Montrem

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Montrem
Montrem
La mairie de Montrem, à Montanceix.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord
Maire
Mandat
Sylvie Bouton
2020-2026
Code postal 24110
Code commune 24295
Démographie
Gentilé Montrémois
Population
municipale
1 194 hab. (2021 en diminution de 5,24 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 09′ 01″ nord, 0° 34′ 32″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 217 m
Superficie 20,15 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Astier
(banlieue)
Aire d'attraction Périgueux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Astier
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Montrem
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Montrem
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Montrem
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Montrem
Liens
Site web www.mairiedemontrem.fr

Montrem est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Située en Périgord central, dans le département de la Dordogne, et incluse dans l'unité urbaine de Saint-Astier, la commune de Montrem est bordée au nord par l'Isle, principal affluent de la Dordogne et traversée d'ouest en est par l'autoroute A89.

De la commune, ce n'est pas le village de Montrem, à l'écart des principales voies de circulation, qui est le plus connu, mais le bourg de Montanceix où est implantée la mairie, sur la route départementale 6089 (l'ancienne route nationale 89) ; en distances orthodromiques, la mairie se trouve trois kilomètres et demi à l'est du centre-ville de Saint-Astier, douze kilomètres à l'ouest-sud-ouest de celui de Périgueux, et deux kilomètres et demi au nord-ouest de l'échangeur no 14 Périgueux-Ouest sur l'autoroute A89.

La commune est également desservie au nord par la route départementale 41, en direction de Saint-Astier et au sud par la RD 43 en direction de Manzac-sur-Vern.

La commune est traversée par la ligne ferroviaire Bordeaux-Périgueux, les gares les plus proches étant celles de Razac et de Saint-Astier, situées respectivement à trois et cinq kilomètres du bourg de Montanceix, par la route.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Montrem est limitrophe de six autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 250 mètres de celui de Léguillac-de-l'Auche.


Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montrem est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de calcaires hétérogènes du Crétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone à wackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs. La formation la plus récente, notée CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altérites. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 782 - Mussidan » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[Carte 1],[2] et sa notice associée[3].

Carte géologique de Montrem.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 65 mètres[4] au nord, en aval du barrage du Moulin du Puy, là où le bras oriental de l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Astier, et 217 mètres[4] au sud du territoire communal, au sud du lieu-dit les Rolphies[5].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [6]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[7]. La commune est dans l'unité paysagère de la « Vallée de l'Isle », qui présente un profil contrasté : une vallée relativement encaissée, aux coteaux affirmés, dominant le fond de vallée de 60 à 80 m en amont de Mussidan, une vallée plus élargie en aval avec un fond de vallée plat, large de 1,5 à 2 km. À la fois agricole et urbanisée, elle est parcourue par de nombreuses voies de communication[8],[9].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,15 km2[4],[10],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,74 km2[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par l'Isle, le Naussac, le Longeron, le ruisseau de Lacaud, le ruisseau de Loirat, le ruisseau de Pavie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 28 km de longueur totale[14],[Carte 2].

L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans la Haute-Vienne dans la commune de Janailhac et se jette dans la Dordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face à Arveyres, en limite de Fronsac et de Libourne[Carte 3],[15]. Elle borde la commune au nord sur quatre kilomètres et demi, face à Annesse-et-Beaulieu et Saint-Astier.

Trois de ses affluents de rive gauche baignent le territoire communal : le Naussac dans le nord-est sur trois kilomètres et demi, le ruisseau de Pavie dans le sud-ouest sur près de deux kilomètres, dont 500 mètres en limite de Grignols, et le Longeron qui sert de limite naturelle sur plus de deux kilomètres au nord-est, face à Razac-sur-l'Isle.

Affluent de rive gauche du Naussac, le ruisseau de Lacaud prend sa source dans le sud de la commune qu'il arrose sur plus de deux kilomètres et demi.

Le ruisseau de Loirat, affluent de rive droite du ruisseau de Pavie, prend sa source dans le sud-ouest du territoire communal qu'il baigne sur plus de deux kilomètres.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [17].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Coulounieix-Chamiers à 10 km à vol d'oiseau[20], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Confluence d'un bras de l'Isle avec le cours principal de la rivière à Montanceix.

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d'intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en et se situe dans sa « zone de transition », hormis la vallée de l'Isle qui fait partie de sa « zone tampon »[26].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune[28].

Le site « vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne » est une zone spéciale de conservation qui s'étend sur 7 997 hectares du bassin versant de l'Isle sur 38 communes, dont une moitié sont situées en Dordogne et l'autre en Gironde[29],[Carte 5].

Correspondant à la zone inondable de la vallée de l'Isle, ce site est remarquable par la présence de 22 espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive habitats : un crustacé, neuf insectes, deux mammifères, neuf poissons, un reptile et une plante ptéridophyte[30].

Sur le territoire de Montrem, cette zone de près de 140 hectares correspond à l'intérieur du méandre des Vignauds, au nord de la route située au nord du lieu-dit les Parrauds, ainsi qu'à une mince bande située entre la rivière et la voie ferrée.

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L'inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d'améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d'aide à la prise en compte de l'environnement dans l'aménagement du territoire.

En 2023, aucune ZNIEFF n'est recensée sur la commune d'après l'INPN[31].

Cependant, la ZNIEFF de type 2[Note 4] « Vallée de l'Isle de Périgueux à Saint-Antoine-sur-l'Isle, Salembre, le Jouis et le Vern » concerne notamment la vallée de l'Isle depuis Gravelle à Annesse-et-Beaulieu jusqu'au pont de la route départementale 41 à Saint-Astier et donc Montrem, sur une zone comprise à l'intérieur de la zone Natura 2000 citée ci-avant, et plus restreinte qu'elle (environ 80 hectares)[Carte 6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montrem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[32],[33],[34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Astier, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[35] et 6 537 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[36],[37].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[38],[39].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (51 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), zones agricoles hétérogènes (29,4 %), prairies (15,3 %), zones urbanisées (3,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,6 %), terres arables (0,1 %)[40]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 7].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le petit bourg de Montrem proprement dit ainsi que Montanceix (bourg principal où se trouve la mairie), la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[41] :

  • Angueur
  • Barrat
  • Breuilh
  • Brujacelles
  • les Chabroulies
  • Chambaraud
  • Chancenie
  • Chanteroudilles
  • le Châtenet
  • Côte Folle
  • Excidoire
  • Fayolle
  • Ferrières
  • Fleix
  • Jarrige
  • Lacaud
  • Leyssandie
  • le Loirat
  • la Mouthe
  • les Parrauds
  • le Peyrat
  • Pinet
  • Pourtem
  • Pratz
  • Puyausard
  • Puypelat
  • les Rolphies
  • Saunard
  • les Vignauds
  • la Vigne Barrade
  • Vilaret.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montrem est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[42]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[43].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant 12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[44]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (15,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (14,83 m) et de 1944 (14,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[45]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999 et 2018[46],[42]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le , pour les crues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l’Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente une période de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[47]. La zone la plus exposée au risque inondation est située tout au nord, dans le méandre de l'Isle et concerne les lieux-dits les Vignauds et partiellement les Parrauds[48].

Montrem est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[49]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[50],[51].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montrem.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[52]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[53]. 98,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 8]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[54].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 1997, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[42].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La première mention écrite connue de Montrem date du XIIIe siècle sous la forme « Montrent » dans un pouillé, puis « Montrenc » en 1365[55],[56]. Il dérive de l'occitan mons signifiant « hauteur » et du nom d'un personnage d'origine germanique Ragino[55].

En occitan, la commune porte le nom de Montrenc[57].

Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[58].

Histoire[modifier | modifier le code]

Près du bourg de Montanceix se trouvent « un gisement néolithique et des cluzeaux »[59].

Au Moyen Âge, la paroisse de « Montren » dépendait de la châtellenie de Saint-Astier[60]. L'église de Montrem a été édifiée au XIIe siècle[61].

Le siège de la paroisse est situé au bourg de Montrem, qui est aussi officiellement le chef-lieu de la commune.

Aujourd'hui siège de la mairie de Montrem et de différents commerces, le petit bourg de Montanceix a dû s'établir et prendre de l'importance par rapport au château de Montanceix, situé sur l'éperon rocheux au-dessus de ce bourg et qui était jadis le siège du pouvoir seigneurial pour la paroisse de Montrem. Avant la Révolution française de 1789, le marquis d'Abzac de La Douze était baron de Montancès (selon l'orthographe en vigueur alors).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

Dès 1790, la commune de Montrem a été rattachée au canton de Saint-Astier qui dépendait du district de Perigueux jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est supprimé et la commune est rattachée au canton de Grignols dépendant de l'arrondissement de Périgueux. Il change de nom et devient le canton de Saint-Astier en 1829, à la suite du transfert du chef-lieu de Grignols vers Saint-Astier[4].

Lors de l'importante réforme de 2014 définie par le décret du et supprimant la moitié des cantons du département, la commune reste attachée au même canton[62].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Fin 2002, Montrem intègre dès sa création la communauté de communes Astérienne Isle et Vern. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[63],[64].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 1965 juin 1995 Roger Ranoux PCF Ancien député (1956-1958)
juin 1995[65] mai 2020 Jacques Ranoux DVG[66] Directeur de village de vacances
Président de la communauté de communes Astérienne Isle et Vern, (2011-2013)
Président de la communauté de communes Isle Vern Salembre en Périgord (2014-2020)

Conseiller départemental du canton de Saint-Astier depuis 2021

mai 2020[67] En cours Sylvie Bouton    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2023, la commune possède une école élémentaire publique à Montanceix[68]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Montrem relève[69] :

Sécurité[modifier | modifier le code]

Pour la sécurité, la commune dépend de la brigade de gendarmerie de Saint-Astier[70].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Montrem se nomment les Montrémois[71].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].

En 2021, la commune comptait 1 194 habitants[Note 8], en diminution de 5,24 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0387691 0401 1831 1131 1161 1311 0881 192
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1371 0551 0591 0281 0341 0481 037931852
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
762765792741730722711756831
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8587709139821 0451 0491 1581 1951 244
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2601 1971 194------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[74].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2019[75], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 556 personnes, soit 45,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (45) a fortement diminué par rapport à 2013 (80) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 8,0 %.

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

57 établissements[76] sont implantés à Azerat au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 9],[77].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 57 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
10 23.3 % (10,2 %)
Construction 6 10,5 % (14,2 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
13 22.8 % (31,3 %)
Information et communication 2 3,5 % (1,7 %)
Activités financières et d'assurance 2 3,5 % (3,4 %)
Activités immobilières 0 0,0 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
9 15,8 % (14,5 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
4 7,0 % (11,5 %)
Autres activités de services 10 17,5 % (9,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 22,8 % du nombre total d'établissements de la commune (13 sur les 57 entreprises implantées à Montrem), contre 31,3 % au niveau départemental[78].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Entreprises[modifier | modifier le code]

Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, deux sociétés implantées à Montrem se classent parmi les cinquante premières dans le secteur industriel quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016[79] :

  • la Société industrielle de moules et moulages plastiques IMEPSA (fabrication de pièces techniques à base de matières plastiques) : 26e avec 9 511 k€ ;
  • ELP (fabrication de parfums et de produits pour la toilette) : 34e avec 7 625 k€.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

  • Le château de Montanceix a été édifié du XIVe au XVIe siècle. Il a été assiégé plusieurs fois pendant la guerre de Cent Ans, et pendant la Fronde, une bataille a eu lieu sous ses murs[80] en 1652[59].
  • Manoir de Chancenie datant des XVIIIe et XIXe siècles[81].

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Roger Ranoux (1921-2015), importante figure de la Résistance en Dordogne, député de 1956 à 1958, fut maire de Montrem de 1965 à 1995.
  • Michelle Puyrigaud (1926-2021), résistante et responsable communiste a vécu à Montrem.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • René Fage, « Le combat de Montanceix en Périgord (1652) », dans Bulletin de la Société scientifique historique et archéologique de la Corrèze, 1923, p. 54-94 (lire en ligne)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[11],[12]
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Montrem », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  3. « Notice associée à la feuille no 782 - Mussidan de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  4. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  6. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  7. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Repères géographiques de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « Portrait de la Vallée de l'Isle », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Montrem », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  13. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  14. « Fiche communale de Montrem », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  15. Sandre, « l'Isle »
  16. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  17. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  19. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  20. « Orthodromie entre Montrem et Coulounieix-Chamiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  21. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  22. « Station Météo-France « Coulounieix » (commune de Coulounieix) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  23. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  24. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  25. « Liste des espaces protégés sur la commune de Montrem », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le ).
  27. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  28. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Montrem », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  29. Arrêté du 12 juillet 2021 modifiant l'arrêté du 27 octobre 2015 portant désignation du site Natura 2000 « Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne » (zone spéciale de conservation), Légifrance, consulté le date-|3 avril 2023.
  30. [PDF] FR7200661 - Vallée de l'Isle de Périgueux à sa confluence avec la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  31. « Liste des ZNIEFF de la commune de Montrem », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  32. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  34. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  35. « Unité urbaine 2020 de Saint-Astier », sur insee.fr (consulté le ).
  36. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  37. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  38. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  39. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  40. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  41. « Montrem » sur Géoportail (consulté le 21 janvier 2021)..
  42. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Montrem », sur Géorisques (consulté le ).
  43. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  44. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  45. « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Périgueux », sur nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  46. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  47. « Plan de prévention du risque inondation de l'« agglomération de Périgueux » », sur le site de la préfecture de la Dorodgne, (consulté le ).
  48. [PDF] Périgueux au titre de l'aléa de débordement de l'Isle, DREAL occitanie, consulté le .
  49. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  50. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  51. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  52. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  53. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  54. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  55. a et b Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Cahors, Éditions Fanlac, , 447 p. (ISBN 2-86577-215-2), p. 241-242.
  56. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Montren », 1873, sur guyenne.fr, consulté le .
  57. Le nom occitan des communes du Périgord - Montrenc sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  58. (en) Ryan Anderson, Sols 3051-3053: In Your (Cliff) Face, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
  59. a et b Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 316.
  60. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Saint-Astier », 1873, sur guyenne.fr, consulté le .
  61. a et b « Église Saint-Pierre-ès-Liens », notice no PA00082706, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le .
  62. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  63. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 7 septembre 2020.
  64. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
  65. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 23 août 2014.
  66. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 20.
  67. « La première femme à la tête de la mairie », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 15.
  68. École élémentaire, ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse, consulté le .
  69. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  70. Compétence territoriale gendarmerie et police nationales, site du Gouvernement français, consulté le . Pour accéder à l'information de la commune, cliquer à droite sur « Voir les données ».
  71. Fiche de commune Montrem, Union des maires de la Dordogne, consultée le .
  72. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  73. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  74. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  75. Dossier complet - Commune de Montrem (24295) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le .
  76. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  77. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2020 à Montrem » (consulté le ).
  78. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au en Dordogne » (consulté le ).
  79. « Industrie », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 32.
  80. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 184.
  81. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, Luçon, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 72.
  82. a et b Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 56-57.