Mercury (Savoie)

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Mercury
Mercury (Savoie)
Chef-lieu vu depuis le fort de Tamié.
Blason de Mercury
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Albertville
Intercommunalité Communauté d'agglomération Arlysère
Maire
Mandat
Alain Zoccolo
2020-2026
Code postal 73200
Code commune 73154
Démographie
Gentilé Chevronnais
Population
municipale
3 411 hab. (2021 en augmentation de 11,98 % par rapport à 2015)
Densité 153 hab./km2
Population
agglomération
43 225 hab.
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 30″ nord, 6° 20′ 16″ est
Altitude Min. 359 m
Max. 1 800 m
Superficie 22,33 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Albertville
(banlieue)
Aire d'attraction Albertville
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Albertville-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Mercury
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Mercury
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Mercury

Mercury est une commune française située dans le département de la Savoie en région Auvergne-Rhône-Alpes, à proximité d'Albertville.

Géographie[modifier | modifier le code]

Hameau de la Ramaz et chapelle de Notre-Dame-Des-Neiges (hiver 2017).

Mercury est située dans la Combe de Savoie, qui appartenait historiquement à la province de Savoie Propre.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 484 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gilly sur Isère », sur la commune de Gilly-sur-Isère à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 353,7 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records GILLY SUR ISERE (73) - alt : 330m, lat : 45°39'11"N, lon : 6°20'36"E
Records établis sur la période du 01-01-1982 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −2,8 −2,1 1,5 4,5 8,7 12,3 14 13,8 10,2 6,2 1,2 −1,9 5,5
Température moyenne (°C) 1,7 3,3 7,8 11,3 15,3 18,9 20,7 20,5 16,4 12 6,1 2,3 11,4
Température maximale moyenne (°C) 6,3 8,8 14,1 18 21,8 25,4 27,5 27,1 22,7 17,7 10,9 6,5 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−24
06.01.1985
−19
05.02.12
−10,5
01.03.05
−4,3
01.04.1987
−1,4
01.05.1984
0,8
01.06.06
4,9
05.07.1984
3,4
31.08.1995
−1,4
26.09.02
−6
30.10.1997
−15
27.11.05
−16
24.12.01
−24
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16,9
31.01.20
23
24.02.1990
26,2
22.03.1990
29,6
21.04.18
33,1
24.05.09
36
30.06.03
38,3
07.07.15
39
13.08.03
33,2
16.09.1986
29,8
03.10.1985
23,3
12.11.18
19,6
17.12.19
39
2003
Précipitations (mm) 135,9 105,8 108 92,7 109,1 104,8 100,3 107,5 97,3 109 125,5 157,8 1 353,7
Source : « Fiche 73124001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mercury est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Albertville, une agglomération intra-départementale regroupant 17 communes[10] et 39 406 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albertville dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,9 %), zones agricoles hétérogènes (23,9 %), zones urbanisées (9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,2 %), prairies (4,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,4 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est officiel depuis le décret du (publié le )[16],[17]. L'ancien nom était Mercury-Gémilly à la suite de la fusion des deux communes au XVIIIe siècle[17],[18].

Mercury

Les premières mentions du village de Mercury apparaissent au XIIe siècle. On trouve ainsi les fomres Ecclesia de Mercurio, vers 1170, et Ecclesia de Mercuriaco, en 1184[19]. Viennent ensuite les formes Mercuriey, en 1255, puis Ecclesia de Mercuriaco, au XIVe siècle[19].

Le toponyme semble être un nom de domaine d'origine gallo-romaine qui trouve son origine dans le *[fundus] Mercuriacus, dérivé avec le suffixe -acus du gentilice Mercurius[19],[20].

Gémilly

Les premières mentions du village de Gémilly remontent au XIIIe siècle. On trouve ainsi les formes Gimilici, en 1233, de Gimilliaco, en 1261, ou encore Gimilliacum, en 1265, puis Gemiliacum, au XIVe siècle4[21],[22].

Tout comme Mercury, le nom de Gémilly semble provenir d'nom de domaine d'origine gallo-romaine, reposant sur Gimil[l]iacum, dérivé avec le suffixe -acum du gentilice Gemilius[22].

Chevron

L'abbé Garin rappelait, dans une communication lors du Congrès des sociétés savantes savoisiennes de 1883, que « D'après les étymologistes le nom de Chevron vient de Caproe ou Capridunum, colline de la Chèvre, parce que l'antique château fort, appelé aujourd'hui Château-Vieux, était bâti au sommet d'un charmant monticule entouré de broussailles et d'arbrisseaux très convenables pour le pâturage des chèvres, capreoe. »[23] Cette origine est celle retenue par Adolphe Gros[24]. Le site est mentionné au XIIe siècle, on trouve ainsi les formes Cabridunum, en 1132, et Baronnia Chabriduni, en 1149, puis Chivrion et Chivrione, mais sans date, et encore Castrum de Chivrone, en 1216[24],[25].

En francoprovençal, le nom du village de Chevron s'écrit Stevron, selon la graphie de Conflans[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Importante seigneurie au XIIe siècle, tenue en fief par le comte de Savoie au XIVe. Commune formée par la réunion des paroisses de Mercury et Gemilly en 1807 sous le nom de Chevron. Nous retrouvons des traces de cela aujourd'hui puisque le nom de Chevronnais désigne toujours les habitants de la commune et que les armoiries de Mercury portent deux chevrons, l'un chargeant l'autre. L'armoirie présentée à droite est celle des Chevron-Villette qui lui succéda. L'armoirie des Chevron ne contient pas les 3 lions d'or.

Les paroisses de Mercury et Gemilly, qui ont fusionné au XVIIIe siècle, sont réunies en 1807 sous le nom de paroisse de Chevron[17]. Le , Mercury-Gémilly prend le nom de Mercury[16],[17].

Le se produit un séisme de magnitude 4,5 et dont l'hypocentre se trouve sous le village, à dix kilomètres de profondeur[27]. La secousse qui ne provoque ni dégât matériel, ni blessé est bien ressentie dans la région d'Albertville, d'Annecy, de Chambéry et dans la vallée de la Tarentaise et plus faiblement dans le reste des deux Savoie jusqu'au bord du Léman et en Isère, jusqu'à Grenoble[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1861 ? Jean-Baptiste Mathias   Notaire
1881 ? Claude Marie Robert    
1888 ? Joseph Marie Ract-Brancaz    
1902 ? Joseph-Benjamin Ract-Brancaz   Géomètre
Mars 1935 Mars 1965 Fernand Bellet   Entrepreneur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1977 mars 2001 Joseph Ract[29]    
mars 2001 mars 2008 Roger Dalby app. UMP  
mars 2008 mars 2014 Robert Fillion    
mars 2014 En cours Alain Zoccolo[30] SE Cadre du secteur privé
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Chevronnais[18],[17].


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 3 411 habitants[Note 3], en augmentation de 11,98 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
1 5401 3221 8701 8201 9201 8371 6581 6801 678
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
1 6221 6961 5141 7541 6591 5061 5111 3401 260
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 1851 0631 0341 0681 1051 2631 2971 3701 620
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
2 0372 1542 3302 6492 8933 0803 411--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Châteaux et fortification[36]

La commune possédait deux châteaux : Château-Vieux et le château de Chevron, deux possessions de la puissante Chevron, puis Chevron Villette. Le premier est mentionné au XIIe siècle, mais il est détruit par un incendie au XIVe siècle. Le second, situé près de l'église, date du XIVe siècle et est remanié au XVIIe siècle ;

Surplombant la commune et la vallée, le fort de Tamié est le plus important ouvrage défensif au débouché des vallées alpines. Édifié sur commande de l'armée française en 1876 sur 16 hectares par 600 ouvriers, tous d'origine italienne, il commandait la place d'Albertville. Acquis par un syndicat intercommunal en 1967, le fort de Tamié est aujourd'hui ouvert au public. En dessous fut aménagé le fort de Villard.

Patrimoine religieux

La chapelle Saint-Maurice de Gemilly, aujourd'hui à des propriétaires privés, est une ancienne église paroissiale[37]. Elle possède des éléments romans[37].

D'autres hameaux possèdent des chapelles :

  • Villard du Haut et la chapelle dédiée à Bernard de Menthon, à Sainte Marguerite et à Saint Claude (vers 1630) ;
  • Chrevonnet et la chapelle dédiée à Sainte Anne, Saint Pierre et Saint Jacques (1628) ;
  • La Frasse et la chapelle dédiée à Saint-Germain, Notre-Dame du Puy et Saint-Jean l’Evangéliste (1699) ;
  • La Soffaz et la chapelle dédiée à Saint Férréol et Saint Bon et Saint Marc (XVIIe siècle) ;
  • Francois et la chapelle dédiée à Saint François de Salle et à Saint Garin (avant 1792) ;
  • La Ramaz et la chapelle dédiée à Notre-Dame-Des-Neiges (1752) ;
  • Hérys de dessous et la chapelle dédiée à Notre Dame du Mont Carmel (1844) ;

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Mercury et Gilly-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Gilly sur Isère », sur la commune de Gilly-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gilly sur Isère », sur la commune de Gilly-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 d'Albertville », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albertville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a et b Décret du 5 janvier 1965 portant changement de noms de communes, JORF no 7 du 9 janvier 1965, p. 213, sur Légifrance.
  17. a b c d et e « Mercury », Base de données des communes de Sabaudia, le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ).
  18. a et b Histoire des communes savoyardes - Tarentaise, p. 77.
  19. a b et c Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne).. Réédition 2021 : p. 200.
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  22. a et b Henry Suter, « Gémilly », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  23. Joseph Garin, « Notice historique sur la famille seigneuriale de Chevron-Villette », dans Sociétés savantes savoisiennes, Congrès des sociétés savantes savoisiennes : compte-rendu de la sixième session : tenu à Alberville le 20 et le 21 août 1883, Alberville, , 216 p. (lire en ligne), p. 51-88.
  24. a et b Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne).. Réédition 2021 : p. 93.
  25. Henry Suter, « Chevron », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  26. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 19.
  27. « M 4.5 - 3 km S of Faverges, France » (consulté le ).
  28. « Savoie : un tremblement de terre de magnitude 4,2 ressenti près d'Albertville », France Bleu,‎ (lire en ligne, consulté le )
  29. Avis de décès de Monsieur Joseph Ract, sur libramemoria.com (consulté le 3 octobre 2018)
  30. Liste des maires au 25 avril 2014 - Data.gouv.fr
  31. Jumelage, www.mairie-mercury.com
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Histoire des communes savoyardes - Tarentaise, p. 77-79, « Famille noble ».
  37. a b c et d Histoire des communes savoyardes - Tarentaise, p. 79-78.
  38. Françoise Dantzer, Les Bauges : Terre d'art sacré, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 251 p. (ISBN 978-2-84206-272-9, lire en ligne), p. 74.
  39. Notice sur data.bnf.fr.