Montreuil-sur-Brêche

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Montreuil-sur-Brêche
Montreuil-sur-Brêche
La ferme fortifiée de Ponceaux.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Patrick Guibon
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60425
Démographie
Gentilé Montreuillois, Montreuilloises
Population
municipale
489 hab. (2021 en diminution de 3,93 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 30′ 31″ nord, 2° 16′ 33″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 164 m
Superficie 10,53 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Montreuil-sur-Brêche

Montreuil-sur-Brêche est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Montreuillois et les Montreuilloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de la commune de Montreuil-sur-Brêche.

Montreuil-sur-Brêche est une commune située à 72 km au nord de Paris, 16 km à l'est de Beauvais, 41 km à l'ouest de Compiègne et à 43 km au sud d'Amiens[1].

Communes limitrophes de Montreuil-sur-Brêche
Noyers-Saint-Martin Bucamps
Reuil-sur-Brêche Montreuil-sur-Brêche Le Quesnel-Aubry
Haudivillers Essuiles

Topographie et géologie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la vallée de la Brêche, qui entaille le plateau picard d'ouest en est. Le territoire culmine à 164 mètres d'altitude à proximité du calvaire du Sion établi sur la commune limitrophe du Quesnel-Aubry, sur le versant nord plus élevé que le versant méridional. Le point le plus bas, à 91 mètres se trouve au lieu où la Brêche entre sur la commune d'Essuiles. Le relief communal est marqué par la présence de vallées sèches de part et d'autre de ce cours d'eau, surtout sur le versant nord de la vallée : vallées Guillot et fond de l'Argilière à l'ouest; vallées de Crème, de Noirtreux et du Champ des Pierres au nord, vallées Chopinette, de Bucamps et de Ponceau à l'est. Enfin, l'étude altitudinale des principaux lieux nous permet de situer le village entre 95 et 110 mètres, le hameau de Couvrement autour de 100 mètres au-dessus du niveau de la mer[2].

Montreuil-sur-Brêche se trouve en zone de sismicité 1, c'est-à-dire très faiblement exposée aux risques de tremblement de terre[3].

Hydrographie et eau potable[modifier | modifier le code]

La commune est traversée la Brêche, sous-affluent de la Seine prenant sa source à Reuil-sur-Brêche et confluant dans l'Oise à Creil.

L'ensemble des talwegs conduisent les eaux de ruissellement vers ce cours d'eau. Un étang a été creusé au sud du chef-lieu dans le fond de la vallée. La présence d'une activité agricole est à l'origine de plusieurs réservoirs et mares sur le territoire, notamment dans le village et à Couvremont. Une station d'épuration a été établie près du stade[2]. Les zones les plus basses du territoire dans le fond des vallons sont situées au-dessus de nappes phréatiques sous-affleurantes[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 682 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Tillé à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 655,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels[modifier | modifier le code]

Hormis les espaces bâtis couvrant 40 hectares pour 3,7 % de la surface communale, la surface territoriale est très majoritairement consacré à l'activité agricole (80 % d'espaces cultivés sur 391 hectares) auquel on peut ajouter 20 hectares de vergers et de prairies ainsi que 8 hectares de pelouses sur sol calcaire. Les espaces boisés s'étendent sur 143 hectares pour plus de 13 % de la surface communale. Ils sont représentés par les bois de l'Abbaye et Lebaut au nord, du Parc et de Jardinet au sud ainsi que par quelques espaces marécageux dans la vallée de la Brêche[11],[2].

La vallée de la Brêche constitue une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type 1 inscrite dans l'ensemble du réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montreuil-sur-Brêche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,6 %), forêts (10,6 %), zones agricoles hétérogènes (6,8 %), zones urbanisées (6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'espace bâti se concentre principalement au chef-lieu. La commune ne compte qu'un seul hameau, Couvremont à l'ouest[2].

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Le village est de type village rue, habituel dans la région. Sa formation résulte de la réunion du pôle ancien (prieuré, ferme de Poneaux) et du secteur de l'église qui ne font aujourd'hui plus qu'un. Le hameau de Couvremont, construit dans le prolongement de la rue de l'église ne forme plus qu'une seule agglomération avec le village[2].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

La commune forme le point de rencontre entre quatre routes départementales : la RD 125, la RD 151, la RD 539 et la RD 596.

La route départementale 151, reliant Clermont à Grandvilliers en constitue la rue principale (rues de Clermont et de Grandvilliers). La route départementale 125 débute au nord sur la D 151 pour rejoindre Bresles puis Ponchon via les rues de la Maladrerie et du Pont Maréchal. La route départementale 539 se détache de la D151 pour bifurquer vers Fresnaux et Thieux. Enfin, la route départementale 596 se détache de la D 151 au sud-est de l'agglomération par les rues de Cayen, de l'église, de l'abreuvoir puis de Couvremont avant de prendre la direction de Reuil-sur-Brêche. De surcroît, une route communale se dirige vers le village voisin du Quesnel-Aubry[2].

La gare ferroviaire la plus proche est celle de Saint-Just-en-Chaussée à 11 km à l'est, sur la ligne de Paris-Nord à Lille. Depuis la gare de Beauvais, à 16 km on peut accéder à la ligne Paris-Le Tréport[1]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 6103, 6109 et 6114 du réseau interurbain de l'Oise[19]. Une navette de regroupement pédagogique intercommunal (ligne 6659) relie le village aux communes voisines du Quesnel-Aubry et de Bucamps[19].

L'aéroport de Beauvais-Tillé se trouve à 13 km à l'ouest[1] et l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle se situe à 59 km au sud-est[1]. Il n'existe pas de liaisons par transports en commun entre la commune et ces aéroports.

Le sentier de grande randonnée GR 124, balisé de Cires-lès-Mello dans l'Oise à Rebreuviette dans le Pas-de-Calais traverse la commune d'est en ouest depuis la vallée de Bucamps, par la ferme de Poneaux dans le village jusqu'au fond de l'Argilière.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Monasteriolum castrum (1040) ; de Musterolo (1147) ; Monsterel (1164) ; Monsterol (1170) ; Mosterol (1173) ; in villa Monasterolo (1178) ; Mosterellum (1179) ; Musteroel (1189) ; Monstrolium supra Breschiam (1205) ; Musterol (1209) ; Mosteroil (1233) ; de Monsterolio super Breschiam (1278) ; Monsteruel (1292) ; Monstereul sur Bresche (1373) ; Monstreul (1470) ; Montreul (1470) ; Monstreuil (1470) ; eccl. de Monstrolio super Breschiam (XVe) ; Monstreuil sur Bresche (1667) ; Montreuil-sur-Brèche (1840)[20].

La commune a pour étymologie Monasteriolum en 1040[21], « monastère ».
De l'ancien français Monstruel, issu du bas latin monasteriolum « petit monastère, église ».

La Brèche ou Brêche est une petite rivière française, située dans le département de l'Oise, en ancienne région Picardie, intégrée dans les Hauts-de-France, et un sous-affluent de la Seine par l'Oise.

Histoire[modifier | modifier le code]

La seigneurie de Montreuil a appartenu aux Paris, seigneurs de La Brosse.

Lors de la guerre de Cent Ans, le village est mis à sac en 1472[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[24], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[25], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[26].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[27], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  juin 1995 M. Parmentier[29]    
juin 1995[29] 2011[30] Robert Cadas   Décédé en fonction
24 février 2012[31] En cours
(au 29 janvier 2020)
Patrick Guibon   Réélu pour le mandat 2014-2020[32]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[34].

En 2021, la commune comptait 489 habitants[Note 3], en diminution de 3,93 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
781752860840820821813779787
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
772707693684621599613586585
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
550508486448437415414431468
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
398418444408380440521531494
2021 - - - - - - - -
489--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 242 hommes pour 241 femmes, soit un taux de 50,1 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
5,5 
75-89 ans
8,2 
13,9 
60-74 ans
14,0 
24,6 
45-59 ans
21,9 
18,5 
30-44 ans
23,9 
18,4 
15-29 ans
14,5 
19,0 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Équipements[modifier | modifier le code]

Le village a décidé en 2018 de se doter d'une nouvelle salle des fêtes, dont la mise en srvice est escomptée en 2020/2021[38].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La ferme de Ponceaux.
  • La ferme de Ponceaux (XVIIe siècle) : ferme ayant appartenu aux moines d'une abbaye, elle présente deux tourelles d'entrée, reste de l'ancien château fortifié de Montreuil. La Brêche alimenta pendant plusieurs siècles les douves du château fort[39]. La conciergerie, la grange, l'édifice agricole et les deux tours font l'objet d'une inscription aux titre des monuments historiques depuis le 1969[40].
  • L'église Saint-Pierre, datant de 1477, avec voûtes et clocher en bois[41]. Une peinture sur bois de l'édifice y est classée monument historique[42].
  • Chapelle Saint-Jean de Couvremont
  • Chapelle Saint-Prix, rue de Grandvilliers
  • Chapelle Jésus-Maria, rue de l'Abreuvoir
  • La Grange, lieu d'exposition consacré à la photographie géré par l'association Diaphane[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Philippe Honoré dit Honoré (1941-2015), dessinateur humoristique et politique assassiné dans les locaux de Charlie Hebdo avait une résidence à Montreuil-sur-Brêche. L'école municipale porte désormais son nom[44].
  • Nolan Roux, footballeur français professionnel, a grandi à Montreuil-sur-Brêche

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d « orthodromie : distance à vol d'oiseau », sur le site lion1906.com, site personnel de Lionel Delvarre (consulté le ).
  2. a b c d e et f « Carte au 1/15000e » sur Géoportail (consulté le 26 juin 2018)..
  3. « Géorisques : Mieux connaître les risques sur le territoire - Montreuil-sur-Brêche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Carte de remontée des nappes », sur innondationsnappes.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Montreuil-sur-Brêche et Tillé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Beauvais-Tillé » (commune de Tillé) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Synthèse des zonages du patrimoine naturel et paysager, de la faune, de la flore et des habitats naturels », sur donnees.picardie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Réseau de cours d'eau salmonicoles du plateau picard entre Beauvais et Compiègne : Laversines, Aronde et Brêche, fiche znieff détaillée », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a et b « Transports en commun à Montreuil-sur-Brêche », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  20. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 367.
  21. Charles Rostaing, Albert Dauzat, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, , 1 vol. (XII-738-XXIII p.), p. 448.
  22. « Le siège de Beauvais (1472) », sur Gallica, (consulté le ).
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  25. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  26. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  27. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  28. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  29. a et b « La secrétaire aura travaillé avec trois maires », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3587,‎ , p. 20.
  30. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Hebdomadaire Le Bonhomme picard du 26 mars 2008
  31. « Patrick Guibon élu maire de la commune », Le Bonhomme Picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 16.
  32. « Patrick Guibon reconduit à la tête de la mairie », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 24.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montreuil-sur-Brêche (60425) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  38. « Il y aura une nouvelle salle des fêtes à Montreuil-sur-Brêche », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. Cahiers de l'Ecomusée, numéro spécial (1987) : la Brêche et ses moulins par la vallée dorée, page 6-7
  40. « Ferme de Ponceaux ou Poneaux », notice no PA00114759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Dominique Vermand, « Montreuil-sur-Brêche, église Saint-Pierre », Diocèse : Beauvais, Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
  42. « Peinture sur bois », notice no PM60003474, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  43. Voir http://fr.actuphoto.com/p/la-grange.
  44. Gontran Giraudeau, « Montreuil-sur-Brêche (60) : un hommage à Honoré prévu lundi : Les habitants de Montreuil-sur-Brêche (60) rendront hommage lundi à Philippe Honoré, victime de l'attaque meurtrière à Charlie Hebdo le 7 janvier 2015, devant l'école qui porte désormais son nom. Le dessinateur avait une résidence secondaire dans la commune. », France 3 Hauts-de-France,‎ (lire en ligne).