Martigné-sur-Mayenne

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Martigné-sur-Mayenne
Martigné-sur-Mayenne
Mairie de Martigné-sur-Mayenne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Mayenne
Arrondissement Mayenne
Intercommunalité Communauté de communes Mayenne Communauté
Maire
Mandat
Guillaume Carré
2020-2026
Code postal 53470
Code commune 53146
Démographie
Gentilé Martignéen
Population
municipale
1 893 hab. (2021 en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 11′ 40″ nord, 0° 39′ 47″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 165 m
Superficie 31,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Laval
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lassay-les-Châteaux
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.martigne.com

Martigné-sur-Mayenne est une commune française, située dans le département de la Mayenne en région Pays de la Loire, peuplée de 1 893 habitants[Note 1] (les Martignéens).

La commune fait partie de la province historique du Maine[1], et se situe dans le Bas-Maine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montourtier_sapc », sur la commune de Montsûrs à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 765,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Martigné-sur-Mayenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Laval, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 66 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,2 %), prairies (36,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), zones urbanisées (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Nom mentionné en 650 dans le cartulaire d'Évron sous la forme villa Martiniaco, puis ecclesia Sancti Symphoriani de Martiniaco en 1125 dans le même document[15]. Ce nom représente une formation gallo-romane *MARTINIACU, dérivé toponymique en -ACU du nom de personne gallo-romain Martinius, soit « le domaine rural de Martinius »[16].

En 1984, Martigné devient Martigné-sur-Mayenne[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution, Martigné relevait du doyenné d'Évron pour ce qui est des circonscriptions ecclésiastiques ; des élections et duché de Mayenne en ce qui concerne les circonscriptions civiles[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1953 Antoine Bodinier    
1953 1975 Jules Viellepeau    
1975 1977 Francis Fougerolles    
1977 1983 Jean-Claude Roullet    
1983 juin 1995 Maurice du Mesnil   Réélu en 1989
juin 1995 mars 2001 Marcel Besnier    
mars 2001[27] mai 2020 Rémi Sonnet[28] SE Technicien supérieur DDE
Réélu en 2008 et 2014
mai 2020[29] En cours Guillaume Carré SE Artisan du bâtiment

Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 1 893 habitants[Note 4], en augmentation de 5,28 % par rapport à 2015 (Mayenne : −0,65 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Martigné-sur-Mayenne a compté jusqu'à 2 236 habitants en 1851.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0551 5181 9252 0702 0902 0702 1632 1402 236
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 1222 1322 1611 9011 8401 7721 6031 5501 539
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5161 4751 3471 1421 1941 1651 1671 1211 083
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 0301 0481 0791 1891 2141 3091 5071 6771 830
2021 - - - - - - - -
1 893--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La trace la plus ancienne de ce que l'on peut rapprocher d'une école dans la commune date de 1524. Le prêtre Robert Tasseau instruisait les enfants de la paroisse moyennant une rétribution (et sans rétribution pour les familles plus pauvres)[33].

Vers 1747, la "Maison d'école" animée par les sœurs de la congrégation de la charité de la Chapelle-au-Riboul, puis d'Evron, et située sur l'actuelle Place de l'église, (le bâtiment est aujourd'hui détruit), permet l'accès à une instruction aux enfants de la paroisse et de délivrer des soins aux malades. Ainsi, l'enseignement des jeunes filles fut toujours assuré par des religieuses dans la commune.

En 1798, l'école prend place dans l'ancien presbytère, impasse de la lyre, mais dès l'année suivante, un instituteur laïc se déplace de village en village dans les horizons de la commune, pour apprendre à lire et écrire à ceux qui en font la demande. Il est le plus souvent payé en nature.

Le cadastre du 1er Août 1824 situe l'école des filles sur la Place de l'église, dans le bâtiment de l'actuelle mairie.

À la suite de la loi du 23 juin 1833, la commune a l'obligation de fournir à l'instituteur, un local décent pour son habitation et pour recevoir les enfants. Son salaire est de 200 francs, et la commune loue à local pour l'accueillir.

En 1843, la commune fait construire son école de garçons (dans le bâtiment de l'actuel bureau de poste) utilisée jusqu'en 1879, date à laquelle elle devient trop petite pour accueillir les élèves, et qu'une nouvelle école soit construite (en lieu et place de l'actuelle bibliothèque et accueil périscolaire).

Dès 1874, grâce à un don fait à la commune, une salle d'asile est créée et accueille 24 garçons et 35 filles. Le 10 Novembre 1887, cette classe devient classe enfantine (maternelle) par décision ministérielle. (L'asile occupe le le bâtiment qui est l'actuel salon de coiffure). Les enfants doivent traverser la Place de l'église pour se rendre en récréation à l'école des filles car ce logement n'a pas de cour extérieure.

En 1881, les lois sur la laïcité dites lois Ferry rendent obligatoire et gratuite l'instruction primaire des enfants. En 1899, l'instruction publique comprend une école primaire publique et laïque de garçons avec deux maîtres, une école primaire publique congréganiste (religieuse) de filles avec deux maîtresses et une école enfantine publique avec une maîtresse.

En 1912, l'école compte 70 garçons de 6 à 13 ans pour deux maîtres. L'année 1940 voit la création d'une troisième classe pour recevoir des enfants réfugiés pouvant se présenter à l'école. 57 garçons et filles sont accueillis, provenant principalement de l'Aisne.

En 1959, une école maternelle comprenant une classe et un logement est construite dans l'alignement de l'école des garçons. Le premier poste de femme de service (ancien nom donné aux ATSEM) est ainsi créé. Une cantine scolaire en préfabriqué est également construite près de l'école. Les enfants éloignés du bourg peuvent ainsi profiter de ce nouveau service.

En 1967, les écoles deviennent mixtes. En 1974, les trois écoles sont regroupées administrativement. Robert Arnaud, directeur de l'école des garçons depuis 1961, prend la direction de l'ensemble des écoles. Il occupe son poste jusqu'à son départ en retraite en 1990.

En 1974, compte-tenu du grand nombre d'enfants en maternelle (55 enfants), une seconde classe de grande section est aménagée à l'école, Place de l'église dans l'actuel bureau du maire. Cette école fonctionne de 1974 à 1991. L'école se situe sur deux sites différents (actuelle mairie et actuel accueil de loisirs). Elle compte 6 classes pour 155 élèves.

En 1992, ces 6 classes sont alors regroupées sur le site de l'actuelle école. Deux classes primaires et deux classes maternelles sont construites. En 1993, les locaux de l'ancienne école des filles, Place de l'église, deviennent l'actuelle mairie.

En 2000, les enfants donnent un nom à leur école. Ils font des propositions et le choix se porte sur Galilée, en rappel des noms données aux principales rues de la commune (Rue Vénus, Rue Cassiopée, etc.)

En 2003, 158 enfants sont scolarisés, et en 2004, une septième classe est créée. À la suite de l'augmentation chaque année de la population et du nombres d'enfants scolarisés, la municipalité mène un projet de restructuration et d'agrandissement de l'école. Le nouveau site scolaire comprend alors 8 classes, une salle de motricité, une salle d'arts plastiques, une salle audiovisuelle, un bureau de direction et une salle pour les instituteurs. Des cours et des préaux sont aménagés et deux anciennes classes sont aménagées et transformées pour l'accueil périscolaire. Un dortoir pour l'ALSH et un local pour les assistantes maternelles sont construits sur l'emplacement de l'ancien préau. Deux parkings sont réalisés ainsi qu'un restaurant scolaire, qui ouvre ses portes en 2005.

En 2011, un nouvel agrandissement du site rajoute trois classes, dont une salle de musique, en lien avec le nombre toujours croissant d'élèves.

Aujourd'hui, l'ensemble scolaire s'étend sur un terrain de 1800m². Le bilan de la rentrée scolaire 2015 compte 263 élèves répartis en 10 classes. L'équipe est composée de 8 institutrices et 3 instituteurs.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Activité, label et manifestations[modifier | modifier le code]

Environnement[modifier | modifier le code]

La commune est un village fleuri (trois fleurs) au concours des villes et villages fleuris[34].

Sports[modifier | modifier le code]

Martigné-sur-Mayenne est animé par plusieurs associations sportives dont l'Association sportive Martigné qui fait évoluer trois équipes de football en divisions de district[35], le Basket Club de Martigné[36], la gymnastique, le tennis de table, Martigné Running, le Tennis Club… En tout, onze disciplines sont proposées[37].

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

L'usine fromagère Vaubernier (SA Vaubernier fromagerie du Bois Belleray) est réputée dans l'Ouest de la France pour ses fromages de lait de vache, sous la marque « Bons Mayennais »[38].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Églises et chapelles[modifier | modifier le code]

Châteaux et manoirs[modifier | modifier le code]

Lieux remarquables[modifier | modifier le code]

  • Cours de la rivière la Mayenne avec son halage et les quatre écluses situées sur le territoire de Martigné : Boussard, Corçu, le Bas-Hambers et les Communes. Cette dernière, à proximité de Montgiroux, est construite sur un canal latéral à la Mayenne, long de deux cents mètres environ.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Claude-Marin Saugrain, Dictionnaire universel de la France ancienne et moderne et de la Nouvelle France, vol. 2, , p. 519
  2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Martigné-sur-Mayenne et Montsûrs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Montourtier_sapc », sur la commune de Montsûrs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Montourtier_sapc », sur la commune de Montsûrs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b Léon Maître, Dictionnaire topographique du Département de la Mayenne, Paris, Imprimerie Nationale, 1878.
  16. Marie-Thérèse Morlet, Les noms de personnes sur le territoire de l’ancienne Gaule du VIe au XIIe siècle, Paris, CNRS, t. III (les noms de personnes contenus dans les noms de lieux), 1985, p. 134a.
  17. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  18. « Elections du Conseil Général et du Conseil d'Arrondissement - Arrondissement de Mayenne - Canton de Mayenne (nord-est) », sur Fonds patrimoniaux de la ville de Laval, L'Echo de la Mayenne.
  19. « Recensement 1861 », sur Archives départementales de la Mayenne.
  20. « NOUVELLES LOCALES - CHRONIQUE DE L'OUEST », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
  21. « Noms des Maires et Adjoints - Canton de Mayenne (est) », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
  22. « Liste des Maires - Canton de Mayenne (est) », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Avenir de la Mayenne (consulté le ).
  23. « Résultats élections municipales 1892 », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Avenir de la Mayenne (consulté le ).
  24. « Recensement 1901 », sur Archives départementales de la Mayenne.
  25. « Délégués et Suppléants - Arrondissement de Mayenne », sur fondspatrimoniaux.laval.fr, L'Echo de la Mayenne (consulté le ).
  26. « Elections municipales », sur Gallica, L'Ouest Éclair (consulté le ).
  27. « Municipales à Martigné-sur-Mayenne. Rémi Sonnet se représente », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  28. Réélection 2014 : « Martigné-sur-Mayenne (53470) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  29. a et b « Municipales. Guillaume Carré prend les commandes de Martigné-sur-Mayenne », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Commission communication, Bulletin municipal n°2, Janvier 2016, de Martigné-sur-Mayenne, Martigné-sur-Mayenne, Mairie de Martigné-sur-Mayenne, (lire en ligne), p. 32-33-34-35
  34. « Palmarès du concours des villes et villages fleuris - Martigné-sur-Mayenne » (consulté le ).
  35. « Site officiel de la Ligue du Maine – AS Martiné s/ Mayenne » (consulté le ).
  36. « Bienvenue sur le site du BCM », BCM.
  37. « Liste des associations », Ville de Martigné-sur-Mayenne.
  38. Bons Mayennais - site officiel
  39. « Statues de la chapelle St-Léger à Martigné-sur-Mayenne », sur fondation-patrimoine.org.