Martin et la Lumière fantôme

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Martin et la Lumière fantôme

Titre québécois Mater et la lueur fantôme
Titre original Mater and the Ghostlight
Réalisation John Lasseter[1]
Dan Scanlon
Scénario John Lasseter
Joe Ranft
Dan Scanlon
Sociétés de production Pixar
Pays de production Drapeau des États-Unis États-Unis
Durée 7 minutes 58
Sortie 2006

Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.

Martin et la lumière fantôme, ou Mater et la lueur fantôme au Québec, est un court-métrage des studios Pixar, réalisé en même temps que leur septième film, Cars, le et réalisé par John Lasseter et Dan Scanlon. Cependant, ce court métrage est sorti bien après le film, puisqu'il était destiné à servir de bonus pour la sortie du DVD de Cars.

Synopsis[modifier | modifier le code]

Ce court métrage fait référence à un passage du long-métrage Cars, celui où les journalistes envahissent Radiator Springs et qu'un hélicoptère braque son projecteur sur Martin. Voyant cette lumière bleue sortant de nulle part, Martin se met alors à trembler de peur et dit « c'est la lumière fantôme ». Durant le film on n’en saura pas plus sur cette lumière fantôme, cette remarque de Martin est donc un jalon posé pour créer un thème pour le court métrage et le connecter au film[2].

L’histoire prend place à Radiator Springs, où Flash McQueen a décidé d’habiter. Il subit tout comme les autres habitants du village les farces de Martin qui se fait un plaisir de faire peur aux gens pour les faire sursauter.

Un soir où tous les habitants se sont retrouvés au V8 Café de Flo, le shérif raconte à Flash la légende de la lumière fantôme. Il explique que cette mystérieuse lumière bleue fait disparaitre les voitures imprudentes qui circulent dans le désert la nuit et qui ont le malheur de la croiser. On ne retrouve de ces malheureux que leur plaque d’immatriculation.

Une fois rentré chez lui, Martin tremble encore de peur en repensant à cette histoire. Tout à coup, une lumière bleue apparait derrière lui. La panique le gagne et il s’enfuit droit devant lui en hurlant de terreur. En réalité Flash et Guido ont accroché une lampe bleue sur le crochet de remorquage de Martin.

Lorsque Martin réalise qu’on lui a fait une farce, il entend alors les rires des autres habitants qui se sont régalés du spectacle. Alors que Martin reprend son souffle, le shérif lui fait la morale et lui dit que : « La seule chose dont il faut se méfier, c’est de son imagination » et Doc Hudson lui dis « Ton imagination et aussi l'abominable Banshee ». À peine le Doc a-t-il fini sa phrase que tous les habitants se précipitent pour rentrer chez eux. Martin reste seul dans l’obscurité, tremblant de peur à l’idée du terrible Banshee.

Après le générique de fin, le dernier plan montre un énorme véhicule de chantier menaçant sur lequel est gravé « banshee ». Il se tient immobile derrière Martin, mais contre toute attente, lorsque Martin le remarque, il lui dit très calmement : « Vous ne devriez pas rester ici, c’est dangereux, il paraît qu’il y a un certain Banshee qui rôde dans les parages… mais je ne l’ai pas encore vu. ». Puis Martin s’en va. Banshee est tellement surpris par la réaction de Martin qu’il ne cherche même pas à le poursuivre.

Fiche technique[modifier | modifier le code]

Distribution[modifier | modifier le code]

Voix originales[modifier | modifier le code]

Voix françaises[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Mater and the Ghostlight (Video 2006) - IMDb » [vidéo], sur imdb.com (consulté le ).
  2. « Martin et la Lumière Fantôme », sur Otakia » Tests et articles de livres, objets, séries et produits dérivés (consulté le ).

Liens externes[modifier | modifier le code]