Montreuil-l'Argillé

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Montreuil-l'Argillé
Montreuil-l'Argillé
Vue de la motte féodale Logo monument historique Inscrit MH (1989)
et des toits du bourg, en contrebas.
Blason de Montreuil-l'Argillé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité Communauté de communes Intercom Bernay Terres de Normandie
Maire
Mandat
Jean-Louis Groult
2020-2026
Code postal 27390
Code commune 27414
Démographie
Gentilé Montreuillais
Population
municipale
808 hab. (2021 en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 22″ nord, 0° 28′ 53″ est
Altitude Min. 161 m
Max. 225 m
Superficie 13,72 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Breteuil (Eure)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.montreuillargille.fr

Montreuil-l'Argillé est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Montreuil-l'Argillé est un village-centre du pays d'Ouche établi dans la vallée du Guiel. Ce bourg se trouve à 10 kilomètres d'Orbec, 26 kilomètres de L'Aigle, 5 kilomètres du département du Calvados, 30 kilomètres de Lisieux et 20 kilomètres de Bernay.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée du sud au nord par le Guiel[2]. Le bourg est établi le long de ses rives.

Voies routières[modifier | modifier le code]

Le territoire laisse passer les routes départementales RD 35, RD 107, RD 438 et RD 819.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Ferté-en-Ouche à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 797,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montreuil-l'Argillé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,4 %), prairies (40,6 %), forêts (5,6 %), zones urbanisées (4,4 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Monasteriolum, Monsteriolum, Mosteiolum au XIe siècle (Orderic Vital) ; Monstariolo en 1050[16], Mosterel en 1124 (charte de Henri Ier), Mosteroel en 1205 (archives de l’Eure), Mosteruel en 1259 (cartulaire de Lyre), Montreuil l’Argillier en 1404 (O. Desnos, Mém. hist. sur Alençon), Monstereul en 1424 (ch. de Henri VI d’Angleterre), Monstreul en 1624 (man. de la charité de Sainte-Croix de Bernay), Montreil en 1631 (Tassin, Plans et profilz), Montreul et Montereul l’Argile en 1722 (Masseville), Montreuil l’Angele en 1759 (déclar. royale)[17].

Le toponyme Montreuil correspond à un type courant au nord de la France, c'est un terme d'ancien français qui désignait un édifice religieux d'un genre difficile à déterminer, soit une église[18], soit une petite église[19] ou encore un petit couvent[20]. Il est issu du gallo-roman MONASTERIOLU (autrement du latin tardif monasteriolum[18]), dérivé en -iolum, du bas latin mŏnastērium « monastère ».

Le déterminant complémentaire l'Argillé n'est pas attesté avant 1719[18], il permet sans doute de faire la distinction avec les autres Montreuil de Normandie, notamment Montreuil-en-Auge (Calvados) et Montreuil-la-Cambe (Orne), situés à moins de cinquante kilomètres. L'Argillé dérive peut-être du mot argile[18],[21] qui pouvait s'écrire avec deux L en ancien français selon l'étymologie latine argilla, mais son sens précis dans le cas de Montreuil reste obscur.

Le toponyme du hameau Ectot[22] correspond à un type toponymique exclusivement normand et très courant, puisqu'on en dénombre plus d'une quinzaine (on trouve aussi les graphies Ecquetot et Hectot). Les formes anciennes des différents Ectot, comme Eschetoth, Esketoth, comparables à celles de Eastoft en Grande-Bretagne ou Essetoft au Danemark, plaident en faveur d'une origine scandinave[23]. En outre, l'appellatif -tot « emplacement pour une ferme, une maison » est fréquent en Normandie septentrionale, non loin des côtes de la Manche, et bien identifié comme étant issu du vieux norrois topt « emplacement, site d'une maison ». Cependant, il est très rare dans le pays d'Ouche et si loin au sud. Un peu à l'ouest et au sud se trouvent Chiffreteau (ancien Chiffretot) à Saint-Aubin-de-Bonneval à 10 km dans l'Orne, Chiffretot à Champosoult à 35 km, également dans l'Orne et Chiffretot aux Moutiers-Hubert à 25 km, dans le Calvados. Le premier élément Ec- représente vraisemblablement le vieux norrois eski qui signifie « frênes » comme dans les autres Ectot / Ecquetot (anciennement Esketot, Eschetot).

Histoire[modifier | modifier le code]

Montreuil fut un fief de la famille Giroie à partir du début du XIe siècle. Cette famille est probablement à l'origine de la motte féodale du village, témoin d'une fortification de la première moitié du XIe siècle[24],[25].

La commune absorbe Saint-Aquilin-d'Augerons (120 habitants) en 1963.

Héraldique[modifier | modifier le code]

D'argent à la fasce d'azur.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
  1939 Albert Durand   Avocat
mars 2008   Jean-Pierre Decultot    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].

En 2021, la commune comptait 808 habitants[Note 2], en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
912970960830842900932894948
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
866842846843798799812797798
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
763762748734679592672730635
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
620755773726706740783805812
2021 - - - - - - - -
808--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu'il est de 25,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 397 hommes pour 435 femmes, soit un taux de 52,28 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,26 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,1 
7,9 
75-89 ans
13,1 
22,9 
60-74 ans
19,5 
19,8 
45-59 ans
19,2 
15,6 
30-44 ans
15,0 
16,4 
15-29 ans
14,0 
17,2 
0-14 ans
18,0 
Pyramide des âges du département de l'Eure en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,6 
6,2 
75-89 ans
8,6 
17 
60-74 ans
17,8 
20,8 
45-59 ans
20,1 
18,8 
30-44 ans
18,8 
16,4 
15-29 ans
14,7 
20,2 
0-14 ans
18,6 

Enseignement[modifier | modifier le code]

Montreuil-l'Argillé possède une école publique maternelle et élémentaire de 186 élèves[32].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 13 725 , ce qui plaçait Montreuil-l'Argillé au 29 614e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[33].

Emplois[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité en 2008 est de 61,3 % pour la tranche d'âge 15 - 24 ans (France métropolitaine : 43,2 %), 86,4 % pour la tranche d'âge 25 - 54 ans (France métropolitaine : 89,6 %), et 28,2 % pour la tranche d'âge 55 - 64 ans (France métropolitaine : 41,5 %)[34].

Répartition de la population active par type d'activité (recensement de 2008)

  Actifs ayant un emploi Étudiants Chômeurs Retraités Autres inactifs
Montreuil-l'Argillé 60,2 % 5,9 % 8,6 % 11,4 % 13,8 %
Moyenne nationale 63,8 % 10,6 % 8,0 % 8,6 % 9,1 %
Sources des données : INSEE[34]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les deux principales entreprises sont le producteur de machines à capsuler André Zalkin (400 salariés) et l'atelier de mécanique de précision Le Nouaille (30 salariés)[35].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune de Montreuil-l'Argillé compte trois édifices inscrits au titres des monuments historiques :

  • la maison du Bailliage (XVIe) Logo monument historique Inscrit MH (1949)[36] ;
  • le château féodal (XIe) Logo monument historique Inscrit MH (1989)[37]. Il s'agit d'une motte féodale, des vestiges archéologiques de l'enceinte principale et des deux basses-cours du château féodal ;
  • le château de Lusigneul (XVIIe et XVIIIe) Logo monument historique Inscrit MH (1984)[38].

Autres édifices et monuments :

  • les églises Saint-Georges du XIe siècle et Saint-Aquilin du XVe siècle ;
  • des vieilles maisons normandes dont l'une date du XVIe siècle ;
  • vaste mairie de briques rouges (à l'origine un projet de gare ferroviaire) ;
  • le menhir dit « la Pierre-aux-Bœufs », rue Gilbert-Hue.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Carte des communes limitrophes » sur Géoportail (consulté le 13 mai 2012).
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Guiel (H6110600) ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Montreuil-l'Argillé et La Ferté-en-Ouche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Couvains » (commune de La Ferté-en-Ouche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Couvains » (commune de La Ferté-en-Ouche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 146.
  17. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 146.
  18. a b c et d François de Beaurepaire, Op. cit.
  19. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 181.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 447b -448a sous Ménestérol-Montignac.
  21. René Lepelley, Op. cit.
  22. Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 75.
  23. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 95 -96.
  24. a et b Louis-Étienne Charpillon et Anatole Caresme (préf. Alexandre Dumas), Dictionnaire historique de toutes les communes du département de l’Eure : Histoire, géographie, statistique, t. II, Les Andelys, Delcroix, (OCLC 5822242, lire en ligne), p. 551–555
  25. Karl Dubost, « Montreuil-l'Argillé », sur Normandie Web (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Montreuil-l'Argillé (27414) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Eure (27) », (consulté le ).
  32. Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, « Annuaire : présentation des écoles, collèges, lycées, etc. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur education.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Régions, départements et villes de France : résumé statistique », sur site de l'INSEE (consulté le ).
  34. a et b « Résultats du recensement de la population - 2008 (Montreuil-l’Argillé) », sur site de l'INSEE (consulté le ).
  35. Roger Brunet, « Canton de Broglie », sur France, le trésor des régions (consulté le ).
  36. « Maison du Bailliage », notice no PA00099492, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Château féodal », notice no PA00099631, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Château de Lusigneul », notice no PA00099491, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Liens externes[modifier | modifier le code]

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