Moncontour (Côtes-d'Armor)

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Moncontour
Moncontour (Côtes-d'Armor)
L’hôtel de ville de Moncontour.
Blason de Moncontour
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Côtes-d'Armor
Arrondissement Saint-Brieuc
Intercommunalité Lamballe Terre et Mer
Maire
Mandat
Anne-Gaud Millorit
2020-2026
Code postal 22510
Code commune 22153
Démographie
Gentilé Moncontourais, Moncontouraise
Population
municipale
745 hab. (2021 en diminution de 13,87 % par rapport à 2015)
Densité 1 863 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 36″ nord, 2° 37′ 55″ ouest
Altitude 150 m
Min. 98 m
Max. 182 m
Superficie 0,4 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Brieuc
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plaintel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Moncontour

Moncontour [mɔ̃kɔ̃tuʁ] est une commune française située dans le département des Côtes-d'Armor en région Bretagne.

Elle fait partie des Petites Cités de Caractère et de l'association Les Plus Beaux Villages de France[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située à vol d'oiseau à 15 km au sud-ouest de Lamballe et à 19,5 km au sud-est de Saint-Brieuc.

Communes limitrophes de Moncontour
Hénon
Plémy Moncontour Trédaniel
Plémy Plémy

Géographie physique[modifier | modifier le code]

La ville est située au bord de l'Évron, un petit fleuve côtier qui partage le même estuaire que le Gouessant. La superficie de la commune n'est que de 480 hectares, ce qui en fait la plus petite du département des Côtes d'Armor. La commune a un relief accidenté, l'altitude variant entre 98 m et 182 m. La ville occupe en effet une petite colline située à la confluence de l'Évron et d'un de ses affluents.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Finistère nord, caractérisée par une pluviométrie élevée, des températures douces en hiver (°C), fraîches en été et des vents forts[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur », exposée à un climat médian, à dominante océanique[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 11,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 816 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Plœuc-L'Hermitage à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 954,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Cadre géologique[modifier | modifier le code]

Carte géologique du Massif armoricain.

Le massif granitique de Plœuc-Moncontour est situé dans le domaine centre armoricain, unité géologique du Massif armoricain qui correspond à un vaste synclinorium s'allongeant sensiblement en direction W-E, depuis la presqu'île de Crozon jusqu'au bassin de Laval. La région est constituée d'un pluton qui fait partie du batholite médio-armoricain, chapelet de massifs granitiques[Note 1] mis en place au cours de l'orogenèse varisque[Note 2] le long du Cisaillement Nord-Armoricain[Note 3] et partiellement déformés par lui. Dans le détail, cette mise en place a pu être contrôlée par des structures préexistantes, en particulier des failles WSW-ENE et des failles transverses NNE-SSW (structuration cadomienne). Ce chapelet comprend le leucogranite de Saint-Renan, les massifs composites de Plounéour-Ménez Huelgoat, Bégard-Plouaret, Quintin, Plœuc-Moncontour et Dinan[9].

Ce massif granitique tardi-tectonique d'allure elliptique (allongement W-E sur près de 25 km, avec une largeur inférieure à 10 km), est intrusif dans les formations paléozoïques du synclinorium et la terminaison orientale du bassin de Châteaulin-Carhaix. Il est essentiellement constitué par un granite monzonitique, à grain grossier ou porphyroïde (feldspaths potassiques pouvant atteignent plusieurs cm), à biotite (et localement hornblende)[Note 4]. « Souvent intensément arénisé en surface et parfois couvert par des limons, il affleure assez mal, contrairement aux autres granites hercyniens régionaux. Il n'a de ce fait donné lieu qu'à très peu d'exploitation en carrières. Il présente cependant un rebord abrupt au Nord de Plœuc, rejeu récent probable d'une ancienne fracture et il est entaillé par les cours d'eau de la région de Moncontour[10] ».

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Moncontour est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Brieuc, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 51 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (67,8 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (62,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (67,8 %), forêts (12,7 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), terres arables (6,8 %), prairies (2,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Moncontor en 1092[17], Castrum Moncontorium à la fin du XIe siècle, Moncontorio en 1125 et en 1150[18], Castrum Moncontorium en 1152, Mons Consularis vers 1180, Montem Contoris en 1217[19], Moncontour en 1256, Mont-Comtour en 1368[20], Montcontour et Moncontour au début du XIIIe siècle et à partir du XIVe siècle[21].

Moncontor en 1092 : du mot mont et du vieux français contor, (conte ou son vassal, prévôt)[21].

Montem Contoris en 1217 : de mons (« hauteur ») et conteor (« trésorier d'un seigneur »). Moncontour est une ancienne cité fortifiée située sur une éminence[22].

Le nom de la localité est attesté en langue bretonne sous les formes Monkontour[23],[24] et Moncontour[25]. Moncontourr (mɔ̃kɔ̃tuɾ) en gallo[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La ville fut une place militaire importante au XIIe siècle, à cette époque Moncontour est une ville fortifiée qui permet aux seigneurs de contrôler les alentours et d'asseoir leur autorité[27].

La quintaine courue à cheval sur la place du Martray[28], le dimanche de la Pentecôte, se terminait d’une façon singulière : « Audit jour et feste est deub [dû] au seigneur par toutes les filles de joie qui se trouvent en ladite ville de Moncontour, de chacune d’elles, quand elle fait son entrée en ladite ville, soit à la Porte Neuve ou ailleurs, 5 sols, un pot de vin et un chapeau de fleurs »[29].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Moncontour était réputée pour son église, dédiée à Saint-Mathurin, qui devient l'objet de nombreux pèlerinages à compter du XVIe siècle[30].

L'essor au XVIe siècle des fabricants et marchands de toiles de lin dans la région de Pontivy, Moncontour, Uzel, Quintin permit la construction de nombreuses églises paroissiales dans la région, mais peu sont restées, la plupart ayant été reconstruites au XVIIIe siècle[31].

Aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle, une production textile de toiles dites « Bretagne » se développa dans le quadrilatère Saint-Brieuc - Corlay - Pontivy - Moncontour ; ces toiles étaient exportées en Espagne et dans les colonies espagnoles (elles étaient appelées bretanas, quintines ou pondivi) via Cadix principalement, où des marchands français, notamment Malouins (par exemple les familles Magon, de la Haye, Éon) étaient installés[32].

En 1673, selon son procureur fiscal, la châtellenie de Moncontour s'étendait sur 20 paroisses (Moncontour, Hénon, Bréhand, Quessoy, Yffiniac, Pommeret, Trégenestre, Plédran, Plœuc, Gausson, Plouguenast, Langast, Plessala , Saint-Gilles, Saint-Jacut, Trédaniel, Trébry, Pluny et deux autres paroisses) et comprenait en tout 74 seigneuries, dont 35 disposaient des droits de haute, moyenne et basse justice, et 39 de ceux de moyenne et basse justice seulement. Une autre statistique datant de 1766 donne des résultats voisins. Six patibulaires existaient en 1673 dans la châtellenie[33].

À Moncontour en 1773, les cimetières sont pleins et « le sucre cadavérique suintait à travers les murs »[pas clair] du cimetière, placé en hauteur autour de l'église[34]. Dès le 9 janvier 1774, l'achat d'un terrain est envisagé pour résoudre le problème.

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le pardon de Saint-Mathurin[modifier | modifier le code]

« Tous les ans, à la Pentecôte, en mémoire de la translation de ses reliques, la fête, commencée la veille par une retraite aux flambeaux et un feu de joie, donne lieu à la vénération de son chef, que l'on fait toucher aux animaux pour les protéger. On passe ensuite aux réjouissances profanes et aux danses sur l'esplanade du château des Granges, situé à proximité de la vieille cité »[35].

Moncontour vers 1900 (lithographie d'Albert Robida)

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Les guerres du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts porte les noms de 51 soldats morts pour la Patrie[36] :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1882 1905 Victor Veillet-Dufrêche    
1905 1919 Jean Veillet-Dufrêche    
1919 1941 Dr Olivier Sagory   Docteur
1945 1953 Henri Le Long SFIO  
1953 1989 Gilbert de La Brosse[37]    
mars 1989[38] avril 2014 Jean-Jacques Bizien PS Médecin; Conseiller général (1979-2015)
avril 2014 décembre 2015
(démission)[39]
Didier Coldefy SE Architecte
février 2016 26 mai 2020 André Fourchon   ingénieur BTP
26 mai 2020 En cours Anne-Gaud Millorit[40]   Commerçante
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 745 habitants[Note 8], en diminution de 13,87 % par rapport à 2015 (Côtes-d'Armor : +1,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0861 7201 6881 5511 6701 7041 6781 6691 601
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4381 4321 3871 3281 2971 3781 3591 3081 290
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2451 3001 2389509299029069081 022
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 2331 1871 1491 014901865918935940
2015 2020 2021 - - - - - -
865752745------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune compte neuf monuments historiques :

  • L'église Saint-Mathurin, classée en 1889[45].
  • L'ancien hôtel de Kerjégu[46]
  • L'ancien hôtel Veillet-Dufrêche, L'hôtel a été édifié à la demande de Jean-Baptiste Veillet-Dufrêche qui dirigeait un important comptoir de ventes de toiles[47].
  • L'ancien presbytère[48]
  • Un ensemble de deux maisons situées rue du Docteur-Sagory. La plus petite date du XVIIe siècle et la plus grande, située à l'angle, remonte sans doute au XVIe siècle[49].
  • L'hôtel de Clézieux[50].
  • Une maison à fronton du XVIIIe siècle située rue du Temple[51].
  • La tour Mognet et les restes de remparts du XVe siècle[52].
  • Porte du Faubourg Saint-Jean, ou poterne Saint-Jean, ayant appartenu aux fortifications de la ville au XIVe siècle[53].

Culture[modifier | modifier le code]

Tous les ans a lieu un concert à l'église Saint-Mathurin au profit de l'association des amis de l'orgue de Moncontour. Les concerts sont organisés par Jean-Pierre Ballon, qui possède une grande expérience de chef d'orchestre et de chœur tant avec des professionnels que des amateurs, et l'association Mélodine[54].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
de gueules, au lion d'argent, armé lampassé et couronné d'or, au chef d'hermines[55].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Distribution des cinq associations plutoniques constituant les granitoïdes varisques du Massif Armoricain, les différents plutons du batholite hercynien médio-armorcain
  2. Carte synthétique et coupe simplifiée du Massif armoricain, figure tirée de Michel Ballevre, Valérie Bosse, Marie-Pierre Dabard, Céline Ducassou, Serge Fourcade, et al.. Histoire Géologique du massif Armoricain : Actualité de la recherche. Bulletin de la Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, Société Géologique et Minéralogique de Bretagne, 2013, (D), 10-11, p. 66
  3. Décrochement dextre qui peut être estimé à 3-4 km et qui s'étend depuis l'île de Molène, passe par le mont Bel-Air (point culminant des Côtes-d'Armor) et s'amortit dans le bassin de Laval. Ce linéament médio-armoricain se manifeste dans la région par une déformation qui affecte les granites essentiellement par cataclase se traduisant par une foliation redressée et allant jusqu'à la formation de mylonites.
  4. « Localement, ces feldspaths sont grossièrement orientés, soulignant la fluidalité magmatique ; çà et là apparaissent quelques enclaves ovoïdes de teinte sombre. Affleurent aussi des granites grossiers. Ils sont recoupés par des filons ou des stocks au grain fin à moyen, parfois à tourmaline... Dans le passé, les divers faciès du massif de Moncontour ont été exploités, mais aujourd’hui toutes les carrières de pierre de taille sont abandonnées ». Cf Louis Chauris, « Pour une géo-archéologie du Patrimoine : pierres, carrières et constructions en Bretagne. Neuvième partie : Le batholite granitique hercynien médio-armoricain », Revue archéologique de l'Ouest, no 35,‎ , p. 241-276 (DOI 10.4000/rao.5626).
  5. Dans ce monument, « apparaissent différentes venues du pluton : granite porphyroïde (moellons…) ; leucogranite fin-moyen (portes cintrées, chaînage d’angle, moellons) ; localement, se notent des diaclases tourmalinisées très sombres ». Cf Louis Chauris, op. cit..
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Fiche de Moncontour sur le site des plus beaux villages de France. Consulté le 29 novembre 2010
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Moncontour et Plœuc-L'Hermitage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Ploeuc-sur-Lie » (commune de Plœuc-L'Hermitage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. Bruno Cabanis, Découverte géologique de la Bretagne, Cid éditions, , p. 30-32.
  10. Bernard Guérangé, Jean Chantraine, Paul Dadet et al, La carte géologique à 1/50 000 de Moncontour. Notice, éditeur BRGM, 1979, p.23
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Dans le cartulaire de Redon.
  18. Dans plusieurs chartes de Saint-Melaine.
  19. Dans un acte de Pierre de Dreux.
  20. Actes du procès de canonisation de Charles de Blois.
  21. a et b infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Moncontour ».
  22. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, coll. « Universels Gisserot » (no 22), , Universels Gisserot, (ISBN 978-2-87747-482-5, OCLC 2877474828, lire en ligne), p. 85.
  23. « Moncontour − recherche − KerOfis − Portail numérique de la langue bretonne », sur niverel.brezhoneg.bzh (consulté le )
  24. « OpenStreetMap e brezhoneg », sur kartenn.openstreetmap.bzh (consulté le )
  25. « Monkontour », sur devri.bzh (consulté le )
  26. « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux en gallo - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur www.chubri-galo.bzh (consulté le )
  27. Stéphane Bern - Le Village préféré des Français, La France et ses villages, page 94, (ISBN 978-2-226-25929-5).
  28. Le terme de Martray vient du latin « martyretum », qui désignait à l’origine le « champ des martyrs ». C’est un lieu historique d’une localité, où étaient appliquées les décisions de justice.
  29. Archives des Côtes-du-Nord; d’après « Les fêtes religieuses en Bretagne. Coutumes,légendes et superstitions », paru en 1902.
  30. Stéphane Bern - Le Village préféré des Français, La France et ses villages, page 96, (ISBN 978-2-226-25929-5).
  31. André Mussat, Arts et cultures de Bretagne : un millénaire, Rennes, Editions Ouest-France, , 380 p. (ISBN 978-2-7373-1932-7, OCLC 34611255).
  32. Jean Martin, La manufacture des toiles Bretagne du XVIIe siècle au XIXe siècle, in "Du lin à la toile. La proto-industrie textile en Bretagne", Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-7535-0560-5).
  33. Jean Gallet, "Seigneurs et paysans bretons du Moyen-Âge à la Révolution", éditions Ouest-France Université, 1992, (ISBN 2-7373-1023-7).
  34. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
  35. Bernard Frélaut, "Il y a un siècle... La Bretagne", éditions Ouest-France, 1999, (ISBN 2-7373-2532-3).
  36. « MémorialGenWeb Relevé », sur memorialgenweb.org (consulté le ).
  37. « Moncontour. Décès du maire honoraire Gilbert Guillet de la Brosse ».
  38. « La médaille du mérite pour Jean-Jacques Bizien ».
  39. Élie Julien, « Moncontour. Didier Coldefy, maire : « On m’a demandé de démissionner » », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  40. « Municipales à Moncontour. Anne-Gaud et son équipe sont en place », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. « Eglise Saint-Mathurin », notice no PA00089334, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Ancien hôtel de Kerjégu », notice no PA00089336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Ancien hôtel Veillet-Dufrêche », notice no PA00089337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  48. « Presbytère », notice no PA00089341, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Maisons », notice no PA00089338, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. « Hôtel de Clézieux », notice no PA00089335, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. « Maison à fronton », notice no PA00089339, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Tour Mognet », notice no PA00089342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « Porte du Faubourg Saint-Jean, ou Poterne Saint-Jean », notice no PA00089340, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. Site de l'association Mélodine
  55. « OLDJP - la banque du blason 2 ».