Musée national d'Art moderne

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Musée national d'Art moderne
Informations générales
Type
Musée d'art, musée national (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
Surface
18 500 m2 d'expositions permanentes et temporaires[1] (28 000 m2 pour l'ensemble des espaces liés au musée)
Visiteurs par an
4 302 247 (2012)[2]
3 613 076 (2011)[3]
Site web
Collections
Collections
art moderne et contemporain des XXe et XXIe siècles
Nombre d'objets
101 703 de 6 554 artistes
au 1er janvier 2015
Localisation
Pays
France
Commune
Adresse
Centre Pompidou (Beaubourg),
Place Georges Pompidou,
75004 Paris
Coordonnées
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Le musée national d’art moderne (MNAM) est consacré à l’art moderne et contemporain des XXe et XXIe siècles. Il est situé à Paris dans le centre Georges-Pompidou, où il occupe deux étages (art contemporain au 4e étage et art moderne au 5e étage), outre l'atelier Brancusi, des galeries d'expositions temporaires et divers autres espaces liés au musée. Les collections rassemblent plus de 100 000 œuvres dont seule une partie est exposée par roulement. L’accrochage est en principe révisé tous les deux ans [4]. Des expositions temporaires sont également présentées.

Historique

Le Musée national d'art moderne a pris le relais de l'ancien musée du Luxembourg créé en 1818 par Louis XVIII pour accueillir les œuvres des artistes vivants destinées à rejoindre le musée du Louvre dix ans après leur mort[5]. En 1861, le musée s'ouvre aux écoles étrangères jusqu'à constituer à partir des années 1890 une section suffisamment importante, qui sera installée en 1922 dans une annexe, au Jeu de Paume, laquelle deviendra en 1932 le « Musée des Écoles étrangères ». De 1922 à 1939 plus de 30 expositions temporaires consacrées à ces écoles s'y tiendront également.

Confronté de nouveau à l'exiguïté du musée du Luxembourg, malgré son installation dans le bâtiment actuel, construit en 1886, et son extension dans l'Orangerie contiguë pour y abriter les sculptures[6], et après l'abandon du projet de « Cité des musées », proposé en 1929-1930 par Auguste Perret à l'emplacement du Palais du Trocadéro, l’idée de construire un musée d'art moderne est alors promue en 1932 par Louis Hautecoeur, conservateur du musée des Artistes vivants. Déjà le Musée de Grenoble en 1919, le Museum Folkwang d'Essen en 1927 et le musée d'art de Łódź en 1930 avaient été parmi les premiers musées en Europe à consacrer une section de leurs collections à l'avant-garde de l'art moderne, alors qualifiée d' « art indépendant » en France ; tandis qu'à New York était créé en 1929 le MoMA, spécialement dédiée à cette période.

En 1934, l'État décide alors de construire un musée national d'art moderne sur le site de l'ancienne manufacture de tapis de la Savonnerie doublé d'un second musée d'art moderne pour la ville de Paris et le 24 mai 1937 le président Lebrun inaugure le « Palais des musées d’art moderne », construit pour l’Exposition internationale de 1937 et ensuite dénommé Palais de Tokyo. Néanmoins, il accueille à cette occasion une rétrospective de l'art français depuis le Moyen Âge, le choix ayant alors été fait de présenter la collection moderne d'art français au musée du Petit Palais, avec l'exposition « Les maîtres de l'art indépendant 1895-1937 », de juin à octobre 1937 et les écoles étrangères au musée du Jeu de Paume, avec l'exposition « Origines et développement de l'art international indépendant », d'août à octobre 1937.

Le 6 août 1942, le Musée national d'art moderne, dont l'inauguration prévue pour 1939 avait été repoussée par la nécessité de travaux de finition puis par la guerre, connut enfin une ouverture partielle avec un tiers seulement de la collection ramené des dépôts de la zone occupée et sans les écoles étrangères, conservées depuis 1922 au musée du Jeu de Paume, alors évacuées et mises à l'abri au château de Chambord. À la libération, le « Musée des Arts Modernes » reprend ses activités avec l'exposition « Art et Resistance », du 15 février au 15 mars 1946. Mais le Musée national d'art moderne n'ouvrira véritablement ses portes que le 9 juin 1947 en intégrant les collections du « Musée des Écoles Étrangères » du Jeu de Paume ; tandis que ce dernier reçoit la même année les impressionnistes, déjà versés au Louvre en 1929.

En 1977, le Musée national d'art moderne est transféré dans le nouveau Centre Georges Pompidou avec les œuvres débutant par le fauvisme en 1905, en laissant au Palais de Tokyo les œuvres post-impressionnistes des artistes nés avant 1870, qui rejoindront en 1986 le musée d'Orsay.

Sur les 8 niveaux du Centre Pompidou accessibles au public totalisant 45 000 m2[7], la Bpi, dont l'entrée est désormais indépendante du Forum et qui possède sa propre cafétéria, occupe le tiers du niveau 1 de mezzanine et les niveaux 2 et 3, soit environ 17 000 m2, dont 10 400 m2 de salles de lecture. Le reste de l'édifice, soit environ 28 000 m2, est en réalité dévolu au Musée national d'art moderne, qui compte 18 500 m2 d'espaces d'exposition (12 600 m2 pour les collections nationales, atelier Brancusi de 600 m2 inclus, 5 900 m2 pour les expositions temporaires) et à ses annexes (Bibliothèque Kandinsky, librairies d'art, boutique, ateliers pédagogiques, salles de conférences et de spectacles, dès lors que ces dernières sont principalement liées à la programmation du musée et à ses collections) ou bénéficie directement au musée, comme les espaces de restauration des niveaux de mezzanine et du 6e étage dédiés aux expositions temporaires.

Son fonds initial a été constitué en partie par des donations d'artistes (Picasso, Braque, Matisse, Chagall, Delaunay, etc.), incluant le legs de fonds d'atelier (Brancusi, Kandinsky, Dufy, Rouault) et des dons de collectionneurs privés (Louise et Michel Leiris, Daniel Cordier, Dominique de Ménil, André Lefèvre, Raoul La Roche, baronne Gourgaud, Marie Cuttoli et Henri Laugier, Heinz Berggruen, Sylvie Boissonnas, Florence et Daniel Guerlain, Scaler Foundation, Clarence Westbury Foundation, Fondation Ricard, Centre Pompidou Foundation, Société des Amis du Musée national d’art moderne), ainsi que par d'importantes dations (Man Ray, Chagall, Duchamp, Breton, Derain, Dubuffet, etc.). Il se caractérise ainsi par l'importance des ensembles monographiques issus des relations tissées entre le musée, les artistes et leurs héritiers, qui permettent parfois de retracer la totalité de la carrière d'un artiste y compris par une politique volontaire d'acquisitions (Picabia, Léger, Ernst, Miró, Calder, etc.). Il est depuis régulièrement enrichi par des donations et acquisitions.

Missions et organisation du musée

Paul Signac : entrée du port de Marseille (1918)

Le musée constitue un département du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou. Depuis 1992, il a intégré le Centre de création industrielle fondé par François Mathey et est officiellement appelé : Musée national d’art moderne - Centre de création industrielle (MNAM / CCI).

Selon ses statuts modifiés par le décret n°92-1351 du 24 décembre 1992, il a pour mission[8] :

  • d'inventorier, de conserver, de restaurer, d'enrichir, de présenter au public et de mettre en valeur les collections d'œuvres d'art dont le Centre Georges-Pompidou a la garde, dans les domaine des arts plastiques, des arts graphiques, de la photographie, du cinéma expérimental, de l'art vidéo, des nouveaux médias, de la création industrielle, du design de l'architecture depuis le début du XXe siècle ; ces collections comprennent également les fonds documentaires et les archives qui les concernent ;
  • de présenter au public, en tous lieux, toute manifestation visant à diffuser et à approfondir la connaissance de l'art depuis le début du XXe siècle ;
  • de favoriser la création contemporaine sous toutes ses formes.

Le MNAM / CCI comprend :

  • la conservation des collections d'arts plastiques composée des services suivants : le service des collections historiques, le service des collections contemporaines, le service de la création contemporaine et prospective, le cabinet d'art graphique, le cabinet de la photographie, le service du cinéma expérimental, le service des nouveaux médias, le service de la restauration ;
  • la conservation des collections architecture et design, composée des services architecture et design ;
  • le service de la Bibliothèque Kandinsky - Centre de recherche et de documentation du MNAM / CCI, qui comprend le secteur des collections imprimées et le secteur des archives et de la documentation.
  • le service des collections, conjointement avec la direction de la production.

Il assure également le secrétariat de la commission d'acquisition et le secrétariat de la commission des prêts et dépôts du Centre Georges-Pompidou.

Activités culturelles

Outre plusieurs expositions temporaires par an consacrées à l'art moderne et contemporain, le MNAM/CCI, collabore, comme l'IRCAM et la BPI, aux manifestations et cycles réguliers des "Rendez-vous du Forum" organisés tout au long de l'année par le Centre Pompidou (cinéma, performances, danse, théâtre, concerts, débats, conférence, colloques) :

  • Festival "Hors Pistes", de nature pluridisciplinaire sur les nouvelles pratiques de l'image, depuis 2006, en janvier[9] ;
  • "Nouveau Festival", de nature pluridisciplinaire, depuis 2009, en février, mars[10] ;
  • Festival international de films documentaires "Cinéma du réel", depuis 1979, en mars, sous l'égide de la BPI[11] ;
  • Festival "Manifeste", depuis 1992, en juin, sous l'égide de l'IRCAM, où il remplace depuis 2012 "Agora" créé en 1998[12] ;
  • Festival "Videodanse", depuis 1982, en octobre, novembre[13] ;
  • Cycles "In Vivo", dédiés aux arts vivants à travers la performance, depuis 2011, sous l'égide du MNAM/CCI ;
  • Cycle "Link", dédié, en présence des artistes, à la transmission artistique inter-générationelle, depuis 2011, sous l'égide du MNAM/CCI ;
  • Cycles "Face aux œuvres" et "Un dimanche une œuvre" en présence de l'artiste, au MNAM/CCI ;
  • Cycle "Cinéastes en correspondance", notamment dans le cadre du Festival d'automne, depuis 2012[14] ;
  • Cycle mensuel "Prospectif Cinéma", en présence du cinéaste, le dernier jeudi du mois, depuis 2002 ;
  • Cycle "Rencontres de la BPI"[15] ;
  • Cycles ponctuels de conférences "Parole" (aux artistes, à l'architecture, au design, à l'histoire de l'art...), tels que "L'Encyclopédie des guerres", etc.

Collections[16]

Roger de La Fresnaye, 1910, Deux nus dans un paysage, huile sur toile, 59 x 74 cm
Robert Delaunay, 1910, La ville no. 2, huile sur toile, 146 x 114 cm

La collection du musée reflète tous les mouvements artistiques du XXe siècle[17],[18]. Elle s'est également déployée hors les murs, avec l'antenne du musée ouverte le 12 mai 2010 au Centre Pompidou-Metz et le Centre Pompidou mobile, conçu par Patrick Bouchain, inauguré le 19 octobre 2011 à Chaumont, par une exposition sur "La couleur".

Pour la première fois en juin 2005, les œuvres furent également présentées thématiquement, alors que depuis l'origine du musée, elles étaient exposées par mouvement et chronologiquement :

  • 15 juin 2005 - 3 avril 2006 : Big Bang - Destruction et création dans l'art du XXe siècle, niveau 5.
  • 5 avril 2006 - 29 janvier 2007 : Le mouvement des images, niveau 4, suivi d'un retour aux présentations chronologiques.

Désormais, tous les 2 ans et chaque année alternativement, le Centre Pompidou renouvelle l'accrochage de ses collections modernes au niveau 5 et contemporaines au niveau 4, sauf présentation exceptionnellement commune sur 2 niveaux :

  • 27 mai 2009 - 28 février 2011 : Elles@centrepompidou - Artistes femmes dans les collections du MNAM, niveaux 4 et 5.
  • 12 avril 2011 - 26 août 2013 : Collection moderne, parcours chronologique, niveau 5.
  • 17 octobre 2012 - 10 mars 2014 : Fruits de la passion - 10 ans du Projet pour l'Art Contemporain, niveau 4.
  • 23 octobre 2013 - 26 janvier 2015 : Modernités plurielles 1905 - 1970 - Une histoire mondiale de l'art moderne, niveau 5.
  • 2 juillet 2014 - 7 mars 2016 : Une histoire - Art, architecture et design, des années 1980 à aujourd'hui, niveau 4.

Tous les mouvements et œuvres des artistes figurant dans la collection, qui fin décembre 2013 comprenait 100 313 œuvres de 6 396 artistes et 90 pays différents, ne sont donc pas présentés au même moment, mais par roulement. En 2013, l'accrochage des collections permanentes, atelier Brancusi compris, prévu jusqu'en mars 2014, exposait ainsi à titre d'exemple, 680 artistes (10,6 %) et 2 151 œuvres (2,1 %) de 62 pays, soit 408 peintures, 512 sculptures et installations, dont 256 de Brancusi, 255 objets, dont 74 de design et 8 textiles, 664 dessins, 32 estampes, 181 photographies, 20 films et vidéos, 40 maquettes, etc. Par comparaison, au même moment, le MOMA exposait 1 031 œuvres et la Tate Modern 620 œuvres de 172 artistes. En 2013, néanmoins, 5 200 œuvres étaient déposées dans des musées de province (engendrant alors un reliquat de 95 113 œuvres conservées au MNAM/CCI), et 4 304 ont été prêtées, dont 2 334 à des musées étrangers[19]. En 2012, 223 œuvres avaient été prêtées au Centre Pompidou-Metz et 14 au Centre Pompidou mobile[20],[21].

N.B. : Les liens renvoyant aux œuvres de chacun des artistes ne s'ouvrent qu'après ouverture du catalogue et retour par triple clic ultra-rapide.

Période moderne (1905-1960)

En raison des règles régissant le droit d'auteur, la « reproduction non autorisée » des œuvres de six artistes majeurs sur le site de la collection du musée ne cessera qu'à l'expiration d'une période de soixante-dix ans après leur mort, à savoir : Piet Mondrian le 1er janvier 2015, Henri Laurens et Henri Matisse le 1er janvier 2025, Georges Braque le 1er janvier 2034, Sonia Delaunay le 1er janvier 2050 et Joan Miró le 1er janvier 2054.

Période contemporaine (après 1960)

Et de nombreux artistes des scènes étrangères et française des années 1990-2000 : Bernd et Hilla Becher, Andreas Gursky, Martin Parr, Thomas Ruff, Martin Kippenberger, Nan Goldin, Peter Fischli et David Weiss, Wim Delvoye, Gilbert (Proesch) et Georges (Passmore), Cindy Sherman, Peter Doig, Andy Goldsworthy, Glenn Brown, Sean Scully, John Currin, Marlene Dumas, Ernesto Neto, Tunga (José de Barros Carvalho e Mello Mourão), Subodh Gupta, Yan Pei-Ming, Wang Du, Adel Abdessemed, Bernard Piffaretti, Bertrand Lavier, Philippe Cognée, Bernard Frize, Pierre Huyghe, Alain Sechas, Xavier Veilhan, Jean-Michel Othoniel, Philippe Ramette, Laurent Grasso, Claude Closky, Michel Blazy, Didier Marcel, Philippe Mayaux, Philippe Parreno, Valérie Belin, etc.

Architecture et design

Depuis l'intégration de la collection du Centre de création industrielle en 1992 : Otto Wagner, Peter Behrens, Gerrit Rietveld, Marcel Breuer, Pierre Chareau, Le Corbusier, Pierre Jeanneret, Charlotte Perriand, Eileen Gray, Ludwig Mies van der Rohe, René Herbst, Robert Mallet-Stevens, Franco Albini, Alvar Aalto, Marcel Lods, Gio Ponti, Jean Prouvé, Hans Coray, Ray et Charles Eames, Harry Bertoia, Marco Zanuso, Pierre Guariche, Raymond Loewy, Achille Castiglioni, Eero Saarinen, Sori Yanagi, Verner Panton, Arne Jacobsen, Roger Tallon, Pierre Paulin, Olivier Mourgue, Isamu Noguchi, Joe Colombo, Ettore Sottsass, Carlo Bartoli, Shiro Kuramata, Élisabeth Garouste et Mattia Bonetti, Gaetano Pesce, Mario Bellini, Philippe Starck, Martin Szekely, Marc Newson, Ronan et Erwan Bouroullec, Ron Arad, Aldo Rossi, Norman Foster, Jasper Morrison, Konstantin Grcic, Matali Crasset, Patrick Jouin, Jean Nouvel, Dominique Perrault, Christian de Portzamparc, etc.

Atelier Brancusi

Situé sur la piazza en dehors du bâtiment principal et intégré à la collection, l'Atelier Brancusi[22] est une reconstitution fidèle de l'atelier du sculpteur de l'impasse Ronsin, légué à l'État en 1956 avec tout son contenu (2571 œuvres achevées et ébauches, bibliothèque de 160 ouvrages, discothèque de plus de 200 disques, meubles, outils).

Bibliothèque Kandinsky

Créée en 2002, la bibliothèque Kandinsky[23] est la bibliothèque spécialisée du musée consacrée à l'art du XXe siècle. Elle trouve son origine dans la documentation rassemblée à l'hôtel Salomon de Rothschild par le Centre national d'art contemporain (Cnac) et compte 200 000 ouvrages imprimés, depuis l'acquisition en 2006 de la bibliothèque Paul Destribats, qui en a fait le fonds le plus riche au monde pour la première moitié du XXe siècle[24]. Elle peut accueillir jusqu'à 76 lecteurs sur une surface de 390 m2.

Directeurs du MNAM

Voir aussi

Articles connexes

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Lien externe

Notes et références

  1. Le Centre Pompidou en 2011, bilan d'activité, p. 230
  2. http://www.lejournaldesarts.fr/jda/archives/docs_article/101363/classement-general-2012-des-musees.php
  3. Le Centre Pompidou en 2011, bilan d'activité, p. 18
  4. Article du Figaro, 12 avril 2010.
  5. Histoire de la collection de peintures, site du musée d'Orsay
  6. Les musées du Luxembourg depuis 1750, Le musée des arts contemporains dans l’Orangerie Férou 1886-1937, Site du Sénat.
  7. Site du Centre Pompidou, Découvrir l'architecture du Centre Pompidou, p. 7
  8. http://www.legifrance.gouv.fr/./affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000726261
  9. Hors Pistes 2013, site du Centre Pompidou
  10. Un Nouveau festival, site du Centre Pompidou
  11. Cinéma du réel, site internet
  12. Manifeste 2013, site de l'IRCAM
  13. Vidéodanse, les trente ans, site du Centre pompidou
  14. Cinéastes en correspondance, site du Centre Pompidou
  15. Les manifestations orales, site de la BPI
  16. http://collection.centrepompidou.fr/Navigart/index.php?db=minter&qs=1
  17. Le centre Pompidou en 2009, Bilan d'activités, Les lacunes, p. 59-61
  18. Mais sont par exemple absents Franz Marc, Egon Schiele, Karl Schmidt-Rottluff, Erich Heckel, Otto Mueller, Wilhelm Lehmbruck, Lioubov Popova, Ivan Klioune, Edward Hooper, Jirō Yoshihara, Keith Haring, Jeff Koons, Damien Hirst, Jan Fabre, etc.
  19. Rapport d'activité 2013, p. 205
  20. Le centre Pompidou en 2012, Bilan d'activités, p. 239
  21. Article du Figaro, 12/04/2010
  22. Dossier pédagogique, Constantin Brancusi, site du Centre Pompidou
  23. Bibliothèque Kandinsky, site du Centre Pompidou
  24. Une nouvelle acquisition de la bibliothèque Kandinsky : La collection Paul Destribats, site de l'INHA

BIbliographie