Neauphle-le-Vieux

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Neauphle-le-Vieux
Neauphle-le-Vieux
La mairie.
Blason de Neauphle-le-Vieux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Denise Planchon
2020-2026
Code postal 78640
Code commune 78443
Démographie
Gentilé Neauphléens
Population
municipale
911 hab. (2021 en diminution de 6,47 % par rapport à 2015)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 48′ 59″ nord, 1° 51′ 49″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 111 m
Superficie 7,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aubergenville
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Neauphle-le-Vieux
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Neauphle-le-Vieux
Liens
Site web mairie-neauphlelevieux.fr

Neauphle-le-Vieux est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Neauphle-le-Vieux dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Neauphle-le-Vieux est située dans le centre des Yvelines, à une vingtaine de kilomètres à l'ouest de Versailles, préfecture du département, et à une vingtaine de kilomètres au nord de la sous-préfecture, Rambouillet.

Elle se trouve dans la plaine de Montfort-l'Amaury, petite région naturelle creusée par la Mauldre et ses affluents qui prolonge vers l'ouest la plaine de Versailles. Elle marque le début du cours inférieur de la Mauldre.


Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune de Neauphle-le-Vieux se trouve dans la vallée de la Mauldre, sur la rive gauche de la rivière, au confluent de celle-ci avec ses deux principaux affluents de rive gauche, la Guyonne et le Lieutel, dans le nord-est de la plaine de Montfort-l'Amaury.

La commune de Neauphle-le-Vieux est l'une des douze communes concernées par le plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin de la Mauldre. La Mauldre et ses affluents sont en effet sujets à des crues rapides, de type torrentiel[1].

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Les communications sont assurées par plusieurs routes départementales : la RD 11, la RD 42, la RD 34 qui se croisent dans le bourg, la RD 912, traversent la partie sud de la commune. La route nationale 12 traverse le territoire communal au sud-ouest.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Villiers - Neauphle - Pontchartrain qui est situé à 1,3 km de la commune.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 13, 40, Express 67 et Q du réseau de bus Centre et Sud Yvelines et par la ligne 78 du réseau de bus Île-de-France Ouest.

Sentier de randonnée[modifier | modifier le code]

Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Mareil-le-Guyon au sud jusqu'à Villiers-Saint-Frédéric à l'est.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 660 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Neauphle-le-Vieux est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 89,27 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 2,97 % d'espaces ouverts artificialisés et 7,76 % d'espaces construits artificialisés[16].

Le lieu-dit Saint-Aubin.

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • Cressay, Saint-Aubin[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes: Nielfa en 990[18]; Nielfa en 1077[19][réf. non conforme]; Nealpha Veteres au XIIIe siècle[20], Nealpha Vetus[20]; Neapha Vetus, Neaufla Vetus'' en 1351[21]; Neaufle l'Evieux[22].

Le nom de Neauphle est issu d'un composé germanique signifiant « temple neuf » (voir l'article de Neauphle-le-Château). Le déterminant complémentaire Le-Vieux (latinisé en Vetus ou Veteres) apparaît dès le Moyen Âge.

Remarque : La graphie hellénisante avec ph permet de distinguer les Neauphle de l’Île-de-France des Neaufles du département voisin de l’Eure.

Homonymie avec les nombreux Neauphle, Neaufles, Neauphe, Neaufle, et Niafles communs au nord de la France, ce qui laisse penser à une origine plus précisément vieux bas francique.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.
Le monument aux morts.

Des fouilles archéologiques effectuées par l'INRAP entre et avril 2008 dans le domaine de l'Ardillière attestent d'une présence humaine sur le site dès le Néolithique et plus tard d'une occupation à l'époque gauloise avec la découverte d'une ferme.

Au VIIIe siècle, Neauphle a été un prieuré de l'abbaye de Saint-Liphard de Meung-sur-Loire, comme le mentionne une charte de Hugues Capet de 990[23]. Cette abbaye sur le déclin perdit ses prieurés quand elle devint une collégiale à la fin du XIe siècle.

Par la suite Philippe Ier fit ériger en 1078 l'abbaye Saint-Pierre de Neauphle-le-Vieux [24].

En 1174, l'abbaye possède les églises de Cressay et Saint-Aubin (Neauphle-le-Vieux), Auteuil, Goupillières, Bazemont, Jouars, Maurepas, Saulx-Marchais, Villennes, Médan, Flacourt, le droit d'usage en forêt d'Yveline, terre du Pontel, moulins de Toussac, Bicherel, Robert, sur la Mauldre et ses affluents, terres de Neauphle-le-Vieux, Boissy-sans-Avoir, terre à Jumeauville terres à Crespières, vignes à Villennes, Médan, Méré[23]...

Au XIIIe siècle et XIVe siècle, les dons affluent en faveur du monastère jusqu'à la guerre de Cent Ans des seigneurs de Montfort-l'Amaury, Poissy, Aulnay-sur-Mauldre, Villette, Saulx-Marchais, Elancourt, Auteuil, Mezelan, Binanville, etc.

Le roi Saint-Louis honora le monastère le 9 mars 1266, Aliénor de Guyenne, reine d'Angleterre y séjourna le 16 juillet 1289, Philippe-le-Bel y demeura avec la reine les 6-7 et 14 juillet et 2 octobre 1301.

L'abbaye subsista jusqu'en 1737, année où elle fut dissoute, à cause du manque de ressources financières et du faible nombre de moines.

De l'ancienne abbaye du Moyen Âge ne reste que deux salles en sous-sol du XIIe siècle, une partie de l'église et une grange donnant sur la cour de la ferme.

La maison abbatiale actuelle date de la fin du XVIIe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 En cours Denise Planchon[25]    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 911 habitants[Note 3], en diminution de 6,47 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
487509546567466490486559546
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
515490490482435454441486517
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
506461420443477468551609675
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
511493526549577707693691926
2018 2021 - - - - - - -
919911-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,3 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 463 hommes pour 456 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,1 
1,7 
75-89 ans
3,5 
12,7 
60-74 ans
13,2 
25,9 
45-59 ans
25,0 
19,2 
30-44 ans
19,7 
15,6 
15-29 ans
13,2 
24,4 
0-14 ans
24,3 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune possède[32] une école maternelle et une école élémentaire, toutes deux publiques (groupe scolaire Marie-de-Cressay).

Sports et infrastructures sportives[modifier | modifier le code]

On trouve dans Neauphle-le-Vieux :

  • Le centre équestre les Fauvettes (domaine des Fauvettes, accès par la place Sully).
  • Deux courts de tennis (domaine des Fauvettes, accès par la place Sully).
  • Un terrain de football (à côté de l'école élémentaire et maternelle Sainte-Marie de Cressay).

Économie[modifier | modifier le code]

Le territoire est essentiellement rural (environ 90 %) et consacré à la grande culture céréalière. L'habitat est regroupé, le long de la Mauldre, dans le bourg et dans le hameau de Cressay situé plus au nord, à l'exception d'un second hameau, le hameau de Saint-Aubin plus au sud, qui est principalement occupé par la ferme d'une famille d'exploitants agricoles et de trois fermes isolées : la ferme de l'Île Robert, la ferme du Toussac (site d'un ancien moulin)[33], et la ferme de la Chapelle.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre-et-Saint-Nicolas.
L'église Saint-Pierre-et-Saint-Nicolas.
Le château.
Le château.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre-et-Saint-Nicolas de style roman tardif est ce qui reste de l'ancienne Abbaye de Neauphle-le-Vieux qui remonte au XIe siècle, XIIe siècle et fin XVIIe siècle.
  • Lavoirs (XIXe siècle), sur le cours du Lieutel dans le bourg et à Cressay.
  • Château de Neauphle-le-Vieux (centre équestre des Fauvettes) (XVIIIe-XIXe siècle).
  • Pigeonnier de Saint-Aubin (XVIe siècle).
  • Une cave[34] d'époque médiévale (probablement du XIIe siècle) découverte de façon fortuite en 1980 à la suite d'un éboulement lors de travaux d'assainissement (tout-à-l'égout). Elle se situe approximativement sous la place Sully et l'accès est possible via un escalier en pierre dans le domaine des Fauvettes. Les risques d'effondrement en interdisent sa visite.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Casimir de Rochechouart de Mortemart (1787-1875), militaire, diplomate, et homme politique français, meurt au château en 1875.
  • Henri Brame (1885-1954) écrivit une histoire de l'abbaye de Neauphle. Il était membre d'une importante famille d'entrepreneurs originaires de Lille. Ils devinrent propriétaires du château de l'abbaye à partir d'Édouard Auguste Brame (°1818), inspecteur général des Ponts et chaussées, conseiller général de Seine-et-Oise, frère de Jules Brame (1808-1878), député du Nord (1857-1876), sénateur du Nord (1876-1878), ministre de l'Instruction publique et des Beaux arts. Le château passa ensuite à Paul Edouard Brame (1851-1908), conseiller général de Seine-et-Oise, père de Henri qui fut conseiller municipal de Neauphle, président de la Société coopérative d'habitations à bon marché du canton de Montfort. En 1934, Henri Brame fut ruiné par des spéculations malheureuses. Le château de l'abbaye fut mis en vente le [35].
  • René Adam (1883-1955), député sous la Troisième République, y meurt en 1955.
  • Patrick Schulmann (1949-2002), réalisateur de cinéma français, vivait à Neauphle-le-Vieux.
  • Magali de Vendeuil (1926-2009), actrice française, est inhumée dans le cimetière communal.
  • Robert Lamoureux (1920-2011), acteur, humoriste, auteur dramatique, réalisateur, poète, parolier et scénariste français, est inhumé dans le cimetière communal.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Neauphle-le-Vieux Blason
D'azur à une croix d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Neauphle-le-Vieux », p. 604–606
  • Henri Brame, Historique de l'abbaye Saint-Pierre de Neauphle-le-Vieux (1938), extrait de la Revue Mabillon, 1931-1935 (voir Archives de la Revue Mabillon).
  • Marie-Huguette Hadrot, « Le château de Neauphle-le-Vieux », Histoire et archéologie d'Yvelines, no 6 (1980), pages 11 à 18.
  • Marie-Huguette Hadrot, « L'abbaye de Neauphle-le-Vieux », Histoire et archéologie d'Yvelines, no 6 (1980), pages 19 à 24.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Notice de présentation du Plan de prévention des risques d'inondation de la vallée de la Mauldre. », Préfecture des Yvelines (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Neauphle-le-Vieux et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  17. Cercle Généalogique de Versailles et des Yvelines, Paysages d'Yvelines à la fin du XVIIIe siècle : Le cadastre de Bertier de Sauvigny, Archives départementales des Yvelines, .
  18. Brame H., « Historique de l’abbaye de St Pierre de Neauphle-le-Vieux », Revue Mabillon, 21e année 1931, p. 121.
  19. Marianne Mulon, Noms de lieu d'Île-de-France, 1997.
  20. a et b Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  21. Auguste Longnon, Pouillé de la Province de Sens, 1904, p. 161, p. 159, 210, 211.
  22. Jean-Aimar Piganiol de La Force, Nouveau voyage de France, 1780, Tome 1, page 178.
  23. a et b BRAME (H) Historique de l’abbaye de St Pierre de Neauphle-le-Vieux. Revue Mabillon - 21°ann. (1931), p. 121-125.
  24. René Merlet, « Fondation de l'abbaye de Neauphle-le-Vieux, au diocèse de Chartres, en l'année 1078 », sur Persée, Bibliothèque de l'école des chartes, (consulté le ).
  25. Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Neauphle-le-Vieux (78443) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  32. « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  33. Toussac : C'est une vieille expression formée avec l'ancien français toler (–'enlever, "voler" et le mot "sac"...de farine, bien sûr.Les meuniers avaient assez mauvaise réputation: on les soupçonnait de tricher sur le poids de la farine.- Noms de lieu d'Île-de-France – M. Mulon – 1997
  34. Médiathèque de l'architecture et du patrimoine.
  35. A.D.Y., Monographie communale de Neauphle-le-Château de Paul Aubert, p. 24/31.