Maurepas (Yvelines)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Maurepas
Maurepas (Yvelines)
La mairie.
Blason de Maurepas
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines
Maire
Mandat
Grégory Garestier
2020-2026
Code postal 78310
Code commune 78383
Démographie
Gentilé Maurepasiens
Population
municipale
18 611 hab. (2021 en diminution de 1,22 % par rapport à 2015)
Densité 2 240 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 46′ nord, 1° 57′ est
Altitude Min. 87 m
Max. 178 m
Superficie 8,31 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Paris
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Maurepas
(bureau centralisateur)
Législatives 10e circonscription des Yvelines
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Maurepas
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Maurepas
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Voir sur la carte topographique des Yvelines
Maurepas
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Voir sur la carte administrative d'Île-de-France
Maurepas
Liens
Site web http://www.maurepas.fr/

Maurepas est une commune française située dans le département des Yvelines en région Île-de-France. Intégrée au sein de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et située à proximité de Trappes, la ville compte près de 18 000 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Maurepas dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située à 20 km environ au nord de Rambouillet, en bordure de la route nationale 10 et à 30 km de Paris.

Elle se compose d'une zone très urbanisée, qui s'étend de la RN 10 au sud à l'ancien village et du lotissement ancien hameau de la Villeneuve, au nord, près du hameau des Mousseaux de Jouars-Pontchartrain.

La commune est assez boisée : une forêt domaniale, une forêt privée (le Bois-Prudhomme) et un petit bois transformé en square urbain (le Bois de Nogent).


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Maurepas
Jouars-Pontchartrain Élancourt
Maurepas
Coignières La Verrière

Hydrographie[modifier | modifier le code]

  • Ru de Maurepas.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune est traversée, selon un axe nord-ouest - sud-est, par la route départementale 13 (Montfort-l'Amaury - Chevreuse).

Elle est longée, selon un axe nord-sud, par la route nationale 10 dont deux entrées-sorties desservent Maurepas.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La gare SNCF la plus proche est la gare de La Verrière.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes 401, 410, 411, 412, 416, 417, 423, 424, 441, 449 et 450 et du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par la ligne 61 du réseau de bus Centre et Sud Yvelines et, la nuit, par la ligne N145 du réseau Noctilien[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 661 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records TRAPPES (78) - alt : 167m, lat : 48°46'27"N, lon : 2°00'35"E
Records établis sur la période du 01-04-1923 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,9 1,8 3,9 6 9,4 12,5 14,4 14,2 11,3 8,5 4,8 2,4 7,6
Température moyenne (°C) 4,3 4,9 7,9 10,7 14,1 17,3 19,5 19,4 16 12,2 7,6 4,8 11,6
Température maximale moyenne (°C) 6,8 8 11,9 15,4 18,8 22,1 24,6 24,6 20,7 15,8 10,4 7,2 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−15,8
17.01.1985
−15,6
13.02.1929
−10,5
07.03.1971
−4,1
12.04.1986
−1,2
07.05.1957
0,1
01.06.1936
2
09.07.1929
4
31.08.1928
−0,5
20.09.1952
−5,2
28.10.1931
−8,9
24.11.1998
−14,3
22.12.1946
−15,8
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
16
05.01.1999
20,3
27.02.19
24,7
31.03.21
28
18.04.1949
30,9
27.05.05
36
18.06.22
40,6
25.07.19
39,1
06.08.03
34,6
09.09.23
29
01.10.1985
21
03.11.1927
16,8
07.12.00
40,6
2019
Ensoleillement (h) 57 806 1 337 1 758 2 017 2 096 2 223 2 163 1 769 1 168 676 553 17 138
Précipitations (mm) 56,2 49,9 50,1 49,9 66 57 56,3 56,1 49,8 61,8 61,2 72 686,3
Source : « Fiche 78621001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Maurepas est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[11] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

Occupation des sols en 2018
Type d’occupation Pourcentage Superficie
(en hectares)
Tissu urbain discontinu 42,1% 356
Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 10,7% 90
Prairies et autres surfaces toujours en herbe 3,4 % 29
Systèmes culturaux et parcellaires complexes 16,0% 135
Forêts de feuillus 27,8% 235
Source : Corine Land Cover[16]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune est attesté sous la forme latinisée de Malus repastus en 1099[17], Malorepastu avant 1105[18], Malrepast[19] au début du Moyen Âge[Quand ?], puis finalement Maurepas à la Renaissance[réf. nécessaire].

Homonymie avec Maurepas (Somme) (Malum Repastum en 1181)[20].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale, basée sur le français mal devenu mau- par vocalisation de [l] devant une autre consonne, suivi du français repas[18]. Le français repas est attesté entre 1160 et 1174 chez Wace sous la forme de l'ancien français repast au sens de « nourriture ». Il s'agit d'un dérivé formé en ancien français à partir de past « nourriture, repas » (terme issu du latin pastus cf. paître) à l'aide du préfixe français re-[21]. Ernest Nègre donne au mot repas, dans ce contexte, le sens de « nourriture des animaux, pâturage »[20].

Le sens global du toponyme Maurepas est donc celui de « mauvais repas pour les animaux », c'est-à-dire de « mauvaise pâture ». Il n'y avait que peu de champs à l'origine et bien des marécages peu propices à la culture céréalière, sans compter les forêts, la place manquante peut faire penser qu'y manger mal était fréquent.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les origines[modifier | modifier le code]

Le fond du vallon de Maurepas est habité dès la préhistoire. Des outils et des poteries datant du IVe et du IIIe millénaire av. J.-C. ont été retrouvés à proximité de la source (fontaine Saint-Sauveur) et le long du ru de la Courance[22].

L'Antiquité[modifier | modifier le code]

Au Ier siècle av. J.-C., le réseau des voies romaines se développe en Gaule. Deux grands axes se croisent non loin de Maurepas, sur le territoire de Jouars-Pontchartrain : la voie qui relie Paris à Dreux, et celle qui relie Beauvais à Orléans et à Chartres. Autour de ce carrefour se développe une agglomération nommée Diodurum, mentionnée dans l’Itinéraire d'Antonin[23] sous la forme Dioduro. Les fermes et les champs de Maurepas doivent contribuer à son alimentation[22].

Du Moyen Âge à la Renaissance[modifier | modifier le code]

Après le départ des Romains, les périodes d’invasion se succèdent, dont celles des Normands. Pour se défendre, les paysans se regroupent sur la butte qui domine la vallée.

Les terres appartiennent alors au roi de France. Pépin le Bref les donne à l’abbaye de Saint-Denis en 768[22]. Elle les cède rapidement à une famille locale, qui prend le nom de la terre (Malrepast) et qui devient le vassal du seigneur de Chevreuse. Au XIe siècle, une enceinte et un donjon cylindrique[24] en meulière ont dû succéder aux fortifications en bois des siècles précédents.

Ruines du donjon de Maurepas.

Avec la guerre de Cent Ans, le château appartient, sous Charles VI, au seigneur de Nancy, qui met, vers 1364 avec une troupe de brigands, à contribution les pays voisins. Les Anglais envoient finalement une équipe de mercenaires pour pacifier la région. Le château est pris d’assaut le 11 septembre 1432 et démantelé. Le donjon en ruine est toujours visible.

La baronnie de Maurepas appartient encore à la maison de Chevreuse qui la vend en 1543 au duc d'Étampes Jean IV de Brosse dont la femme Anne de Pisseleu est la maîtresse de François Ier. Avec la disgrâce de la duchesse, Maurepas est revendue dès 1551 au cardinal de Lorraine. Le cardinal désigne Jean du Fay, duc de Chevreuse, comme intendant. C’est lui et ses héritiers qui gèreront effectivement Maurepas pendant un peu plus d'un siècle. L’église Saint-Sauveur reçoit en 1659 deux cloches offertes par ses descendants Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse, et Charles d’Albert, duc de Luynes, le favori de Louis XIII. L’une des cloches sera fondue à la Révolution française.

L'influence de Versailles[modifier | modifier le code]

Lors de la construction du château de Versailles, un vaste chantier est lancé pour collecter toutes les eaux de la région afin d’alimenter les bassins et les fontaines. Deux rigoles sont creusées sur le plateau de Maurepas à partir de 1684 ; elles se rejoignent dans un bassin sec (l’étang des Bessières) puis un aqueduc enterré conduit l’eau vers l’étang des Noës (il passe encore sous le centre-ville actuel). Ce drainage permet d’assécher les marécages et l’agriculture peut se développer sur le plateau.

En 1691, Louis XIV érige Maurepas en comté et le cède à son ministre Louis Phélypeaux, comte de Pontchartrain. Son fils Jean Frédéric Phélypeaux, comte de Maurepas, sera ensuite ministre de Louis XV et de Louis XVI.

Les temps modernes[modifier | modifier le code]

Quartier des Friches en 2009, allée de l'Aube.

Jusqu'à la fin des années 1960 Maurepas est un petit village vivant essentiellement de l'agriculture. Puis les champs cèdent la place à une urbanisation rapide, menée par le promoteur immobilier et urbaniste Jacques Riboud. En 1973, dès la création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines, la commune en fait intégralement partie[25]. Elle sort de son périmètre en 1984. Puis elle y revient en 2016[26].

La partie moderne de Maurepas est principalement l'œuvre de Jacques Riboud et de son architecte Roland Prédiéri : des pavillons mitoyens et des petits immeubles, un centre-ville piétonnier et de nombreuses sentes, des espaces de vie dans les quartiers, et une profusion d'arbres et d'espaces verts. Des lotissements ont ensuite comblé les espaces restés ou redevenus libres autour de ces nouveaux quartiers. Construit entre 1982 et 1983, le quartier des Friches est aujourd'hui classé prioritaire et compte près de 1 600 habitants[27],[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[29], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département des Yvelines et à son arrondissement de Rambouillet, après un transfert administratif effectif au .

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la dixième circonscription des Yvelines.

Elle faisait partie de 1801 à 1976 du canton de Chevreuse, année où elle devient le chef-lieu du canton de Maurepas[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton, qui est modifié, passant de 4 à 16 communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Maurepas était l'une des communes de la ville nouvelle aménagée par l'établissement public d’aménagement de Saint-Quentin-en-Yvelines (EPASQY) et gérée le syndicat communautaire d’aménagement de l’agglomération nouvelle (SCAAN) créé en 1972.

Maurepas, ainsi que Bois-d'Arcy, Coignières et Plaisir quittent la ville nouvelle fin 1983 et la commune adhère en 2014 à la communauté de communes des Étangs (CCE), mais la quitte le

En effet, dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France, après avoir sans succès souhaité la constitution d'une grande intercommunalité de 800 000 habitants[31], approuve le 4 mars 2015 un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de la communauté d'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines et de la communauté de communes de l'Ouest Parisien et extension du périmètre du nouveau groupement aux communes de Maurepas et Coignières[32] ».

Dans ce cadre est ainsi créé le une nouvelle communauté d'agglomération qui conserve la dénomination de Saint-Quentin-en-Yvelines, et comprend douze communes, dont Maurepas[33].

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Politique locale[modifier | modifier le code]

Coignières et Maurepas rendent publique en 2018 une réflexion en vue de la création d'un commune nouvelle qui les regrouperait le notamment afin d’affronter la « baisse continue des dotations de l’État ». Les deux communes limitrophes ont antérieurement mutualisé leurs archives et leurs polices municipales[34], et partagent depuis longtemps les mêmes déchetteries, station d’épuration ou réseau d’assainissement[35]. Cette initiative fait l'objet d'un refus d'habitants de Coignières[36] et d'une partie de la majorité siégeant au conseil municipal de Coignières.

La municipalité de Coignières fait part de l'abandon de ce projet controversé en mai 2018[37].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[38]
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1959 Charles Fournet    
mars 1959 octobre 1968 Paul Drussant SE  
octobre 1968 novembre 1973 Guy Schuler SE  
novembre 1973 mars 1977 René Resséjac-du-Parc DVD Ingénieur
mars 1977 mars 1983 Michel Miserey PCF Instituteur
Conseiller général de Maurepas (1976 → 1982)
mars 1983 mars 1989 Jean-Louis Levet RPR Conseil en communication
mars 1989 avril 2014[39] Georges Mougeot PS puis DVG Médecin, retraité
Conseiller général de Maurepas (1982 → 1994)
avril 2014[40] En cours
(au 23 mai 2020)
Grégory Garestier UMP puis DVD Cadre dans la communication publique et territoriale
Conseiller départemental de Maurepas (2021 → )
Vice-président de la CA de Saint-Quentin-en-Yvelines (2016 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[41]

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune s’est engagée dans une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2008[42].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Maurepasiens[44].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 18 611 habitants[Note 4], en diminution de 1,22 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
247282255272306306288311283
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
263262264242222232227242242
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
226252273284300286253325304
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3521 79113 57718 76419 71819 58618 70518 92818 646
2021 - - - - - - - -
18 611--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,2 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 8 876 hommes pour 9 143 femmes, soit un taux de 50,74 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,3 
7,9 
75-89 ans
9,7 
14,4 
60-74 ans
16,5 
21,0 
45-59 ans
19,2 
18,7 
30-44 ans
19,8 
18,4 
15-29 ans
16,5 
19,2 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Équipements scolaires[modifier | modifier le code]

Il existe 10 écoles maternelles et 7 écoles élémentaires réparties sur le territoire de la ville[49].

Équipements sportifs[modifier | modifier le code]

La commune dispose de :

  • Trois gymnases ;
  • Un "skatepark" ;
  • Un stade municipal.

La construction d'une nouvelle piscine dans le cadre d'un partenariat public-privé (PPP) de 25 ans pour remplacer celle de Maurepas fermée depuis avril 2015 a été décidée fin 2017 par Saint-Quentin-en-Yvelines, Maurepas, Élancourt [50]. En effet, la communauté d'agglomération a refusé d'inclure les piscines parmi ses compétences, mais apporte une partie des fonds au nouvel équipement de Maurepas [51]. Le conseil municipal a approuvé le PPP le 17 décembre 2019, officialisant le lancement définitif du projet. Un recours au tribunal administratif a été fait par l'opposition.

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

La ville dispose :

  • D'un conservatoire de musique et d'art dramatique ;
  • D'une salle de concert et spectacle (Espace Albert-Camus) ;
  • D'une médiathèque (Le Phare).

Un multiplexe de 8 salles et 1 700 fauteuils dont la livraison devrait avoir lieu d'ici mars 2020[52] est en cours de construction dans la zone commerciale du Village des Loisirs par Cinémovida, exploitant qui exploitait auparavant 65 salles en France[53].

Après de nombreux reports et problèmes, Le projet de multiplexe est finalement abandonné définitivement en septembre 2021[54].

Autres équipements[modifier | modifier le code]

  • Une salle des fêtes[55].
  • Un marché couvert dit "La Halle du Marché". (Victime d'un incendie criminel dans la nuit du jeudi à 22h30. L'avenir de cette dernière est en jeu)[56]. Le conseil municipal a voté à l'unanimité le 17 décembre 2019 une grande concertation avec les habitants, les commerçants et les usagers du marché afin d’identifier au mieux les besoins et ainsi lancer un projet répondant aux attentes de tous.
  • Offre de soins : en 2021, la commune engage une démarche de diagnostic avec l'URPS médecins et l'Agence régionale de santé Île-de-France. La commune compte deux cabinets médicaux, historiquement implantés, le Centre médical Pasteur et le Centre médical des Pyramides. La commune est classée en territoire fragile zonage 2018 par l'ARS, et comme la plupart des villes d'Île-de-France est confrontée à une disparition progressive de son offre médicale. Un plan d'action est en cours d'élaboration pour redynamiser l'implantation de médecins et garantir un accès aux soins de la population.[réf. nécessaire]

Économie[modifier | modifier le code]

Le centre-ville accueille surtout des commerces et des artisans. Le sud-est de la commune est occupé par une vaste zone d'activité (ZAC Maurepas-Coignières). Initialement zone industrielle, depuis la fin des années 1980 elle se transforme en zone commerciale sous le nom de PariWest[57].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Maurepas « village » comporte plusieurs maisons datant des XVIIIe et XIXe siècles. Les deux édifices les plus anciens sont les ruines du donjon, datant de l'an mil et détruit en 1425 et, à proximité, l'église Saint-Sauveur datant des XVe et XVIe siècles.

Dans la partie nouvelle, plusieurs œuvres d'art monumentales ont été installées à l'initiative de Jacques Riboud.

Donjon de Maurepas.

Sculptures de Gérard Ramon[58] :

  • La grande maternité allongée (tirage en bronze d'après l'original en cuivre façonné, 1968) place de Gascogne.
  • Les ibis (cuivre façonné, 1970) initialement place de la Rance, en dépôt aux serres municipales.
  • L'élan (cuivre façonné, 1970) initialement au centre-ville (actuelle place J.-Riboud), désormais sur le rond-point du seuil de Coignières.
  • Le combat de chèvres (cuivre façonné, 1970). initialement entre le centre-ville et la nationale 10, désormais sur le rond-point Jean-Moulin.
  • Métamorphose (cuivre façonné, 1972) initialement place des Échoppes, en dépôt aux serres municipales.
  • La jeune fille assise (tirage en bronze d'après l'original en cuivre façonné, 1972) initialement allée de la Côte-d'Or, désormais devant l'hôtel de ville.
  • Les acrobates (cuivre façonné, 1974) initialement en bordure du bassin de la Nouvelle-Amsterdam (donc en fait à Élancourt), désormais à la Ferme des Mousseaux à Élancourt.
  • Les astronautes (cuivre façonné, 1975) rue de Brie.

Autres œuvres de Gérard Ramon :

  • Les Chevaux sauvages (mosaïque, 1969) sur le pignon de l'hôtel au centre de la ville.
  • Pavement en mosaïque dans le hall du même hôtel.
  • Paysage rural, Le Génie civil, La Construction de la ville, Paysage urbain (quatre hauts reliefs en cuivre, 1973) sur la façade ouest de l'hôtel de ville.
  • Autres mosaïques réalisées avec D. Hideux et M. Houari sur les façades sud et est de l'hôtel de ville.
  • La Vague (mosaïque) avenue de Sologne.

Fresques signées Robert Lesbounit :

  • Les Croisés (mosaïque, 1968) en face de la gare de La Verrière.
  • Façade ouest du gymnase Malmedonne (mosaïque, 1969) à la suite de l'agrandissement du gymnase la fresque a été déplacée et est désormais à l'intérieur de la grande salle.
  • Façade nord de l'église Notre-Dame (mosaïque, 1972).
  • Œuvre sans nom (square du Velay/square des Garrigues).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Maurepas

Les armes de Maurepas se blasonnent ainsi :
d'azur semé de quartefeuille d'or au franc-quartier d'hermine.

Il s'agit des armes de la famille Phélypeaux. Elle fut la plus grande famille de ministres de l'Ancien Régime et possédait le comté de Maurepas depuis 1691.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.maurepas.fr/index.php/_minisite_/display/Horaires-des-bus?idpage=567&afficheMenuContextuel=true
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Maurepas et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Trappes » (commune de Trappes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Données statistiques sur les communes de Métropole ; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
  17. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, préface de Paul-Louis Tenaillon, Librairie Guénégaud, 1977, (FRBNF 34588328), p. 240.
  18. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 442b.
  19. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus étampois.
  20. a et b Ernest Nègre, « Toponymie générale de la France, Volume 2, page 1129 » (consulté le ).
  21. Site du CNRTL : étymologie de « repas »
  22. a b et c Marie-José Michel, Maurepas hier et aujourd'hui, Maurepas (lire en ligne).
  23. Itinéraire d'Antonin, 384, 6. Itineraria Antonini Augusti et Burdigalense, éd. Otto Cuntz, Leipzig, 1929 (Itineraria Romana, 1) ; repr. Stuttgart, 1990 (ISBN 3-519-04273-8).
  24. Châtelain André, Châteaux forts et féodalité en Île-de-France, du XIe au XIIIe siècle, 1983, p. 53-54.
  25. Marie Peretti-Ndiaye et Rémi Tréhin-Lalanne, « Ville nouvelle, quarante ans après. Les pionniers vieillissants de Maurepas », sur Articulo - Journal of Urban Research, (consulté le ).
  26. « Saint-Quentin-en-Yvelines entre dans une nouvelle ère », Le Parisien,‎ (lire en ligne).
  27. Quartier Prioritaire : Friches sur sig.ville.gouv.fr
  28. Le quartier des Friches en pleine réhabilitation sur Le Parisien, le 24 avril 2013
  29. Loi no 64-707 du 10 juillet 1964 portant réorganisation de la région parisienne, JORF no 162 du 12 juillet 1964, p. 6204–6209, fac-similé sur Légifrance.
  30. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. CyrilMorteveille, « Intercommunalité : les élus yvelinois obtiennent gain de cause : L’amendement déposé par les élus yvelinois a été accepté par la commission régionale de coopération intercommunale (CRCI). Le projet d’une grande intercommunalité de 800 000 habitants a été abandonné= », Conseil départemental des Yvelines, (consulté le ).
  32. « Arrêté du Préfet de la région Île-de-France du 4 mars 2015 portant adoption du schéma régional de coopération intercommunale » [PDF], sur marneetgondoire.fr (consulté le ).
  33. CyrilMorteveille, « La carte des nouvelles intercommunalités », Actualités, Conseil départemental des Yvelines, (consulté le ).
  34. Laurent Mansart, « Maurepas - Coignières : les polices municipales fusionnent : Ils seront en tout quatorze agents pour surveiller les deux villes, en attendant que ceux d’Élancourt les rejoignent avant l’été. », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « L’union fait la force. Partant de ce principe, les villes voisines de Maurepas (20 000 habitants) et de Coignières (4 500) viennent de décider la fusion de leur police municipale pour les transformer en une seule police « pluri-communale ».
  35. Laurent Mansart, « Maurepas et Coignières unissent leur destin : Les maires des deux villes lancent une étude dans le but de créer une nouvelle commune pour, disent-ils, faire face aux baisses des dotations de l’Etat », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « Maurepas-Coignières : les anti-fusion se mobilisent et réclament un référendum », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. Laurent Mansart, « Maurepas - Coignières : pas encore fiancés, déjà divorcés : Les élus de Coignières ont fait machine arrière sur le projet de fusion des deux communes, laissant des regrets à Maurepas », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Les Maires de Maurepas » [PDF], Histoire locale, Racines, club de Généalogie Maurepas Elancourt (consulté le ).
  39. « Municipales : derniers vœux pour Georges Mougeot à Maurepas », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vingt-cinq ans après sa première élection, en 1989, Georges Mougeot, le maire (DVG) de Maurepas a prononcé son dernier discours de vœux en tant que premier magistrat vendredi soir ».
  40. Sébastien Birden, « Maurepas : Grégory Garestier (UMP) officiellement maire », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À seulement 33 ans, Grégory Garestier, le candidat UMP sorti vainqueur des urnes dimanche dernier avec 49,25 % des voix, a officiellement été investi de la fonction de maire ce samedi matin par le nouveau conseil municipal. Élu avec 25 votes des conseillers sur 33 possibles ».
  41. Sébastien Birden, « Yvelines : les premiers maires officiellement élus... masque sur le visage : Plusieurs conseils municipaux ont eu lieu ce samedi, installant dans leurs fonctions des maires désignés dès le premier tour le 15 mars dernier », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Dans l'après-midi, Laurent Brosse (DVD) à Conflans-Sainte-Honorine et Grégory Garestier (DVD) à Maurepas ont eux aussi reçu l'écharpe tricolore ».
  42. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Maurepas, consultée le 5 décembre 2017
  43. « Willkommen beim Freundeskreis Maurepas » Site web des Freundeskreise der Gemeinde Henstedt-Ulzburg, consulté le 19 mai 2016.
  44. Nom des habitants de la commune sur le site Habitants.fr, consulté le 9 octobre 2015.
  45. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Maurepas (78383) », (consulté le ).
  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  49. https://www.journaldesfemmes.fr/maman/ecole/maurepas/ville-78383
  50. Laurent Mansart, « Maurepas : la piscine sera bien reconstruite : Saint-Quentin-en-Yvelines a débloqué 2,4 M € pour la ville et ses voisines de Coignières et Elancourt pour remplacer un centre nautique fermé depuis deux ans et demi », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  51. L. Mt., « Maurepas : une association de trois villes pour reconstruire la piscine », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ) « C’est une histoire à rebondissements qui vient - a priori - de trouver son épilogue, celle de la construction d’un nouveau centre aquatique à Maurepas. Un épilogue pas franchement du goût du principal intéressé, le maire (LR) de Maurepas, Grégory Garestier. Saint-Quentin-en-Yvelines, dont la ville a intégré le périmètre au 1er janvier 2016, a effet décidé de ne pas inscrire ces travaux dans la liste de ses intérêts communautaires ».
  52. « Maurepas - Les travaux du cinéma prennent quelques mois de retard », sur La Gazette de Saint-Quentin-en-Yvelines, (consulté le ).
  53. Laurent Mauron, « Maurepas : le cinéma est enfin sur les rails : C’est signé. Huit ans après sa création, la zone commerciale du Village des Loisirs va se doter d’un multisalles », Le Parisien, édition des Yvelines,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  54. « Yvelines. Maurepas : le projet de multiplexe cinéma abandonné », sur actu.fr (consulté le ).
  55. « Salle des fêtes », sur Maurepas.fr (consulté le ).
  56. Par Laurent MansartLe 8 août 2019 à 17h04 et Modifié Le 8 août 2019 À 17h37, « Maurepas : l’avenir de la halle du marché incendiée en question », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  57. https://maurepas.aushopping.com/fr/magasins/shops
  58. Site du sculpteur Gérard Ramon.
  59. Les Lambert sur le site « yadvashem-france.org ».