Margny-sur-Matz

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Margny-sur-Matz
Margny-sur-Matz
Mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Baptiste de Fresse de Monval
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60383
Démographie
Population
municipale
536 hab. (2021 en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015)
Densité 74 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 31′ 23″ nord, 2° 46′ 47″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 186 m
Superficie 7,24 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Margny-sur-Matz
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Liens
Site web https://www.margnysurmatz.fr/

Margny-sur-Matz [maʁɲi syʁ ma] est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Margny-sur-Matz est un village périurbain picard du Noyonnais situé à 17 km au sud-ouest de Noyon, 12 km au nord de Compiègne et 20 km au sud-est de Montdidier.

Il est aisément accessible par la sortie no 11 de l'autoroute A1.

La commune comprend deux hameaux : Bourmont et Le Plessier.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est limité au sud par le cours du Matz, un affluent en rive droite de l'Oise, et donc un sous-affluent de la Seine.

Le ruisseau le Mareuil se jette dans le Matz dans le village.

Une mare située à Bourmont, d’un très grand intérêt floristique et faunistique, va être restaurée afin de contribuer à lutter contre les coulées de boue lors d'orages importants[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Margny-lès-Compiègne à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 633,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Margny-sur-Matz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,4 %), forêts (24,8 %), zones urbanisées (11,7 %), prairies (0,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 235, alors qu'il était de 225 en 2013 et de 211 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 3,2 % des résidences secondaires et 5,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Margny-sur-Matz en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,2 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Margny-sur-Matz en 2018.
Typologie Margny-sur-Matz[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,3 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,2 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 5,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 654, 655, 675, 681, 6303 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les mentions anciennes de Margny-sur-Matz sont : Maregny supra Massum 1320 [15], Marregny supra Massum 1362[15], Marest 1757[16].

Le village tire son nom du fait de sa situation sur le Matz rivière qui est un affluent de l'Oise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Les seigneurs de Margny y possédaient un château-fort dont les ruines sont rasées en 1810 ; il était situé près de l'église. Entre l'église et le château se trouvaient des souterrains-refuges qui protégeaient les villageois en temps de guerre[17].

Au Plessier se trouvait également un autre château, dont le donjon qui subsistait a été démoli à la fin du XIXe siècle[17].

Deux moulins à eau se trouvaient à Margny. L'un d'eux était le « moulin Pillon » (propriété privée), se trouvait au nord, à l’écart du village sur le ru de Mareuil[18].

Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait du doyenné de Coudun et du diocèse de Beauvais. Le curé était nommé par le prieur d'Elincourt-Sainte-Marguerite. La dîme de Margny était perçue par le chapitre de Noyon qui, en 1219, fit. avec l'abbaye d'Ourscamp, un échange de la dîme des Essarls de Lassigny contre un tiers de celle de Margny. Sur les plans civils et militaires; le village dépendait de l'élection et du bailliage de Compiègne et de la généralité de Paris[17].

Première Guerre mondiale

Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Ressons-sur-Matz[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Margny-sur-Matz est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988   Camille Cérano    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 Bruno Aronio de Romblay[21]  
mai 2020[22] En cours
(au 19 février 2021[1])
Baptiste de Fresse de Monval SE[23] Avocat au barreau de Paris

Démocratie participative[modifier | modifier le code]

Après les élections municipales de 2020, la commune s'est dotée d'un conseil municipal des jeunes[24].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[26].

En 2021, la commune comptait 536 habitants[Note 3], en augmentation de 0,37 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
398299462423482479439424379
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
334329337333288271267280263
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
275266253208242227196222252
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
275299265284346422461483517
2014 2019 2021 - - - - - -
536538536------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,0 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 273 hommes pour 264 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,5 
4,0 
75-89 ans
5,7 
15,3 
60-74 ans
17,0 
23,4 
45-59 ans
18,9 
21,2 
30-44 ans
22,7 
13,1 
15-29 ans
13,3 
22,6 
0-14 ans
20,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

La commune ne dispose en 2020 que d'un seul commerce, la Petite auberge, qui est un restaurant renommé. Afin d'en assurer la pérennité, la commune a acquis en 2020 le bâtiment, qui conserve ses gérants[30].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Vaast est située comme c'était coutumier dans l'ancien temps au centre du cimetière et bien que toute simple, elle mérite un détour. En effet, son toit est constitué de deux toitures à deux pentes installées côte à côte. La forme rectangulaire de l'église, d’où seul fait saillie le chœur, à l’est, est le résultat de plusieurs campagnes de construction intervenues au XVIe siècle.
    L'église dispose d'un mobilier cultuel exceptionnel : Vierge à l’Enfant en pierre du XIVe siècle, Vierge de Pitié en pierre du XVIe siècle, poutre de gloire du XVIIe siècle, considérée parmi les plus belles du département ; autel - retable du XVIIe siècle, dont les proportions correspondent à celles du chœur[31].
  • Les restes des vannes du « moulin Pillon »[18] ;
  • Circuit de promenade de la fontaine Saillard du Pays des Sources[18] ;
  • La place du Jeu d'Arc, arborée, où la compagnie d’arc s'entrainait[18].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

A la fin du XVe siècle, la seigneurie de Margny-sur-Matz est tenue par Walleran de Sains[32], bailli de Senlis, neveu de Charles[33] et Guillaume de Flavy, époux de Jacqueline de Rouvroy[34], fille de Gilles de Rouvroy dit de Saint-Simon[35], ancêtre du mémorialiste. Jean de Sains succède à son père vers 1520.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Margny-sur-Matz Blason
Parti d’or et d’azur à l’ours en pied de l’un en l’autre à la champagne aussi d’azur brochant sur la partitions, chargé de trois fleurs de lys aussi d’or rangées en fasce et sommée d’une devise ondée d’argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Vous pouvez également trouver des géocachings à Margny-sur-Matz, notamment sur le chemin entre Margny-sur-Matz et Elincourt-Saint-Marguerite (au croisement).

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Margny-sur-Matz - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b « À Margny-sur-Matz, la mare de Bourmont sera réhabilitée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La liste de Baptiste de Fresse de Monval, seule en lice à Margny-sur-Matz, avait été élue au soir du scrutin du 15 mars. Âgé de 28 ans, avocat au barreau de paris, le nouveau maire succède à Bruno Aronio de Romblay et fait un retour dans son village maternel, où il a passé quasiment toutes ses vacances ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Margny-sur-Matz et Margny-lès-Compiègne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Margny-les-Compiegne » (commune de Margny-lès-Compiègne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Margny-sur-Matz », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a et b LONGNON (A.) Pouillé de la province de Reims (1907), t. 2, p. 488D, 487D, 512A.
  16. IGN, plan de Cassini.
  17. a b et c Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 348-350, lire en ligne sur Gallica.
  18. a b c et d « Margny-sur-Matz », Les 48 communes, sur cc-pays-sources.fr (consulté le ).
  19. Journal officiel du 24 février 1921, p. 2475.
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Margny-sur-Matz », Cartes de France (consulté le ).
  22. « Baptiste de Fresse de Monval, 28 ans, maire de Margny-sur-Matz : « L’exclusion est la pire des choses », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Geoffroy Tomasovitch, « Il était temps ! » : comment un futur maire a mis à profit ces deux mois de confinement : Le gouvernement a autorisé l’installation des conseils municipaux dans plus de 30 000 communes où l’équipe a déjà été élue au complet. Exemple avec la liste de Baptiste de Fresse de Monval à Margny-sur-Matz (Oise) », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ 135/5/2020 (lire en ligne, consulté le ) « Cet avocat du barreau de Paris a mené une liste - la seule - sans étiquette, « panachage d'expériences », 8 femmes et 7 hommes, « parité pas obligatoire mais voulue ».
  24. « Un parcours VTT en projet à Margny-sur-Matz », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Margny-sur-Matz (60383) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  30. « La municipalité de Margny-sur-Matz va acquérir La Petite Auberge », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. Dominique Vermand, « Margny-sur-Matz, église Saint-Vaast », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  32. Jean Tremblot, L'armorial senlisien de Charles Afforty, Paris, France: G. Saffroy, 1941 et Senlis, France: R. Socirat, 1941, (lire en ligne).
  33. Marc Bompaire (Voir plus précisément la page 175), « Inventaire et étude d'une série de dalles funéraires médiévales et modernes à Compiègne (Oise) », Revue archéologique de Picardie,‎ , p. 153-178 (lire en ligne).
  34. « Testament vidimé de Jacqueline de Rouvroy », sur gallica.bnf.fr (consulté le ).
  35. Charles Afforty, « Le manuscrit Afforty »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur bmsenlis.com (consulté le ) : « Testament de Gilles de Rouvroy (1477) "... Et pour et affin que ce présent testament soit accomply de point en point selon sa forme et teneur je eslis mes executeurs mes tres chers parents et amis cest assavoir Waleran de Sains seigneur de Marigny mon gendre..." ».