Parti communiste du Québec (PCQ-PCC)

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Parti communiste du Québec (PCQ-PCC)
Image illustrative de l’article Parti communiste du Québec (PCQ-PCC)
Logotype officiel.
Présentation
Chef Adrien Welsh[1]
Fondation 1921 (Section québécoise du PCC)
1941 (Parti ouvrier progressiste)
1965 : Parti communiste du Québec
2005 : Parti communiste du Québec (section du Parti communiste du Canada)
Siège 5359, av. du Parc
Montréal, Québec, H2V 4G9
Drapeau du Canada Canada
Parti fédéral affilié Parti communiste du Canada
Publication Clarté
Positionnement Extrême gauche
Idéologie Communisme
Marxisme-léninisme
Affiliation internationale Internationale communiste (1921–1943)
Rencontre internationale des partis communistes et ouvriers
Couleurs Rouge
Site web particommunisteduquebec.ca

Le Parti communiste du Québec (PCQ-PCC) est un parti politique provincial québécois reconnu depuis 2023 par le Directeur général des élections du Québec (DGEQ)[2]. Le Parti a aussi été reconnu de 1965 à 2003[3].

Fondé par des militants du Parti communiste du Canada au Québec, l'histoire de sa formation remonte aux années 1920, avec la création de la première section communiste à Montréal. Après avoir été interdit par les gouvernements du Québec en 1937 et du Canada en 1941, le parti a été connu sous le nom de section québécoise du Parti ouvrier progressiste de 1941 à 1959. Il a été officiellement reconnu comme un parti provincial par le DGEQ de 1965 à 2003 et a retrouvé son autorisation en 2023[2]. Il possède des liens étroits avec le Parti communiste du Canada[4]. Son chef actuel est Adrien Welsh[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

Développement initial du Parti communiste au Québec[modifier | modifier le code]

Chefs communistes au Québec:
Rangée en avant de gauche à droite
Henri Gagnon, Fred Rose, Tim Buck, Émery Samuel et Sam Lipschitz.
Rangée arrière de gauche à droite: Gus Sundqvist, Bill Kashtan, Évariste Dubé, Jim Litterick, Sam Carr, Willie Fortin, Stewart Smith et Stanley B. Ryerson.

Le Parti communiste du Canada, fondé à Guelph en Ontario, a rapidement acquis des membres au Québec, à peine un an après sa création. En 1922, des membres du Montreal Labour College ont rejoint le parti[5], formant le premier noyau du parti au Québec, connu à l'époque sous le nom de district communiste No.2 du PCC. Ce groupe était dirigé par le jeune syndicaliste Sydney Sarkin et comprenait Bella Gauld, Annie Buller, Michael Buhay, Becky Buhay et Emery Simard[6]. En 1926, lors des élections fédérales canadiennes, le Parti communiste du Canada présente pour la première fois un candidat au Québec. Michael Buhay, un coupeur de vêtements, se présente dans la circonscription de Cartier (aujourd'hui Laurier—Sainte-Marie et Outremont) à Montréal[7].

Le 14 janvier 1935, la section québécoise du Parti communiste publie son premier journal officiel en français, intitulé Clarté. Ce journal aborde des sujets tels que l'assurance chômage, le droit de vote des femmes et les restrictions à la liberté d'association et d'expression[8]. Le 15 janvier 1935, le lendemain de la publication, une foule de 2 500 personnes assiste aux funérailles de Paul Delisle, chef francophone du Parti communiste à Montréal, décédé d'un cancer le 13 janvier. Tim Buck, Sam Carr et Fred Rose portent le cercueil et s'adressent à la foule pour souligner le rôle important de Delisle dans le mouvement révolutionnaire canadien. Delisle était de retour d'un séjour d'études de 14 mois à Moscou. En 1936, le premier comité exécutif du Parti communiste est créé au Québec. Évariste Dubé est nommé président et Stanley Bréhaut Ryerson secrétaire. Parmi les membres éminents figurent Fred Rose, Emile Godin, Alec Rosenberg, Emery Samuel, Alex Gauld, Mme Léo Lebrun, Willie Fortin, Jean Bourget et Sydney Sarkin.

Littérature communiste confisquée dans le cadre de la Loi protégeant la province contre la propagande communiste (Loi du Cadenas).
Montréal, 22 janvier 1938

En 1937, le Gouvernement Maurice Duplessis, récemment élu, promulgue la Loi protégeant la province contre la propagande communiste (Loi du Cadenas) qui lutte contre le communisme en restreignant la liberté d'association et la liberté de la presse. Le journal Clarté est interdit en novembre de la même année.

Fred Rose est élu comme le seul et premier député du Parti ouvrier progressiste à la Chambre des communes le dans une élection partielle pour la circonscription fédérale de Cartier à Montréal avec 5 789 voix ou 30,42 % du total (juste avant le candidat du Bloc populaire canadien Paul Masse avec 5.639). Il est réélu dans les élections fédérales canadiennes de 1945 avec 10 419 voix[9],[10].

En , le premier congrès du Parti ouvrier progressiste du Québec à Montréal regroupe 172 déléguées représentant 40 cellules du parti.

Le , Fred Rose est arrêté et accusé d'espionnage pour le compte de l'Union soviétique à la suite des révélations d’Igor Gouzenko[11]. Il sera libéré après six ans de prison et exilé en Pologne où il finira ses jours. Le gouvernement canadien ne lui donnera jamais le droit de revenir au pays. Gui Caron est nommé chef provincial du P.O.P. la même année.

Dix ans plus tard, le , insatisfait des explications fournies par Buck à propos du rapport Khrouchtchev, Gui Caron démissionne du P.O.P. entrainant avec lui cinq autres membres du comité provincial: Ken Perry, Harry Gulkin, Norman Nerenberg, Frank Arnold et Pierre Gélinas. En , dans un article publié dans Clarté, Henri Gagnon estime que 200 membres ont quitté le Parti depuis les révélations de Khrouchtchev.

Le , la loi du cadenas est déclarée anticonstitutionnelle dans le cadre de Switzman c. Elbling.

Parti de Samuel Walsh[modifier | modifier le code]

En avril 1965, le Comité national du Parti communiste du Canada annonce la tenue d'un congrès à l'automne pour la fondation d'un parti provincial au Québec. Le 28 novembre 1965 est créé officiellement le Parti communiste du Québec, un parti provincial reconnu par le Directeur général des élections du Québec[12]. Samuel Walsh sera le chef du parti jusqu'en 1990. Dès sa création, le parti communiste du Québec reconnaît le droit à l’autodétermination nationale du Québec et l’autodétermination des premières nations du Québec[13]. Il considère la nationalisation de l'électricité comme le point culminant de la Révolution tranquille[14].

Le parti présente ses premiers candidats aux élections générales québécoises de 1966 en juin, mais ils n'obtiennent que peu de voix. En septembre 1967, le parti adopte sa position officielle sur la question nationale du Québec, il propose une nouvelle constitution qui permettra un pacte avec la nation canadienne sur un pied d'égalité[15]. Le parti critique fortement les nouvelles lois du Gouvernement Jean-Jacques Bertrand visant les organisations syndicales en 1968[16] ,[17]et milite contre le règlement interdisant les assemblées publiques et les manifestations de la ville de Montréal en 1969[18]. Le parti tient son 3e congrès national au début de 1970 et appuie le projet de Loi 62 voulant imposer à toute l'île de Montréal des commissions scolaires unifiées, laïques et neutres[19].

En mai 1970, le parti donne son appui au Front commun intersyndical et aux manifestations des étudiants de l'Université McGill contre l'implication américaine dans la Guerre civile cambodgienne et la fusillade de l'université d'État de Kent[20]. À l'été 1970, le parti communiste du Québec entame des négociations avec le Front d'action populaire (FRAP), un parti politique municipal d'opposition au maire Jean Drapeau[21].

La Crise d'Octobre de 1970 entraine avec elle la Loi sur les mesures de guerre. Le parti dénonce les mesures du gouvernement et le terrorisme du Front de libération du Québec (FLQ)[22],[23]. En mars 1971, Jeannette Walsh participe à une série de conférences pour défendre l'idée de l'autodétermination du Québec. En 1975, le parti soutient que la Commission Cliche a entraîné des sanctions qui ont soumis le mouvement syndical à l'État. Lors du référendum sur la souveraineté du Québec, en 1980, bien qu'il s'opposait au camp du Non, le PCQ n'a pas appelé directement à soutenir le camp du Oui lors du référendum de 1980, proposant plutôt une question alternative à celle du Parti québécois qui met de l'avant la nécessité de former un état national puis former un pacte avec le Canada sur un pied d'égalité..

Histoire du parti après la chute des régimes communistes en Europe[modifier | modifier le code]

En , le Parti communiste du Canada collabore avec le Groupe communiste ouvrier (GCO), un groupe originellement d’allégeance maoïste basé au Québec dont les membres sont issus pour la plupart de l’ancien Parti communiste ouvrier du Canada, pour publier un périodique d'actualité en langue française: La Nouvelle Forge[24]. Ensemble, ils établissent un bureau sur l'avenue De Lorimier pour reconstruire la base du parti au Québec avec l'aide du GCO[25]. À la fin de 1998, le GCO s'allie officiellement à un petit groupe de militants d’origine grecque pour remettre sur pied la section du PCC au Québec. Les derniers membres du PCQ rencontrent à leur tour ces militants nouvellement unis pour leur suggérer qu’ils puissent également en rejoindre les rangs. En le PCQ revient officiellement au sein du PCC.

Lors des élections de 1998, le Parti communiste du Québec suggère au Parti démocrate socialiste de faire une alliance électorale. Quelques mois plus tard, le PDS invite le parti à participer en tant qu’invité spécial à leur prochain congrès.

En 2000, le Rassemblement pour l'alternative progressiste (RAP) tient une rencontre à Drummondville pour relancer l'idée d'une plus grande unité des forces de gauche. Un comité de liaison entre partis de gauche sera formé et rassemblera le PCQ, le PDS, le RAP, ainsi que le Bloc Pot et éventuellement le Parti vert du Québec. Lors de l'élection partielle d'avril 2001, cette alliance soutient la candidature de Paul Cliche dans la circonscription de Mercier. Cliche obtient 24 % des voix, arrivant en troisième position derrière la libérale Nathalie Rochefort (35 %) et le péquiste Claude Toussaint (29 %).

En 2002, le Parti de la démocratie socialiste, le Rassemblement pour l'alternative progressiste et le PCQ concluent également une entente de principe qui servira ensuite de base à la création de l'Union des forces progressistes (UFP). L'UFP fusionna à son tour, quelques années plus tard, en 2006, avec le mouvement politique Option citoyenne afin de former le parti Québec solidaire (QS).

En , une fraction nationaliste du PCQ dirigée par l'ancien chef André Parizeau tente de couper les liens du Parti communiste du Québec avec le Parti communiste du Canada[26]. Ce groupe procède à l'expulsion de plusieurs membres clés puis tente de changer plusieurs dispositions des Statuts et du Programme par rapport à l'implication syndicale, la place du parti au sein de l’Union des forces progressistes (UFP), le contrôle éditorial du journal et la collégialité au sein de la direction du Parti.

Le 18 et le , le Comité central du Parti communiste du Canada adopte une série de mesures pour protéger le PCQ-PCC dont l’expulsion des ex-dirigeants du PCQ, André Parizeau, Pierre Klépock et Kenneth Higham et la réadmission des membres du Comité exécutif national du PCQ expulsés illégalement par cette fraction[26].

Depuis le schisme, le Parti communiste du Québec, tout en réclamant une certaine indépendance à titre de section, s'est considérablement rapproché du Parti communiste du Canada principalement dans l'organisation des élections fédérales. Le chef du parti communiste du Québec, Pierre Fontaine fut d’ailleurs élu membre de l'exécutif du comité central du Parti communiste du Canada lors du 37e Congrès du parti en [27].

Quatre membres du Parti communiste du Québec sont candidats aux élections fédérales canadiennes de 2015 pour le Parti communiste du Canada. Il s'agit de Marianne Breton Fontaine dans Hochelaga, Pierre Fontaine dans Laurier—Sainte-Marie, Adrien Welsh dans Outremont et William Sloan dans Ville-Marie—Le Sud-Ouest—Île-des-Sœurs.

Le , le Parti communiste du Canada et la Coalition BDS-Québec annoncent qu'ils poursuivent la ville de Montréal devant la Cour du Québec. La ville a, selon eux, violé leurs droits constitutionnels et la liberté d'expression des militants en arrachant des pancartes de BDS-Québec et du Parti communiste du Canada durant la campagne électorale de 2015[28].

Le , Pierre Fontaine, chef du PCQ-PCC depuis 2005, décède des suites d'une crise cardiaque[29]. Adrien Welsh, membre du Comité national, est alors élevé au poste de Secrétaire national par intérim[30], en vue de le remplacer, et, officiellement élu à ce titre, à la suite de la deuxième partie et clôture du XIXe congrès du PCQ-PCC, tenue en personne le 16 octobre 2021, la première partie ayant eu lieu le 2 mars de façon virtuelle, en raison de la pandémie de Covid-19.

Participations aux élections provinciales[modifier | modifier le code]

Le Parti communiste du Québec a participé à neuf élections générales québécoises de 1966 à 1998 et y a obtenu des résultats ne dépassant jamais 0,05 %.

Le Parti ne présente plus de candidats aux élections provinciales québécoises depuis 1998 et a travaillé de concert avec Québec solidaire. En 2018 suivant la jonction entre Québec Solidaire et Option Nationale, le Parti cessa son association avec Québec Solidaire - décision prise lors de son 18e congrès[31]. Le parti a perdu son accréditation du DGEQ en 2003, mais l'a regagné en mars 2023[32].

Élection générale québécoise de 1966

  • Gouin (Charles-Henri Lutz, 108 voix)
  • Limoilou (Denise Grégoire, 55 voix)
  • Mercier (Lucien-Jacques Cossette, 112 voix)
  • Saint-Louis (Samuel Walsh, 227 voix)

Élection générale québécoise de 1976

  • Bourassa (Vittorina Rizotto Bronzati, 109 voix)
  • Crémazie (Claire Da Sylva Demers, 83 voix)
  • Jeanne-Mance (Bernadette Desrosiers, 157 voix)
  • Laurier (Madame Joseph Mallaroni, 240 voix)
  • Limoilou (Julien Bilodeau, 74 voix)
  • Maisonneuve (Samuel Walsh, 33 voix)
  • Mercier (Guy Desautels, 116 voix)
  • Mille-Îles (Claude Demers, 132 voix)
  • Mont-Royal (Richard Ducharme, 104 voix)
  • Outremont (Denis Gervais, 270 voix)
  • Saint-Jacques (Hervé Fuyet, 90 voix)
  • Saint-Louis (Jeannette Pratte Walsh, 160 voix)
  • Sainte-Anne (David G. Johnston, 79 voix)
  • Sauvé (Mario de Brentani, 129 voix)

Élection générale québécoise de 1981

Élection générale québécoise de 1985

Élection générale québécoise de 1989

Élection générale québécoise de 1994

Élection générale québécoise de 1998

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

Résultats électoraux du Parti communiste du Québec depuis 1965.
Élection Sièges Voix
Candidats /
Circonscriptions
en élection
Sièges
obtenus
Nombre Pourcentage par
candidat
Juin 1966 4 / 95 0 502 0,02 % 126
Avril 1970 1 / 108 0 213 0,01 % 213
Octobre 1973 3 / 108 0 164 0,01 % 55
Novembre 1976 14 / 108 0 1 776 0,05 % 127
Avril 1981 10 / 122 0 768 0,02 % 77
Décembre 1985 10 / 122 0 834 0,02 % 83
Septembre 1989 10 / 122 0 808 0,02 % 81
Septembre 1994 10 / 125 0 1 062 0,03 % 106
Novembre 1998 20 / 125 0 2 113 0,05 % 106

Congrès du PCQ[modifier | modifier le code]

  • IIe Congrès - du 8 au
  • XIIIe Congrès - du 3 au
  • XIVe Congrès - du 7 au
  • XVe Congrès - du 13 au
  • XVIe Congrès - du 16 au
  • XVIIe Congrès - du 16 au
  • XVIIIe Congrès - du 26 au
  • XIXe Congrès - le (tenue de façon virtuelle) et le


Dirigeants du Parti communiste du Québec[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Solidnet | CP of Canada, PEOPLE'S VOICE - Issue of October 1-15, 2022 », sur www.solidnet.org (consulté le )
  2. a b et c « Parti communiste du Québec », sur Élections Québec (consulté le )
  3. DGEQ - Communiqué no 26 – Élections générales le 14 avril 2003 644 CANDIDATES ET CANDIDATS AUX ÉLECTIONS GÉNÉRALES DU 14 AVRIL.
  4. (en-US) « Party Constitution », sur Communist Party of Canada - Parti Communiste du Canada (consulté le )
  5. Fournier 1979, p. 17.
  6. Comeau et Dionne 1981, p. 2.
  7. Parlement du Canada, « CARTIER, Québec (1924 - 1966) », sur Historique des circonscriptions depuis 1867, .
  8. Gregory S. Kealey, Reg Whitaker, 'RCMP Security Bulletins: The Depression Years, Part II, 1935, p. 78.
  9. « Historique des circonscriptions depuis 1867 (Cartier-Montréal) », sur lop.parl.ca (consulté le )
  10. « Fred Rose (1907-1983) Homme politique », sur bilan.usherbrooke.ca (consulté le )
  11. « Emprisonnement de Fred Rose », sur bilan.usherbrooke.ca (consulté le )
  12. Assemblée nationale du Québec - Chronologie parlementaire depuis 1791 (1965-1966).
  13. Samuel Walsh, « La scène québécoise », Combat, avril 1967, p. 6.
  14. Samuel Walsh, « Décès de l'équipe du tonnerre », Combat, 22 août 1969, vol.4, p. 2.
  15. Samuel Walsh, « Cette tendance à confondre les notions de souveraineté et de séparation », Combat, 11 avril 1969, vol.4, p. 2.
  16. Samuel Walsh, « Gare au corporatisme au Québec », Combat, 14 novembre 1969, p. 2-3.
  17. Samuel Walsh, « Comment battre la loi anti-manifestations », Combat, 12 décembre 1969, p. 2.
  18. Samuel Walsh, « Pourquoi dissoudre l'AGÉUM ? », Combat, 28 février 1969, p. 2.
  19. Samuel Walsh, « Bill 62 - Lettre ouverte au premier ministre et à tous les députés », Combat, 13 mars 1970, p. 2.
  20. Samuel Walsh, « Nouveau tournant pour la classe ouvrière au Québec», Combat, 29 mai 1970, p. 2.
  21. Samuel Walsh, « Baissez le drapeau des riches», Combat, 11 septembre 1970, p. 2.
  22. Samuel Walsh, « Vers l’authentique unité des deux nations », Combat, juin 1963, p. 1 et 4.
  23. Samuel Walsh, « Société juste servie à la Trudeau», Combat, 24 décembre 1970, p. 2.
  24. Communist Party of Canada - People's voice - March 1998
  25. Communist Party of Canada - People's voice - April 1998
  26. a et b Parti communiste du Québec, Échec de la tentative du groupe de Parizeau de prendre le contrôle du PCQ, 15 juillet 2005 [lire en ligne]
  27. http://communist-party.ca/wp-content/uploads/2014/02/37th-Convention-Final-Documents.pdf Documents of the 37th Convention Communist Party of Canada.
  28. CNW TELBEC, La Coalition BDS-Québec et le PCC poursuivent la Ville de Montréal [en ligne] (Page consultée le 11 mars 2016).
  29. « NOS ADIEUX À PIERRE FONTAINE, SYNDICALISTE ET DIRIGEANT COMMUNISTE »,
  30. (en-US) « Congrès extraordinaire de la YCL-LJC : la jeunesse ne paiera pas pour la crise du capitalisme! – Rebel Youth – Jeunesse Militante » (consulté le )
  31. https://particommunisteduquebec.ca/sur-quebec-solidaire/
  32. https://www.electionsquebec.qc.ca/partis-et-autres-entites-politiques/partis-politiques/fiche-du-parti/99318/99318/

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marcel Fournier, Communisme et anticommunisme au Québec (1920-1950),
  • Robert Comeau et Bernard Dionne, Les communistes au Québec 1936-1956 : sur le Parti communiste du Canada/Parti ouvrier-progressiste, Montréal, Presses de l'unité, coll. « Histoire/Débats 1981 », , 104 p.
  • Robert Comeau et Bernard Dionne, dir. Le droit de se taire, Histoire des communistes au Québec de la Première Guerre mondiale à la Révolution tranquille, Outremont (Montréal), VLB éditeur, 1989, 542 p.
  • Henri Gagnon, Les militants socialistes, 1985
  • Andrée Levesque, Virage à gauche interdit, Boréal Express, 1984

Publications du parti[modifier | modifier le code]

  • Walsh, Samuel, La Commission Cliche et l'unité ouvrière au Québec, Montréal, Nouvelle Frontière, , 75 p.
  • Walsh, Samuel, 20 ans de Combat sur la scène québécoise : collection d'articles, Montréal, Nouvelle Frontière, , 160 p.
  • (en) Walsh, Samuel, For a mass federated party of the working people in Quebec, Montréal, Nouvelle Frontière, , 13 p.
  • Walsh, Samuel, Pour un parti de masse fédéré des travailleurs, Montréal, Nouvelle Frontière, , 14 p.
  • Walsh, Samuel, Une politique sociale au lieu d'une politique bourgeoise., Toronto, Progress Books, , 31 p.

Vidéographie[modifier | modifier le code]

  • Série les grand procès - Fred Rose
  • Bethune - l'étoffe d'un héros (film, 1990)
  • Je me souviens (film, 2009)