Bermesnil

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Bermesnil
Bermesnil
Manoir
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Somme Sud-Ouest
Maire
Mandat
Roger Taverne
2020-2026
Code postal 80140
Code commune 80084
Démographie
Gentilé Bermesnilois
Population
municipale
206 hab. (2021 en diminution de 8,04 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 53′ 57″ nord, 1° 44′ 09″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 179 m
Superficie 4,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Poix-de-Picardie
Législatives 3e circonscription de la Somme
Localisation
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Bermesnil

Bermesnil est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Elle est formée par la réunion, en 1972, de celles de Bernapré et de Mesnil-Eudin.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Bermesnil est un village périurbain picard du Vimeu surplombant la vallée de la Bresle et situé à 8 km au sud d'Oisemont, à 25 km au sud-ouest d'Abbeville, 31 km du Tréport et du littoral de la Manche et à 58 km au nord-ouest de Beauvais.

Il est aisément accessible depuis le tracé initial de l'ex-route nationale 15 bis (actuelle RD 1015 ou route de la Vallée de la Bresle).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 838 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Oisemont à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bermesnil est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (76,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (55,9 %), prairies (20,8 %), forêts (17 %), zones urbanisées (6,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le néo-toponyme de Bermesnil a été créé, en 1972, à partir des noms des deux anciennes communes qui le constituent, Bernapré et de Mesnil-Eudin.

Bernapré est attesté sous les formes Bernardus pratus en 1206 ; Bernapré en 1337 ; Binapré en 1698 ; Bernaprez en 1731 ; Bernard Pré en 1787[13].
De l’anthroponyme germanique Bernehart et du suffixe pratum[14].

Mesnil-Eudin est attesté sous les formes Maisnil (1157.) ; Maisnil-Odain (1301.) ; Maisnil-Œudin (1646.) ; Mesnil-Odan (1648.) ; Mesnil-Endin (1657.) ; Le Mesnil (1657.) ; Menil-Audin (1698.) ; Mesnil-Heudin (1757.) ; Mesnil-Gudin (1761.) ; Menil Heudin (1763.) ; Mesnil-Eudin (1766.) ; Le Mainil (1778.) ; Le Menil-Ouden (1787.) ; Le Mesnil-Endin ; Menil-Eudin (1790.)[15].
Mesnil-Eudin est la demeure d'Eudes, transformée en diminutif[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des silex ouvragés ont été trouvés à Mesnil-Eudin, sur le versant droit de la vallée du Liger, attestant de la présence très ancienne de nos ancêtres sur le territoire[17].

Sur une butte, dans les herbages de la ferme à Mesnil-Eudin, on voit encore en 1899 les ruines d'un château féodal ainsi que les fossés et le puits. Le dernier seigneur du lieu, dénommé Charles François de Calonne mourut le 12 décembre 1778 sous le règne de Louis XVI[17], [18].

Lors de la guerre franco-allemande de 1870, sur les six jeunes de Mesnil-Eudin qui ont combattu pendant l'année terrible 1870-1871, l'un d'entre eux a trouvé la mort[17].

Les propriétés de la ferme de Mesnil-Eudin sont passées de M. de Biencourt en 1789 à M. du Passage, puis elles sont au comte de Waziers en 1899[19].

En 1899, Bernapré se compose d'un château moderne et de 25 à 30 masures sans importance. À peu de chose près, tout le territoire appartient aux propriétaires des châteaux de Bernapré et de Lignières[19].

Seconde Guerre mondiale

Le , un bombardement allié tente de détruire la piste de V1 de Bernapré[20].

Bernapré est décoré de la Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze le [21]

En 1972, les communes de Bernapré et Mesnil-Eudin fusionnent pour former la commune de Bermesnil[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouvait jusqu'en 2009 dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme. De 2009 à 2016, elle est intégrée à l'arrondissement d'Abbeville, avant de réintégrer le l'arrondissement d'Amiens[23]. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la troisième circonscription de la Somme.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton d'Oisemont[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Poix-de-Picardie.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la petite communauté de communes de la Région d'Oisemont (CCRO), créée au .

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du département.

Ce projet prévoit la « fusion des communautés de communes du Sud-Ouest Amiénois, du Contynois et de la région d'Oisemont », le nouvel ensemble de 37 412 habitants regroupant 120 communes[24],[25]. À la suite de l'avis favorable de la commission départementale de coopération intercommunale en janvier 2016[26], la préfecture sollicite l'avis formel des conseils municipaux et communautaires concernés en vue de la mise en œuvre de la fusion[27].

La communauté de communes Somme Sud-Ouest (CC2SO), dont est désormais membre la commune, est ainsi créée au [28].

Politique locale[modifier | modifier le code]

Les « Bignon » sont maires de Bernapré de père en fils de 1900 à 2020. Paul Bignon, chevalier de la Légion d'honneur, ancien banquier est ainsi maire de Bernapré de 1919 jusqu'à sa mort en 1957[29]. Il était fils de Charles Bignon, maire d'Abbeville de 1896 à 1923[30]

Jérôme Bignon, député gaulliste, devient maire de Bermesnil en 1980 à la mort de son père Charles et y reste vingt-et-un ans, son frère Jean-Paul lui succède en 2001[31].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs de Bermesnil[32]
Période Identité Étiquette Qualité
1972 mars 1980 Charles Bignon[33],[Note 2] UDR puis RPR Directeur des Ets Cosserat, combattant volontaire de la Résistance, ancien de la 2e DB
Député de la 3e circonscription de la Somme (1968 → 1978)
Maire de Bernapré (1957[34] → 1971)
Conseiller général d'Oisemont (1964 → 1980)
Chevalier de la Légion d’honneur, Croix de guerre 1939-1945
Décédé en fonction
mars 1980 mars 2001 Jérôme Bignon[35],[36]
(Fils du précédent)
RPR
puis UMP
Avocat au barreau de Paris
Sénateur de la Somme (2014 → 2020)
Député de la 3e circonscription de la Somme (1993 → 1997 et 2002 → 2012)
Conseiller général d'Oisemont (1980 → 2014)
Conseiller régional de Picardie (1986 → 1993 et en 2004)
mars 2001 juillet 2020 Jean-Paul Bignon[37],[38]
(Frère du précédent)
DVD  
2020[39] En cours
(au 2 décembre 2020)
Roger Taverne   Agriculteur

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

En 2021, la commune comptait 206 habitants[Note 3], en diminution de 8,04 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
149116127135152136159172165
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
156165162143130124109108102
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
909784537875735169
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8097182200214203240245237
2015 2020 2021 - - - - - -
224209206------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'ancienne école.

En matière d'enseignement élémentaire, les enfants du village relèvent du regroupement pédagogique concentré organisé à l'école publique d'Oisemont, destinée à accueillir 300 élèves. La compétence scolaire est mise en œuvre par la communauté de communes Somme Sud-Ouest[43].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

La salle communale.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Barthélemy de Mesnil-Eudin.
  • Château de Bernapré et son jardin d'agrément[44].
  • Puits patrimonial à Bernapré. Sa reconstitution donne lieu à une inauguration fin novembre 2015[45].
  • Chapelle dédiée à Notre-Dame de Brebières à Bernapré[46].
  • Monuments aux morts de Bernapré et du Mesnil-Eudin

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Surnom[modifier | modifier le code]

Pour leurs tenues excentriques et colorées, les habitants de Bernapré étaient affublés du nom jeté chés djais huppès d'Bernapré (les geais huppés de Bernapré)[47].

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Une rue de la commune porte le nom de ce maire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Bermesnil et Oisemont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Oisemont_sapc » (commune d'Oisemont) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 46 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; Formations dialectales, Genève, Droz, , p. 972.
  15. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 106 (lire en ligne sur DicoTopo) [2].
  16. Ledieu, Étude sur l'étymologie de nombreuses localités situées principalement dans l'ancienne Picardie, Delattre-Lenoël, 1880, p. 25.
  17. a b et c M. Glavieux, « Notice géographique et historique sur la commune de Mesnil-Eudin »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Mémoires de la Somme - Archives en Somme, Archives départementales de la Somme, (consulté le ).
  18. v. registres paroissiaux
  19. a et b Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur de Bernapré, M. Lebrun, 1899, Archives départementales de la Somme, Amiens
  20. Le site Châteaux de France.
  21. « Communes décorées de la Croix de guerre 1939-1945 » [PDF], Mémorial des batailles de la Marne - Dormans (51), (consulté le ), p. 43.
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Arrêté du Préfet de région du 23 décembre 2016 portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme », Recueil des actes administratifs de la préfecture des Hauts-de-France, no 200,‎ , p. 321 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  24. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  25. Benoît Delespierre, « Intercommunalité : La carte qui fait peur aux élus locaux », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  26. « Somme, la CDCI valide des projets de fusion d’ECPI », Décideurs en région,‎ (lire en ligne).
  27. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du sud-ouest Amiénois, de la communauté de communes du Contynois et de la communauté de communes de la région d'Oisemont », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 93-95 (lire en ligne [PDF]).
  28. « Arrêté préfectoral du 22 décembre 2016 portant création de la communauté de communes Somme Sud-Ouest issue de la fusion de la communauté de communes du Continois, de la communauté de communes de la Région de Oisement et de la communauté de communes du Sud Ouest Amiénois à compter du  » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  29. « Bignon, Paul Charles Albert Alexandre », base Léonore, ministère français de la Culture.
  30. « Bignon, Charles Désiré Félix », base Léonore, ministère français de la Culture
  31. Jérôme Bignon, « bignon.info », sur Blog de Jérôme Bignon, (consulté le ).
  32. « Les maires de Bermesnil », sur francegenweb.org (consulté le ).
  33. « Charles, Henry Bignon (1921-1980) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  34. Dictionnaire du personnel politique de la Somme (1800-1945), Jean-Michel Schill, 2011, Archives départementales de la Somme
  35. « Jérôme Bignon (1949- ) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  36. Matthieu Herault et Xavier Togni, « Jérôme Bignon et Daniel Dubois, deux figures de la Picardie maritime quittent l’arène : Les élections sénatoriales ont lieu ce dimanche 27 septembre. Christian Manable, Jérôme Bignon et Daniel Dubois ne se représentent pas. Les deux derniers sont des figures de la Picardie maritime », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jérôme Bignon a été élu, à 31 ans, maire de Bermesnil. Il y est resté pendant plus de 20 ans. Il a été conseiller général pendant 34 ans et conseiller régional pendant 7 ans. Il a été élu député en 1993, après deux échecs. RPR puis UMP, il a été battu en 1997 par Vincent Peillon (PS) avant de prendre sa revanche en 2002. Il a été battu en 2012 par un autre socialiste, Jean-Claude Buisine. Il a été élu sénateur, en 2014, d’abord LR puis Agir ».
  37. Réélu pour le mandat 2008-2014« Liste des maires de la Somme », sur somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  38. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Liste des maires de la Somme » [PDF], Liste des élus du département de la Somme, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  39. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Émilie Da Cruz, « Une cantine et une maternelle pour 2018 à Oisemont : Les projets de la communauté de communes de la région d’Oisemont seront repris par la nouvelle Intercommunalité. Entre autres, la construction d’équipements scolaires », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Jardin d'agrément du château de Bernapré », notice no IA80000435, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Le Courrier picard, édition Picardie maritime, 1er décembre 2015, p. 25.
  46. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, imp. Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 102 (ASIN B000WR15W8).
  47. Le Courrier Picard, édition d'Abbeville, 22 novembre 2013, p.XII, d'après Alcius Ledieu, Blasons populaires, 1903