Menkaouhor

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Menkaouhor
Image illustrative de l’article Menkaouhor
Stèle du Nouvel Empire représentant Menkaouhor
Période Ancien Empire
Dynastie Ve dynastie
Fonction roi
Prédécesseur Niouserrê
Dates de fonction -2389 à -2381 (selon J. P. Allen)
-2420 à -2410 (selon R. Krauss)
-2389 à -2380 (selon J. von Beckerath)
-2444 à -2436 (selon D. B. Redford)
-2377 à -2369 (selon J. Málek)
Successeur Djedkarê Isési
Famille
Père Niouserrê ? Néferefrê ?
Mère Rêpoutnoub ? Khentkaous III ?
Conjoint Khouit Ire ou Mérésânkh IV ?
Enfant(s) Djedkarê Isési
♀ Khaemtjenent (ou Kaemtjenet)
Rêmkoui
Sépulture
Nom Pyramide de Menkaouhor
Type Pyramide à faces lisses
Emplacement Saqqarah nord
Date de découverte 2008
Découvreur Zahi Hawass
Fouilles Zahi Hawass

Menkaouhor Kaiou (également connu sous le nom d'Ikauhor et en grec ancien sous le nom de Μεγχερῆς / menkherēs) est un pharaon égyptien de l'Ancien Empire. Il est le septième souverain de la Ve dynastie, il règne aux alentours de -2389 à -2381[note 1].

Menkaouhor règne peut-être pendant huit ou neuf ans, succédant au roi Niouserrê, et précédant Djedkarê Isési. Bien que Menkaouhor soit bien attesté par des sources historiques, peu d'objets de son règne ont survécu. Par conséquent, son lien de parenté avec son prédécesseur et son successeur n'est pas clair. Khentkaous III aurait été la mère de Menkaouhor, comme l’indiqueraient les preuves découvertes dans sa tombe en 2015.

Au-delà de la construction de monuments, la seule activité connue datant du règne de Menkaouhor est une expédition dans les mines de cuivre et de turquoise du Sinaï. Menkaouhor ordonne la construction d'un temple solaire, dernier temple de ce type construit sous cette dynastie, appelé Akhet-Rê, qui signifie « l'Horizon de Rê ». Ce temple solaire, connu pour les inscriptions trouvées dans les tombes de ses prêtres, n'a pas encore été localisé. Menkaouhor est enterré dans une petite pyramide à Saqqarah, que les anciens Égyptiens appelaient Netjer-Isut Menkaouhor, signifiant « Les lieux de culte du roi Menkaouhor sont divins ». Connue aujourd'hui sous le nom de Pyramide sans tête, la ruine avait été perdue sous les sables jusqu'à sa redécouverte en 2008.

La figure de Menkaouhor était au centre d'un culte funéraire jusqu'à la fin de l'Ancien Empire, avec au moins sept domaines agricoles produisant des biens pour les offrandes nécessaires. Le culte d'un Menkaouhor déifié, alors connu sous le titre de « Fort Seigneur des Deux Terres, Menkaouhor le Justifié » réapparaît pendant le Nouvel Empire, et dure au moins jusqu'à la XIXe dynastie, environ 1200 ans après sa mort.

Famille[modifier | modifier le code]

Du fait de la rareté des sources et du fait que, dans les titres portés par les membres de la famille royale, le souverain est souvent sous-entendu et non cité directement dans ceux-ci, il est difficile de reconstruire l'arbre généalogique de la famille royale de cette période. Ainsi, les relations liant Menkaouhor avec ses prédécesseurs et ses successeurs sont incertaines[1],[2].

Ascendance[modifier | modifier le code]

Une inscription découverte en 2008 dans le mastaba d'un certain Ouerkaourê mentionne Menkaouhor, fils aîné d'un roi anonyme, le roi étant très majoritairement sous-entendu dans ce genre d'inscription. L'inscription ne mentionne aucun attribut royal à ce Menkaouhor[3]. Les égyptologues Hana Vymazalová et Filip Coppens suggèrent que cela pourrait se référer au futur pharaon Menkaouhor à une époque où il était encore prince. Si le roi Menkaouhor est bien le fils d'un roi, alors il est le fils, soit de Néferefrê, soit de Niouserrê.

L'identité de la mère de Menkaouhor est également incertaine. En , une équipe d'archéologues tchèques a découvert le tombeau de l'« épouse du roi » et de la « mère du roi », Khentkaous III, dans la nécropole entourant la pyramide de Néferefrê à Abousir[4]. Des sceaux de terre dans la tombe indiquent que Khentkaous III a été enterrée sous le règne de Niouserrê[4]. Comme la mère de Niouserrê est connue pour avoir été Khentkaous II[5], la découverte suggère qu'elle était la mère de Menkaouhor[4]. La position de sa tombe près de la pyramide de Néferefrê pourrait indiquer qu'elle était l'épouse de ce roi et donc que Néferefrê était le père de Menkaouhor[6].

Épouses[modifier | modifier le code]

Il n'existe pas d'épouse attestée pour ce roi. Deux reines de cette époque sont possibles, en effet, les noms de leur royal époux respectif n'ont pas été retrouvés. Il s'agit de Khouit Ire[7] et de Mérésânkh IV[note 2],[8] (même si elles sont également considérées comme possibles épouses de Djedkarê Isési[8]).

Descendance[modifier | modifier le code]

Djedkarê Isési est peut-être son fils, rien ne le prouve mais rien de le contredit non plus.

De plus, il est souvent considéré, sans certitude, que Mérésânkh IV est la mère des princes Isésiânkh et Kaemtjenent[note 3], même si, selon Michel Baud, ces deux personnages n'étaient sans doute pas liés à la famille royale[10]. S'il s'agit bien de réels fils royaux, ce sont deux potentiels fils de Menkaouhor.

Règne[modifier | modifier le code]

Statuette trouvée à Memphis représentant Menkaouhor paré des insignes royaux

Peu de sources mentionnent Menkaouhor parmi les découvertes faites sur les principaux sites de la Ve dynastie. De ce fait ce souverain est mal connu et peu étudié d'autant qu'il succède à Niouserrê et précède Djedkarê Isési dont les règnes brillants éclipsent quelque peu le sien.

Durée de règne[modifier | modifier le code]

Le papyrus de Turin lui accorde huit années de règne, durée de règne équivalente à celle que lui donne Manéthon qui le nomme Mercherês. Cette durée est acceptée par plusieurs égyptologues[11],[12],[13],[14]. La petite statue assise de Menkaouhor portant la robe de la fête-Sed[11] pourrait suggérer un règne plus long, puisque cette fête n'était généralement célébrée qu'après trente ans de règne d'un souverain. Cependant, l'égyptologue Hartwig Altenmüller juge cette hypothèse peu probable[15]. De simples représentations du festival n'impliquent pas nécessairement un long règne ; par exemple, un relief montrant le pharaon Sahourê dans la tunique de la fête-Sed a été trouvé dans son temple mortuaire[16],[17], bien que des sources historiques et des preuves archéologiques suggèrent que Sahourê a dirigé l'Égypte pendant moins de quatorze années complètes[18],[19],[20].

Activités[modifier | modifier le code]

Une expédition dans les mines de cuivre et de turquoise au Ouadi Maghara[11] dans le Sinaï est attestée par une grande inscription dédicatoire que le chef d'expédition fit inscrire au nom de son souverain, à l'instar des expéditions précédentes ou de celles qui auront lieu par la suite[note 4],[22],[23].

Lors des fouilles récentes du temple funéraire de Néferefrê à Abousir, les égyptologues tchèques ont mis au jour des empreintes de sceaux portant le cartouche du roi, preuve qu'il a assuré les cultes funéraires de ses ancêtres[24].

Temple solaire[modifier | modifier le code]

Suivant une tradition qui a commencé avec Ouserkaf, le fondateur de la cinquième dynastie, Menkaouhor a construit un temple solaire au dieu du soleil . Il fut le dernier pharaon à le faire[25]. Ses successeurs, Djedkarê Isési et Ounas, abandonnèrent cette pratique[26],[27] car le culte de déclina[28] au détriment de celui d'Osiris[27]. Étant donné la rareté des documents relatifs au temple du soleil de Menkaouhor, il n'a probablement fonctionné que pendant une courte période ou n'a jamais été achevé[26],[29].

Le temple du soleil de Menkaouhor s'appelait Akhet-Rê, ce qui se traduit par « L'horizon de Rê » ou « L'endroit où émet en avant »[26],[30]. Le temple n'a pas encore été localisé et pourrait se trouver sous les sables de Saqqarah ou d'Abousir[31]. Son existence est connue grâce aux inscriptions trouvées dans les tombes des fonctionnaires de la cinquième et de la sixième dynastie qui ont servi comme prêtres de dans le temple[32],[33]. Il s'agit notamment de Hemou, enterré à Gizeh[34], et de Neferiretptah[34] et Raemankh[35], qui ont tous deux été enterrés à Saqqarah-nord[25]. En plus de son service dans le temple Akhet-Rê, Neferireiretptah était prêtre dans la pyramide de Menkaouhor et occupait la fonction d'« ornement royal », le rendant responsable des objets précieux dans le palais du roi[36].

Les archives découvertes sur le site qui datent pour la plupart du règne de Djedkarê Isési successeur de Menkaouhor, mentionnent également l'existence du temple solaire du roi. Outre ces attestations, un seul sceau portant le nom du temple Akhet-Rê est connu de la tombe de la princesse Khâmerernebti, située près du temple mortuaire de Niouserrê à Abousir. Le sceau a été apposé sur un grand navire indiquant que des provisions pour les tombes des membres de la famille royale ont été envoyées du temple de Menkaouhor au complexe pyramidal de Niouserrê.

Ces temples si particuliers à la Ve dynastie étaient intimement liés au fonctionnement du culte funéraire du roi qui était rendu dans le temple de sa pyramide. Comme elle, il faut probablement chercher ses ruines sous les sables du désert entre Saqqarah et Abou Ghorab[note 5].

Relevé de la tombe d'Akhethétep à Saqqarah[note 6]

Représentations[modifier | modifier le code]

On ne connaît pas de représentations du roi contemporaines de son règne en dehors d'une statuette découverte dans le grand temple de Ptah de Memphis parmi un ensemble de sculptures royales provenant sans doute d'une partie du sanctuaire dédiée aux souverains du pays[note 7]. Cette statuette le représente assis sur un trône tenant les sceptres de la royauté, coiffé de la couronne blanche la hedjet, et vêtu du manteau jubilaire caractéristique des cérémonies liées au renouvellement du couronnement, la fête-Sed[note 8].

Personnages contemporains[modifier | modifier le code]

On connaît plusieurs dignitaires de la dynastie qui sont d'ailleurs rattachés à son culte funéraire ou encore à celui de son temple solaire mais qui ne sont pas tous contemporains du règne de Menkaouhor :

  • Hemou, prêtre de Niouserrê et du temple solaire de Menkaouhor, dont le mastaba situé dans la nécropole de Gizeh (G 8492) a livré un relief représentant le défilé des domaines qui sont rattachés au culte funéraire du dignitaire. Parmi ces figures allégoriques, on trouve une représentation d'un des domaines funéraires de Menkaouhor. Ce relief est exposé aujourd'hui au Musée royal d'art et d'histoire de Bruxelles.
  • Kaemânkh, inspecteur ou administrateur du Trésor, prophète de du temple solaire de Menkaouhor, prêtre de la pyramide de Menkaouhor, dont le mastaba est aussi à Gizeh (G 7211).
  • Ptahhotep, vizir, juge, directeur des prêtres des pyramides de Niouserrê, Menkaouhor et Djedkarê Isési, dont le mastaba est à Saqqarah[38].
  • Akhethétep, vizir, juge, inspecteur des villes de pyramides et directeur des prêtres des pyramides de Niouserrê, Menkaouhor et Djedkarê Isési qui possède son mastaba à côté de celui de Ptahhotep à Saqqarah[39].
  • Ti, magistrat, célèbre pour son mastaba à Saqqarah. Il assuma plusieurs fonctions administratives et cléricale dont celle de prêtre de dans le temple solaire de Menkaouhor[40].
  • Ânkhmarê, prêtre des pyramides de Néferefrê et de Menkaouhor, sous le règne duquel il vécut probablement. Son mastaba découvert à Saqqarah possédait un ensemble de chambres destinées à son culte funéraire[note 9] et qui a livré la stèle fausse porte du prêtre[41].
  • Senedjemib Mehi, vizir sous le règne d'Ounas, dont le mastaba à Gizeh donne une liste des souverains de la Ve dynastie figurant sous la forme d'une procession des domaines funéraires rattachés au culte funéraire du vizir. Menkaouhor y apparaît après les domaines funéraires de Sahourê et de Néferirkarê Kakaï[42],[43].

D'autres lui sont contemporains, mais ne citent pas le souverain dans leur tombe :

Sépulture[modifier | modifier le code]

Il se fait bâtir une pyramide nommée les lieux de culte du roi Menkaouhor sont divins[38], à Saqqarah nord que son successeur Djedkarê Isési a probablement achevée.

Pendant longtemps, son emplacement exact resta incertain. Certaines hypothèses plaçaient sa pyramide à Dahchour nord[note 10] tandis que d'autres identifiaient la pyramide ruinée[note 11] de Saqqarah nord, située non loin de celle de Téti comme étant le monument funéraire de Menkaouhor[45].

Cette dernière hypothèse semblait crédible pour plusieurs raisons. Un culte de Menkaouhor existe dans cette partie de la nécropole memphite et ce jusqu'au Nouvel Empire. Lorsque Téti choisit l'emplacement de sa propre pyramide à Saqqarah, la chaussée de son temple funéraire est déviée de l'axe principal du monument. La seule raison d'une telle modification du plan du complexe ne peut être que la présence d'un monument antérieur, monument qui ne pouvait être détruit ou comblé afin de respecter l'axe central[note 12]. Le seul monument d'importance dans ces environs est la pyramide ruinée appelée communément la pyramide décapitée[46],[47].

Enfin, le plan même de ce complexe bien que très ruiné est tout à fait semblable à celui des complexes funéraires royaux de la dynastie, y compris les dimensions de la pyramide elle-même identiques à celles de la Pyramide de Djedkarê Isési (hauteur : 52,50 m ; base : 78,75 m). De plus cette pyramide restée anépigraphe ne contient aucun textes des pyramides qui, à dater du règne d'Ounas deuxième successeur de Menkaouhor, figureront systématiquement dans les caveaux royaux. L'ensemble de ces indices semblait donc conforter l'identification de cette pyramide avec la tombe de Menkaouhor.

Cette hypothèse est confirmée en 2008 par la redécouverte de la pyramide XXIX de la liste de Lepsius. Zahi Hawass attribue à présent formellement cette sépulture au roi Menkaouhor[48],[49].

Culte funéraire[modifier | modifier le code]

Ancien Empire[modifier | modifier le code]

Après sa mort, Menkaouhor jouit d'un culte funéraire centré sur son complexe pyramidal. Le culte dura au moins jusqu'à la seconde moitié de la VIe dynastie, près de cent-cinquante ans plus tard. Les provisions pour ce culte ont été produites dans des domaines agricoles dédiés qui ont été établis du vivant de Menkaouhor[25]. Les produits de ces domaines étaient livrés aux temples solaires et mortuaires de Menkaouhor et distribués aux prêtres du culte, qui pouvaient les utiliser pour leur subsistance ou pour leurs propres cultes funéraires[25]. Des représentations personnifiées des domaines agricoles de Menkaouhor sont représentées apportant des offrandes sur les murs des mastabas de ces prêtres. La plupart des représentations sont situées au nord de Saqqarah[13], près du complexe pyramidal de Djéser[25]. Cette zone comprend les tombes de Neferiretptah[50], Raemankh, Douarê, Iti, Sekhemnefer, Snofrunefer, Akhethétep, Ptahhotep et Qednes[25], tous prêtres du culte funéraire de Menkaouhor. D'autres tombes de prêtres de ce culte se trouvent plus au nord, à Abousir-Sud, avec le mastaba d'Isesiseneb et Rahotep[51] et à Gizeh[25].

Les noms complets d'au moins sept domaines de Menkaouhor sont connus[52] : Ikauhor est parfait en faveur[note 13] et la faveur d'Ikauhor[note 14], toutes deux mentionnées dans les tombes de Ptahhotep et d'Akhethétep ; Ikauhor est parfait de vie[note 15], du tombeau de Ptahhotep II ; Horus Qemaa fait vivre Ikauhor[note 16] ; Ikauhor est fort[note 17] ; Seshat aime Ikauhor[note 18] et Matyt aime Ikauhor[note 19], des tombes des vizirs Senedjemib Inti[56], Senedjemib Mehi et Hemou de Gizeh. De plus, le domaine Ḥwt du roi, qui comprend les possessions foncières[57] du temple mortuaire de Menkaouhor, a été nommé Menkaouhor est parfait des apparences[note 20],[25],[53].

Nouvel Empire[modifier | modifier le code]

Relief du Nouvel Empire représentant Menkaouhor divinisé à Saqqarah

Le culte de Menkaouhor a connu un renouveau pendant la période du Nouvel Empire[58],[59]. À ce moment, Menkaouhor a été déifié comme un dieu local de la nécropole de Saqqarah agissant comme intercesseur divin[60], et qualifié de Fort Seigneur des Deux Terres, Menkaouhor le Justifié[note 21],[61]. Ce culte est attesté par des reliefs[note 22] représentant Menkaouhor dans les tombes du chef des artisans et bijoutiers Ameneminet et du médecin Thuthu à Saqqarah-Nord, qui vivaient à l'époque de la fin de la XVIIIe dynastie[62], sous le règne de Toutânkhamon, Aÿ et Horemheb[63].

Un bloc inscrit datant de la période ramesside plus tardive et se trouvant aujourd'hui au Musée égyptien de Berlin[note 23], a été découvert par Lepsius dans une maison à Abousir[64] et montre Menkaouhor intronisé aux côtés de quatre autres rois déifiés de l'Ancien Empire : le premier nom, partiellement perdu mais probablement Snéfrou est ensuite suivi par Djédefrê, Mykérinos, Menkaouhor et enfin Pépi II. Le propriétaire du tombeau se tient devant les rois, en adoration[65]. Un autre relief datant de la même période montre une scène similaire. Il était inscrit sur le linteau de la chapelle funéraire de Mahy enterrée à Saqqarah-Nord. Quatre rois déifiés de l'Ancien Empire sont représentés, qui ont tous construit leurs pyramides à Saqqarah : Djéser, Téti, Ouserkaf et Menkaouhor[64].

Titulature[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon J. P. Allen.
    Autres avis de spécialistes : -2420 à -2410 (R. Krauss), -2389 à -2380 (J. von Beckerath), -2444 à -2436 (D. B. Redford), -2377 à -2369 (Málek)
  2. Mérésânkh IV est enterrée dans la tombe S82[8].
  3. Kaemtjenent est enterré dans la tombe S84[9].
  4. Un premier relevé a été effectué par la mission prussienne de 1842[21]
  5. Seuls deux temples solaires ont pu être retrouvés et étudiés par les archéologues, celui d'Ouserkaf et celui de Niouserrê. En plus de celui de Menkaouhor trois autres temples solaires sont encore à retrouver, ceux de Sahourê, Néferirkarê et Néferefrê[37]
  6. Le défunt est représenté avec son fils Ptahhotep. Au-dessus de lui se trouvent les cartouches des souverains dont il assurait le culte. La colonne du centre indique le nom de la pyramide de Menkaouhor
  7. Ce qui confirmerait l'affirmation d'Hérodote selon laquelle les prêtres du temple de Memphis lui montrèrent une telle salle
  8. Elle est exposée aujourd'hui au Musée du Caire en compagnie des autres statuettes analogues représentant d'autres rois représentés eux dans l'attitude classique du souverain régnant coiffés du némès
  9. Dont un dispositif de trois chapelles de culte qui devait abriter des statues du dignitaire, dispositif que l'on ne retrouve que dans les monuments royaux ou princiers ; voir l'exemple du mastaba de Ptahchepsès à Abousir
  10. Selon les égyptologues Lehner[44] et R. Stadelmann la Pyramide L de la liste de Lepsius située non loin de la pyramide rouge de Snéfrou à Dahchour serait le tombeau de Menkaouhor
  11. Pyramide XXIX de la Liste de Lepsius, hypothèse soutenue par J. Ph. Lauer et J. Leclant
  12. Un cas de monument antérieur situé sur le tracé de la chaussée d'une pyramide royale est connu. Le mastaba de Khnoumhotep et Niânkhkhnoum a ainsi été comblé et pris dans les fondations de la chaussée de la pyramide d'Ounas
  13. Transliteration Nfr-ḥswt Ik3w-Ḥr lue « Neferhesut Ikauhor »[53].
  14. Transliteration Ḥswt Ik3w-Ḥr lue « Hesut Ikauhor »[53].
  15. Nfr-ˁnḫ Ik3w-Ḥr Neferankh Ikauhor[53].
  16. Sˁnḫ Ḥr-ḳm3ˁ Ik3w-Ḥr lu « Sankh Hor-Qemaa Ikauhor »[53].
  17. W3ḥ Ik3w-Ḥr lu « Wah Ikauhor »[53] aussi traduit en « Ikauhor fleurit »[54].
  18. Mr-Sš3t Ik3w-Ḥr lu « Mer Sheshat Ikauhor »[53].
  19. Mr-M3tjt Ik3w-Ḥr pour "Mer Matyt Ikauhor"[53], Matyt est peut être une variante de « Matit », déesse lionne de Deir el-Gabrawi[55].
  20. Ḥwt nfr-ḫ3w Mn-k3w-Ḥr lu « Hewet neferkhau Menkauhor »[53] .
  21. Titre trouvé dans la tombe de Thuthu, en égyptien wsir nb t3wy Mn-k3w-Ḥr m3ˁ ḫrw[61].
  22. Une stèle provenant de la tombe d'un dignitaire de la XVIIIe dynastie le représente faisant des offrandes aux dieux de la nécropole dont Menkaouhor. Ce relief est exposé au Musée du Louvre
  23. Catalogue Berlin NI 1116[64].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Vymazalová et Coppens 2008, p. 38.
  2. Verner, Callender et Strouhal 2002, p. 106.
  3. Vymazalová et Coppens 2013, p. 37–38.
  4. a b et c Charles University Press Release 2015.
  5. Dodson et Hilton 2004, p. 66.
  6. Verner 2014, p. 58.
  7. Seipel 1980, p. 214.
  8. a b et c Dodson et Hilton 2004, p. 68.
  9. Dodson et Hilton 2004, p. 69.
  10. Michel Baud, Famille royale et pouvoir sous l'Ancien Empire égyptien, Tome 2, p. 422 et 591.
  11. a b et c Baker 2008, p. 198–199.
  12. Baud 1999, p. 569.
  13. a et b Berlandini 1979, p. 16.
  14. Vercoutter 1992, p. 302–303.
  15. Altenmüller 2001, p. 600.
  16. Borchardt 1913, Blatt 45.
  17. Richter 2013.
  18. Hornung, Krauss et Warburton 2012, p. 491.
  19. Rice 1999, p. 173.
  20. von Beckerath 1999, p. 283.
  21. Lepsius 1846b, Abt. II. Bl. 39..
  22. Sethe 1903, Ch.1, § 34.
  23. Breasted 1906, § 263, p. 119.
  24. Verner 2001a.
  25. a b c d e f g et h Vymazalová et Coppens 2008, p. 36.
  26. a b et c Verner 2003, p. 84.
  27. a et b Dorman 2015.
  28. Verner 2001b, p. 589–590.
  29. Verner 2013, p. 68.
  30. Verner 1994, p. 111.
  31. Kanawati 2003, p. 146.
  32. Voß 2004, p. 155.
  33. Grimal 1992, p. 78.
  34. a et b Voß 2004, p. 157.
  35. Voß 2004, p. 156.
  36. Baud 1999, p. 448.
  37. Verner 2003, Ch. III Under the Sign of the Sun, p. 84.
  38. a et b de Rougé 1918, p. 94-95.
  39. de Rougé 1918, p. 97.
  40. de Rougé 1918, p. 92.
  41. Mariette 1889, p. 280-284.
  42. Lepsius 1897, § 26, p. 53.
  43. Brovarski 2001.
  44. Lehner 1997.
  45. Berlandini 1979.
  46. Lehner 1997, p. 165.
  47. Vymazalová et Coppens 2008, p. 35.
  48. À la recherche de la « pyramide décapitée »
  49. Wright 2008.
  50. Mariette 1889, p. 322.
  51. Bárta, Černý et Strouhal 2001, p. 70–71 & 134.
  52. Jacquet-Gordon 1962, p. 292, 299, 381, 390, 394, 400 & 412.
  53. a b c d e f g h et i Berlandini 1979, footnote 77, p. 16.
  54. Brovarski 2001, p. 152.
  55. Fischer 1962, p. 7.
  56. Brovarski 2001, p. 55, 69 & 152.
  57. Brewer et Teeter 1999, p. 52.
  58. Berlandini 1979, p. 18–19.
  59. Rice 1999, p. 108.
  60. Berlandini-Grenier 1976, p. 315–316.
  61. a et b Berlandini-Grenier 1976, p. 315.
  62. Vymazalová et Coppens 2008, p. 32–39.
  63. Berlandini 1979, p. 19.
  64. a b et c Vymazalová et Coppens 2008, p. 37.
  65. Wildung 1969, p. 197–198.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hartwig Altenmüller, « Old Kingdom: Fifth Dynasty », dans Donald B. Redford, The Oxford Encyclopedia of Ancient Egypt, vol. 2, Oxford University Press, , 597–601 p. (ISBN 978-0-19-510234-5)
  • Darrell Baker, The Encyclopedia of the Pharaohs, vol. I : Predynastic to the Twentieth Dynasty 3300–1069 BC, Stacey International, (ISBN 978-1-905299-37-9)
  • Kathryn Bard, An Introduction to the archaeology of ancient Egypt, John Wiley & Sons, Inc., (ISBN 978-0-470-67336-2)
  • Miroslav Bárta, Viktor Černý et Eugen Strouhal, Abusir V. The Cemeteries at Abusir South I, Prague, Roman Míšek, coll. « Excavations of the Czech Institute of Egyptology », (ISBN 978-80-86277-18-9)
  • Michel Baud, Famille Royale et pouvoir sous l'Ancien Empire égyptien. Tome 2, Cairo, Institut français d'archéologie orientale, coll. « Bibliothèque d'étude 126/2 », (ISBN 978-2-7247-0250-7, lire en ligne [archive du ])
  • (de) Jürgen von Beckerath, Handbuch der ägyptischen Königsnamen, Münchner ägyptologische Studien, Heft 49, Mainz : Philip von Zabern, (ISBN 978-3-8053-2591-2)
  • Jocelyne Berlandini, « La pyramide ruinée de Sakkara-nord et le roi Ikaouhor-Menkaouhor », Revue d'Égyptologie, La Société Française d'Égyptologie, vol. 31,‎ , p. 3–28 (lire en ligne)
  • Jocelyne Berlandini-Grenier, « Varia Memphitica I », Bulletin de l'Institut Français d'Archéologie Orientale (BIFAO), Le Caire, Institut français d'archéologie orientale, vol. 76,‎ , p. 301–316
  • (de) Ludwig Borchardt, Statuen und Statuetten von Königen und Privatleuten im Museum von Kairo, Nr. 1-1294, vol. 1, coll. « Catalogue Général des Antiquités Égyptiennes du Musée du Caire », (OCLC 7012471, lire en ligne)
  • (de) Ludwig Borchardt, Das Grabdenkmal des Königs S'aḥu-Re (Band 2): Die Wandbilder: Abbildungsblätter, Leipzig, Hinrichs, (ISBN 978-3-535-00577-1, lire en ligne)
  • James Henry Breasted, Ancient records of Egypt historical documents from earliest times to the persian conquest, collected edited and translated with commentary, vol. I The First to the Seventeenth Dynasties, The University of Chicago press,  ;
  • Douglas J. Brewer et Emily Teeter, Egypt and the Egyptians, Cambridge, New York, Cambridge University Press, (ISBN 978-0-521-44518-4)
  • Edward Brovarski, « The Senedjemib Complex, Part 1. The Mastabas of Senedjemib Inti (G 2370), Khnumenti (G 2374), and Senedjemib Mehi (G 2378) », dans Peter Der Manuelian, William Kelly Simpson, Giza Mastabas, vol. 7, Boston, Art of the Ancient World, Museum of Fine Arts, (ISBN 978-0-87846-479-1, lire en ligne)
  • « Czech expedition discovers the tomb of an ancient Egyptian unknown queen », Charles University in Prague, (consulté le )
  • Peter Clayton, Chronicle of the Pharaohs, Thames & Hudson, (ISBN 978-0-500-05074-3, lire en ligne)
  • Emmanuel de Rougé, Œuvres diverses, vol. 6, Paris, (présentation en ligne)
  • Aidan Dodson et Dyan Hilton, The Complete Royal Families of Ancient Egypt, London, Thames & Hudson Ltd, (ISBN 978-0-500-05128-3)
  • Peter Dorman, « The 5th dynasty (c. 2465–c. 2325 bc) », sur Encyclopædia Britannica Online, (consulté le )
  • Cecil Mallaby Firth, « Report on the excavations of the Department of antiquities at Saqqara (November 1929–April 1930) », Annales du Service des Antiquités de l'Égypte, vol. 30,‎ , p. 185–189
  • Henry George Fischer, « The Cult and Nome of the Goddess Bat », Journal of the American Research Center in Egypt, vol. 1,‎ , p. 7–18 (DOI 10.2307/40000855, JSTOR 40000855)
  • Alan Gardiner, Eric Peet et Jaroslav Černý, The inscriptions of Sinai, London, Egypt Exploration Society, (OCLC 699651)
  • Alan Gardiner, The Royal Canon of Turin, Griffith Institute, (OCLC 21484338)
  • Ogden Goelet, « Abu Gurab », dans Kathryn Bard, Encyclopedia of the Archaeology of Ancient Egypt, London; New York, Routledge, (ISBN 978-0-203-98283-9)
  • Nicolas Grimal (trad. Ian Shaw), A History of Ancient Egypt, Oxford, Blackwell publishing, (ISBN 978-0-631-19396-8)
  • Nicolas Grimal, Histoire de l'Égypte ancienne [détail des éditions], « La suprématie héliopolitaine »
  • Erik Hornung, Rolf Krauss et David Warburton, Ancient Egyptian Chronology, Leiden, Boston, Brill, coll. « Handbook of Oriental Studies », (ISBN 978-90-04-11385-5, ISSN 0169-9423, lire en ligne)
  • Helen Jacquet-Gordon, Les noms des domaines funéraires sous l'ancien empire égyptien, Le Caire : Imprimerie de l'Institut français d'archéologie orientale, (OCLC 18402032)
  • Naguib Kanawati, Conspiracies in the Egyptian Palace: Unis to Pepy I, London; New York, Routledge, (ISBN 978-0-203-16673-4, lire en ligne)
  • Peter Kaplony, Die Rollsiegel des Alten Reichs II. A : Katalog der Rollsiegel, Bruxelles, Fondation égyptologique reine Élisabeth, coll. « Monumenta Aegyptiaca n°3 », (OCLC 490611856)
  • Mark Lehner, The Complete Pyramids, London, Thames & Hudson, (ISBN 978-0-500-05084-2, lire en ligne)
  • Ronald J. Leprohon, The Great Name: Ancient Egyptian Royal Titulary, Atlanta, Society of Biblical Literature, coll. « Writings from the Ancient World, no. 33 », (ISBN 978-1-58983-736-2)
  • (de) Karl Richard Lepsius, Denkmäler aus Ägypten und Äthiopien, Abteilung I: Topographie & Architektur, Berlin, 1846a (OCLC 60700892, lire en ligne)
  • (de) Karl Richard Lepsius, Denkmäler aus Ägypten und Äthiopien, Abteilung II Band III: Altes Reich, Berlin, 1846b (OCLC 60700892, lire en ligne)
  • Karl Richard Lepsius, Denkmäler aus Ægypten und Æthiopen - volume I, Leipzig,
  • Jaromir Malek, « King Merykare and his Pyramid », dans C. Berger, G. Clerc, Nicolas Grimal, Hommages à Jean Leclant. Vol. 4, Cairo, Institut français d'archéologie orientale, coll. « Bibliothèque d'étude 106/4 », , 203–214 p. (ISBN 978-2-7247-0139-5)
  • Jaromir Malek, « The Old Kingdom (c.2160–2055 BC) », dans Ian Shaw, The Oxford History of Ancient Egypt, Oxford University Press, (ISBN 978-0-19-815034-3, lire en ligne)
  • Auguste Mariette, « La table de Saqqarah », Revue Archéologique, Paris, vol. 10,‎ , p. 168–186 & Pl. 17 (lire en ligne)
  • Auguste Mariette, Les Mastabas de l'Ancien Empire, Fragments du Dernier Ouvrage d'Auguste Édouard Mariette, Paris, Friedrich Vieweg, (OCLC 2654989, lire en ligne)
  • Antonio J. Morales, « Traces of official and popular veneration to Nyuserra Iny at Abusir. Late Fifth Dynasty to the Middle Kingdom », dans Miroslav Bárta, Filip Coppens, Jaromír Krejčí, Abusir and Saqqara in the année 2005, proceedings of the Conference held in Prague (June 27–July 5, 2005), Prague, Academy of Sciences of the Czech Republic, Oriental Institute, , 311–341 p. (ISBN 978-80-7308-116-4)
  • Karl Otfried Müller, Fragmenta Historicorum Graecorum, Vol. 2, Cambridge, Cambridge University Press, (ISBN 978-1-108-01661-2)
  • G. D. Mumford, « Wadi Maghara », dans Kathryn Bard, Steven Blake Shubert, Encyclopedia of the Archeology of Ancient Egypt, New York, Routledge, , 875–876 p. (ISBN 978-0-415-18589-9)
  • Margaret Alice Murray, Saqqara Mastabas. Part I, London, Bernard Quaritch, coll. « Egyptian research account, 10th année », (OCLC 458801811, lire en ligne)
  • Flinders Petrie, Scarabs and Cylinders with Names, London, School of Archaeology in Egypt, coll. « Publications (British School of Archaeology in Egypt), 29 », (OCLC 3246026, lire en ligne)
  • Michael Rice, Who is who in Ancient Egypt, Routledge London & New York, (ISBN 978-0-203-44328-6)
  • Barbara Richter, « Sed Festival Reliefs of the Old Kingdom », Paper Presented at the Annual Meeting of the 58th Annual Meeting of the American Research Center in Egypt, Wyndham Toledo Hotel, Toledo, Ohio, Apr 20, 2007,‎ (lire en ligne [archive du ], consulté le )
  • Alan Schulman, « Beyond the fringe. Sources for Old Kingdom foreign affairs », Journal of the Society for the Study of Egyptian Antiquities, vol. 9,‎ , p. 79–104 (ISSN 0383-9753)
  • « Seal of office », sur Collections: The Ancient World, Boston Museum of Fine Arts (consulté le )
  • Karin N. Sowada et Peter Grave, Egypt in the Eastern Mediterranean during the Old Kingdom: an archaeological perspective, Fribourg: Academic Press; Göttingen: Vandenhoeck & Ruprecht, coll. « Orbis biblicus et orientalis, 237 », (ISBN 9783525534557, lire en ligne)
  • Wilfried Seipel, Untersuchungen zu den ägyptischen Königinnen der Frühzeit und des alten Reiches: Quellen und historische Einordnung (thèse de doctorat), University of Hamburg, (OCLC 256076594)
  • Kurt Heinrich Sethe, Urkunden des Alten Reich, vol. 1, Leipzig, J.C. Hinrichs'sche Burchhandlung,  ;
  • Nigel C. Strudwick, Texts from the Pyramid Age, Atlanta, Society of Biblical Literature, coll. « Writings from the Ancient World (book 16) », (ISBN 978-1-58983-680-8, lire en ligne)
  • Jean Vercoutter, L'Egypte et la vallée du Nil, 1 : Des origines à la fin de l'Ancien Empire 12000–2000 av. J.-C, Paris, Presses universitaires de France, (ISBN 978-2-13-044157-1)
  • Miroslav Verner, Forgotten Pharaohs, Lost Pyramids: Abusir, Praha, Academia Škodaexport, (ISBN 978-80-200-0022-4)
  • Miroslav Verner, The Pyramid Complex of Khentkaus, Prague, Charles University, coll. « Abusir III », (ISBN 978-80-7066-909-9)
  • Miroslav Verner, « Who was Shepseskara, and when did he reign? », dans Abusir and Saqqara in the année 2000, Prague, Academy of Sciences of the Czech Republic, Oriental Institute, , 581–602 p. (ISBN 978-80-85425-39-0, lire en ligne [archive du ])
  • Miroslav Verner, « Archaeological Remarks on the 4th and 5th Dynasty Chronology », Archiv Orientální, vol. 69, no 3,‎ 2001a, p. 363–418 (lire en ligne)
  • Miroslav Verner, « Old Kingdom: An Overview », dans Donald B. Redford, The Oxford Encyclopedia of Ancient Egypt, Volume 2, Oxford University Press, 2001b, 585–591 p. (ISBN 978-0-19-510234-5)
  • Miroslav Verner, Vivienne Callender et Evžen Strouhal, Djedkare's Family Cemetery, Prague, Czech Institute of Egyptology, Faculty of Arts, Charles University, coll. « Abusir VI », (ISBN 978-80-86277-22-6, lire en ligne [archive du ])
  • Miroslav Verner, Abusir: The Realm of Osiris, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 978-977-424-723-1)
  • Miroslav Verner, Temple of the World: Sanctuaries, Cults, and Mysteries of Ancient Egypt, Cairo, The American University in Cairo Press, (ISBN 978-977-416-563-4)
  • Miroslav Verner, Sons of the Sun. Rise and decline of the Fifth Dynasty, Prague, Charles University, Faculty of the Arts, (ISBN 978-80-7308-541-4, OCLC 909874854)
  • Petra Vlčková, « Inscribed Stone Vessels from the Mortuary Complex of Raneferef at Abusir », Archiv Orientální, vol. 74,‎ , p. 259–270
  • Susanne Voß, Untersuchungen zu den Sonnenheiligtümern der 5. Dynastie. Bedeutung und Funktion eines singulären Tempeltyps im Alten Reich (thèse de doctorat), (OCLC 76555360, lire en ligne)
  • (de) Hana Vymazalová et Filip Coppens, « König Menkauhor. Ein kaum bekannter Herrscher der 5. Dynastie », Sokar, vol. 17,‎ , p. 32–39
  • Hana Vymazalová et Filip Coppens, « Two hieratic inscriptions from the tomb of Werkaure (Lepsius Pyramid No. XXIII) in Abusir », dans Miroslav Bárta, Hella Küllmer, Diachronic Trends in Ancient Egyptian History: Studies dedicated to the memory of Eva Pardey, Prague, Czech Institute of Egyptology, , 123–135 p. (ISBN 978-80-7308-444-8)
  • William Gillan Waddell, Manetho, Cambridge, Massachusetts; London, Harvard University Press; W. Heinemann, coll. « Loeb classical library, 350 », (OCLC 6246102, lire en ligne)
  • (de) Dietrich Wildung, « Die Rolle ägyptischer Könige im Bewußtsein ihrer Nachwelt. Teil I. Posthume Quellen über die Könige der ersten vier Dynastien », Münchener Ägyptologische Studien. (MÄS), München–Berlin, Deutscher Kunstverlag, vol. 17,‎
  • Jonathan Wright, « Eroded pyramid attributed to early pharaoh », sur Reuters, (consulté le )
  • William J. Young, « The Fabulous Gold of the Pactolus Valley », Boston Museum Bulletin, vol. LXX,‎ (lire en ligne)