Périgny (Val-de-Marne)

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Périgny
Périgny (Val-de-Marne)
La mairie.
Image illustrative de l’article Périgny (Val-de-Marne)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Val-de-Marne
Arrondissement Créteil
Intercommunalité Métropole du Grand Paris
EPT Grand Paris Sud Est Avenir
Maire
Mandat
Arnaud Védie (Divers droite)
2020-2026
Code postal 94520
Code commune 94056
Démographie
Gentilé Pérignons
Population
municipale
2 725 hab. (2021 en augmentation de 4,65 % par rapport à 2015)
Densité 980 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 41′ 43″ nord, 2° 33′ 06″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 97 m
Superficie 2,78 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton du Plateau briard
Législatives 3e circonscription du Val-de-Marne
Localisation
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Périgny
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Périgny
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Périgny
Liens
Site web http://www.perigny-sur-yerres.fr

Périgny, aussi appelée Périgny-sur-Yerres, est une commune française située dans le département du Val-de-Marne, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Localisation de Périgny dans le Val-de-Marne.

Périgny est une petite ville périurbaine française située à environ 30 kilomètres au sud-est de Paris, dans le Val-de-Marne. Sa population est d'environ 2 500 habitants.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune, qui est limitée à l'est par un méandre de l'Yerres (affluent de la rive droite de la Seine) , est également drainé par la Rigaude.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune de Périgny domine une boucle de l'Yerres et s’étend modestement sur le plateau de Brie : elle jouxte les départements de l’Essonne au sud et de la Seine-et-Marne à l’est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 665 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mandres-les-Roses à 1 km à vol d'oiseau[3], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 698,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records MANDRES (94) - alt : 93m, lat : 48°42'33"N, lon : 2°32'59"E
Records établis sur la période du 01-01-1988 au 31-12-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,6 3,8 5,8 9,6 12,7 14,5 14 10,8 8,2 4,7 2,4 7,5
Température moyenne (°C) 4,5 5 8,2 11 14,8 18,1 20,2 20 16,3 12,4 7,8 5 11,9
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,6 12,7 16,4 19,9 23,5 25,9 26,1 21,8 16,6 10,9 7,5 16,4
Record de froid (°C)
date du record
−16
08.01.10
−13
07.02.1991
−10,5
01.03.05
−3
07.04.21
0,5
07.05.1997
1,8
04.06.1991
6,1
04.07.1990
6
28.08.1998
1
30.09.12
−3,8
30.10.1997
−10,4
24.11.1998
−10,3
29.12.1996
−16
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
16,1
27.01.03
22
27.02.19
25
31.03.21
29
20.04.18
33
28.05.17
38
22.06.17
39,5
31.07.20
40,1
06.08.03
35
15.09.20
29,5
01.10.11
23
08.11.15
17,3
16.12.1989
40,1
2003
Précipitations (mm) 57,2 50,9 49,8 50,6 67,4 58,6 60 61,1 52,4 58 61,8 70,5 698,3
Source : « Fiche 94047001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Périgny est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[10] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[13],[14].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Contrairement à bon nombre de communes proches, Périgny a su garder le cadre champêtre d'antan tout en gardant l'avantage d'être située à proximité de la capitale

Habitat[modifier | modifier le code]

Le parc de logements de la commune, principalement pavillonnaire, est en croissance soutenue, passant de 171 logements en 1968 à 1064 en 2017, et a augmenté d'un quart entre 2007 et 2017[15].

Logements[16] Nombre en 2007 % en 2007 nombre en 2012 % en 2012 nombre en 2017 % en 2017
Total 851 100 % 970 100 % 1064 100 %
Résidences principales 820 96,3 % 935 96,4 % 1 002 94,2 %
→ Dont HLM 1 0,1 % 27 2,8 % 64 6,4 %
Résidences secondaires et
logements occasionnels
7 0,8 % 4 0,4 % 11 1,0 %
Logements vacants[Note 3] 24 2,8 % 31 3,2 % 51 4,8 %
Dont :
→ maisons 732 86,1 % 797 82,2 % 852 80,1 %
→ appartements 115 13,5 % 169 17,4 % 209 19,7%

La commune, qui ne respecte pas les obligations prévues à l'article 55 de la loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (Loi SRU) qui prescrit qu'elle doit atteindre 25 % de son parc de résidences principales en logements sociaux, a engagé un effort de mise en conformité depuis 2007 et a signé avec l'État un contrat de mixité sociale afin d'atteindre environ 17 % de logements sociaux en 2030[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau à l'entrée de la commune où le complément sur-Yerres est indiqué.

Parriniacum en 1200[18], Parrigniacum en 1177, Perrigniacum en 1352, Perigny en 1370[19].

Du patronyme romain *Patrinius dérivé du latin Patrinus « qui vient du père » + -acum[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Les éléments concernant cette période sont à peu près inexistants. En effet, un menhir aurait existé sur le territoire de la commune mais cette information n’a pu encore être confirmée.

Périodes historiques[modifier | modifier le code]

Des trois petits fiefs groupés autour de l’église Saint-Leu-et-Saint-Gilles, Périgny-le-Grand et Montigny ne sont perceptibles qu’au début de l’époque moderne et seul Périgny-le-Petit apparaît, semble-t-il, sur des documents médiévaux. Sur le plan archéologique, des canalisations anciennes sont mentionnées dans le domaine de Périgny-le-Petit.

S’il risque fort d’être d’origine plus ancienne, le moulin sur l’Yerres n’est attesté qu’à l’époque moderne.

Le toponyme Pont Fêtu, déplacé sur les plans actuels mais situé en limite de plateau au XVIIIe siècle, déformation probable du latin Pons vetus, vieux pont, se rapporte peut-être au ponceau de la Chaussée de Varennes. Ce dernier permet encore à la Chaussée de Varennes de franchir un ru descendant vers l’Yerres : il semble figuré sur le plan cadastral de 1810.

L’église, bien que reconstruite au XVIIIe siècle, est mentionnée au XIIIe siècle : l’ancien cimetière qui devait l’entourer présente donc de fortes potentialités médiévales.

Indices périphériques[modifier | modifier le code]

Ils sont rares faute de connaître les découvertes dans les départements limitrophes : à noter toutefois la fouille d’un domaine de la fin de l’Antiquité et du Haut Moyen Âge à Servon.

Dans le département, ont été révélées des potentialités préhistoriques et antiques au sud de la commune de Santeny, à peu de distance de Périgny.

La commune voisine de Mandres-les-Roses a été un important fief médiéval.

Il est vraisemblable qu’une ancienne voirie venant de Villecresnes passe par Périgny, mais aucune hypothèse ne peut actuellement être avancée sur son tracé.

Histoire contemporaine[modifier | modifier le code]

C'est à Périgny-sur-Yerres qu'a été fondée la IVe Internationale par Léon Trotski en , dans une grange prêtée par Alfred Rosmer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du [20], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-de-Marne et à son arrondissement de Créteil après un transfert administratif effectif au .

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Boissy-Saint-Léger de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-de-Marne, elle intègre en 1967 le canton de Villecresnes[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Plateau briard

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Val-de-Marne.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était, jusqu'en 2015, le siège de la communauté de communes du Plateau briard (CCPB), créée fin 2002.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la volonté gouvernementale de favoriser le développement du centre de l'agglomération parisienne comme pôle mondial est créée, le , la métropole du Grand Paris (MGP), dont la commune est membre[22].

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du prévoit également la création de nouvelles structures administratives regroupant les communes membres de la métropole, constituées d'ensembles de plus de 300 000 habitants, et dotées de nombreuses compétences, les établissements publics territoriaux (EPT).

La commune a donc également été intégrée le à l'établissement public territorial Grand Paris Sud Est Avenir, qui succède notamment à la communauté de communes du Plateau briard[23].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014 dans le Val-de-Marne, la liste UMP du maire sortant Georges Urlacher est la seule candidate et obtient donc la totalité des 725 suffrages exprimés au premier tour. Les 19 colistiers sont donc élus conseiullers municipaux, dont 4 conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin, 50,49 % des électeurs se sont abstenus, et 15,80 % ont voté blanc ou nul[24].

Lors des élections municipales de 2020 dans le Val-de-Marne, la liste DVD menée par Arnaud Védié — qui avait le soutien du maire sortant Georges Urlacher — est la seule candidate et obtient donc la totalité des 455 suffrages exprimés au premier tour. Les 23 colistiers sont donc élus conseillers municipaux, dont 1 conseillers à la métropole du Grand Paris.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 70,009 % des électeurs se sont abstenus, et 3,00 % ont voté blanc ou nul[25].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1803 Cantien Dumesnil    
1803 1816 Jean-Baptiste Joseph Gautier    
1816 1820 Pierre Michel Gautier    
1820 1831 René Pierre Valentin Chéron    
1831 1836 Jean-Baptiste Thibault Huré    
1836 1869 Louis Pierre Chertemps    
1869 1903 André Ambroise Gautier    
1903 1922 Jules Marie Gautier    
1922 1929 Georges Ferdinand Boullet    
1929 1944 Eugène Lavillette    
1944 1945 Armand Eugène Gautier    
1945 1951 Eugène Gonot    
1951 1956 Marcel Dormoy    
1956 1965 Henri Alfred Martinet    
1965 1967
(démission)
Raymond Gautier    
1967 juin 1995 Michel Lucas CDPUDF Ingénieur, maire honoraire
juin 1995 mai 2020[17] Georges Urlacher UMPLR Retraité, maire honoraire
mai 2020[27] En cours
(au 6 juillet 2020)
Arnaud Védie DVD Collaborateur d'élus
Ancien élu UMP d'opposition à Valenton (2014 → ?)

Jumelages[modifier | modifier le code]

Périgny est jumelée avec Teana (province de Potenza en Italie) et avec Boécourt (canton du Jura en Suisse).

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les écoles de Périgny sont rattachés à l'académie de Créteil.

La commune possède deux établissements scolaires[Quand ?] : l'école maternelle Suzanne-Heinrich et l'école élémentaire Georges-Huré.

Santé[modifier | modifier le code]

Périgny dispose d'une pharmacie[Quand ?].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 2 725 habitants[Note 4], en augmentation de 4,65 % par rapport à 2015 (Val-de-Marne : +3,13 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
220219236251297283288275295
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
304353354333347353385401358
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
376327327325339388380357382
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3794371 0111 6731 6812 0202 2312 3522 662
2021 - - - - - - - -
2 725--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de Périgny

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Logo de Périgny-sur-Yerres entre 1967 à 2020
Logo de Périgny-sur-Yerres entre 1967 à 2020.
Logo officiel de Périgny-sur-Yerres depuis 2020
Logo officiel de Périgny-sur-Yerres depuis 2020.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Michel Lucas, Périgny ou les aventures d'un maire. (Période 1967-1995).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Périgny et Mandres-les-Roses », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Mandres » (commune de Mandres-les-Roses) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Tableau LOG T1, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
  16. Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2017, document mentionné en liens externes.
  17. a et b Marine Legrand, « Municipales : à Périgny-sur-Yerres, Arnaud Védie seul face aux électeurs : Il est le seul candidat en lice pour prendre la suite du maire sortant, Georges Urlacher (LR), qui soutient sa liste. Une situation unique dans le département du Val-de-Marne », Le Parisien, édition du Val-de-Marne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C'est la ville la moins peuplée du département et la 2e moins peuplée du Grand Paris. Périgny-sur-Yerres est un joli village du plateau briard composé à 60 % de champs. Georges Urlacher (LR), le maire depuis 25 ans, a décidé de raccrocher les crampons et de passer le flambeau lors des élections municipales de mars ».
  18. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  19. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Page 578
  20. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Décret n° 2015-1212 du 30 septembre 2015 constatant le périmètre, fixant le siège et désignant le comptable public de la métropole du Grand Paris, sur Légifrance
  23. Décret n° 2015-1664 du 11 décembre 2015 relatif à la métropole du Grand Paris et fixant le périmètre de l'établissement public territorial dont le siège est à Créteil sur Légifrance.
  24. Résultats officiels pour la commune Périgny-sur-Yerres
  25. « Val-de-Marne (94) - Périgny-sur-Yerres », Résultats des élections municipales et communautaires 2020, Ministère de l'intérieur (consulté le ).
  26. Un peu d'histoire sur Périgny
  27. Marine Legrand, « Val-de-Marne : voici les cinq nouveaux maires du plateau briard : Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, Périgny-sur-Yerres, Santeny et Villecresnes ont élu de nouveaux maires. Mais le plateau briard conserve son ancrage de centre droit. Portraits de ces élus aux parcours parfois étonnants », Le Parisien, édition de l'Essonne,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat, il est élu avec 100 % des suffrages le 15 mars ».
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.