Groupe OCP

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OCP
logo de Groupe OCP

Création 1920
Dates clés 6 aout 1920
Forme juridique société anonyme
Siège social 2 Rue Al Abtal - Hay Arraha,

Casablanca
Drapeau du Maroc Maroc

Direction Mostafa Terrab (PDG)
Actionnaires Drapeau du Maroc État marocain (95%)
Drapeau du Maroc BCP (5 %)
Activité Mines
Produits Phosphate - Engrais
Filiales Mine & Transformation

Phosboucraâ
Prayon
Euro Maroc Phosphore
Jorf Fertilizer Company V
Indo Maroc Phosphore
Pakistan Maroc Phosphore
Zuari Maroc Phosphates Limited
Paradeep Phosphates Limited

Commerce International

OCP International
OCP Fertilizantes
OCP de Argentina
OCP do Brazil
Black Sea Fertilizer Trading Company
OCP Africa

Ingénierie & Conseil

JESA (coentreprise avec Jacobs Engineering)
Transportation Engineering and Management Consultants
DuPont OCP Operations Consulting

Développement des écosystèmes

Société d'Aménagement et de Développement Vert
Société d'Aménagement et de Développement de Mazagan
OCP Innovation Fund For Agriculture
Fondation OCP
Fondation Phosboucraâ

Nouvelles technologies

Teal Technology Services (coentreprise avec IBM)

Effectif en augmentation 20980 (2016)
Site web www.ocpgroup.ma

Chiffre d'affaires 11 milliards de dollars (2022) [1]
Résultat net 2,7 milliards de dollars (2022) [1]

Le groupe OCP (anciennement Office chérifien des phosphates) est un groupe industriel marocain. Il est le premier exportateur de phosphate brut, d’acide phosphorique et d’engrais phosphatés dans le monde[2],[3],[4].

Fondé le , le groupe compte aujourd'hui près de 20 000 collaborateurs implantés principalement au Maroc, sur quatre sites miniers et deux complexes chimiques, ainsi que sur d'autres sites internationaux[5],[6].

En 2022, son chiffre d'affaires atteint 114,5 milliards de dirhams, soit 11 milliards de dollars[7].

Historique[modifier | modifier le code]

Boujniba : 1re mine[modifier | modifier le code]

Le groupe OCP commence son activité d’extraction et de traitement d’expédition du phosphate le , avec l’ouverture de la première mine à M'fassis, dans le gisement de Khouribga, le gisement de phosphate le plus riche du monde[8]. L’acheminement du phosphate jusqu’au port de Casablanca débute la même année, ce qui permet la première exportation de phosphate le [9]. Par la suite, OCP va exploiter trois autres sites miniers à savoir Benguérir, Boucraâ-Laâyoune et Youssoufia[10].

Développement industriel[modifier | modifier le code]

La production a progressivement augmenté pour atteindre cinq millions de tonnes en 1954. Depuis, la production a continué à se développer dépassant le seuil de 10 millions en 1964 et de 20 millions de tonnes en 1979.

Entre 1951 et 1961, les installations de séchage et de calcination se développent dans les régions de Khouribga et Youssoufia.

En 1952, le groupe annonce l’exploitation de sa première mine à ciel ouvert[11].

En 1962, le groupe OCP constitue un « service après-vente » formé d'ingénieurs et de techniciens sillonnant le monde et ayant pour mission de suivre l'utilisation des phosphates livrés à la clientèle, en vue d'une amélioration constante des qualités produites en fonction de l'évolution des techniques de transformation[12].

Afin de poursuivre sa croissance et de gagner de nouveaux marchés à l’échelle internationale, le groupe OCP crée en 1965 la société Maroc Chimie, chargée de la production de différents produits dérivés du phosphate grâce à une usine construite à Safi[13],[14]. Les premières exportations de produits dérivés du phosphate démarrent la même année.

Création du groupe OCP[modifier | modifier le code]

En 1975, l’Office chérifien des phosphates devient le groupe OCP[13],[15].

Durant les années suivantes, le groupe OCP investit dans la création de nouvelles lignes de production, notamment à Jorf Lasfar, où des travaux de construction d’un nouveau complexe chimique commencent en 1982. Ces nouvelles structures industrielles destinées à la production d’acide sulfurique et d’acide phosphorique deviendront effectives à partir de 1986, suivies par les lignes de production d’engrais en 1987[16].

En 1994, le groupe OCP démarre un nouveau projet minier à Sidi Chennane, dans la zone de Khouribga[17], le lancement des travaux de construction de l’usine d’acide phosphorique purifié à Jorf Lasfar en 1996 et son démarrage effectif en 1998[18].

En 2008, le groupe OCP devient une société anonyme[19],[20]. À ce jour[Quand ?], le groupe OCP est détenu à 95 % par l'Etat et à 5 % par la Banque centrale populaire[21],[22].

En 2014, le groupe annonce la construction du plus long pipeline de transport de phosphate du monde. Situé au Maroc, ce dernier relie la ville de Khouribga à celle de Jorf Lasfar[23].

En 2017, les engrais représentent 54 % des ventes totales du groupe, la roche 21 % et enfin l’acide phosphorique 15 %[24]. Cette même année, dans le cadre d'un projet de developpement du groupe, la direction ouvre l’université Mohammed VI Polytechnique[25].

En , la direction du groupe annonce une hausse de 14 % de son chiffre d'affaires pour l'exercice 2017. Un chiffre d'affaires qui s'est élevé à 48 503 millions de dirhams (MDH) contre 42 471 MDH en 2016[26],[27].

En mars 2020, le groupe participe à hauteur de trois milliards de dirhams au fonds de lutte contre le coronavirus créé par le Roi Mohammed VI[28].

En octobre 2022, Mostafa Terrab indique son intention de mettre à disposition du continent africain 4 millions de tonnes d'engrais en 2023 afin de pallier la pénurie mondiale[29]. Selon son PDG, l'Afrique est approvisionnée en engrais à 80 % par l'OCP[30].

Le 10 octobre 2023, OCP signe un accord de « prêt vert » de 100 millions d’euros avec la Société financière internationale (SFI-IFC), filiale du groupe de la Banque mondiale dévolue au secteur privé[31]. Cet accord prévoit notamment la construction de quatre centrales solaires dans l'optique de verdir les activités du groupe.

Chronologie de l'entreprise[modifier | modifier le code]

  • 1920 Création de l'Office Chérifien des Phosphates
  • 1921 Lancement de la production minière à Khouribga
  • 1931 Lancement de la production minière à Youssoufia
  • 1965 Lancement de la production chimique à Safi
  • 1976 Acquisition de 65% de Phosboucraa
  • 1980 Lancement de la production minière sur le site de Benguerir
  • 1984 Lancement de la production chimique à Jorf Lasfar
  • 1996 Lancement de la construction d'une usine d'acide phosphorique purifié à Jorf Lasfar
  • 2002 OCP devient l'unique propriétaire de Phosboucraa
  • 2006 L'Office Chérifien des Phosphates devient OCP
  • 2008 Transformation de l'Office Chérifien des Phosphates en Société (OCP S.A)
  • 2011 Coentreprise avec Jacobs Engineering
  • 2013 Coentreprise avec DuPont de Nemours
  • 2014 Lancement du pipeline entre Khouribga et Jorf Lasfar
  • 2016 Création d'OCP Africa
  • 2018 Inauguration de l'Université Mohammed VI Polytechnique et coentreprise avec IBM

Organigramme[3][modifier | modifier le code]

  • Président directeur général
    • Cabinet du PDG
  • Direction des affaires générales et support à la gouvernance Groupe
  • Direction Performance et contrôle de gestion
  • Direction exécutive juridique
  • Direction de transformation

Le groupe[modifier | modifier le code]

Les activités du groupe sont organisées selon un modèle intégré, couvrant l’ensemble des opérations de la chaîne de valeur depuis l’extraction des phosphates jusqu’à la production et la commercialisation de différents produits notamment des engrais et de l’acide phosphorique[32].

Le groupe OCP joue un rôle économique et social important au Maroc. Les phosphates et ses dérivés représentent en 2010, en valeur, près d’un quart des exportations du pays et approximativement 3,5 % du PIB[33].

Depuis 2007, le groupe OCP vise à doubler sa capacité de production annuelle de phosphates d’ici à 2017 (pour atteindre une capacité de production d'engrais de près de 12 millions de tonnes) et à tripler sa production d’engrais d’ici à 2020[34],[35].

En 2016, Fitch Ratings confirme la note "d'investment Grade" pour le groupe OCP[36].

Après approbation de l'Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) le , le groupe OCP réussit à atteindre 10,2 milliards de dirhams d'emprunt obligataire auprès de la communauté nationale. Cet emprunt représente le plus grand jamais réalisé sur le marché marocain[37],[38],[39].

Le groupe OCP est une entreprise semi-publique sous contrôle de l’Etat, elle agit avec le même dynamisme et la même souplesse qu’une grande entreprise privée, versant à l’Etat marocain tous les droits de recherche et d’exploitation des phosphates, et gérée par un directeur et contrôlée par un conseil d’administration présidé par le Premier ministre.

Le groupe OCP est inscrit au registre de commerce, et est soumis sur le plan fiscal aux mêmes obligations que n’importe quelle entreprise privée (impôt sur les salaires, sur les bénéfices, taxes sur l’exportation…), et chaque année, le groupe OCP participe au budget de l’Etat par versement de ses dividendes.

OCP Africa[modifier | modifier le code]

En , le groupe OCP créé une nouvelle filiale nommée OCP Africa, chargée de piloter le développement du groupe sur le marché africain des engrais par le biais d'un réseau de filiales dans cinq pays d'Afrique. La filiale a obtenu le statut Casablanca Finance City (CFC) permettant aux investisseurs sur le continent africain de pouvoir bénéficier d'un package attractif d'incitations fiscales ainsi que d'autres facilités[40],[41].

Les projets du groupe OCP en Afrique couvrent l’ensemble de la chaine de valeur, incluant la construction d’usines d’engrais localement, le développement de capacités de logistique et distribution, ainsi que l’investissement dans la recherche pour le développement de formules adaptées aux besoins des sols et des cultures (cartographie de la fertilité des sols africains et besoins respectifs en engrais). La Banque africaine de développement (BAD) s’est engagée à accompagner ces différentes initiatives du groupe OCP en faveur du continent africain[42],[43].

Le groupe OCP prévoit l'ouverture de 14 nouvelles filiales en Afrique subsaharienne afin de faire une entrée prometteuse sur le marché africain. Les principaux pays visés par cette opération sont : la Côte d'Ivoire, le Sénégal, la République démocratique du Congo, le Bénin, le Cameroun, le Nigéria, la Tanzanie, l’Angola, la Zambie, le Zimbabwe, le Mozambique, le Kenya, le Ghana et l’Ethiopie[44].

Mohamed Anouar Jamali est nommé à la tête d'OCP Africa en 2020[45].

Nigeria[modifier | modifier le code]

En 2016, le chef de l'État nigérian et le roi Mohammed VI président la cérémonie de lancement d'un partenariat stratégique pour le développement de l'industrie des engrais au Nigéria. Ce partenariat inclut notamment un accord entre le groupe OCP et Dangote Industries Limited pour la création d'une plateforme de production d'engrais au Nigéria. De même, un protocole d'accord pour le développement du marché des engrais est signé entre le groupe OCP et l'association des producteurs et des fournisseurs d'engrais au Nigéria[46],[47],[48]. De plus, un projet de gazoduc reliant le Nigéria au Maroc en passant par plusieurs pays d'Afrique de l'ouest est sur le point de voir le jour[49],[50],[51].

Rwanda[modifier | modifier le code]

En octobre 2016, lors de la visite du roi Mohammed VI, le ministère de l'Agriculture et des Ressources animales signe un accord avec le groupe OCP pour la construction d'une usine d'engrais sur le territoire national afin de faciliter l'accès de ces derniers aux agriculteurs locaux[52].

Éthiopie[modifier | modifier le code]

En , l'OCP annonce la construction d'une usine d’engrais dans l’Est de l’Éthiopie, à Dire Dawa. Sa capacité de production serait de 3,8 millions de tonnes par an en 2025. Le projet devrait coûter 3,7 milliards de dollars et permettra la création de 1 200 emplois durant sa phase de construction[53].

Saftco[modifier | modifier le code]

Le , le groupe OCP ouvre une entité de négoce de matières premières en Suisse incluant phosphate, engrais et produits chimiques[40].

Données financières[modifier | modifier le code]

Chiffres 2009-2014
2009 2010 2011 2012 2013 2014
CA (milliards de MAD) 25,3 43,5 56,4 59,4 46,2 41,4
Résultat net (milliard de MAD) 1,3 8,8 16,3 14,1 7,1 7,6

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b https://ocpsiteprodsa.blob.core.windows.net/media/2023-03/OCP%20Etats%20Financiers%20Publication%20Journaux_0.pdf
  2. Redaction AgriMaroc.ma, « L’OCP maintient sa place de leader et reste le premier exportateur mondial de phosphates », sur AgriMaroc.ma, (consulté le )
  3. a et b « Office Chérifien des Phosphates (Morocco) », Solpart Project,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « OCP Group Client », Architecte Partners,‎ (lire en ligne, consulté le )
  5. « OCP Corporate - Office Chérifien des Phosphates », SupIndex,‎ (lire en ligne, consulté le )
  6. « OCP Group », World Economic Forum,‎ (lire en ligne, consulté le )
  7. OCP, « Rapport financier 2022 »
  8. Chapitre 2. Les gisements de phosphates dans le monde, Site de la FAO (Food and Agriculture Organization of the UN)
  9. Hervé Bleuchot, « Une ville minière marocaine : Khouribga », Revue des mondes musulmans et de la Méditerranée, vol. 6, no 1,‎ , p. 29–51 (DOI 10.3406/remmm.1969.1004, lire en ligne, consulté le )
  10. « L’OCP sur ses territoires », HAL archives ouvertes,‎ (lire en ligne, consulté le )
  11. « Le Groupe OCP fête ses 100 ans d'existence », sur LesEco.ma, (consulté le )
  12. « L’Office chérifien des phosphates amorce une nouvelle phase d’expansion », Monde Diplomatique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. a et b « OCP: hier et aujourd’hui », Zamane,‎ (lire en ligne, consulté le )
  14. « Acid Plant Database », Sulphuric Acid,‎ (lire en ligne, consulté le )
  15. « OCP, géant marocain du phosphore », Quotidienne de la croissance Agora,‎ (lire en ligne, consulté le )
  16. El Mostafa Lekhiar, El Jadida : une région industrielle émergente, Maghress, 3 novembre 2001
  17. Laïla Triki & Alié Dior Ndour, OCP: 1,7 milliard de DH pour l'équipement de la mine de Sidi Chennane, L'économiste, 14 octobre 1993
  18. Khadija Masmoudi, Phosphate: L'OCP a vendu pour près de 14 milliards de DH en 1998, L'économiste, 1 novembre 1999
  19. Michael Pauron, Mostafa Terrab : « Réduire nos coûts de 30 % à 40 % », Jeune Afrique, 20 mai 2010
  20. « Office Chérifien des Phosphates Group (OCP) », EMIS,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. « Les objectifs ambitieux de l’OCP », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « OCP group réduit sa participation dans la BCP », Le 360,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. Yabiladi.com, « Le Groupe OCP fête ses 100 ans d'existence », sur www.yabiladi.com (consulté le )
  24. « Hausse de 14 % du chiffre d’affaires de l’OCP », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. « Tout ce qu'il faut savoir sur l'Université Mohammed VI polytechnique », sur Telquel.ma (consulté le )
  26. « L'OCP annonce une hausse de 14 % du chiffre d'affaires en 2017 », Menara.ma,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. « OCP : L’activité reprend », Challenge.ma,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. « Maroc : Large élan de solidarité pour alimenter le Fonds spécial pour la gestion du Covid-19 », sur Journal du Cameroun, (consulté le )
  29. « Engrais : Mostafa Terrab promet 4 millions de tonnes à l’Afrique – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com (consulté le )
  30. « Mostafa Terrab: "L'OCP couvre 80% de la demande d'engrais en Afrique" », sur Hespress Français, (consulté le )
  31. « Solaire, engrais… Les emplettes de Mostafa Terrab à Marrakech – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com (consulté le )
  32. Christelle Marot, Maroc: le nouvel âge d'or des phosphates, Jeune Afrique, 17 janvier 2012
  33. « L’OCP: Le géant des phosphates made in Morocco. », Agrimaroc,‎ (lire en ligne, consulté le )
  34. « Le géant marocain des phosphates se sacre roi des engrais », Le Monde Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. Mission au Maroc: convention entre le centre de formation liégeois Technifutur et l'OCP, Lesoir.be, 23 mai 2012
  36. « Fitch Ratings confirme la notation Investment Grade d'OCP mais change la perspective de stable à négative », sur Medias24 - Site d'information, (consulté le )
  37. « Carton plein pour l’émission obligataire d’OCP », Telquel,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. « OCP : L’AMMC donne son feu vert à un emprunt obligataire de 5 milliards de dirhams », Yabiladi,‎ (lire en ligne, consulté le )
  39. « OCP finance l’expansion de son appareil productif et apure ses dettes », Jeune Afrique,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. a et b « Trading à Genève pour le géant marocain des phosphates », Agefi,‎ (lire en ligne, consulté le )
  41. « OCP Group launches new subsidiary », African Farming,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. « Côte d’Ivoire/International/ Le PDG du Groupe OCP reçoit le Président du Groupe de la BAD (Communiqué) », Abidjan.net,‎ (lire en ligne, consulté le )
  43. « A la COP 22, l’accord sur l’agriculture en friche », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le )
  44. « Maroc : le groupe OCP prévoit 14 nouvelles filiales en Afrique subsaharienne », Financial Afrik,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. « Engrais : OCP Africa change de tête, pas de stratégie – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
  46. « Maroc/Nigéria : Plusieurs accords signés aujourd’hui, les détails », Infomédiaire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  47. « SM le Roi et le Chef de l’Etat nigérian président la cérémonie de lancement d’un partenariat stratégique pour le développement de l’industrie des engrais au Nigéria », MA Express,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. « Accord OCP-Dangote: quand le premier producteur mondial d’engrais tend la main à l’homme le plus riche d’Afrique », Financial Afrik,‎ (lire en ligne, consulté le )
  49. « SM le Roi préside à Casablanca une séance de travail consacrée au projet de gazoduc, reliant le Nigéria au Maroc à travers plusieurs pays d’Afrique de l’oues », Agence de presse marocaine,‎ (lire en ligne, consulté le )
  50. « Alerte : Le Maroc passe à l'acte pour le gazoduc géant, réunion royale à Casablanca », InfoMédiaire,‎ (lire en ligne, consulté le )
  51. « Gazoduc nigéria-maroc: le roi préside une séance de travail sur la faisabilité et le financement », Bladi,‎ (lire en ligne, consulté le )
  52. « Rwanda’s move towards green agric gains momentum », The New Times,‎ (lire en ligne, consulté le )
  53. « L'office marocain des phosphates construit une usine géante en Ethiopie », sur geopolis.francetvinfo.fr (consulté le )

Liens externes[modifier | modifier le code]