Olympique Gymnaste Club de Nice

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Olympique Gymnaste Club de Nice

Généralités

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L'Olympique Gymnaste Club Nice Côte d'Azur, en abrégé OGCN ou OGC Nice et surnommé le « Gym », est un club de football français fondé en 1904 dont le siège se trouve à Nice.

L'OGC Nice est l'un des membres fondateurs de la Première division du football français. Avec Marseille, Montpellier, Rennes, Lille et Metz, Nice est l'un des rares clubs qui a joué durant la saison inaugurale 1932-1933 et qui évolue encore en Ligue 1 aujourd'hui.

De 1927 à 2013, le club a joué au stade du Ray. Depuis le 22 septembre 2013, les rencontres se déroulent au nouveau grand stade de Nice dénommé Allianz Riviera. Les joueurs s'entraînent au parc des sports Charles-Ehrmann, où se trouvent le centre de formation et le siège du club. Les joueurs sont traditionnellement appelés « les Aiglons », l'emblème de la ville de Nice et du club étant l'aigle.

Le club est présidé depuis juillet 2011 par Jean-Pierre Rivère, qui détient la majorité du capital de la SASP OGC Nice. L'équipe première évolue actuellement en Ligue 1. Elle est entraînée depuis mai 2012 par Claude Puel.

Histoire

La genèse (1904-1927)

L’ancêtre de l’OGC Nice actuel, le Gymnaste club de Nice (GCN), est né à La Pergola, avenue Carlone, dans le quartier des Baumettes, le 9 juillet 1904, ayant pour but la gymnastique et les exercices athlétiques. Le Gym, club de gymnastique, est fondé par le marquis de Massengy d'Auzac (président de la Fédération sportive des Alpes-Maritimes et qui devient président d'honneur du Gym), par H. Gal et A. Martin (élu président). Les couleurs d'origine du Gym sont le bleu et le noir.

Le 6 juillet 1908, le Gymnaste club se divise en deux : la section boules garde le nom et reste affiliée à la FSAM, les autres sections deviennent le Gymnastes amateurs club de Nice (GACN) qui s'affilie à l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), l'organisme national le plus important, et une section football est enfin créée. Le 6 octobre 1910, le Gymnastes amateurs club de Nice redevient le Gymnaste club de Nice, tout le club s'affiliant à l'USFSA. Le 20 septembre 1919, le Gymnaste club de Nice absorbe le Gallia Football Athlétic Club et adopte ses couleurs rouge et noir. Le 22 décembre 1924, lors de son assemblée générale le Gymnaste club de Nice devient l'Olympique gymnaste club de Nice. Le mot olympique est à la mode, puisque les Jeux du même nom viennent de se dérouler en France.

Le parcours amateur (1927-1932)

De 1927 à 1929, le Gym joue en Promotion d'honneur Sud-Est, puis en Division d'honneur de 1929 à 1932. L'OGC Nice atteint en 1931 et en 1932 les demi-finales de la Coupe de France de football.

Les premières années de professionnalisme (1932-1950)

Le club adopte le statut professionnel en 1932 et intègre la D1A en 1932-1933 puis la D1 en 1933-1934. Le Gym reste ensuite quatre saisons en D2, de 1935 à 1939. Pendant la guerre, le club évolue en D1 Sud de 1940 à 1945 puis joue en D2 de 1945 à 1948, remportant en 1947-1948 le championnat de France de D2, son premier titre significatif. En 1945, l'OGC Nice atteint à nouveau la demi-finale de la Coupe de France. En 1948, le Gym retrouve la première division et termine septième du championnat. Il atteint la cinquième place la saison suivante. L'OGC Nice ne quittera plus l'élite jusqu'en 1964. Les belles années arrivent.

Les années 1930 et 1940 sont marquées par la présence d'un buteur exceptionnel dans l'effectif de l'OGC Nice, Joaquin Valle Benitez, qui inscrit, entre 1937 et 1948 pas moins de 339 buts en 407 rencontres toutes compétitions confondues avec le Gym.

Les années de gloire (1950-1960)

Les années cinquante sont les plus glorieuses pour l'OGC Nice avec quatre titres de champion de France en huit saisons (1950-1951, 1951-1952, 1955-1956 et 1958-1959) et deux Coupes de France (1951-1952 et 1953-1954). Le club, qui rivalise avec le grand Stade de Reims, est le premier à obtenir deux titres de champion de France consécutifs et réalise le doublé coupe-championnat en 1952.

Il est emmené par son légendaire capitaine, Pancho Gonzales (1951-1961) et des joueurs devenus mythiques : Victor Nurenberg (1951-1960), qui sera de tous les titres comme Pancho Gonzales, Yeso Amalfi, Antoine Bonifaci (1950-1953), Just Fontaine qui inscrit 44 buts entre 1953 et 1956, Hector De Bourgoing, Rubén Bravo (1954-1957), Joseph Ujlaki (1953-1958), Jacques Foix (1956-1961), Georges Lamia (1957-1963), Keita Oumar dit Papa Barrou, resté célèbre pour ses fameux pointus. Il est conduit par de grands entraîneurs dont Numa Andoire (1951-1952), Luis Carniglia (1955-1957) et Jean Luciano (1957-1962).

La ville s'enthousiasme pour les exploits du club. Le Stade du Ray est plein à craquer et les spectateurs sont parfois assis sur le bord de la pelouse.

En 1960, grâce à un triplé de Victor Nurenberg, l'OGC Nice bat à domicile le Real Madrid de Ferenc Puskás (3 à 2) en quart de finale de la Coupe des clubs champions européens. Au retour, les madrilènes s'imposent 4 à 0 devant 85 000 spectateurs, face à des niçois contraints de jouer à dix pendant plus de la moitié du match.

Une décennie en demi-teinte (1960-1969)

Les belles années passent et l'OGC Nice rentre peu à peu dans le rang. En 1964, le club tombe en deuxième division mais grâce à sa nouvelle recrue, Roger Piantoni, il remporte le championnat de D2 la saison suivante et regagne aussitôt l'élite. En 1967-1968, le Gym termine vice-champion de France derrière l'AS Saint-Étienne. En 1969, le club descend en D2 mais remonte immédiatement en D1 après avoir décroché le championnat de France de D2 de 1970. Le club va ensuite être relancé par un grand dirigeant : Roger Loeuillet.

L'ère Loeuillet, le temps des vedettes (1969-1981)

En 1970, l'OGC Nice remporte le Challenge des Champions en battant 2-0 la grande équipe de l'AS Saint-Étienne qui vient de réaliser le doublé coupe-championnat. C'est le début d'une belle période pour le Gym qui durera jusqu'en 1978.

Les années 1970 sont celles d'un grand président, Roger Loeuillet (1969-1981), qui recrute de grands joueurs. Contrairement à son rival de l'époque, l'AS Saint-Étienne, à qui l'on prête la réputation d'un club sage et formateur et à qui les médias l'opposent, l'OGC Nice est décrit, à tort ou à raison, comme un club composé de vedettes. Il compte certes dans ses rangs des joueurs célèbres : Claude Quittet, capitaine de l'équipe de France, Charly Loubet, Hervé Revelli, Roger Jouve, Jean-Marc Guillou, Marc Molitor, Jean-Noël Huck, Jean-Pierre Adams, l'international hollandais Dick van Dijk, l'international suédois Leif Eriksson, Dominique Baratelli, Francis Camerini.

Grâce à ce brillant effectif, l'OGC Nice démarre toujours très fort le championnat de France et est sacré à plusieurs reprises champion d'automne. Malgré ces talents, le club ne réussit toutefois pas à décrocher de titre. Il termine deuxième du championnat en 1972-1973, avec Jean Snella comme entraîneur, et en 1974-1976, sous la houlette de Vlatko Marković. En 1974, le record d'affluence au stade du Ray est battu avec 25 532 spectateurs payants à l'occasion du match de Coupe UEFA face aux Turcs de Fenerbahçe.

La finale de la Coupe de France perdue en 1978 contre l'AS Nancy-Lorraine au cours de laquelle Michel Platini crucifia Dominique Baratelli d'un tir en pivot assomme toute une ville et sonne la fin d'une époque. Jean-Noël Huck et Roger Jouve quittent le club en 1978 et Jean-Marc Guillou en fait de même en 1979. L'OGC Nice est ainsi privé de son milieu de terrain magique et les conséquences ne tardent pas à se faire sentir. Entre 1979 et 1981, le club reste abonné à la quinzième place et tombe à la dix-neuvième en 1982 ce qui l'envoie en D2. La fin des années 1970 et le début des années 1980 sont cependant marquées par les exploits d'un illustre buteur, le Serbe Nenad Bjeković, qui accumule 86 réalisations de 1976 à 1981. En défense évolue alors un joueur de légende, Josip Katalinski, disparu en 2011 et dont la personnalité, décrite comme forte et attachante, a marqué pour longtemps les esprits[1].

La présidence Innocentini (1981-1991)

En 1981, Mario Innocentini, un grossiste niçois, devient président du club et le restera dix années durant, jusqu'en 1991. De 1982 à 1987, le Gym est entraîné par Jean Sérafin. Malgré Carlos Curbelo et Gérard Buscher, puis le recrutement de Pascal Françoise, le club ne parvient pas à passer les barrages. Ce n’est qu’en 1985 que les azuréens retrouveront la D1, avec Fabrice Mège, Michel Joly, André Amitrano ou encore Gilbert Marguerite. L'OGC Nice termine premier du championnat de D2 et regagne ainsi l'élite grâce notamment à son buteur argentin, Jorge Dominguez qui inscrit 41 buts en l'espace de deux saisons.

Les saisons suivantes sont plus délicates malgré les arrivées de Jean-François Larios et de Joël Henry puis l’émergence d’Éric Guérit. L'espoir renaît avec l'arrivée au poste d'entraîneur de l'ancienne idole du Ray, le Serbe Nenad Bjeković. Il le restera jusqu'en 1989. Avec l'ancien buteur aux commandes, le Gym atteint la demi-finale de la Coupe de France en 1988. Il termine à la sixième place du championnat de D1 1988-1989.

Après Bjeković, le club connaît une valse des entraîneurs avec Pierre Alonzo, Carlos Bianchi puis Jean Fernandez qui se succèdent en l'espace de deux ans. En 1990, le Gym signe un succès d'anthologie au Ray. L'OGCN l’emporte 6-0 sur le RC Strasbourg en match de barrage devant vingt-cinq mille spectateurs déchaînés par un Robby Langers en état de grâce qui inscrit quatre buts. Avec Jean-Noël Huck de 1990 à 1992, le Gym retrouve un peu de stabilité mais la période est délicate. En 1991, Mario Innocentini doit se résoudre à déposer le bilan. L'ancien maire de Nice Jacques Médecin est en fuite en Uruguay et le Gym ne peut plus compter sur le soutien de la municipalité. Le club, qui termine quatorzième de la saison 1990-1991, est rétrogradé pour raisons financières en deuxième division. L'avenir est sombre.

Entre ombres et lumière (1991-2002)

En novembre 1991, l'Olympique gymnaste club de Nice, criblé de dettes, risque la liquidation judiciaire. Il est sauvé in-extrémis par le nouveau président André Bois, et devient Olympique gymnaste club de Nice Côte d'Azur. D'août 1992 à novembre 1996, le Gym est entraîné par Albert Emon. Le club remonte en D1 en 1994 et termine seizième du championnat en 1994-1995 puis douzième en 1995-1996.

En 1997, l'OGC Nice ajoute une ligne à son palmarès, vierge de tout nouveau succès depuis près de quatre décennies. Sous la direction de son nouvel entraîneur, Silvester Takač, le club remporte la Coupe de France contre l'En Avant de Guingamp (1-1, 4 t.a.b. à 3). Malgré cet exploit, qui met la ville en liesse, le Gym termine dernier du championnat 1996-1997 et descend en deuxième division.

Après trois saisons très difficiles en D2, le PDG de l'AS Rome, Franco Sensi prend le contrôle du club[2], et nomme Sandro Salvioni au poste d'entraîneur. La première saison est extrêmement difficile (15e), mais la seconde se termine sur le podium. Après cinq saisons en D2, le club parvient ainsi à remonter en Ligue 1. L'intersaison est toutefois très compliquée, la DNCG refusant la montée de l'équipe. Dans un premier temps relégué administrativement en National à cause de problèmes financiers, l'OGC Nice est maintenu après recours, grâce notamment au geste des joueurs qui renoncent à leur prime de montée en Ligue 1.

En 2002, Sensi se désengage de l'OGC Nice[3] et laisse la présidence à Robert Cassone[4]. La période est alors extrêmement délicate pour le club[5].

La présidence Cohen (2002-2009)

Frédéric Antonetti, entraîneur de l'OGC Nice de 2005 à 2009


Après un refinancement du club, la montée en Ligue 1 est validée. Maurice Cohen devient président et inaugure une période de bonne gestion et de stabilité. Gernot Rohr devient entraîneur et plusieurs joueurs arrivent en prêt. Alors que la descente leur est promise après leur difficile été, les Niçois surprennent les observateurs en s'installant rapidement en tête du championnat. Il termineront en milieu de tableau, à la dixième place. Les saisons suivantes sont du même acabit, avec une onzième et une douzième place à la clé. Cependant, l'entraîneur Gernot Rohr est renvoyé en 2005 et provisoirement remplacé, pour les derniers matchs du championnat, par un ancien joueur niçois, Gérard Buscher, qui évite au club la relégation mais n'est ensuite pas reconduit.

En 2004, l'OGC Nice réalise un exploit en Ligue 1 face au rival monégasque, le 2 octobre 2004. Menés 3-0 après soixante minutes, les niçois réagissent, et grâce à un triplé de Victor Agali et un but de Marama Vahirua, ils s'imposent finalement 3-4, au terme d'un derby resté mémorable.

Match au stade du Ray entre l'OGC Nice et l'Olympique de Marseille en 2009

Au cours de l'été 2005, Frédéric Antonetti est nommé entraîneur. Sous sa direction, les résultats seront en nets progrès, avec plusieurs révélations dont Hugo Lloris, Ederson et Bakari Koné, et deux huitièmes places en 2005-2006 et 2007-2008. En 2006, l'OGC Nice atteint la finale de la Coupe de la Ligue perdue 1 à 2 face à l'AS Nancy-Lorraine. À cette occasion 25 000 supporters niçois font le déplacement au stade de France pour encourager leur équipe et composent une tribune remarquée aux couleurs rouge et noir.

En mai 2007, le club connaît un conflit entre les actionnaires Gilbert Stellardo et Jean-Marc Governatori d'une part, et Franck Guidicelli d'autre part. Ce dernier dépose une plainte concernant de prétendues irrégularités commises lors des transferts d'Ederson et de Matt Moussilou. Cette plainte provoque une vive réaction du club[6] mais elle sera finalement classée sans suite. L'annulation par le tribunal administratif de Nice du dossier du Grand Stade de Nice est par ailleurs un fait important sur la période.

Frédéric Antonetti quitte le club en juin 2009 pour aller entraîner le Stade rennais. Peu de temps après, Maurice Cohen cède son poste à Gilbert Stellardo dans un contexte de crise. Antonetti est remplacé par Didier Ollé-Nicolle, mais la greffe ne prend pas, et il est remplacé par Éric Roy en mars. Le club termine à la quinzième place du Championnat de France de football.

La présidence Stellardo (2009-2011)

La fin des années 2000 et le début des années 2010 sont marquées par le départ des meilleurs joueurs, qui avaient permis au club d'enregistrer des résultats honorables en Ligue 1 sous l'ère Antonetti : Hugo Lloris, Ederson, Rod Fanni, Florent Balmont, Loïc Rémy. Alors que le rival Olympique de Marseille finit champion de France 2009-2010, Nice termine 15e du classement avec 44 points, 12 points devant le MUC 72, 18e.

Avant le début d'exercice 2010-2011, l'expérimenté mais vieillissant Danijel Ljuboja est recruté en provenance du Grenoble Foot 38 pour remplacer Rémy. Il est appelé à compléter l'attaque aux côtés d'Anthony Mounier, jeune ailier gauche qui a montré de belles choses l'année précédente, et d'Eric Mouloungui qui n'a pas encore convaincu depuis son arrivée. Dans l'entre jeu, Didier Digard, arrivé au mercato dernier, doit apporter son volume de jeu au milieu du terrain associé à Julien Sablé, recruté en janvier 2009, et à Kafoumba Coulibaly. En défense, François Clerc s'engage 2 ans pour se relancer et apporter assurance et polyvalence.

Match de ligue 1 face à Monaco en avril 2011

En 2010-2011, L'OGC Nice lutte pour éviter la relégation en Ligue 2. Cette situation provoque le mécontentement des supporters, qui réclament davantage de moyens pour étoffer l'effectif et compenser les départs[7]. La fin de saison est compromise par de nombreuses blessures ou suspensions de titulaires qui révèlent la faiblesse du banc niçois, le club étant contraint de faire appel à des joueurs de CFA ou hors de forme. Une lourde défaite à domicile contre Caen (0-4), subie en mai 2011, marque les esprits. Lors de la dernière journée, le 29 mai 2011, malgré une défaite à Valenciennes (2-1), qui place le club à la merci des résultats de ses concurrents directs, l'OGC Nice sauve finalement sa place parmi l'élite grâce à la victoire de l'Olympique lyonnais sur l'AS Monaco qui précipite le club de la Principauté en D2. Le "Gym" termine dix-septième, et premier non relégable.

Paradoxalement, l'OGC Nice réalise un très bon parcours en Coupe de France, et atteint la demi-finale après avoir successivement éliminé Créteil, l'Olympique lyonnais, Drancy et Reims. Le 19 avril 2011, le Gym est éliminé par le futur vainqueur de l'épreuve et champion de France 2011, le Lille OSC en demi-finale, dans un stade du Ray comble (0-2).

Durant cette saison difficile, certains joueurs se distinguent, en particulier Anthony Mounier, auteur de onze passes décisives en championnat, Nemanja Pejčinović, jeune défenseur serbe prêté par le Hertha BSC Berlin puis acheté en cours d'année, ou Éric Mouloungui, meilleur buteur niçois de la saison avec huit buts en championnat et trois en Coupe de France, dont certaines réalisations spectaculaires.

La présidence Rivère (2011-)

Fin mai 2011, le président Stellardo annonce qu'une augmentation de capital est nécessaire, dans le but notamment de conserver les joueurs-clés de l'effectif. Le 6 juin 2011, la presse révèle qu'un homme d'affaires niçois de 53 ans, Jean-Pierre Rivère, serait prêt à injecter 12 millions d'euros dans le club et pourrait prendre les commandes de l'OGC Nice. Le 11 juillet 2011, Jean-Pierre Rivère devient officiellement président de l'OGC Nice, et annonce que les 11 à 12 millions d'euros qu'il apporte serviront à combler durant deux ans le déficit structurel du club qui s'élève à 6 millions d'euros, ce qui devrait selon lui permettre à l'OGC Nice de conserver ses meilleurs joueurs[8]. Il se donne également pour objectif de doter le club de nouveaux centres d'entraînement et de formation[8].

Les Aiglons ratent le début de leur saison 2011-2012, et devront attendre la 6e journée pour gagner leur premier match en Ligue 1 (face à Ajaccio, 3-0). Nice réalise ensuite une saison morose, entre bonnes performances à domicile et nombreuses désillusions à l'extérieur, le tout entrecoupé par quelques coups éclats ponctuels. Le 15 novembre 2011, Jean-Pierre Rivère annonce qu'Éric Roy est remplacé au poste d'entraîneur par son adjoint René Marsiglia[9]. Éric Roy retrouve son poste de manager général sportif du club[9], qu'il avait précédemment occupé[10]. Finalement, l'équipe aura passé la plus grande partie de la saison à lutter pour ne pas être relégable, et aura dû attendre la dernière journée du championnat pour assurer son maintien.

Quelques joueurs se distinguent, comme David Ospina, Anthony Mounier et Fabián Monzón, les deux meilleurs buteurs du club en Ligue 1 avec 8 buts marqués en championnat sur l'ensemble de la saison. Les joueurs offensifs que sont Eric Mouloungui, Abraham Guié Guié, Franck Dja Djédjé et Elliot Grandin, arrivé au marché d'hiver en renfort, ne marquent que 9 buts à eux quatre en championnat, tandis que l'apport de Fabrice Abriel n'est pas constaté, entre autres problèmes d'efficacité. Le lendemain, le 21 mai 2012, Jean-Pierre Rivère fait savoir que René Marsiglia n'est pas reconduit à son poste[11].

Malgré cette saison difficile, le club se distingue dans les catégories de jeunes : Les U19 et les U17 jouent les premiers rôles dans leurs championnats respectifs, et le 28 avril 2012, les jeunes Aiglons remportent la Coupe Gambardella, grâce à une génération prometteuse (emmenée par Alexy Bosetti, Fabien Dao Castellana, Maxime Silvestri, Lucas Rougeaux, Christophe Hernandez, Dada, Bryan Constant, Mouez Hassen ou encore le très jeune Neal Maupay) qui écarte successivement Ajaccio, Gignac, Louhans-Cuiseaux, Monaco, Troyes, Nantes puis Saint-Étienne en finale. Le club remporte ce trophée pour la première fois après deux échecs en 1981 et en 2002.

Claude Puel, entraîneur

Le 24 mai 2012, Claude Puel est nommé entraîneur général de l'équipe première pour une durée de trois ans[12],[13]. Le 15 juin 2012, le club se sépare du manager sportif Éric Roy[14]. L'ambition est de repartir sur de nouvelles bases, en renouvelant une grande partie de l'effectif en fonction des transferts de certains joueurs cadres annoncés sur le départ comme Anthony Mounier ou François Clerc, et de certains joueurs devenus indésirables. Pour cela, il s'appuie sur un recrutement de jeunes joueurs pour les associer aux éléments expérimentés déjà en place. C'est ainsi qu'il fait venir Éric Bauthéac, du même profil que Mounier parti au MHSC, Timothée Kolodziejczak qu'il a connu à L'OL, Valentin Eysseric de l'AS Monaco ou encore Romain Genevois, un défenseur. Darío Cvitanich, ancien joueur de l'Ajax Amsterdam, est recruté pour occuper le poste d'avant-centre. Après une bonne première partie de saison achevée à la 9ème place, Nice se retrouve propulsée à la 4ème place grâce à sa victoire face à Lille 2-0. C'est l'une des meilleurs saisons de Nice depuis son retour en Ligue 1. Avant de débuter l'avant-dernière journée du championnat, Claude Puel et son équipe se trouvent à la 6ème place, à 3 unités de Lyon, le 3ème. Puel retrouve ainsi son ancien club dans une rencontre décisive pour la Ligue des Champions. Malheureusement les Aiglons ne pourront que concéder le nul à domicile (1-1), privant Nice de la possibilité de jouer la Ligue des champions la saison suivante, en raison notamment d'une différence de buts trop élevée en faveur de Lyon. Mais le Gym l'emporte à Ajaccio (2-0), lors de la 38ème et dernière journée du championnat, et profite du match nul (1-1) survenu entre Lille et Saint-Étienne pour accrocher la quatrième place, et ainsi se qualifier en Ligue Europa pour la saison 2013-2014.

Le coup d'envoi de la rencontre inaugurale OGCN-Valenciennes le 22 septembre 2013 à l'Allianz Riviera.

L'Allianz Riviera

Le 22 septembre 2013, l'OGC Nice aborde une nouvelle phase de son histoire en étrennant son nouveau stade de 35.000 places, l'Allianz Riviera. La rencontre inaugurale se joue à guichets fermés et se solde par une belle victoire de l'OGCN contre Valenciennes (4-0). Le record d'affluence qui remontait à 1952 est largement battu. Darío Cvitanich est le premier buteur de l'histoire du nouveau stade en ouvrant la marque sur penalty avant qu'Éric Bauthéac n'aggrave la marque sur action de jeu puis Christian Brüls de la tête. Le niçois Alexy Bosetti clôture la fête en inscrivant le quatrième et dernier but. L'effectif niçois devra ensuite faire face aux blessures de nombreux titulaires dont les conséquences ne tardent pas à se faire sentir : Nice enchaîne une série de sept défaites consécutives de la 11ème à la 17ème journée, égalant ainsi le triste record de la saison 1960/1961 et chute à la seizième place. Cette série prend fin la journée suivante lors de la réception de Sochaux et Nice, près de deux mois après son succès face à l'OM (1-0), renoue enfin avec la victoire grâce à l'unique but du match inscrit par Eric Bauthéac.

Palmarès et records

Palmarès

Le palmarès de l'OGC Nice compte quatre titres de champion de France et trois coupes de France. Nice réalise son premier doublé coupe-championnat lors de la saison 1951-1952. Après cette décennie de succès, le palmarès de l'équipe professionnelle ne s'est plus résumé qu'à trois titres de championnat de seconde division jusqu'à sa victoire en coupe de France lors de la saison 1996-1997. Depuis quatorze ans, l'OGC Nice n'a atteint qu'une seule fois la finale de la Coupe de la Ligue, lors de la saison 2005-2006. Elle totalise depuis deux demi-finales de Coupe de la Ligue (en 2008-2009 et en 2011-2012) et une demi-finale de Coupe de France (en 2010-2011). Le club est également finaliste de l'édition 1976 de la Coupe Mohammed V, un tournoi saisonnier.

Palmarès de l'Olympique gymnaste club Nice Côte d'Azur
Compétitions nationales Compétitions nationales et internationales disparues
Compétitions de jeunes
  • Championnat de France des 18 ans (1)

Bilan sportif

À la fin de la saison 2012-2013, l'OGC Nice comptabilise un total de 54 participations au plus haut niveau du football français, et 15 participations au championnat de deuxième division ainsi que 4 participations au championnat de troisième division. Ainsi, l'OGC Nice se place au 11e rang au classement général de première division, établi par la Ligue de football professionnel[15].

Bilan par championnat (au 28 septembre 2014)
Championnat Saisons Titres J G N P Bp Bc Diff
Division 1/Ligue 1 (1933-2013) 56 4 2018 731 516 771 2810 2905 -95
Division 2 (1936-2002) 19 4 676 308 201 167 967 673 +294

Sur le plan européen l'OGC Nice possède un très bon palmarès pour un club français avec deux quarts de finale en Ligue des champions, un huitième de finale en Coupe des Coupes ainsi qu'un huitième de finale en Coupe de l'UEFA. Le gym termine quatrième à la fin de la saison 2012-2013 et fait son retour en coupe d'europe en Ligue Europa.

Bilan par coupe
Coupe Saisons Titres Meilleur Performance J G N P Bp Bc Diff
Ligue des champions[16] (1957-1960) 2 0 Quart de finale (2) 14 7 2 5 29 25 +4
Coupe des Coupes[17] (1997-1998) 1 0 Huitième de finale 4 1 3 0 7 5 +2
Coupe des villes de foires (1966-1969) 3 0 Premier Tour (3) 6 1 1 4 5 13 -8
Ligue Europa/Coupe de l'UEFA (1974-2014)[18],[19] 3 0 Huitième de finale 10 5 0 5 12 14 -2
Coupe Latine (1952-1956) 2 0 Finaliste 4 1 0 3 5 7 -2
Challenge des champions (1959-1970) 2 1 Vainqueur 2 1 0 1 2 2 0
Coupe Charles Drago (1958-1965) 8 0 Finaliste 13 6 0 7 30 27 +3
Coupe de France[20] (1930-2011) 81 3 Vainqueur 255 186 2 67 - - -
Coupe de la Ligue[21] (1994-2011) 17 0 Finale 31 14 17 37 43 -6

Records

La plus large victoire à domicile en Division 1 pour le club azuréen est de 8 à 0 face au Stade rennais en 1949 et face à l'UA Sedan-Torcy en 1957.

La plus large victoire à l'extérieur en Division 1 est de 5 à 0 face à l'AS Troyes-Sainte-Savine en 1960 et face à l'US Le Mans en 1972, égalée en 2014 avec une victoire sur le score de 7 à 2 à Guingamp, grâce notamment à un quintuplé de Carlos Eduardo, performance qui n'avait plus été réalisée en championnat de France depuis 1984[22].

La plus large victoire en Coupe de France est de 12 à 1 face à l'AS Avignon en 1945. Le plus grand nombre de victoires sur une saison est de 24 en 38 matchs lors de la saison 1958-1959. La plus grande période d'invincibilité du club est de dix-neuf matchs du 30 novembre 1958 au 10 mai 1959.

Identité du club

Maillots

Les couleurs traditionnelles de l'OGCN sont le rouge et le noir. Elles sont déclinées sur les maillots sous forme de rayures verticales plus ou moins larges, apparu pour la première fois lors de la saison 1940-1941 et définitivement en 1948-1949. Toutefois, la saison 1970-1971 fera exception, avec un maillot bleu barré horizontalement d'un large bandeau blanc, lui-même traversé par un liseré rouge et noir. En clin d'oeil aux couleurs originelles du club: Noir et bleu.

Le maillot de l'OGCN n'est pas sans rappeler celui du Milan AC. Certaines sources signalent que les couleurs d'origine du club étaient le noir et le bleu. La légende veut qu´en 1910, lors d´un tournoi organisé par le Milan AC à Milan, on s´aperçoit à l´arrivée de l´équipe, après plusieurs heures de car, que les maillots des niçois ont été oubliés. Le Milan AC leur prête alors ses maillots rayés rouge et noir, l´OGCN gagne le tournoi et décide finalement d'adopter ces couleurs. Selon une autre source, le 20 septembre 1919, le Gymnaste club de Nice absorbe le Gallia Football Athlétic Club et aurait alors adopté ses couleurs rouge et noir.

Le maillot extérieur est souvent blanc tandis que le « third » (rarement utilisé) est souvent noir, même s'il y eut des exceptions (maillot camouflage en 2005-2006 par exemple, maillot jaune, maillot bleu). Ce troisième maillot était constamment utilisé lors des matchs Monaco-Nice jusqu'à ce que l'AS Monaco descende en Ligue 2.

L'aigle représentée sur le blason du club est l'un des symboles les plus anciens de la ville de Nice. L'aigle rouge apparaît peu après 1430 dans les statuts octroyés par le duc de Savoie, le comte Amédée VIII, à la ville de Nice[23]. C'est un symbole du Saint-Empire romain germanique[23], qui s'étendait à cette époque jusqu'aux confins du Rhône. Historiquement, l'aigle niçoise est généralement représentée la tête tournée sur sa droite, positionnement auquel se conforment les différents logos du club.

Le premier logo de l'OGC Nice, adopté en 1948[24] mais qui n'a jamais figuré sur les maillots, à quelques rares exceptions, reprend cette couleur rouge pour l'aigle. Il disparaît à la suite de la liquidation de la SASP en 1992[24].

La présentation du nouveau logo de l'OGC Nice au stade du Ray le 19 mai 2013.

Un nouveau logo à l'aigle de sable est alors créé et on y fait figurer la mention « Côte d'Azur », le club ayant été renommé OGC Nice Côte d'Azur. Il sera utilisé jusqu'en 2013 où, le 19 mai 2013, à l'occasion du dernier match à domicile de la saison face à l'Olympique lyonnais, il est remplacé par un nouveau logo[24]. Ce dernier adopte une représentation plus traditionnelle de l'aigle mais la couleur or est une nouveauté. Ses ailes épousent un blason aux rayures rouges et noires (les couleurs traditionnelles du club depuis 1919) surmontées de la mention « OGC Nice », les mots Côte d'Azur ayant disparu. Au bas figure la date de création du club en niçois : Despì 1904 c'est-à-dire « Depuis 1904 ».

Joueurs et personnalités du club

Présidents

Les tableaux suivants présentent la liste des présidents du club à partir de 1920. En 1997 et 1998, le Serbe Milan Mandaric est président en association avec André Boïs. Les Italiens Paolo Taveggia et Federico Pastorello, qui se succèdent à la tête du club entre 1999 et 2002, occupent le poste de directeur général.

Nom Période[25]
Roger Loeuillet juin 1969-1981
Mario Innocentini décembre 1981-juin 1991
Richard Pogliano juin 1991-novembre 1991
André Boïs novembre 1991-janvier 1997
Milan Mandaric janvier 1997-décembre 1998
Primo Salvi décembre 1998- 7 octobre 1999
Silvio Rotunno
Paolo Taveggia (dir. général)
Federico Pastorello (dir. général)
7 octobre 1999- 14 février 2002
octobre 1999-juin 2000
juin 2000-mars 2002
Robert Cassone 14 février 2002-juillet 2002
Maurice Cohen juillet 2002-30 septembre 2009
Gilbert Stellardo 30 septembre 2009-11 juillet 2011
Jean-Pierre Rivère depuis le 11 juillet 2011[8]

Entraîneurs

Le tableau suivant présente la liste des entraîneurs du club depuis juillet 1932.

Rang Nom Période
1 Jim MacDewitt 1932-nov. 1933
2 Tandler, Kramer, Bell nov. 1933-juil. 1934
3 Drapeau de la Hongrie Emmanuel Lowy 1935-1937
4 Karel Kudrna 1937-oct. 1937
5 Drapeau de l'Espagne Ricardo Zamora oct. 1937-1938
6 Drapeau de l'Espagne Josep Samitier 1938-1939
7 Luis Valle 1945-déc. 1946
8 Maurice Castro 8 déc. 1946-18 déc. 1946
9 Jean Lardi 19 déc. 1946-1947
10 Anton Marek 1947-1949
11 Émile Veinante 1949-1950
12 Élie Rous 1950-déc. 1950
13 Jean Lardi déc. 1950-janv. 1951
14 Numa Andoire févr. 1951-nov. 1952
15 Mario Zatelli déc. 1952-1953
16 George Berry 1953-1955
17 Luis Antonio Carniglia 1955-1957
18 Jean Luciano 1957-1962
Rang Nom Période
19 Numa Andoire 1962-1964
20 César Héctor González 1964-1969
21 Léon Rossi 1969-sept. 1971
22 Jean Snella oct. 1971-1974
23 Vlatko Marković 1974-nov. 1976
24 Jean-Marc Guillou déc. 1976-janv. 1977
25 Léon Rossi févr. 1977-1978
26 Koczur Ferry 1978-janv. 1979
27 Albert Batteux févr. 1979-1979
28 Léon Rossi 1979-1980
29 Vlatko Marković 1980-août 1981
30 Marcel Domingo sept. 1981-1982
31 Jean Sérafin 1982-1987
32 Nenad Bjeković 1987-1989
33 Pierre Alonzo 1989-oct. 1989
34 Carlos Bianchi nov. 1989-1990
35 Jean Fernandez 1990-nov. 1990
36 Jean-Noël Huck déc. 1990-oct. 1992
Rang Nom Période
37 Albert Emon nov. 1992-1996
38 Daniel Sanchez 1996-fin déc. 1996
39 Silvester Takač déc. 1996-oct. 1997
40 Michel Renquin oct. 1997-mars 1998
41 Silvester Takač avril 1998-1998
42 Victor Zvunka 1998-janv. 1999
43 Guy David janv. 1999-2000
44 Christian Damiano 2000
45 Sandro Salvioni 2000-2002
46 Gernot Rohr juil. 2002-avr. 2005
47 Gérard Buscher avr. 2005-mai 2005
48 Frédéric Antonetti mai 2005-mai 2009
49 Didier Ollé-Nicolle mai 2009-mars 2010
50 Éric Roy mars 2010-nov. 2011
51 René Marsiglia nov. 2011-mai 2012
52 Claude Puel depuis le 24 mai 2012

Joueurs emblématiques

Les joueurs ayant le plus joué pour l'OGC Nice :

  1. Francis Isnard, 433 matchs
  2. Roger Jouve, 303 matchs
  3. Pancho Gonzales, 296 matchs
  4. André Chorda, 291 matchs
  5. Jean-Philippe Mattio, 276 matchs

Les meilleurs buteurs de l'OGC Nice en championnat :

  1. Joaquin Valle, 99 buts
  2. Victor Nurenberg, 89 buts
  3. Nenad Bjeković, 87 buts
  4. Charly Loubet, 78 buts
  5. Hector De Bourgoing, 64 buts

Les meilleurs buteurs de l'OGC Nice en Coupe de France :

  1. Joaquín Valle, 32 buts
  2. Nenad Bjeković, 22 buts
  3. Victor Nurenberg, 16 buts

Les meilleurs buteurs de l'OGC Nice en coupes d'Europe :

  1. Jacques Foix, 10 buts
  2. Jacques Faivre, 7 buts
  3. Marc Molitor, 6 buts

Internationaux français

Le tableau suivant donne la liste actualisée 18 mars 2014 les joueurs de l'OGC Nice ayant été en équipe de France, le nombre de sélections et la période correspondante, ainsi que le nombre total de sélections durant la carrière du joueur. Parmi ces quatorze joueurs, Hugo Lloris et Loïc Rémy sont toujours en activité lors de la saison 2014-2015.

Joueurs de l'OGC Nice en équipe de France[26]
Joueur Sélections Période Sél. (total)
Antoine Bonifaci 12 1950-1953 12
Charly Loubet 15 1968-1969, 1971-1974 36
Francis Camerini 1 1971 2
Claude Quittet 10 1971-1973 16
Hervé Revelli 12 1971-1973 30
Jean-Noël Huck 11 1972-1975 17
Dominique Baratelli 19 1972-1978 21
Dario Grava 1 1973 1
Marc Molitor 4 1973-1975 10
Jean-Pierre Adams 14 1973-1976 22
Roger Jouve 4 1973-1977 7
Jean-Marc Guillou 10 1975-1978 19
Daniel Bravo 7 1982-1988 13
Hugo Lloris 1 2007-2008 62
Loïc Rémy 2 2009-2010 27
Total 110 1968-2010 211

Effectif professionnel actuel

L'effectif professionnel de la saison 2014-2015 est entraîné par Claude Puel assisté de son adjoint Frédéric Gioria et de son adjoint chargé des attaquants Guy Mengual, anciennement entraîneur des U19. L'entraîneur des gardiens est Lionel Letizi. Le préparateur physique est Alexandre Dellal, assisté de Bernard Cora préparateur physique en charge des blessés et Emmanuel Vallance préparateur physique en charge du suvis physiologique.

Effectif de la saison 2014-2015 au 7 janvier 2015[27]
Joueurs Encadrement technique
No  P. Nat.[Note 1] Nom Date de naissance Sélection[Note 2] Club précédent Contrat
Gardiens
1 G Drapeau de la France Hassen, MouezMouez Hassen 05/03/1995 (29 ans) France -20 Formé au club 2012-2015
16 G Drapeau de la France Pouplin, SimonSimon Pouplin 28/05/1985 (38 ans) France espoirs FC Sochaux 2014-2015
30 G Drapeau de la France Delle, JorisJoris Delle 29/03/1990 (34 ans) France espoirs Cercle Bruges KSV 2012-
40 G Drapeau de la France Cardinale, YoanYoan Cardinale 27/03/1994 (30 ans) Formé au club 2014-
Défenseurs
5 D Drapeau de la France Gomis, KévinKévin Gomis 20/01/1989 (35 ans) Nottingham Forest 2011-2014
15 D Drapeau de la France Puel, GrégoireGrégoire Puel 20/02/1992 (32 ans) France -20 Olympique lyonnais 2013-2016
19 D Drapeau de la France Amavi, JordanJordan Amavi 09/03/1994 (30 ans) France -20 Formé au club 2014-
20 D Drapeau du Sénégal Diawara, SouleymaneSouleymane Diawara 24/12/1978 (45 ans) Sénégal Olympique de Marseille 2014-2015
21 D Drapeau du Gabon Palun, LloydLloyd Palun 24/11/1988 (35 ans) Gabon Trinité SFC 2011-2014
24 D Drapeau de la France Bodmer, MathieuMathieu Bodmer 22/11/1982 (41 ans) France A' Paris Saint-Germain 2013-2015
25 D Drapeau d'Haïti Genevois, RomainRomain Genevois 25/10/1987 (36 ans) Haïti Tours FC 2012-2016
31 D Drapeau du Sénégal M'Bow, MoussaMoussa M'Bow 07/02/1992 (32 ans) Formé au club 2012-2015
Milieux de terrain
3 M Drapeau du Brésil flèche vers la droite Eduardo, CarlosCarlos Eduardo 17/10/1989 (34 ans) FC Porto 2014-2015
4 M Drapeau de la France Ben Arfa, HatemHatem Ben Arfa 07/03/1987 (37 ans) France Newcastle 2015-2016
6 M Drapeau de la France Digard, DidierDidier Digard Capitaine 12/07/1986 (37 ans) France espoirs Middlesbrough FC 2010-2014
7 M Drapeau de la Belgique Vercauteren, JulienJulien Vercauteren 12/01/1993 (31 ans) Lierse SK 2014-
8 M Drapeau du Mali Traoré, MahamaneMahamane Traoré 31/08/1988 (35 ans) Mali FC Metz 2006-2013
10 M Drapeau de la France Eysseric, ValentinValentin Eysseric 25/03/1992 (32 ans) France espoirs AS Monaco 2012-2015
11 M Drapeau de la France Bauthéac, ÉricÉric Bauthéac 27/08/1987 (36 ans) Dijon FCO 2012-2016
13 M Drapeau de la Suède Hult, NiklasNiklas Hult 13/02/1990 (34 ans) Suède IF Elfsborg 2014-
22 M Drapeau de la France Mendy, NampalysNampalys Mendy 23/06/1992 (31 ans) France espoirs AS Monaco 2013-2016
28 M Drapeau de la France Dao Castellana, FabienFabien Dao Castellana 28/07/1993 (30 ans) France -20 Formé au club 2012-2015
Attaquants
9 A Drapeau de la France Pentecôte, XavierXavier Pentecôte 13/08/1986 (37 ans) France espoirs Toulouse FC 2011-2015
14 A Drapeau de la France Pléa, AlassaneAlassane Pléa 10/03/1993 (31 ans) France espoirs Olympique lyonnais 2014-2018
18 A Drapeau de la France Maupay, NealNeal Maupay 14/08/1996 (27 ans) France espoirs Formé au club 2012-2017
23 A Drapeau de la France Bosetti, AlexyAlexy Bosetti 23/04/1993 (31 ans) France -20 Formé au club 2012-2017
27 A Drapeau de la France Constant, BryanBryan Constant 27/03/1994 (30 ans) France -19 Formé au club
Entraîneur(s)
Entraîneur(s) adjoint(s)
Préparateur(s) physique(s)
Entraîneur(s) des gardiens
Kinésithérapeute
Médecin(s)

Légende

Consultez la documentation du modèle

Structures du club

Infrastructures

Stade du Ray

Le stade du Ray a été inauguré en 1927. Il devient dès lors le stade de l'OGC Nice jusqu'en 2013. En raison de sa faible capacité (seulement 17 415 places) et de sa vétusté, un stade plus grand et plus moderne est construit : l'Allianz Riviera. Le club joue pour la dernière fois au Ray le 1er septembre 2013.

Allianz Riviera

L'Allianz Riviera, d'une capacité d'environ 35 000 places, remplace le stade du Ray à partir de septembre 2013. Il est de catégorie 3 dans le classement UEFA des stades. Localisé dans le secteur de Saint-Isidore Sud, c'est un stade multifonctionnel qui intègre des espaces de restauration, des commerces, des bureaux, des services ainsi que le musée national du Sport. Destiné à accueillir les matchs de l'OGC Nice, il accueillera également d'autres événements sportifs et des concerts durant l'année. D'un coût de 245 millions d'euros, il est construit au moyen d'un partenariat public-privé entre la ville de Nice et le groupe Vinci qui en assurera l'exploitation durant vingt-sept ans. La compagnie d'assurance Allianz a été choisie pour le naming du stade. Elle versera 1,8 million d'euros par an pour un contrat de 9 ans.

Le nom des tribunes a fait l'objet d'une concertation publique avec les habitants et le choix du nom des quatre tribunes a été dévoilé le 14 décembre 2012 et les noms choisis sont  : "Garibaldi", "Ségurane", "Ray" et "Populaire Sud"[28].

L'OGC Nice a joué son premier match à l'Allianz Riviera le contre Valenciennes (victoire 4-0), à l'occasion de la 6e journée de la saison 2013-2014 de Ligue 1. Dario Cvitanich est le premier buteur.

Centre d'entraînement et centre de formation

Les terrains d'entraînement du groupe professionnel, tout comme le centre de formation du club, se situent au sein du parc des sports Charles-Ehrmann.

La construction d'un nouveau centre d'entraînement et de formation est officiellement annoncée par le club lors d'une conférence de presse tenue le 16 avril 2014[29]. Prévues pour être livrées fin 2016 et situées dans le prolongement du centre actuel, boulevard Jean-Luciano, entre le parc des sports Charles-Ehrmann et le complexe des Francs Archers, ces nouvelles installations comprendront plus de 6000 m² de surface sur trois niveaux, pour un coût compris entre 13 et 15 millions d'euros[30].

Le « Gym » est un club réputé comme étant un bon formateur de gardiens de buts, comme Dominique Baratelli, Lionel Letizi, Damien Grégorini ou plus récemment Hugo Lloris et David Ospina. D'autres joueurs se sont révélés ou se sont relancés à Nice comme Daniel Bravo, et dans les années 2000 Loïc Rémy, Ederson, Florent Balmont, Rod Fanni, Patrice Evra, Anthony Mounier ou bien encore Marama Vahirua.

Aspects juridiques, économiques et financiers

Organisation

L'OGC Nice est une société anonyme sportive professionnelle (SASP). Depuis juin 2011, son capital est détenu à 51 % par une holding (Rivère Sports Invest) rassemblant les actions de Jean-Pierre Rivère et à 49 % par une holding (Occigen) rassemblant les actions de Gilbert Stellardo (22,5 %), Marcel Governatori, Jean Bessis, et Louis Bacchialoni[31],[32]. Le club est composé d'un directoire, présidé par Jean-Pierre Rivère, et d'un conseil de surveillance, présidé par Gilbert Stellardo[32]. La gestion du club est également assurée par un directeur général, poste occupé par Julien Fournier depuis juillet 2011[33].

Éléments comptables

Le budget prévisionnel de l'OGC Nice pour la saison 2012-2013 est estimé à 29 millions d'euros, ce qui constitue une baisse par rapport aux saisons précédentes, et le place tout juste au-dessus du premier quartile des budgets des clubs de Ligue 1[34]. Depuis la remontée du club lors de la saison 2002-2003, le budget de l'OGC Nice n'avait fait qu'augmenter jusqu'en 2010 pour se stabiliser aux alentours de 35-37 millions d'euros, ce qui correspondait à un budget moyen en Ligue 1[35].

Budget prévisionnel de l'OGC Nice

Saison 2002-2003 2003-2004 2004-2005 2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011 2011-2012 2012-2013
Budget 15 M€ 16 M€ 20 M€ 24 M€ 27 M€ 27 M€ 32 M€ 35 M€ 37 M€ 35 M€ 29 M€
Légende : M€ = millions d'euros.

Le tableau suivant présente le résultat du club par saison.

Extrait du compte de résultat de l'OGC Nice en millions d'euros

Saison Championnat Produits[Note 3] Charges[Note 4] Rés. expl.
[Note 5]
Mutation
[Note 6]
Rés. net
[Note 7]
Matchs Spons. Subv. TV Merch. Total Rémun. Total
2002-2003[36] Ligue 1 3,3 2,3 1,7 9,7 nc 18,1 8,3 16,3 1,8 0,4 1,4
2003-2004[37] Ligue 1 2,8 3,6 1,8 9,9 nc 19,5 8,9 18,0 1,5 0,3 1,2
2004-2005[38] Ligue 1 2,5 3,8 2,2 11,4 nc 21,2 9,8 21,7 -0,5 5,3 1,9
2005-2006[39] Ligue 1 2,9 4,3 2,2 22,3 0,1 32,6 14,4 29,6 3 0,4 1,6
2006-2007[40] Ligue 1 2,6 4,5 2,2 17,1 0,6 28,0 15,3 32,0 -4,0 3,1 -2,7
2007-2008[41] Ligue 1 2,6 4,4 2,3 24,0 0,9 34,9 19,8 38,6 -4,0 21,0 5,1
2008-2009[42] Ligue 1 2,5 5,1 nc 22,2 nc 32,8 26,6 43,4 -10,6 16,7 1,3
2009-2010[43] Ligue 1 1,8 4,3 nc 18,1 nc 27,2 22,6 37,7 -10,5 3,0 -6,3

Légende : Matchs = recettes matchs avec billetterie, Spons. = sponsors et publicités, Subv. = subventions des collectivités, TV = droits audiovisuels, Merch. = merchandising, Rémun. = rémunérations du personnel, Rés. expl. = résultat d'exploitation, Mutation = résultat exceptionnel (indemnités de mutation), Rés. net = résultat net.

Équipementiers et sponsors

L'équipementier de l'OGC Nice, de 2007 à 2011, est la marque italienne Lotto. Le 19 avril 2011, l'OGC Nice annonce un partenariat avec la marque suisse Burrda Sport pour une durée de cinq ans, alors qu'il reste deux années de contrat avec Lotto. À l'occasion de la présentation du nouveau maillot en mai 2013, Burrda annonce qu'elle a déposé la largeur des bandes rouges et noires du maillot de l'OGCN.

Le sponsor principal de l'OGC Nice est, de 2008 et jusqu'à l'été 2010, Nàsuba Express. Pour la saison 2010-2011, le club choisit Mad-Croc, une marque de boissons énergisantes déjà sponsor du RC Toulon en rugby. D'autres sponsors, présents depuis plusieurs années, figurent alors sur le maillot niçois, tels que Takara, la communauté urbaine Nice Côte d'Azur et Pizzorno Environnement. Pour la saison 2011-2012, les logos des Mutuelles du Soleil, de la communauté urbaine et de Pizzorno Environnement sont présents sur le maillot de l'équipe. À ces sponsors s'ajoutent pour la saison 2012-2013 la société Rémanence[44].

Soutiens et image

Affluence

Le graphique suivant présente l'évolution de la moyenne de spectateurs de l'OGC Nice à domicile au stade du Ray par saison depuis 1948.

Évolution de la moyenne de spectateurs à domicile de l'OGC Nice depuis 1948[45]
Allianz Riviera


Les points roses indiquent les saisons jouées en D2.

Supporters

La Populaire Sud à l'Allianz Riviera.

Un certain nombre de supporters du club se retrouvent dans des groupes, dont la Brigade Sud Nice (BSN 1985), l'Armada Rumpetata Nissa (ARN 2001) ou le Club des supporters (CDS 1947).

On peut également citer le Collectif Embriagoun, la Secioun Nissarda, la BSN Parigi, le KUB (kop ultra bourré), la Secioun Avignoun, Nissa Ouest plus communément appelé la WEST , la Brigada 13, la Secioun TOURETA, la Secioun Corse, la Secioun balcoun, la Secioun Montreal, la Secioun London, Lou Cavalie nissart 06, la Secioun Aveyroun, Les enfants terribles, Baroudeurs, la Nissa Bastardaia et la fameuse Secioun XIX.

Le 29 avril 2010, le plus important groupe niçois, la Brigade Sud Nice (BSN), fondée en 1985, ainsi que six autres associations de supporters ailleurs en France sont dissoutes par décret du ministère de l'Intérieur[46].

Au cours de l'été 2013[47], plus de trois ans après la dissolution de la BSN, une association dénommée "Populaire Sud" est créée, avec pour objectif de fédérer les supporters de la tribune éponyme de l'Allianz Riviera[48] .

Rivalités

Les ultras de l'OGC Nice entretiennent des rivalités avec plusieurs autres clubs, dont l'Olympique de Marseille, le Sporting Club de Bastia et l'Association sportive de Monaco. On peut ajouter le PSG (présence de Patrick Bruel hué à l'inauguration) et l'AS Saint-Étienne (incidents à l'Allianz Riviera). Plus généralement, Fabrice Abriel a déclaré avec humour "On sait qu'avec nos supporters, on est en rivalité avec pas mal de clubs en France"[49].

Il y a pourtant de belles exceptions. Le 2 février 2014, lors de la rencontre OGCN-LOSC, le drapeau des supporters lillois a l'honneur d'être positionné au centre de la banderole de la Populaire Sud. En fin de rencontre, Alexy Bosetti offre son maillot aux membres du kop lillois ayant fait le déplacement[50].

Des supporters niçois lors du match Monaco-Nice (3-2) le 30 janvier 2010

Le derby régional entre l'OGC Nice et l'Olympique de Marseille est considéré comme important pour les supporters niçois comme étant un point culminant de la saison[51].

Le match opposant l'AS Monaco et l'OGC Nice est parfois appelé « derby de la Côte d'Azur » ou « derby azuréen »[52]. Dans la mesure où les deux clubs ne sont distants que d'une vingtaine de kilomètres, ce derby est l'un des plus rapprochés de la Ligue 1. Il motive les deux équipes, la suprématie locale restant l'un des enjeux de ce derby. Les supporters niçois se déplacent en masse à Monaco et les matchs Monaco-Nice attirent toujours 14 à 16 000 spectateurs[53]. Les joueurs semblent eux aussi gagnés par la notion de derby et ses enjeux, Sébastien Puygrenier déclarant en 2010 : « On l’a vu l’année dernière, c’était assez intense et on répondra présent. Le derby, c’est pour les supporters et pour la suprématie régionale ! »[52]. Eddie Megraoui, l'ancien président des Ultras de Monaco a toutefois déclaré qu'il ne sentait pas vraiment de rivalité entre supporters de Nice et de Monaco.

Notes et références

Notes

  1. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
  2. Seule la sélection la plus importante est indiquée.
  3. Les produits correspondent au total des produits récurrents d’exploitation incluant les recettes et les subventions.
  4. Les charges correspondent au total des charges récurrentes d’exploitation du compte de résultat.
  5. Le résultat d'exploitation correspond aux produits (recettes et subventions) moins les charges récurrentes d’exploitation, hors cessions et acquisitions de joueurs.
  6. Les indemnités de mutation incluent les cessions et acquisitions de joueurs.
  7. Le résultat net correspond à l'addition du résultat d'exploitation, du résultat financier et du résultat exceptionnel, qui inclut notamment les indemnités de mutation versées à l'occasion des transferts.

Références

  1. Katalinski, la mort d’une légende
  2. Certains supporters ont un jugement négatif sur la période Sensi. Cf. Issa Nissa, mai 2011.
  3. Ombres sur le foot niçois
  4. Nice, passé pas simple
  5. Sensi aurait eu le projet de réaliser une opération immobilière à la place du stade du Ray. Le projet n'ayant pas abouti, il aurait décidé de se désengager du club
  6. Plainte de Franck Giudicelli
  7. Issa Nissa, Magazine des supporters de l'OGC Nice, mai 2011.
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  49. http://www.nicematin.com/ogc-nice/fabrice-abriel-ailleurs-qua-logc-nice-le-vestiaire-aurait-pu-exploser.1590956.html
  50. Alexy Bosetti va offrir son maillot aux membres du kop lillois ayant fait le déplacement]
  51. Nice reçoit le prix de la sécurité d'un match « à risque »
  52. a et b Le derby de la Côte d'Azur : un match à part
  53. Historique de l'AS-Monaco

Annexes

Bibliographie

  • Les 100 ans de l'OGC Nice : Mémoire d'un club, Éditions ROM, 2004, 160 p. [présentation en ligne]
  • Roger Driès (préf. Jean-Marc Guillou), OGC Nice de toujours, Alp'Azur Diffusion, 1977, 110 p.
  • Roger Driès, Jean Chaussier (préf. Nenad Bjeković), Le Roman des Aiglons, Antibes, Alp'Azur, 1985, 158 p. (ISBN 9782902700141)
  • Roger Driès, OGC Nice : 1904-2004 : Un siècle, une légende, Éditions De La Belhommière, 2004, 352 p.
  • Serge Gloumeaud, Une Saison avec le Gym : Carnet de route d'un supporteur niçois, Nice, Baie des Anges, 2009, 127 p., broché, 22 cm (ISBN 978-2917790090)
  • Marco-Olive, « Les Gens veulent savoir » : Brigade Sud Nice : 20 ans de passion ultra, Nice, France Europe Éditions, 2005, 189 p., 31 cm (ISBN 9782848251356)
  • Dominique Olivesi, « Olympique Gymnaste Club de Nice (OGCN) », dans Ralph Schor (dir.), Dictionnaire historique et biographique du comté de Nice, Nice, Serre, coll. « Encyclopaedia Niciensis », 2002 (ISBN 9782864103660) [lire en ligne]
  • Michel Oreggia, OGC Nice : 100 ans de passion : 1904-2004, Nice, Gilletta-Nice-Matin, 2004, 199 p., 22 cm (ISBN 9782915606041)

Liens externes

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