Merlieux-et-Fouquerolles

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Merlieux-et-Fouquerolles
Merlieux-et-Fouquerolles
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Laon
Intercommunalité CC Picardie des Châteaux
Maire
Mandat
Stéphanie Dumay-Gillet
2022-2026
Code postal 02000
Code commune 02478
Démographie
Gentilé Mérilocien(ne)s
Population
municipale
257 hab. (2021 en diminution de 4,46 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 04″ nord, 3° 30′ 20″ est
Altitude Min. 58 m
Max. 183 m
Superficie 5,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Laon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Laon-1
Législatives 1re circonscription de l'Aisne
Localisation
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Merlieux-et-Fouquerolles
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Merlieux-et-Fouquerolles

Merlieux-et-Fouquerolles est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Entrée de Merlieux-et-Fouquerolles.

Commune du Laonnois, dans l'Aisne, située à 4 km à vol d'oiseau à l'est d'Anizy-le-Grand, 13 km au sud-est de Saint-Gobain, 10 km au sud-ouest de Laon et 20 km au nord-est de Soissons.

Il est aisément accessible depuis la Route nationale 2.

La ligne de La Plaine à Hirson et Anor (frontière) passe dans le sud du territoire communal, mais la station de chemin de fer la plus proche est la gare d'Anizy - Pinon, desservie par des trains TER Hauts-de-France, express ou omnibus, qui effectuent des missions entre les gares : de Crépy-en-Valois et de Laon ; de Paris-Nord et de Laon.

Un chemin de randionnée relie Merlieux-et-Fouquerolles au Sentier de grande randonnée GR 12A,

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Ailette, un affluent de la rive gauche de l'Oise et donc un sous-affluent de la Seine tangente la limite sud du territoire communal. Le cours d'eau 01 de l'Epinette, entouré d'étangs, traverse ce territoire avant de confluer dans l'Ailette.

Le long de l'Ailette se trouve le canal de l'Oise à l'Aisne, mais qui se trouve hors du territoire communal.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Aulnois-sous-Laon à 13 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 685,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Une partie de la Forêt de Pinon se trouve dans le territoire communal.

Une partie du « site Natura 2000 Tourbière et coteaux de Cessières Montbavin » se trouve dans la commune[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Merlieux-et-Fouquerolles est une commune rurale[Note 1],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 106 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (48,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,7 %), terres arables (35,8 %), prairies (12,9 %), zones urbanisées (5,5 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte plusieurs hameaux : Valavergny, Fouquerolles ainsi que Le Caquet.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 111, alors qu'il était de 110 en 2013 et de 100 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 96,3 % étaient des résidences principales, 1,9 % des résidences secondaires et 1,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,7 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,3 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Merlieux-et-Fouquerolles en 2018 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,9 %) inférieure à celle du département (3,5 %) et à e à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 75 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,3 % en 2013), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Merlieux-et-Fouquerolles en 2018.
Typologie Merlieux-et-Fouquerolles[I 1] Aisne[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 96,3 86,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,9 3,5 9,7
Logements vacants (en %) 1,9 9,8 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Merlieux est attesté sous les formes Merli (1151) ; Melliu (1219) ; Monasterium de Merliu (1241) ; Merlieu (1389) ; Mellieu (1413)[14].
Issu du latin merula (merle) avec le mot lieux (du latin locus)[15].

Fouquerolles, ancien hameau de la commune, est attesté sous les formes Fulcherolles (1158) ; Foukeroles (1229) ; Foucroles (1589) ; Fouquerolle[16].
Équivalent picard de fougerole « sorte de petite fougère »[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La commune de Merlieux, instituée par la Révolution française, absorbe dès 1801 celle de Fouqueroles et prend le nom de Merlieux-et-Fouquerolles[18].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

À la fin de la Première Guerre mondiale, le village est considéré comme détruit[19] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [20].

En 1973, Dominique Lestrat[21], fonctionnaire, anarchiste, retraité, membre du groupe local Kropotkine (Fédération anarchiste), et ses amis anarchistes fondent la Communauté anarchiste du Moulin de Paris avec un souci d'intégration et de participation active à la vie de la commune[22]. De cet engagement a abouti une des très rares expérience de la démocratie participative dans un village en France. L’idée étant de bouleverser le fonctionnement traditionnel des institutions municipales en essayant d’en faire un simple organe exécutif des volontés exprimées par l’ensemble de la population. En parallèle, la dynamisation de la commune était recherchée[23].

À partir de 1986, afin d'éviter la mort du village qui ne disposait ni école, ni commerce, ni site touristique et dont l'importante population jeune ne pouvait que le quitter après leurs études, la municipalité obtient l'inscription de la commune dans le programme « pour habiter interactif » engagée par le ministère de l'équipement en vue de réaliser une salle polyvalente, douze logements locatifs, un centre de télétravail, un atelier communal et municipal, l'ensemble étant destiné à favoriser l'accueil de familles nouvelles tout en bénéficiant à l'ensemble de la communauté. L'ensemble a été édifié autour d'une place qui constitue un nouveau lieu de vie du village, avec l'aide financière de l’État, du conseil régional de Picardie, du conseil général de l'Aisne, de la Caisse d'allocations familiales. Cinquante-six bénévoles ont également contribués à la restauration de l'école, qui, en 1992, compte deux classes et sert d'école d'application d'instituteurs en milieu rural, comprenant un centre rural de lecture et de documentation ouvert à toute la population[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Laon du département de l'Aisne.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Anizy-le-Château[18]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Laon-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Aisne depuis 2012.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la petite communauté de communes des Vallons d'Anizy, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1997 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (sous réserve de certaines dérogations bénéficiant aux territoires de très faible densité), cette intercommunalité fusionne avec sa voisine[25], afin de former, le , la communauté de communes Picardie des Châteaux, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1878 M. Bizon[27]    
1879   M. de Bussy[28]    
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1983 Roland Durand PCF  
1983 2001 Daniel Corcy[29],[24]    
mars 2001 mars 2008 Laurent Petit DVG/PS  
mars 2008[30] avril 2022[31] Olivier Clermont DVD Agriculteur
Mort en fonction
juillet 2022[32],[33] En cours
(au 16 décembre 2022)
Stéphanie Dumay-Gillet    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Fin 2022, la préfecture constate que l'eau courante distribuée aux habitants dépasse le seuil sanitaire autorisé pour des métabolites de chloridazone, un pesticide utilisé jusqu’en 2020 pour la culture de la betterave, et interdit d'uiliser cette eau pour la boisson, la préparation et la cuisson des aliments, le lavage des dents, et la commune a fourni temporairement aux habitants des bouteilles d'eau, avant de les inviter d'utiliser une borne de puisage située sur la place du bourg de Royaucourt-et-Chailvet. Cette situation ne peut cesser que par le raccordement du réseau communal à un autre réseau d’eau potable, après de longs et coûteux travaux[34],[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 257 habitants[Note 3], en diminution de 4,46 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
278279269293321331333317300
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
293282291269268252266263253
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
215207203139178156139170166
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
155127133171185218258280264
2021 - - - - - - - -
257--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Médiathèque départementale
  • Le Village du Livre, dont la première édition a eu lieu en 1993
  • Forum social libertaire et le Salon du livre anarchiste, dont la 8e édition s'est déroulée le [39]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Sainte-Geneviève.
  • Monument aux morts devant l'église[40].
  • Plaque monument aux morts sur la mairie.
  • Calvaire au lieu-dit Chemin du Caquet.
  • Centre de ressources environnementales de l'Aisne Géodomia[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Charles-François Bailly de Merlieux (1800-1862), libraire, fondateur de journaux d'agriculture et vulgarisateur scientifique, y est né.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SE, Laon [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Merlieux-et-Fouquerolles et Aulnois-sous-Laon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Aulnois-sous-Laon » (commune d'Aulnois-sous-Laon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Arrêté du 13 janvier 2017 portant désignation du site Natura 2000 Tourbière et coteaux de Cessières Montbavin (zone spéciale de conservation), sur Légifrance.
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 171.
  15. Stéphane Gendron, Animaux et noms de lieux, Errance, , p. 103.
  16. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 118.
  17. Serge Lusignan, La langue voyageuse : Le picard et la famille d'Estrées au XIIIe siècle, vol. 24, (lire en ligne), p. 163-172.
  18. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  20. Journal officiel du 21 octobre 1920, p. 16155.
  21. Marianne Enckell, Guillaume Davranche, Rolf Dupuy, Hugues Lenoir, Anthony Lorry, Claude Pennetier et Anne Steiner, « Dictionnaire des Anarchistes », Éditions de l’Atelier, (consulté le ).
  22. Voir notamment « Merlieux. Quarante ans de militantisme en milieu rural », Le Monde libertaire, hors série n° 48, mars-avril 2013, p. 44 à 50.
  23. Syndicat intercorporatif de Châteauroux (CNT-AIT), « Quelques expériences communalistes », (consulté le ).
  24. a et b « Le rural se prend en charge Merlieux (Aisne), 170 habitants : comment éviter la mort d'une commune ? », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Nicolas Totet, « Le big-bang intercommunal est en marche : La Commission départementale de la coopération intercommunale présidée par le préfet et composée de 46 élus, s’est réunie durant deux heures, lundi 12 octobre. Chaque commune a deux mois pour délibérer sur la nouvelle carte qui comprend six projets de fusion intercommunale. La carte reviendra en commission au plus tard en mars 2016 et le dossier devra être bouclé le 31 décembre 2016 », L'Aisne nouvelle,‎ (lire en ligne).
  26. « Les maires de Merlieux-et-Fouquerolles », sur francegenweb.org (consulté le ).
  27. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1878, p221.
  28. Almanach historique administratif et commercial de la Marne de l'Aisne et des Ardennes, Matot-Braine, Reims, 1879, p239.
  29. « A propos », sur fete-du-livre-merlieux.fr (consulté le ).
  30. Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
  31. « Aisne: le maire de Merlieux-et-Fouquerolles, est décédé ce dimanche 24 avril au matin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 2020, le premier magistrat avait été réélu pour un quatrième mandat avec une équipe fortement renouvelée ».
  32. « Le conseil municipal de Merlieux-et-Fouquerolles au complet », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Un deuxième tour aura été nécessaire pour reconstituer une équipe municipale complète de 11 membres après la démission de l’un des conseillers, puis les décès de Jean-Pierre de Schepper 1er adjoint et d’Olivier Clermont, le maire ».
  33. « Une dame au pouvoir à Merlieux-et-Fouquerolles », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Gael Rivallain, « Pollution au chloridazone: la préfecture de l’Aisne restreint l’eau du robinet dans quatre communes : À Merlieux-et-Fouquerolles, Le Thuel, Versigny et Rogécourt, la présence du pesticide dépasse une valeur limite fixée par le gouvernement. La consommation de l’eau de réseau n’y est plus autorisée pour la boisson, la préparation et la cuisson des aliments et le lavage des dents », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Nicolas Totet, « Privés d’eau du robinet depuis des mois à Merlieux-et-Fouquerolles : Ne pas pouvoir boire l’eau du robinet, du jour au lendemain, même pas l’utiliser pour se brosser les dents. C’est la réalité, pénible, à Merlieux-et-Fouquerolles dans l’Aisne », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. « 8ème Salon du Livre Anarchiste - Forum Social libertaire », sur openagenda.com (consulté le ).
  40. Erick Frejean, Alain Choubard, Martine Aubry, « Merlieux-et-Fouquerolles (02000) », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, Les monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays, (consulté le ).
  41. Site de Géodomia.