Mounes-Prohencoux

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Mounes-Prohencoux
Mounes-Prohencoux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes Monts, Rance et Rougier
Maire
Mandat
Michel Leblond
2020-2026
Code postal 12370
Code commune 12192
Démographie
Gentilé Mounésien(ne) ou Mounésol(le)
Population
municipale
186 hab. (2021 en diminution de 1,06 % par rapport à 2015)
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 16″ nord, 2° 51′ 15″ est
Altitude Min. 440 m
Max. 951 m
Superficie 37,62 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Causses-Rougiers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mounes-Prohencoux
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Mounes-Prohencoux est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : le château de Falgous, inscrit en 1994.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ce territoire constitue une fraction méridionale du Massif central.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Belmont-sur-Rance, Camarès, Montlaur, Murasson et Peux-et-Couffouleux.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Mounes-Prohencoux.

La commune est drainée par le Rance, le Liamou, le petit Rance, le Riaudou, le Crouzet, le Rajal, Les Gazes, le ruisseau de Cadepau, le ruisseau de Cadernac, le ruisseau de la Borie, le ruisseau de Laime, le ruisseau de l'Albespy, le ruisseau de Prunelles et par divers petits cours d'eau[1] comme la Vigne.

Le Rance, anciennement nommé Alranre, d'une longueur totale de 63,5 km, prend sa source au sud du Massif central sur les Monts de Lacaune au mont Merdelou, département de l'Aveyron, dans le Parc naturel régional des Grands Causses, et se jette dans le Tarn en rive gauche à Trébas, localité du département du Tarn. Sa direction générale s'effectue selon un axe allant du sud-est vers le nord-ouest.

Le Liamou, d'une longueur totale de 16,2 km, prend sa source dans la commune de Mounes-Prohencoux et se jette dans le Rance à Belmont-sur-Rance, après avoir arrosé 3 communes[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 202 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Peux-et-Couffouleux à 2 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 189,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[10],[11],[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Mounes-Prohencoux comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1],[13], le « Puech de Montaran » (60,7 ha)[14] , et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] :

  • le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[15];
  • la « Vallée du Rance » (2 781 ha), qui s'étend sur 12 communes dont 11 dans l'Aveyron et 1 dans le Tarn[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mounes-Prohencoux est une commune rurale[Note 3],[17]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 1],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Mounes-Prohencoux.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,5 %), zones agricoles hétérogènes (30,5 %), prairies (19,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,7 %), terres arables (0,9 %)[19].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[20].

La commune, en 2017, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[21].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mounes-Prohencoux est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[22],[23].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Zones inondables de la commune de Mounes-Prohencoux.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Rance. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans le bassin du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[24]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Rance »[25], approuvé le 9 octobre 2015[26].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[27].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés au retrait-gonflement des argiles[22], conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[28]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. La carte de zonage de cet aléa peut être consultée sur le site de l'observatoire national des risques naturels Georisques[29]

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Mounes-Prohencoux est classée à risque moyen à élevé[30]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[31] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

  • 1833 : Prohencoux annexe la commune voisine de Mounes.
  •  : Prohencoux est renommée Mounes-Prohencoux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Mounes-Prohencoux est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[33].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 4]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[34].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Mounes-Prohencoux, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[35] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[36]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[37] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 60,71 %[38]. Michel Leblond, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [39].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[40]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[41].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 André Roques   Retraité
2008 en cours Michel Leblond[42],[43]   Ancien cadre
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

En 2021, la commune comptait 186 habitants[Note 4], en diminution de 1,06 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
5075835519789871 0331 009914966
1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
935866835866874811864852821
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
808722640585536521503420344
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
266243233190196197184188186
2021 - - - - - - - -
186--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 88 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 195 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 950 [I 5] (20 640  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 7] 8,3 % 7,8 % 6 %
Département[I 8] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 114 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (70,7 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 10]. Elle compte 33 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 36 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 82, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,7 %[I 11].

Sur ces 82 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 26 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 69,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 14,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 15,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

23 établissements[Note 7] sont implantés à Mounes-Prohencoux au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 56,5 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 23 entreprises implantées à Mounes-Prohencoux), contre 17,7 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[48]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 31 21 16 16
SAU[Note 10] (ha) 1 692 1 829 1 753 1 944

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 31 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 21 en 2000 puis à 16 en 2010[50] et enfin à 16 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 48 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[51],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 692 ha en 1988 à 1 944 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 55 à 122 ha[50].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Château de Falgous[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1994)[52]

Divers[modifier | modifier le code]

  • Prohencoux : château habité du début du XVIIe siècle.
  • Église Saint-Pierre de Mounes, (1848-1852) et son lavoir restauré en 2007.
  • Église Saint-Martin de Turipi.
  • Chapelle Saint-Vincent de Saint-Vincent.
  • Statue-menhir du Cros.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Henri Cot, dit le géant du Cros ( au hameau du Cros - ), mesurant à 22 ans 2,30 m pour 170 kg; il fut embauché par le cirque Médrano comme phénomène.

Une exposition permanente à la mairie de Mounès (accès libre aux heures d'ouverture) relate son audacieuse histoire.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Albert Aliès), Bèlmont : Montlaur, Monés-Proencós, Murasson, Reborguil, Sent-Sever / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Bèlmont, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 256 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-44-0, ISSN 1151-8375, BNF 37108934)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[49].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  2. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Mounes-Prohencoux » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Mounes-Prohencoux » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Mounes-Prohencoux » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans l'Aveyron » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Mounes-Prohencoux » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Mounes-Prohencoux » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans l'Aveyron » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche communale de Mounes-Prohencoux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  2. Sandre, « le Liamou »
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  7. « Station Météo-France « Peux-et-couffouleux_sapc » (commune de Peux-et-Couffouleux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
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