Noguères

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Noguères
Noguères
La mairie de Noguères.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Pau
Intercommunalité Communauté de communes de Lacq-Orthez
Maire
Mandat
Firmin Lara
2020-2026
Code postal 64150
Code commune 64418
Démographie
Gentilé Noguèriens
Population
municipale
130 hab. (2021 en diminution de 6,47 % par rapport à 2015)
Densité 67 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 22′ 20″ nord, 0° 35′ 39″ ouest
Altitude Min. 104 m
Max. 152 m
Superficie 1,95 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Mourenx
(banlieue)
Aire d'attraction Pau
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Cœur de Béarn
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Noguères
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Noguères
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Noguères

Noguères (en béarnais, gascon ou occitan : Noguèras) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Noguères se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 23 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 4,1 km de Mourenx[3], bureau centralisateur du canton du Cœur de Béarn dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mourenx[1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Pardies (0,9 km), Mourenx (1,3 km), Bésingrand (2,2 km), Os-Marsillon (2,5 km), Lahourcade (2,6 km), Abos (3,0 km), Artix (3,5 km), Abidos (3,8 km).

Sur le plan historique et culturel, Noguères fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Noguères[6]
Os-Marsillon
Mourenx Noguères Pardies
Lahourcade

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Noguères.

La commune est drainée par la Baïse de Lasseube, la Baysère, le Luzoué, un bras de la Baysère, un bras du ruisseau le Luzoué, la Lèze, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 3 km de longueur totale[7],[Carte 1].

La Baïse de Lasseube, d'une longueur totale de 40,6 km, prend sa source dans la commune de Gan et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Abidos, après avoir traversé 14 communes[8].

La Baysère, d'une longueur totale de 20,4 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans la Baïse à Mourenx, après avoir traversé 6 communes[9].

Le Luzoué, d'une longueur totale de 19,7 km, prend sa source dans la commune de Monein et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave de Pau à Mont, après avoir traversé 9 communes[10].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 219 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Monein à 6 km à vol d'oiseau[14], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 228,6 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[19],[Carte 2] :

  • le « gave de Pau », d'une superficie de 8 194 ha, un vaste réseau hydrographique avec un système de saligues[Note 4] encore vivace[20] et une au titre de la « directive Oiseaux »[19],[Carte 3] :
  • le « barrage d'Artix et saligue du gave de Pau », d'une superficie de 3 360 ha, une vaste zone allongée bordant les saligues du gave[Note 4], et incluant des terres agricoles et urbaines en amont d'un barrage[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Noguères est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Mourenx, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[25] et 14 288 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pau dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 228 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (48,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (31,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (35,3 %), forêts (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (22,2 %), zones urbanisées (13,2 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 4].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux[modifier | modifier le code]

  • Les Abadiasses.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales 32 et 33, à proximité immédiate de la sortie 9 (Artix) de l'autoroute A64.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Noguères est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Pau, regroupant 34 communes concernées par un risque de débordement du gave de Pau, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[33]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1800, crue la plus importante enregistrée à Orthez (H = 15,42 m au pont d'Orthez), du , exceptionnelle par son ampleur géographique, des 27 et , la plus grosse crue enregistrée à Lourdes depuis 1875, du , du (10,46 m à Orthez pour Q = 725 m3/s), du , du (3,40 m à Rieulhès pour Q = 504 m3/s) et du . Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[34]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2006, 2008, 2009 et 2018[35],[31].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Noguères.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[36]. 17,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[37].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[38] : Arysta Lifescience (activités soumises à autorisation notamment pour l'emploi ou le stockage de liquides inflammables et de produits de toxicité aiguë, et la fabrication de produits phytosanitaires ou biocides)[39].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme Noguères apparaît sous les formes Nogueras (XIe siècle[40], d'après Pierre de Marca[41]) et Nogeriœ (1344[40], notaires de Pardies[42]).

Son nom béarnais, gascon ou occitan est Noguèras[43], ce qui signifie "les noyeraies", soit les plantations de noyers.

Le toponyme Abadiasse, ancienne école, est mentionné en 1775[40] (terrier de Noguères[44]).

Histoire[modifier | modifier le code]

Paul Raymond[40] note que la commune comptait une abbaye laïque, vassale de la vicomté de Béarn.

En 1385, on y comptait 11 feux et la paroisse dépendait du bailliage de Lagor et Pardies. La seigneurie de Noguères dépendait des marquis de Gassion.

Située dans le bassin de Lacq, Noguères abrita de 1960 à 1991 l'usine Pechiney, une fonderie d'aluminium alimentée en électricité par la centrale électrique d'Artix.

C'est l'une des premières villes à bénéficier d'un phare terrestre, en l'occurrence les flammèches de l'usine de Lacq dès les années 1950.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Noguères
Période Identité Étiquette Qualité
1995 2008 Pierre Lansou    
2008 En cours Jean-Luc Martin    
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Noguères fait partie de quatre structures intercommunales[45] :

  • la communauté de communes de Lacq-Orthez ;
  • le SIVU pour l'aménagement et la gestion des cours d'eau du bassin des baises ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d’eau et d’assainissement Gave et Baïse.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[46]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[47].

En 2021, la commune comptait 130 habitants[Note 8], en diminution de 6,47 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
180191248197202214216196184
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
174181184182176155146134126
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
151151150127130139133103100
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
193168186195160145150152144
2018 2021 - - - - - - -
140130-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[48] puis Insee à partir de 2006[49].)
Histogramme de l'évolution démographique
Centre industriel.

Économie[modifier | modifier le code]

En 1960 une usine d'aluminium est créée à Noguères, qui fut fermée en 1991.

Noguères fait l'objet d'un plan de prévention des risques technologiques, lié aux activités chimiques installées sur la commune[50], tout comme les villes de Bésingrand, Os-Marsillon, Pardies, Mourenx et Artix.

La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Une rue.

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Église Saint-Laurent.

L'église Saint-Laurent[51] date partiellement de 1712 et fut remaniée en 1898.

Équipements[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  4. a et b La saligue est un mot patois (langage local) qui désigne la végétation typique qui habille toutes les zones marécageuses du gave de Pau.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Noguères » sur Géoportail (consulté le 11 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Noguères », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Noguères », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Noguères et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Noguères et Mourenx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Noguères », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Noguères », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « la Baïse de Lasseube ».
  9. Sandre, « la Baysère ».
  10. Sandre, « le Luzoué ».
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  13. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Orthodromie entre Noguères et Monein », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Monein » (commune de Monein) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Noguères », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR7200781 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7212010 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  28. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pau », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Noguères », sur Géorisques (consulté le ).
  32. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  33. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  38. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  39. « Sites classés Seveso seuil haut dans les Pyrénées-Atlantiques », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  40. a b c et d Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
  41. D'après Pierre de Marca, Histoire de Béarn
  42. Notaires de Pardies - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
  43. Ostau Bearnes, « Toponymie des communes béarnaises selon la graphie classique »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF] (consulté le ).
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  45. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
  46. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  47. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  48. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  49. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  50. Arrêté préfectoral prescrivant l'élaboration d'un plan de prévention des risques technologiques
  51. Ministère de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Laurent

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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