 2012
  157. Journal officiel de la République tunisienne - Annonces légales, réglementaires et judiciaires, n°63, 26 mai 2012

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