Mécaniques célestes (film)

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Mécaniques célestes
Description de cette image, également commentée ci-après
Énigmatiques (et éternelles) valses des humains et des astres
Illustration : le système Copernic
Titre original Mécaniques célestes
Réalisation Fina Torres
Scénario Fina Torres
Daniel Odier alias « Delacorta »
Blanca Strepponi
Acteurs principaux
Sociétés de production Bastille Films
Miraltan Films
Canal+
CNC
Club d’Investissement Média
Eurimages
Ministère de la Culture (France)
Mistral Films
Sacem
Panderadas CA
Producciones Pandorados
Da Fondo de Fomentos Cinematograficas de Venezuela
Paradise Films
Pays de production Drapeau de la Belgique Belgique
Drapeau de l'Espagne Espagne
Drapeau de la France France
Drapeau du Venezuela Venezuela
Genre Comédie
Durée 87 min
Sortie 1995

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Mécaniques célestes est un film franco-hispano-belgo-vénézuélien réalisé par Fina Torres et sorti en 1995.

Synopsis

Ana, une jeune cantatrice de Caracas sur le point de se marier, s’enfuit précipitamment à Paris. Les astres vont lui être à la fois bénéfiques et maléfiques : elle fait parallèlement la connaissance d’un gentil groupe de latinos et celle de l’arriviste et inquiétante artiste-vidéaste Céleste…

Fiche technique

Distribution

Distinctions

Récompenses

Autour du film

  • Le conte de Cendrillon revu, corrigé et transposé dans la faune parisienne artistique, marginale et latino.
  • Fina Torres[1] : « Pour Mécaniques célestes, j'ai construit mes personnages à partir d'histoires de gens que j'avais rencontrés à Paris et qui m'avaient touchée. Rien n'a été totalement inventé, rien n'a existé tel quel. La vérité a été romancée, exagérée, transformée. Un personnage de psychanalyste comme « Alcanie » ou le sorcier genre marabout — voyou comme « Toutou », j'en ai croisé quelques-uns. J'ai aussi connu un garçon délirant comme « Armand » et aussi généreux que lui, il avait un fiancé depuis douze ans et il a fait un mariage blanc pour aider une de mes amies. D'ailleurs, la rencontre avec le comédien qui l'a interprété, Frédéric Longbois, a été aussi délirante. Je l'ai connu par hasard dans un salon de coiffure où il travaillait. Il m'a coupé les cheveux en chantant des chansons dont il était l'auteur et en me faisant tout un numéro. Émerveillé par ce personnage farfelu qui, en plus, ressemblait étonnamment au personnage du scénario, je lui ai proposé le rôle. Il en était tellement ému qu'il a relancé son récital tout en travaillant sur ma tête. J'ai quitté le salon les cheveux coupés à ras. »

Lien externe

Notes et références

  1. Commentaire de la réalisatrice sur le site d’Unifrance